AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de François Weyergans (142)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Trois jours chez ma mère

J'ai ri de bon cœur devant les étourderies de Weyergans, j'ai même eu des fous rire irrépressibles. Je me suis lamentée devant trop de sexe qui m'empêchait de le conseiller dignement à mes filles, j'ai admiré le talent et la culture "au bon moment au bon endroit", j'ai envié cette mère entourée de 7 enfants, j'ai adoré l'humour, je me suis perdue dans les différents niveaux de l'histoire. Au final, j'ai passé un moment de littérature formidable où les vraies peurs de vivre et de mourir, les vrais drames de la vie sont abordés avec une telle légèreté que le livre devient un antidote à la morosité et à l'angoisse. Et je n'arrive toujours pas à comprendre comment qu'avec une telle dose de dérision, François Weyergans arrive à faire de si grosses dépressions. A lire si on a un coup de blues.
Commenter  J’apprécie          60
Je suis écrivain

Je suis un écrivain

Chapitre 1: Se mastiquer le mastodonte...



"Mmh mmh", me fis - je à moi-même en haussant les sourcils à la vue du titre de ce 1er chapitre. Cékoidon ce bouquin?

François Weyergans, écrivain, rédige un roman où le narrateur Éric Wein, écrivain, écrit un roman sur Marc Strauss, écrivain, ... va au Japon. Ça résume autant Je suis écrivain  que "c'est Oreste qui aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui aime Hector qui est mort" résume la pièce Andromaque de Racine.



Mêlant divers faits et anecdotes, les auteurs (qui n'en forment qu'un?) cheminent entre souvenirs et réflexions plus ou moins philosophiques, sur la vie, la religion, les religions, le Japon, les femmes, ...



Au chapitre 11, Éric Wein évoque le genre littéraire japonais du matatabimono. Il s'agit de "récits d'errance et de vagabondage ". Les récits de l'auteur errent sur les chemins touffus de la pensée et de la mémoire autant que dans les villes. Les routes, matérielles ou symboliques, sont rarement droites et directes. Il en va de même pour ce livre qui sinue et revient sur ses pas, se perd mais avance.

Comme Éric Wein, j'aime les digressions. En la matière, ce roman à tout pour me plaire. On pourrait même y voir une sorte de patchwork narratif: François Weyergans, couturier des mots, assemblent au point de zigzag une infinité de digressions les unes aux autres. En couturier de haute couture car le style est de toute beauté. L'écriture accroche subtilement le lecteur dès le premier chapitre pour ne plus le lâcher. C'est bellement écrit, c'est addictif et ensorcelant.

Une lecture que je recommande chaudement à tout lecteur avide de déambulation livresque!
Commenter  J’apprécie          50
Franz et François

J'ai bien aimé ce livre, criant d'amour envers un père avec qui la communication, de son vivant, fut plus que difficile.

La tâche était difficile pour François Weyergans avec un père écrivain comme lui, mais de tendance ultra catholique.

Comment lui, le seul fils mâle et qui portait le même nom, a dû se forger une personnalité à coup d'analyses et de chimio thérapies anti-dépressives.

Comment ce fils a écrit et vécu des choses à l'exact opposé, afin de se construire sur un fond de névrose assez grave.

C'est écrit avec beaucoup d'humour avec des scènes cocasses d'anthologie et énormément d'érudition et des passerelles vers d'autres connaissances.

Il se dégage de ce livre une aura de vérité et d'à propos qui rendent la lecture inoubliable.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
Commenter  J’apprécie          50
Je suis écrivain

François Weyergans se proclame écrivain dans ce livre et ce depuis le plus jeune âge.Son livre a un petit côté fourre-tout sympathique. Il démarre sur des souvenirs d'enfance puis évolue par l'introduction d'un personnage qui n'est autre qu'un Weyergans bis, vers un récit de voyage au Japon dans un style à la Nicolas Bouvier pour finalement nous laisser en plan quelque part devant une cascade en nous saluant d'une pirouette clownesque.

Voilà pour l'intrigue. Autant dire pas grand chose. Des bribes , des bricoles de vie, quelques réflexions philosophiques amusantes , quelques croquis de voyage sans complaisance. L'oeil de Weyergans est lucide , intelligent et compassionnel. C'est l'oeil du sage et du philosophe.

Bien sûr il patauge, comme mille autres de ses confrères dans les eaux glauques du nombrilisme ou du narcissisme, mais contrairement à beaucoup il ne s'en contente pas car il a deux atouts maîtres dans son jeu.

Lui, il sait vraiment bien écrire ( il paraît qu'il prend tout son temps pour cela et c'est peut-être ce qui manque à d'autres tout occupés qu'ils sont à produire à jet continue cette monstrueuse littérature du moi qui envahit nos présentoirs..) et surtout, il est plein d'humour ce qui fait tout pardonner.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
Commenter  J’apprécie          50
Trois jours chez ma mère

Honteux que les jurés du Prix Goncourt aient attribué le prix à ce "roman" !

