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Critiques de Frederik Peeters (605)
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Aâma, tome 4 : Tu seras merveilleuse, ma fille

CE 4e tome refermé, je ne peux dissimuler une certaine déception.

Certes, cette histoire est très bonne, certes j'ai fait un beau voyage.

Mais, alors que j'ai complètement adhéré aux deux premiers tomes, je suis moins convaincue par la seconde moitié par la saga et je suis passée à côté de ce dernier tome que j'ai trouvé plutôt long et, alors que j'aurais dû (j'aurais voulu) être émue par ce final, il m'a laissée un peu froide.

Les dimensions métaphysiques que prend parfois la SF me laissent souvent dubitative, ayant la désagréable impression de ne pas avoir saisit tout ce que l'auteur/ le cinéaste/ le scénariste, voulait faire passer comme message.
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Aâma, tome 3 : Le désert des miroirs

Ce troisième tome entre dans des considérations que j'ai eu, je l'avoue, un peu de mal à suivre mais j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt l'odyssée de Verloc dans l'univers complexe et onirique que lui sert aâma.

Si certains points sont plus clairs, d'autres ne font que s'obscurcir, je me réjouis de découvrir l'ultime tome de cette série très riche et décidément très réussie.
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L'Homme gribouillé

C'est très lent à démarrer, et du coup j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce récit. Pendant presque la moitié de ma lecture j'ai eu l'impression de ne rien voir venir.... et comme le bouquin fait plus de 300 pages, évidemment ça devient long. Puis tout à coup, les liens se font, et le dernier tiers s'accélère, et ça va tellement vite que pour le coup je trouve que ça va trop vite.

Et donc je fini se pavé de BD sans trop avoir d'explication sur ce que j'ai lu... je suis donc un peu déçue.
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Pilules bleues

Une très belle histoire, le combat mené par les personnages : vivre avec le VIH au quotidien, est prenant et riche en émotions.

Les thèmes abordés : les réactions des proches, la culpabilité, le contact avec le médecin, sont traités avec simplicité et pudeur. Simplicité que l'on retrouve dans les dessins : uiquement du noir et un trait épais. À découvrir.
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Constellation

Ce récit se passe dans un avion de ligne en plein ciel, dans les années 50. Un homme est en train de se rappeler les derniers moments qu’il a vécu et fait un bilan de sa vie. Puis, une belle jeune femme au fort accent slave s’assoit à côté de lui, une conversation entre ces deux êtres s’ensuit…

Au début de cet album, je n'ai pas compris où Peeters voulait m'emmener, mais au fil des pages, cet album, à l'histoire un peu simple, n'est finalement que la même scène vécue par trois personnes différentes.

L'idée de départ est fortement intéressante malheureusement, une trentaine de pages me paraît insuffisante. De plus, le dénouement est banal.

Par contre, on reconnaît indéniablement le talent graphique de Peeters.

Constellation ne m'a pas éblouie...
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L'odeur des garçons affamés

L'odeur des garçons affamés est vraiment une création étrange. J'ai été attiré par la couverture, avec cette caravane passant dans un canyon et le couleurs ocres. J'ai aussi été intrigué par la 4ème de couverture, assez énigmatique finalement et troublante avec la présentation graphique de l'un des personnages.



L'action se déroule au Texas, en 1872. La guerre de Sécession vient de se terminer. Il faut explorer et conquérir de nouveaux territoires, toujours aller vers l'Ouest, toujours à la recherche d'une nouvelle frontière à repousser. Nous suivons une caravane composée de trois hommes. Le géologue Stingley qui a pour projet de répertorier toutes les populations rencontrées (autant humaines qu'animales) mais aussi les ressources géologiques. Il es accompagné par le photographe Oscar Forrest, de Manhattan, véritable dandy à la tenue un peu décalée par rapport à la rudesse des territoires traversés. Le dernier membre de l'expédition est le jeune fermier Milton, venu du Kansas.



Autour d'eux, jamais très loin, évoluent des Comanches qui ne veulent pas céder leurs terres, veulent protéger leurs terres ancestrales et leur culture. Ils sont là en observation.



Milton et Oscar semblent vouloir cacher quelque chose, cacher une partie de leur histoire. Ils semblent vouloir fuir quelque chose, eux aussi sont à la recherche d'un new deal, comme pour se refaire une virginité ou seulement oublier ce qu'ils ont été avant. Oscar semble troublé par le très beau Milton, jeune éphèbe à la superbe plastique.



Oscar a fait sa fortune et sa réputation en faisant croire qu'ils pouvaient faire apparaître des revenants sur des photos mais il a dû fuir quand la supercherie a été découverte.



