Gary D. Schmidt

Je fais cette critique longtemps après avoir lu cet excellent roman, j'en garde un souvenir extraordinaire tant pour l'écriture, savoureuse, que pour l'histoire et les personnages. Je ne sais si les ados apprécieront puisque la 1ère de couverture, le sujet et la période (les années 60) ne vont peut être pas les attirer, mais c'est pourtant une lecture enthousiasmante. Tout le temps de ma lecture, j'ai eu le sourire en appréciant cette magnifique histoire. Ici, pas question de suspens (le sacro-saint critère pour les ados), mais l'histoire d'un ado américain ordinaire, Holling Hoodhood, qui redoute les mercredis pendant lesquels il reste le seul élève de Mme Baker, une sévère professeur de lettres. Difficile de raconter ce roman, on peut seulement dire que non seulement les personnages sont magnifiques et bouleversants, tout se passe sur fonds d'histoire de l'Amérique qui vit de profonds changements sociétaux avec 1968, la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques. Un petit bijou à lire absolument !

Meryl est envoyée dans un pensionnat pour jeune filles. Meurtrie par la disparition accidentelle de son meilleur ami, inquiète avec la guerre du Vietnam qui fait rage, déçue d'être abandonnée par ses parents, elle va devoir affronter l'inconnu, il y a un Gouffre qui la menace. En parallèle on découvre Matt, un ado habitué à survivre dans la rue, qui a osé dire non à un gang.



L'auteur nous invite à travers ses personnages à plonger dans une Amérique inattendue, nous sommes en 1968, le pays est en constante évolution. Il mêle, comme souvent, un contexte historique avec des personnages en construction, qui luttent tous les 2 pour la liberté d'expression, casser les codes des classes, porté par la bienveillance de certains adultes à leurs cotés. Un roman riche en émotions.



Les ados qui feront l'effort d'entrer dans cette lecture où le récit se déploie en prenant son temps, où les héros évoluent sans réseaux sociaux ou téléphone, ne pourront qu'être emportés par ce texte.
Lien : http://lespapotisdesophie.ha..

⭐️ Par où commencer ? Ce livre est une merveille - rien à voir avec la série Netflix qui vient de sortir je précise au passage -

Ce livre est à la fois beau, poétique, dur, réaliste...



⭐️ L'écriture est fabuleuse, les personnages attachants et touchants. J'ai pris grand plaisir avec cette lecture, passant par toutes les émotions. Ici l'auteur nous livre un roman d'apprentissage de très grande qualité.
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Très belle chronique d’une année dans la vie d’un ado dans l’état de New York en 1968. Père maltraitant, mère effacée, avec un frère soldat au Vietnam et un autre qui jour au petit caïd, Doug n’a pas la vie facile c’est le moins que noon puisse dire. Entre préjugés bien ancrés de habitants de la petite ville dans laquelle il déménage, ses propres problèmes familiaux, et ses difficultés à l’école, il doit se battre au quotidien pour ne pas prendre la voix facile du petit voyou. Grâce à de rares adultes patients et attentionnés il va découvrir ce que l’art peut apporter à la vie grâce aux œuvres des planches d’oiseaux de John James Audubon, développer un talent pour le dessin et peut être même tomber amoureux.

C’est très triste à lire mais aussi très beau, Doug est extrêmement touchant et nous parcourons les pages à sa hauteur. J’ai trouvé que pleins d’événements se passaient à la toute fin de manière très rapide et rapprochée mais a a part ça je recommande fortement cette lecture !

Une pépite, une vraie....Précipitez-vous pour lire ce livre !



C'est un roman bourré d'humour, qui nous conduit avec le personnage principal dans une histoire généreuse même si Doug passe par des moments pas faciles, qui fait du bien.

L'écriture est simple, des mots sont justes.

On a besoin de temps en temps de ce genre d'histoire.... A découvrir.

Je ne réussirai probablement pas à trouver les mots pour décrire cet ouvrage. D’abord, il faut savoir que je l’ai lu en moins de 24h, malgré mon nez bouché, mal de gorge et otite qui ne me donnait envie que de dormir. J’étais littéralement obsédée par cette histoire. L’écriture est fascinante, envoûtante et les personnages tous plus attachants les uns que les autres. Mentions spéciales à Doug, Lil et Lucas qui m’ont particulièrement marqué. La fin est comme on pourrait se l’attendre pour un roman tel que celui-ci, soit parfaite et émouvante.