Imaginez un peu : j'écris un livre où je parle du livre que je suis en train d'écrire (dans la souffrance, évidemment, car je suis un grand styliste, chaque mot est longuement ruminé) tout en gérant mon quotidien (j'ai des problèmes avec ma mère, et mon père, et mes voisins - quelle originalité...), me masturbant abondamment (c'est à la mode...) et me remémorant mes conquêtes (comme tout écrivain qui se respecte, je suis un grand séducteur, profondément amoral et ironique).

Bref, du sous-sous Henri Miller.

Qui lui écrivait dans les années trente et avait au moins le mérite d'être drôle - et de parler d'autre chose que de son nombril.
Commenter  J’apprécie          50
Trois jours chez ma mère

Inutile de résumer le livre, d'autres l'ont déjà fait



Je ne sais que penser de ce roman. Prix Goncourt tout de même !

La narration est confuse et décousue. Les évènements se succèdent sans réelle cohérence, parsemés de fantasmes sexuels. J'ai donc eu du mal à m'immerger dans le récit.



En revanche parfois et ce fut rare, j'ai apprécié cette façon dont Weyergans entremêle les souvenirs de l'écrivain avec le présent, faisant découvrir l'intrication des relations familiales, les joies et les peines qui les dessinent.



C'est quand même un roman qui manque de clarté narrative. Si vous recherchez une lecture captivante ce livre n'est pas pour vous.
Commenter  J’apprécie          40
Trois jours chez ma mère

Mon premier livre de François Weyergans, et comme beaucoup, déçue.

Le narrateur nous embarque littéralement dans ses pensées, c'est déconstruit et les anecdotes s'enchainent. Il ne se passe pas grand-chose, mais j'ai quand même eu du mal à suivre. Je reste curieuse de distinguer ce qui est inventé, ce qui est inspiré de la vie de l'auteur.

Je tenterai un autre titre de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          40
Trois jours chez ma mère

La relation des hommes avec leur mère est toujours aussi prégnante et ce livre en est sans doute un des meilleurs exemples. L'homme déprimé qui est au centre du livre est peut-être l'auteur lui-même, j'ai eu beaucoup de mal à faire comme si ce n'était pas lui. Il tourne sans arrêt autour de l'idée d'aller revoir sa mère, qu'il n'a pas vue depuis longtemps et il va finalement se décider. C'est un Goncourt pur jus.
Commenter  J’apprécie          40
Trois jours chez ma mère

'Trois jours chez ma mère', roman de François WEYERGANS (Ed. Grasset,2005) est un de ces livres pour lesquels la quatrième de couverture n'est que mensonge, miroir aux alouettes! On y annonce que 'Mieux que personne, François WEYERGANS mêle la profondeur et l'humour, l'émotion et le rire, dans ce roman qui affirme avec force les pouvoirs de la littérature' ...



Bon, j'ai dû passer à côté du sens profond voulu par l'auteur. de profondeur, je n'ai vu que celle de l'abîme de ses relations sexuées avec la gent féminine. D'humour, je n'en ai perçu que la platitude avec laquelle il (se) décrit comme incapable d'avancer dans ses écrits. L'émotion, je n'ai pu la déceler dans ses projets d'écritures sur Charlemagne, les volcans, les coucheries, ni même (ou si peu) dans ces trois jours finalement passés chez sa mère.Quant au rire (plutôt sourire), il a attendu la page 222 pour me sortir de l'ennui. Pour le plaisir, je cite: 'Les moines bouddhistes, quand il leur arrivait de lâcher un pet au milieu d'un sermon, en faisaient un sujet de méditation sur la vie éphémère et fugace au lieu de se boucher le nez .' ... D'accord, cela ne vole pas très haut et, finalement, n'est pas très drôle!

Bref, un livre décousu, vide de sens, peu plaisant à lire et n'apportant rien, ni à la littérature, ni à la réflexion. Un livre à oublier malgré le prix Goncourt 2005 obtenu pour ce titre!
Commenter  J’apprécie          42
Royal romance

Jusqu'ici je n'avais jamais lu un roman de Weyergans. Ce coup d'essai me laisse un peu perplexe.

Le titre peut surprendre: il fait référence à un cocktail très prisé par l'héroïne du livre. La trame de l'intrigue est mince et relève d'un thème rabâché: l'adultère, qui pimente la vie d'un homme marié et qui perdure sans vraiment ébranler son couple "officiel". Daniel Flamm, romancier français dont le talent est bien reconnu (… comme F. Weyergans), profite de ses nombreux séjours à Montréal pour vivre une passion avec une jeune québécoise, Justine, qui est elle-même très éprise. Sexe et sentiments, mais sans doute pas assez de parole vraie, pas d'engagement sérieux. Le héros est un homme égocentrique et volage, qui trouve d'autres maitresses. Justine, restant au Canada, lui envoie des cassettes enregistrées qu'il n'écoute pas (ou peu). Après des péripéties fort peu palpitantes, la fin est tragique.