Notre trio est suivi à la trace par un comanche qui semble veiller. Mais veiller sur quoi et sur qui ? De plus un étrange personnage suit la caravane, personnage très inquiétant, ressemblant à un mort vivant, à un personnage semblant sorti des enfers.



Qui sont ces étranges personnages ayant des attitudes vraiment étranges ? Stingley semble se plaire les fesses à l'air et faire ses croquis sans pantalon, sans caleçon. Oscar avouera une attirance pour les garçon, attirance peu prisée sur à cette époque dans le milieu machiste des conquérants de l'Ouest, qui ne peuvent être que des hommes, des vrais. Milton est en fait u personnage qui se cache sur les frusques d'un garçon de ferme. Qu'a t-il vécu avant ?. Qu'a t-il subi ? Que fuit-il ?



L'histoire est plus que troublante. Est-ce un western ? Est-ce une nouvelle présentation de la conquête de l'Ouest ? Est-ce une ode aux amours homosexuels ? Est-ce une dénonciation de la spoliation des habitants primitifs et de l'oubli de leur culture ? Il y a une forme de magie dans cette histoire, un peu de chamanisme avec une relation particulière de certains hommes avec les chevaux, avec la nature ? D'où vient ce don en particulier celui de Milton ? Est-ce que l'on évoque ici une forme de spiritisme ?



Difficile de classer cette BD. Plusieurs portes restent ouvertes. Comme c'est un one-shot, aux lecteurs de se faire leur opinion et de trouver la suite ou la fin qui leur convient.



Le scénario de Loo Hui Phang est fort bien construit mais très troublant. Le trouble est renforcé par le trait et les couleurs de Frédérik Peeters. J'ai beaucoup aimé les contours cernés qu'il nous propose et les couleurs m'ont rappelé l'ocre de Zion Park en Utah ou bien celles du Colorado provençal, Rustrel.



Bref, une BD inclassable mais faut-il toujours trouver des cases à ce que l'on lit ?





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Lupus, Tome 2

Évidemment, comme on s’y attendait, le périple de Tony et Lupus a tourné à la catastrophe depuis qu’ils ont accueilli Sanaa. Lupus et Sanaa vont trouver refuge sur Necros, la planète des vieux. Toujours centré sur les relations entre les personnages, l'évolution de leur caractère, leur psychologie, l’aventure est tout de même bien déjantée et le groupe de vieux anars chez qui ils se sont réfugiés est assez truculent. Le dessin est brut, travaillé à l’encre de chine, au pinceaux, sans lavis, très contrasté, parfois simple, avec quelques égarement rococo qui viennent ponctuer le récit. Un deuxième tome plus drôle, mais d’un humour pince-sans-rire, un peu cynique. J’aime le ton du récit, les situations incongrues qui s’articule autour d’un récit amoureux, cette série nous offre de nombreuses surprises, on sent que l’auteur y a pris du plaisir et il nous le fait partager avec bonheur.
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Aâma - Intégrale

Pas facile de porter une critique sur ce monument. Esthétiquement, le dessinateur prend le temps de réaliser des planches (parfois en double page) époustouflantes. Un trait et une colorisation très années 70, et une créativité dans les formes que je ne me souviens pas avoir vu depuis Sillage.

Le scénario des 3 premiers tomes est une réussite, et progresse dans un univers foisonnant, avec des personnages qui ont de l'épaisseur. L'idée du carnet qui sert de mémoire au héros (Verloc), dépassé par le rôle qu'Aama lui promet est excellente. Peu de dialogues, c'est la progression sur la planète Ona(ji) et dans les interstice de l'espace temps qui parlent.

J'ai eu un peu de mal avec le 4ème et dernier tome, qui s'achève en un combat interminable entre un Verloc messianique et ses créateurs,  la conclusion m'ayant totalement échappé...

Peut être à relire calmement ?!

 
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Aâma, Tome 2 : La multitude invisible

Un second tome qui dépasse mes attentes! Quel plaisir que la lecture de ce tome.

L'histoire se densifie alors que les personnages se dévoilent et qu'on en apprend plus sur leur passé.

Si les grandes questions sont toujours en suspens, certains liens et faits sont maintenant plus clairs et c'est avec une tension palpable que j'ai suivi les avancées de notre troupe dans les paysages désertiques de Ona(ji)...désertique? Heu, pas vraiment finalement.

J'admire l'Univers mis en place par Petters (même si les catalogues botaniques et bestiaires de ce type, j'en ai un peu ma dose avec d'autres séries).

Certaines réflexions de ce tome me font penser à certains films d'anticipation et me glacent les sang : mise à niveau génétique, implants, pré-implants, eugénisme...brrr.