Bref, un roman à lire absolument et que je vais m’empresser d’acheter puisque le savoir à la bibliothèque n’est pas suffisant, je vais le relire c’est certain.

Dans ce récit, on découvre la vie de Carter Jones, un jeune garçon qui vit avec ses 3 soeurs et une mère complètement dépassée par toutes les tâches ménagères et les crises des enfants. Un jour, un majordome débarque à la maison pour leur annoncer qu'il a été engagé pour travailler à leur service.



Commence alors une histoire pleine d'anecdotes cocasses avec les multiples tentatives du majordome "so british" d'inculquer un comportement de gentleman au très Américain et très réfractaire Carter. Un chouette roman qui fait du bien!

C'était chouette la recreation ou la cantine au primaire hein ?!

Mais pour Bolling, c'est l'enfer. Il est seul.

Ses camarades vont à l'église, ses autre camarades font à la synagogue

Lui ne va ni dans l'une ni dans l'autre.

C'est alors que son cauchemars ça qu'empirer : Mme Baker, la prof d'anglais, accepte de le prendre sous son aile pendant ce temps libre. C'est la eouble peine. Mais au fur et mesure de l'année, des émois, des bêtises, des élections américaines ou encore du nombre de petits pois du voisin ( tout cela mis au même plan), Mme Baker va mqdfvdnkf à passionné Holling pour le théâtre. Il apprends désormais ses vers consciencieusement.

Ce livre pétille de joie, de la joie entre copains. Et aussi de la joie d'apprendre.

Je me suis énormément identifié au petit garçon, qui comme moi s'est trouvé une passion très tôt pour occulter ma différence. C'est le personnage qui me présente le plus mais les fictions que j'ai lu jusqu'ici.

A Eastham, dans le Maine, Jackson Hurd a douze ans. Sa famille accueille un garçon de quatorze ans, Joseph Brook. Celui-ci est le fils d'un plombier alcoolique et violent. Il y a quelque temps, il a rencontré en accompagnant son père sur une réparation, une jeune fille, Madeleine Joyce, qui avait elle-même treize ans. Ils sont devenus amis puis complices et enfin amants. Madeleine enceinte, ses parents portent plainte et Joseph est placé dans un établissement pour jeunes délinquants. Comme il fugue, il est envoyé au centre pénitentiaire d'Adams Lake. Sa fille naît, elle s'appelle Jupiter mais sa mère est morte en couches. Désespéré, Joseph est en proie à une immense colère, un de ses camarades lui donne un cachet de drogue et il perd le contrôle de lui-même, il tente d'étrangler son éducatrice. Il passe ainsi six mois à Stone Moutain subissant violences et mauvais traitements. Son assistante sociale, Mme Stroud, lui propose alors d'aller en famille d'accueil chez les Hurd. Joseph apprend à traire les vaches, il va au collège où il montre beaucoup d'intelligence si bien que les professeurs l'incitent à poursuivre des études. Mais Joseph voudrait voir sa fille et son père veut le récupérer car il a compris qu'il peut obtenir de l'argent en échange de l'adoption de sa petite fille.



Sont cités dans le roman trois œuvres pour jeunes adultes aux États-Unis, The Astonishing Life of Octavian Nothing de MT Anderson, Walden de Thoreau et A Week on the Concord and Merrimack Rivers traduit en français sous le titre Sept jours sur le fleuve.



Comme toujours chez Gary D Schmidt, nous suivons un héros qui affronte des situations difficiles et malgré les souffrances de la vie, il y a toujours une raison d'espérer. Tous les romans de Gary D. Schmidt sont dans les meilleures sélections des romans pour la jeunesse. Nous nous souvenons en particulier de Jusqu'ici tout va bien. Il y a ici la même bienveillance sur les personnages qui tâtonnent, avancent dans la vie, se trompent avant de réussir. Le contraste entre l'enfance abîmée de Joseph et le cocon idyllique dans lequel Jack grandit est frappant, il y a toute une poésie sur la vie quotidienne à la ferme et la douceur de vivre malgré les conditions climatiques difficiles. Un roman exceptionnel.