Daniel Flamm est aussi le narrateur. Ceci, et bien d'autres indices, conduisent le lecteur à imaginer que le héros représente peu ou prou l'auteur lui-même; ceci est vrai ou pas vrai, je n'en sais rien. Mais, pour ma part, j'ai trouvé horripilant ce personnage. J'estime aussi que sa vie n'est pas enviable, malgré tout l'argent et toutes les femmes dont il dispose; elle m'apparait comme peu crédible et très éloignée de celle d'un pékin quelconque . Ce roman est facile à lire et, pourtant, cette lecture m'a semblé assez ingrate. Mais, si Weyergans s'est vraiment donné pour but de dresser un tel portrait, c'est une sorte de réussite. J'ajoute qu'il y a des longueurs dans ce livre pourtant court. Enfin, certains passages me semblent des provocations destinées à se moquer du lecteur (je renvoie les Babelistes à la page 103, par exemple).

Commenter  J’apprécie          40
Trois jours chez ma mère

Un des souvenirs de lecture les plus ennuyeux que j'ai. Weyergrans n'a pas réussi à m'intéresser un seul instant à son roman, ni à son écriture. Trois jours chez ma mère est une montagne d'égocentrisme, l'autofiction dans ce qu'elle a de plus mauvais. Le processus de la mise en abyme dans la mise en abyme est mal utilisé, redondant, voire pompeux. Qu'il ne se passe rien dans un livre, c'est une chose, mais qu'au moins les réflexions de l'auteur y soient intéressantes, profondes ou spirituelles ! Bref, une perte de temps pour moi.

Commenter  J’apprécie          41
Trois jours chez ma mère

évocation d'une boucherie aujourd'hui disparue
Commenter  J’apprécie          40
Royal romance

Je l'ai lu jusqu'au bout et... je me trouve très courageuse !

Il n'y a rien dans ce roman, à part la multiplicité des expériences sentimentalo( ?) sexuelles que le héros vieillissant se croit obligé de relater.

Heureusement ( ou hélas ?), l'écriture est parfaitement maîtrisée, l'humour ne manque pas et quelques belles idées sur la difficulté à vivre sauvent ce roman du "nanar" indigeste.

Quel dommage que F.Weyergans n'utilise pas mieux son talent !
Commenter  J’apprécie          40
Royal romance

Royal Romance. C'est le nom d'un cocktail - moitié gin, un quart Grand Marnier, un quart de fruit de la passion, un soupçon de grenadine - dont raffolait Justine, la jeune femme sera l'héroïne de ce livre. L'auteur en fut personnellement amoureux. Ces phrases - tirée du récit - se suffit à elle-même pour définir ce dernier roman de l'académicien Weyergans. Détendeur des prix Renaudot et Goncourt - fait unique dans le monde littéraire - François Weyergans nous dresse dans cet ouvrage, un portrait épuré de la passion amoureuse. Daniel Flamm est fou amoureux de Justine, partageant ainsi sa vie entre Montréal et Paris. Il a la soixantaine, elle a entre vingt et trente ans; et le livre dépeint leur relation, parfois tumultueuse.







Selon l'auteur lui-même, Royal Romance est un livre dont la fin ne tient pas d'être racontée. Ce roman, simple histoire d'un amour déchiqueté à certains moments, a l'un des thème les plus communs en littérature. Toute la difficulté résidait donc à faire de ce thème une oeuvre singulière. L'idée de l'amour à distance, notamment des cassettes enregistrée, semble être une bonne idée pour le déroulement de l'intrigue romanesque, placant l'histoire dans une espèce d'atemporalité : le charme de nos rapports avait tenu à la rareté de nos rencontres. C'est ici que Weyergans inscrit sa volonté d'écrire des romans universels, plaisant à tous. Toutefois, même si le personnage de Daniel Flamm pourrait être n'importe qui, on peut se demander si Weyergans n'a pas voulu écrire une autofiction, masquée sous des jeu sur les points de vue.







L'écriture de ce roman - à la première personne - est, comme souvent chez cet auteur, assez simple, fluide et compréhensible, ce qui rend la lecture assez plaisante. Par ailleurs, les digressions assez récurrentes seraient sensibles de troubler, voire de déranger certains lecteurs, malhabitués à ce genre de narration. Il convient également de noter qu'à travers la voix du narrateur, on sent l'âme d'académicien de Weyergans se révéler de temps à autre. En témoigne l'exemple de la page 42 : "Parlez-moi de vos projets d'avenir", m'avait dit en terminale un de mes professeurs à qui je n'avais pas osé répondre : "Comme s'il existait des projets pour le passé !" Cette expression de projets d'avenir traîne encore dans trop de dictionnaires.