Bref, tome 3, me voilà!
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Aâma, Tome 1 : L'odeur de la poussière chaude

Voilà une série qui commence comme j'aime, avec des mystères, de la SF, mais ni fantastique ni vraiment space opera, même s'il y a des voyages spatiaux, avec de la science, des manipulations génétiques, des robots intelligents, des scientifiques isolés sur une planète lointaine, une multi-nationale (le terme ne colle pas tout à fait) sans scrupules, des histoires de famille, et d'étranges phénomènes. Le tout est mené avec dextérité, on commence avec l'amnésie du personnage principal, et on découvre l'histoire en même temps que lui. C'est construit de façon intelligente et inventive. Le dessin, avec de grandes vignettes, sous une apparente froideur participe à cette ambiance étrange et inquiétante. C'est réalisé avec une grande maitrise, une grande originalité, avec un rythme faussement lent. Les mutiples flashbacks nous engluent dans une ambiance de doutes, on ne sait pas à quel personnage se fier, ils ne sont pas lisses, et gardent encore beaucoup de mystères à dévoiler pour la suite de l'aventure.. Pour une fois, les choix éditoriaux permettent un épisode de 80 pages, donc avec suffisamment de place pour un contenu conséquent et solide. Un premier tome qui rend déjà la série addictive et passionnante.
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L'odeur des garçons affamés

Décor grandiose aux couleurs chaudes pour une histoire qui se passe au Texas, façon western aux thèmes classiques. Fuite, poursuite, amour, indien. Un mélange d’ingrédients réussi à savourer.
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Pilules bleues

J'ai complètement adhéré et accroché au style de Peeters que j'ai découvert grâce à Château de Sable paru chez Atrabile. J'ai donc naturellement voulu poursuivre le plaisir avec Pilules bleues.



l entreprend de raconter son histoire d'amour d'avec Cathy une ancienne camarade de lycée qu'il a retrouvé bien des années après. Son fantasme de l'époque, elle était belle, elle était fraîche mais elle ne s’intéressait pas à lui. La vie peut séparer deux chemins mais les faire converger de nouveau.

Ainsi ces deux là vont commencer une relation. elle a bien changé, que ce soit physiquement ou personnellement. Elle est mère d'un petit garçon et elle est atteinte du VIH.



Ainsi le personnage a plusieurs problématiques qui s'invitent à lui. Des thématiques "légères": la place de son autorité au sein du "couple" qu'elle forme avec son petit garçon et leurs relations à proprement parler. Et des réflexions plus profondes, plus dures. Le Sida est une maladie qui crée forcement des interdits, des barrières. Le personnage a peur d'être un handicapé de l'amour. On réfléchit à chaque gestes qui semblent tellement désuets quand deux personnes ne sont pas confrontés à cette maladie mais qui comme les deux personnages s'aiment.



Cependant Pillules Bleues se veut positif. C'est un hymne à la vie. En se rapprochant, en côtoyant la mort, ils se rapprochent de la VIE, celle qui compte.



Une véritable belle et sincère histoire d'amour.
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Château de sable

L’allégorie est méritoire même si face à l’état d’urgence de notre situation, elle devient vaine.


On songe par moments à "L'invention de Morel" de l’argentin Adolfo Bioy Casares pour l’enfermement des personnages et leur confrontation au temps.
S’appuyant cependant sur un scénario original et solide de Pierre-Oscar Lévy, Frederik Peeters fait preuve d’un grand talent pour en suivre le développement.

J’aurais peut-être aimé un dessin plus léché et aussi un peu moins de dureté dans certains traitements mais cela répond, je suppose, à la tragédie de cette histoire.

Une oeuvre marquante qui sera un jour ou l’autre l’objet d’une adaptation cinéma ou vidéo.


Désolé de faire court, mais il est impossible d’aller plus loin sans vous priver de l’étonnement offert par « Château de sable »
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L'Homme gribouillé

L’Homme gribouillé est un vrai régal. J’ai attendu quelques jours pour rédiger mon avis, parce qu’à chaud, à part waouh, génial, trop bien, excellentissime, je n’avais pas grand-chose à dire, haha. 326 pages dévorées, impossible de ne pas le reprendre tout de suite une fois posé. Du coup ce soir les jours ont passé, l’enthousiasme est resté intact mais j’ai quand même récupéré un peu de vocabulaire !



Ce roman graphique est incroyable. Les dessins m’ont ravie. Noir et blanc, l’hiver, la pluie, une vraie atmosphère. Ils sont splendides, autant les personnages que les décors, vivants, un dessin sensoriel, un cadrage qui donne du mouvement, de l’immersion, un côté manga qui m’a vraiment séduite, moi qui ne lis pas de mangas. Peeters a du génie pour dessiner la pluie, les arbres, Paris, autant la nature que les paysages urbains. Je suis tombée amoureuse de certaines de ses planches.