Carter Jonathan Jones vit a Marysville aux Etats-Unis avec sa mère, Carolyn Samantha, ses sœurs, Charlotte Doyle dite Charlie en CM1, Anne Elizabeth dite Annie en CM2 et Émily Hope en CE1 et leur chien teckel Ned pendant que son père, le capitaine Jack Jones est en mission militaire en Allemagne. Il a perdu un petit frère Currier Bronson. Son grand-père, Seymour Jones, vient de mourir et leur offre en héritage son majordome, "un gentleman au service d'un gentleman", M. August Paul Bowles-Fitzpatrick.



Carter entre alors en sixième au collège Longfellow. L'arrivée du majordome va complètement bousculer la vie de la famille car il sait certes tout organiser mais il tient à ce que le jeune Carter ait une conduite de gentleman et non de barbare, qu'il devienne homme...



Nous retrouvons avec délice l'art du roman de Gary D. Schmidt, l'auteur unanimement célébré aux Etats-Unis et aujourd'hui traduit dans de nombreuses langues. Il y a tout d'abord cette narration toujours à la première personne au plus près des pensées d'un jeune héros avec toutes les circonvolutions de la pensée, les hésitations et les secrets qui apparaissent tôt ou tard mais dont les traces sont disséminées dès les premiers chapitres. Il y a cette formidable tendresse pour des personnages terriblement humains avec leurs forces et leurs faiblesses, leurs qualités et leurs défauts. Et toujours un fil rouge, on se souvient des planches aquarellées dans Jusqu'ici tout va bien, ici, c'est le cricket dont les règles, les techniques et les usages ouvrent chaque chapitre et servent de métaphores au récit de chacun de ces chapitres.



Et il y a enfin l'humour, tendre et féroce à la fois. Ici, Gary D. Schmidt met en scène un majordome so british avec un jeune américain et c'est toute l'histoire du lien entre ces deux nations qui est aussi le sujet du roman. Les références historiques sont nombreuses mais jamais didactiques car elles servent l'humour et il y a aussi pour tous les passionnés de nombreuses références à la littérature pour la jeunesse avec ici un hommage appuyé à E. Nesbit. On adore, incontestablement. Et ce nouveau roman de Gary D. Schmidt va à nouveau figurer dans de nombreuses sélections !



Coup de cœur.

Un roman coup de coeur/coup de poing sur la paternité et la question de l'adoption et/ou la famille d'accueil. Rien ne laisse insensible dans ce récit, livré à la première personne. Je recommande cette lecture mais avec la boîte de mouchoirs pour les âmes sensibles

Thème : adolescence / parentalité / grossesse / deuil / famille d’accueil

Joseph est un adolescent de 14 ans qui arrive en famille d’accueil à la suite d’un séjour effectué en prison. Au fur et à mesure de la lecture, nous découvrons un être brillant, intelligent mais solitaire, marqué par les malheurs de la vie. On a l'impression qu'il est un enfant maltraité par son père. Alors lorsque Madeleine lui montre de l'attention, Joseph tombe éperdument amoureux. Joseph et Maddy auront une petite fille, Jupiter. Malheureusement, Madeleine ne survivra pas à l’accouchement et ses parents refuseront à Joseph de rencontrer le bébé. Le jeune père n’a qu’une idée : retrouver Jupiter !

Le récit est vu au travers du regard de Jack, le jeune garçon de la famille qui accueille Joseph. Jack le protège et lui redonne goût à la vie.

Ce roman aborde des sujets forts en émotion. L’écriture est agréable.

joseph , 14 ans , est un garçon plus petit , plus maigre que la moyenne , un garçon peu commun . Joseph sort d'un centre pénitentiaire pour mineur et a une petite fille de 3 mois . il arrive en famille d'accueil chez les parents de Jack , 11 ans . L'histoire débute d'un long hiver , glacial , mais les parents de Jack , la ferme , lui-même tout cet univers est un nouveau départ pour Joseph .