Royal Romance se positionne ainsi en roman d'amour, sans réelle niaiserie mais n'omettant pas quelques clichés nécessaires. La lecture se passe simplement, de manière fluide, peut-être grâce à la trame narrative, sans réelle complexité donc rapidement assimilable.



L'interview de l'auteur ici







Royal Romance, François Weyergans, Julliard, mars 2012, 19.30€


Lien : http://actulitteraire.canalb..
Commenter  J’apprécie          40
Trois jours chez ma mère

Je l'avais lu peu après sa sortie, je m'étais ennuyée.....Il ne me reste que ce souvenir
Commenter  J’apprécie          40
Trois jours chez ma mère

Un écrivain accouche douloureusement de son roman. Le travail est plus que long. Dépressif, anxieux, le meilleur moyen pour "Weyergraf" d'échapper à ses angoisses est de se plonger dans le passé.



Conquêtes, voyages, ennuis d'argent, on pense parfois à Thérapie de Lodge en moins drôle ou à Paul Auster - le diable par la queue.



Pourquoi "trois jours chez ma mère"? Car l'écrivain, s'il téléphone souvent à sa mère, ne va que très rarement la voir en dépit de toutes ses bonnes résolutions. Jusqu'au jour où celle-ci, victime d'une chute, l'appelle à son chevet.



J'ai survolé cette oeuvre car je n'ai pas franchement aimé, même si quelques passages font sourire.


Lien : http://lelabo.blogspot.com/2..
Commenter  J’apprécie          40
Berlin mercredi

Il y a du style dans ces pages, une écriture rythmée, un vocabulaire choisi, un sens de la formule indéniable. Qu'il s'appuie sur des références historiques ou culturelles ou des expressions courantes plus prosaïques, Weyergans sait transformer des termes et des idées connues par tous en manifestations personnalisées des états d'âmes de son narrateur. Mais il les utilise aussi pour enluminer les aléas de sa petite vie de descriptions joliment troussées et souvent amusantes : des décors urbains, des paysages industriels ou ruraux traversés par un train allemand ; des physionomies, féminines ou masculines ; des manifestations de mai 68, des journées mornes dans un bureau, des nuits d'amour, des matins de disputes, des errances, des livres et des librairies ou encore une amitié que l'homme solitaire tisse avec une allumette brûlée découverte sur le sol de sa cuisine. Et beaucoup de questionnements sur les décisions que devrait prendre ce séducteur sans envergure, balloté entre deux femmes, aussi exceptionnelles l'une que l'autre, aussi exceptionnelles qu'il est minable.

Les péripéties amoureuses dans lesquelles se noie (de son plein gré) ce personnage ne sont pas le point fort de ce livre (qui serait bien vide s'il n'y avait que cela).

Heureusement, il y a ce style vif et original, et une vision désuète d'une France et d'une Allemagne des années 60 et 70, reconstituées dans les moindres détails, de la même manière qu'un homme amoureux et indécis reconstitue chaque ligne du corps, du rire, de la voix des femmes aimées et chaque millimètres des méandres de ses tergiversations.

Entre les femmes et les tergiversations, je vous laisse deviner qui aura le dessus.
Commenter  J’apprécie          30
Macaire le copte

Prix des Deux Magots 1982 : génial, cette histoire de moine qui s'enfonce dans le désert pour rencontrer Dieu, mange de l'herbe, boit de l'eau croupie et se fait exprès piquer par des gros moustiques dans des marais putrides. C'est sûr ! Profond et questionnant... Garçon, un autre Spritz !
Commenter  J’apprécie          30
Trois jours chez ma mère

Comme presque chaque fois, je suis déçu par les romans qui se sont fait attribuer ce fameux Prix Goncourt. C'est le quinzième que je viens de terminer.

Des bons passages certes à Grenoble, à Banon, .... beaucoup de scènes sexuelles que je dirais vulgaires qui n'embellissent pas l'histoire. Roman qui ne m'a pas ému, donc je ne le conseillerai pas.
Commenter  J’apprécie          30
Le Radeau de la Méduse

abandonné en cours - la narration se perd dans de trop nombreuses digressions qui ne mènent nul part et ne font que l'étal d'une culture lourde et étouffante
Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de François Weyergans (1419)Voir plus

Quiz Voir plus

François Weyergans (1941-2019)

Au-revoir, j'ai commencé ma vie littéraire en 1973, et je ne le regrette pas, en faisant le .......?.........

Clown
Pitre

10 questions
35 lecteurs ont répondu
Thème : François WeyergansCréer un quiz sur cet auteur

{* *}