Et l’histoire ! Formidable. Des personnages tous plus attachants les uns que les autres. Des mystères qui vont en s’épaississant. Un thriller psychologique qui flirte avec le fantastique, des secrets de famille, de vieilles légendes et de la psycho-géographie. Et tout jusqu’au bout est parfaitement calé sur le fil du rasoir. Certains passages m’ont quasiment terrorisée.



Avec tout ça, je ne vous ai même pas dit de quoi ça parle… Une fois n’est pas coutume, je vais reprendre le quatrième de couverture – qui me plait carrément : « C’est l’histoire d’une vieille dame qui écrit des contes pour enfants terrifiants, d’une mère qui ne peut pas parler et de sa fille qui ne peut pas s’en empêcher, d’un chat de mauvais humeur, d’un collectionneur de merveilles avec six doigts à chaque main, d’un oiseau fossile géant, d’un faussaire hanté par les noms qu’il a créés et d’un secret vieux comme le monde. »



Un coup de cœur !
Lien : https://lettresdirlandeetdai..
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L'Homme gribouillé

L'homme gribouillé - Serge Lehman & Frederik Peeters



Très belle BD en noir et blanc, le graphisme est magnifique, certaines planches sont vraiment très très belles.



L'histoire dont il n'est pas facile de faire un résumé est un mélange de légendes, fantastique, d'un peu de gothique et de réel.



Les dessins en noir et blanc donnent toute l'atmosphère à la BD.



L'intrigue est tellement prenante que malgré ses 330 pages, l'album se lit d'une traite



A lire , a relire et à faire relire



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Aâma, tome 3 : Le désert des miroirs

Troisième volet des aventure de Verloc Nim, ce tome est une errance dans le domaine de l'étrange, du fantastique et du merveilleux, une "De l'autre côté du miroir" à la sauce "Science fiction", plein d'invention, de créativité, d'imagination.
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Aâma, tome 4 : Tu seras merveilleuse, ma fille

Les dessins sont surréalistes, fantastiques, foisonnants, inventifs, certains s'étendent sur toute la double page, les couleurs sont vives, éclatantes. Verloc Nim va quitter la planète d'expérimentations pour retourner sur Radiant et retrouver sa fille. le scénario devient parfois un peu confus, La tendance schizophrène de Verloc Nim oblige, mais on peu s'y perdre. Cependant, le plaisir est toujours là, j'ai vraiment apprécié cette série, qui se termine par quelques questionnements, et reste sujet à notre interprétation personnelle.
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Château de sable

Voici un album étrange dans lequel les personnages, confinés sur une petite plage dans un espace duquel ils ne peuvent sortir, vieillissent à la vitesse de l'éclair.

Le scénario est franchement bien trouvé et ouvre des questionnements intéressants sur le temps qui passe et l'éphémérité des choses.

Je n'ai en revanche pas été conquise par le dessin, qui est pourtant bien maîtrisé, mais je l'ai trouvé sans saveur.

C'est en tout cas une découverte intrigante que cette BD à l'ambiance particulière.
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Château de sable

C'est une histoire étrange dont l'ambiance m'a fortement fait penser aux mangas de Junji Hito (Spirale ou La ville sans rues). Ça ne se passe pourtant pas du tout dans le même contexte mais je pense que les deux peuvent être classés dans un genre fantastique, psychologique très bien mené.

Ici nous sommes sur une petite plage dans une crique vers laquelle convergent plusieurs familles.

Un des parents regarde son petit garçon avec effroi en le trouvant bien trop grand pour son âge et finalement, après avoir alerté le père d'une autre famille qui s'est présenté comme médecin, tous les vacanciers se rendent compte que le temps s'écoule beaucoup plus vite ici et qu'un champ magnétique les retient prisonniers... Nous sommes donc confrontés à un huis-clos dans lequel les relations entre les personnes vont s'en trouver modifiées (et la perspective d'une mort très proche inéluctable.).

Je ne peux pas dire que j'ai vraiment aimé ce livre mais comme les mangas dérangeants de Junji Hito, je l'ai trouvé très bien construit et intéressant pour les questions qu'il pose.
Lien : http://toutzazimuth.eklablog..
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Pilules bleues

Pilules bleues constitue la première incursion de Frederik Peeters dans le genre autobiographique. Sur 200 pages, il pose la complexité des relations humaines. L’intimité, la sexualité, la maladie et les angoisses résultantes sont abordées avec simplicité et parfois humour. Avec son trait épais en noir et blanc, Frederik Peeters croque simplement la vie : le sourire des amants, le visage d’une mère inquiète, les yeux globuleux d’un enfant accroché à son biberon de lait. Rien de spectaculaire mais il est difficile de rester de marbre face à ce récit mené avec autant d’intelligence. Une vraie réflexion sur la vie et une vraie claque à la première lecture....
Lien : http://wp.me/s10UK2-3041
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