Les mots de jack nous narrent cette histoire , bouleversante , terriblement forte . durant un hiver compliqué où des détails nous font près-sentir un drame , au fils du temps nous découvrons peu a peu qui est Joseph et ce qu'il renferme en lui : une détresse , un amour incroyable pour sa fille Jupiter . L'amour d'un "enfant-père" pour son enfant . Mais cette histoire regorge de plusieurs sentiments d'amour car si ce récit nous parle de ça il y'a aussi des traumatismes , des rejets mais Joseph à l'amour des parents de Jack , des gens géniaux comme son professeur qui croit en lui , en son avenir .Jack , terriblement touchant âgé de seulement 11 ans et prêt à tout pour protéger son frère adoptif . enfin , l'amour de Maddie , Jupiter , qui nous montrent combien la force des sentiments n'ont aucune limite .

Ce roman est un récit d'émotion , un livre a la 1ère personne (Jack) , témoin attentif de la vie que mène sa famille et Joseph .

"autour de Jupiter" est un roman qui touche en plein coeur .

toutefois ce livre est un peu long a mon goût et il faut savoir aimer lire un livre sinon on se perd un peu .

Sentiment un peu mitigé pour ce livre, qui reste malgré tout une plutôt bonne lecture d'un point de vue global.



Une histoire assez dure et en même temps intéressante, un récit plutôt bien rythmé et un style accrocheur qui fait défiler les pages à toute vitesse. Oui, ça se laisse lire, pas de soucis.



Après, comme beaucoup de livres pour ados dans le même genre, je trouve qu'on ne va pas assez au bout des choses et c'est dommage. Des sujets graves sont abordés, mais juste abordés, pas plus. Bien sûr, ça évite de tomber dans le voyeurisme et le trash à l'excès mais bon, il est question de grossesse à treize ans, de mort en couche, et d'enfermement pour le petit Joseph, mais pourtant, c'est très vite expédié.



Bon, je veux bien, le lien entre Jupiter et son père est le point principal du bouquin, donc normal que ça soit mis en valeur, mais je garde une sensation d'inachevée. Et que finalement, le récit est moins sombre qu'il n'aurait pu l'être, sûrement volontairement parce qu'il s'adresse à un public jeune mais voilà, j'ai toujours ce sentiment de frustration.



Et puis bon, la fin dramatique, bien qu'attendue, arrive à donner un peu plus d'émotions au bouquin.

Joseph, 13 ans, est mal parti dans la vie. C’est pourquoi, il est placé chez Jack et ses parents dans le Maine où l’assistante sociale espère qu’il retrouvera une vie normale.

Le roman de Gary D. Schmidt s’ouvre sur ce que le lecteur doit savoir de Joseph pour comprendre quel adolescent il est. Ce dernier a essayé de tuer une éducatrice du centre où il était placé et il est le père d’une petite fille prénommée Jupiter. Joseph, qui a seulement 13 ans, n'a qu'un but retrouver sa fille, et celle qu’il aime, Maddie. Pour l’aider, il pourra compter sur Jack et ses parents qui lui donneront l’amour, l’écoute et l’espoir nécessaires pour se reconstruire. Tout au long du roman, Joseph lutte contre ceux qui ne voient en lui que le délinquant : quelques camarades, le principal du collège. Et puis il y a les autres, ceux qui font ressortir ce qu’il y a de meilleur en lui. Alors on se prend à espérer une vie meilleure pour Joseph.

Le livre se lit très facilement et la localisation du récit (petite ville américaine dont on ne voit qu'une ferme et le lycée) donne un caractère intemporel à l'histoire.

Dès le départ, on sait que Joseph est le centre du récit. On se doute que malgré son passage en détention, ce n'est pas un mauvais enfant. Et c'est là la force et l'émotion de l'histoire : c'est l'histoire d'un enfant qui se retrouve à devoir agir en adulte sans avoir appris à l'être. Joseph veut faire ce qu'il estime être bien mais il se retrouve en butte aux regards d'adultes plus ou moins méprisants. Pourtant, ils ne sont pas tous mauvais : ils sont influencés par ce qu'ils pensent savoir de Joseph.

Voir cet enfant se battre pour celle qu'il aime, se battre pour sa fille et refuser la réalité que les adultes veulent instaurer est bouleversant. On imagine facilement à quel point cette histoire aurait pu être seulement belle et lumineuse si les parents de Joseph et de Maddie avaient été comme ceux de Jack. C'est ce dernier, narrateur de l'histoire qui, grâce à son regard d'enfant, permet de faire vivre le récit de son point de vue et d'interroger les adultes sur leurs rôles dans les tragédies qui se déroulent.

A noter cependant que certains lecteurs pourront trouver que le récit manque d'épaisseur et qu'il est trop centré sur ce que voit un enfant de douze ans. Très peu de descriptions, très peu de choses qui se passent (traite des vaches / lycée / dodo) et pas d'informations sur ce qu'ignore Jack (les actions de l'assistante sociale, comment les parents de Maddie vivent la situation etc.).

Joseph, personnage principal, est un adolescent recueilli dans une famille vivant dans une ferme bio. Alors qu’il n’avait que 13 ans, il a mis enceinte Madeleine, jeune fille de milieu aisé alors que lui est seulement fils de plombier. Tout sera mis en œuvre de la part de la famille de Madeleine pour que Joseph ne puisse pas la voir de nouveau et s’occuper de l’enfant qui sera confié à une famille d’accueil afin qu’elle ait un bel avenir. Les parents iront jusqu’à déposer une injonction contre lui, puis les services sociaux s’en mêleront pour conduire Joseph dans un établissement pour délinquants. Au sein de cette famille composée d’un fils Jack, Joseph va petit à petit se reconstruire en commençant par montrer certaines compétences au collège dans quelques disciplines, il va également se livrer un peu plus et s’ouvrir. Jack sera très content de sa présence car il va le considérer comme un grand frère avec qui il va mener à bien par exemple des tâches quotidiennes ou se rendre au collège.

C’est une belle découverte hasardeuse. Le lecteur s’attache au personnage principal au fur et à mesure qu’il veut bien communiquer et s’ouvrir aux autres notamment aux membres de la famille qui l’a recueilli. En même temps, le lecteur découvre, si méconnaissance, le travail à la ferme.

En inconditionnelle de Gary Schmidt, je me réjouissais de ce nouveau roman.

J'ai été un peu déçue car il n'a pas la même force évocatrice que les deux que j'avais lu précédemment.

Le personnage de Carter ressemble au héros de Jusqu'ici tout va bien, ils ont tous deux la même volonté malgré les difficultés de leurs vies et c'est la rencontre avec des personnes exceptionnelles qui leur permet de garder la tête hors de l'eau, et finalement de surmonter le pire.

J'ai cependant trouver moins crédible, moins réussi le personnage du majordome. le cricket, qui a un rôle important à la fois pour la construction du héros et celle du roman, prend une place considérable et même un peu invasive.

L'impression générale est donc plutôt mitigée.

En inconditionnelle de Gary Schmidt, je me réjouissais de ce nouveau roman.

J'ai été un peu déçue car il n'a pas la même force évocatrice que les deux que j'avais lu précédemment.

Le personnage de Carter ressemble au héros de Jusqu'ici tout va bien, ils ont tous deux la même volonté malgré les difficultés de leurs vies et c'est la rencontre avec des personnes exceptionnelles qui leur permet de garder la tête hors de l'eau, et finalement de surmonter le pire.

J'ai cependant trouver moins crédible, moins réussi le personnage du majordome. Le cricket, qui a un rôle important à la fois pour la construction du héros et celle du roman, prend une place considérable et même un peu invasive.

L'impression générale est donc plutôt mitigée.

Tout n'est pas au beau fixe pour le jeune Carter Jones. Un drame pèse sur la famille tel un nuage noir et l'absence du père se fait de plus en plus lourde. C'est alors que l'arrivée de M. Bowles-Fitzpatrick, un authentique majordome anglais, va bouleverser la vie de cette petite maisonnée américaine.



L'humour anglais qui parcourt le récit est bienvenu. Chapitre après chapitre, on assiste à la belle évolution de Carter qui gagne en autonomie, en confiance en lui sous le regard bienveillant du majordome qui est une épaule solide sur laquelle s'appuyer.



Une information pour les sportifs : le cricket occupe une place importante dans l’histoire ( les règles du jeu sont longuement détaillées et font l'objet d 'un lexique en fin de livre ).