Hajime Komoto

Mash Burnedead poursuit son intégration dans l’académie de magie Easton. S’il a réussi à déjouer tous les obstacles dressés devant lui, les affaires se compliquent de plus en plus…

Sa force extraordinaire lui a permis jusque-là de faire illusion mais la rumeur se répand dans l’académie : Mash n’aurait pas de pouvoir magique !

Malgré les menaces, Mash ne faiblit pas alors qu’il affronte des adversaires de plus en plus coriaces. Heureusement, il lui reste ses fameux choux à la crème en cas de déprime…

Cela ne l’empêche pas de comparaître devant Blass Minister, le directeur adjoint des affaires magiques. Mash se défend bien mais voilà que débarquent des Élus divins qui réclament… je vous laisse découvrir…

En fin de ce tome 5, Hajime Komoto a la bonne idée de réserver une respiration émouvante fort bien venue. Auparavant, il a offert cinq bonus entre chaque chapitre, puis a livré quelques confidences à propos de la création de deux personnages : Abel Walker, un végétarien qui adore les tomates cerises, et Abyss Razor qui ne déjeune que de café noir et enlève son masque pour manger.

Ainsi, Mashle est toujours un manga très rythmé parfois difficile à suivre avec l’apparition de nouveaux personnages comme ce visage féminin orné d’une clé de sol. Certains autres ne sont pas toujours faciles à reconnaître mais Mash Burnedead est heureusement bien identifiable et ses aventures toujours aussi intrigantes et passionnantes.


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J’ai de plus en plus de mal dans ce numéro 2 : Mash Burnedead et la magie de fer, second tome d’une série de mangas intitulée Mashle et classée shōnen, c’est-à-dire bande dessinée jeunesse particulièrement réservée aux garçons… même si pour le dernier critère, c’est bon pour moi…

J’apprécie, au début de ce second volume, le rappel de sept personnages rencontrés dans le premier tome. En effet, c’est là le principal problème en ce qui me concerne : savoir qui est qui.

Au passage, je note que Hajime Komoto, l’auteur, a délaissé, dès le début, les patronymes japonais pour des noms et prénoms mondialisés, plus passe-partout.

J’ai donc retrouvé Mash Burnedead, héros incontesté de cette histoire, un garçon fâché avec la magie mais doté d’une force extraordinaire, force entretenue et développée par de longues séances de musculation.

Sont là aussi, Lemon Irvine, charmée par Mash, Finn Ames, compagnon de chambre de Mash, Lance Crown, un puissant magicien comme l’attestent deux marques sur son visage, Tom Knowles, un sportif, Regro Burnedead, père adoptif de Mash, âgé de soixante-quinze ans, très en retrait maintenant, et Wahlberg, le Directeur de l’Académie Easton.

Peinant à maîtriser tous les détails de l’aventure, je me suis laissé entraîner sur les pas de Mash Burnedead. Il tente de surmonter chaque obstacle mais les difficultés vont croissant et les pages déstructurées des scènes violentes sont toujours aussi difficiles à décrypter. Comme je l’ai déjà dit, elles sont illustrées par des caractères japonais mais je remarque enfin, qu’en tout petit, une onomatopée est ajoutée, sûrement par Jean-Benoît Silvestre, le traducteur.

Enfin, moment de calme appréciable, il y a la sélection des apprentis magiciens pour les dortoirs. Chacun doit toucher la corne d’une licorne dont ne subsiste que le squelette et celle-ci lit dans les pensées du prétendant.

Gag : quand c’est au tour de Mash, la licorne ne voit qu’un océan de choux à la crème, formidable passion gourmande du hélos, ce qui donne une personne forte au cœur tendre… Ce sera donc le dortoir Adler (courage et foi), au lieu d’Orca (sagesse et assiduité) et Lang (talent et orgueil).

Si le plus grand danger que doit affronter Mash Burnedead se nomme Magius Lupus, le noyau dur de Lang, il va falloir encore plusieurs volumes pour développer cette histoire d’un garçon surnommé, par ceux qui le jalousent, « tête de champignon », mais qui étonne un peu plus à chaque page.


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Chaque fois mis en danger, chaque fois défié, chaque fois humilié… Mash Burnedead s’en sort ! Fameux amateur de choux à la crème, Mash n’hésite pas à désobéir à Regro Burnedead, son père adoptif âgé de soixante-quinze ans, pour aller en ville acheter ces fameux choux à la crème…

Au passage, pour entrer chez lui, Mash a dégondé la porte d’entrée de la maison, porte qui lui résistait… Précision importante, notre jeune héros fait sans cesse de la musculation en forêt et développe une force extraordinaire. Seul gros problème, il n’a pas sur le visage la marque des magiciens indispensable pour survivre et cela cause son arrestation par la police.

Volant à sa rescousse, son père lui sauve la vie en acceptant malgré lui que Mash tente de devenir un élu divin grâce à l’Académie de magie Easton.

Très vite, la lecture de ce manga fortement conseillée par Albin, mon petit-fils, me rappelle Harry Potter. Il est vrai que le monde de la magie fascine beaucoup les plus jeunes…

Alors, je me suis laissé prendre par ce tome 1 : Mash Burnedead et ses muscles d’enfer. J’ai espéré qu’à chaque étape, Mash vienne à bout des pièges, des manigances, des traitrises, des provocations qui se succèdent.

Le jeune héros est séduisant, ne paie pas de mine mais trouve toujours, pour l’instant, une solution pour vaincre l’adversité.

Mash se fait même une copine, Lemon Irvine, qui devait, normalement, le faire échouer dans l’épreuve du labyrinthe. Chacune de ses rencontres apporte un nouvel élément dans l’histoire mais, comme dans Blue Lock, j’ai du mal à mémoriser les visages.

Dans toute histoire de magie qui se respecte, il faut des formules magiques, un balai volant et un sport pour attiser la compétition entre élèves. Dans Mashle, c’est le duelo qui fait aussi bien penser au quidditch de J.K. Rowling, mais en plus simple.

Autant je suis bien les cases de dialogues et les échanges parfois très animés, autant j’ai du mal avec les scènes éclatées lorsque l’action devient violente. Une avalanche de signes que je suppose japonais, fleurit sur ces pages que je passe rapidement pour savoir de quoi il retourne.

Enfin, j’ai aimé quand Hajime Komoto détaille son parcours puis présente quelques personnages avant de répondre à des questions, en attendant… le numéro 2.


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Même si je trouve cette histoire toujours un peu confuse, je me laisse porter au fil des pages par les dessins endiablés de Hajime Komoto.

Mash Burnedead reste le principal personnage de Mashle, ce manga qui développe, volume après volume, les luttes féroces entre les jeunes membres de l’académie de magie Easton.

Mash est bien entouré par Lemon Irvine, tombée sous le charme de notre héros, mais aussi par Finn Ames, son camarade de chambre, et par Dot Barrett qui déteste les garçons plus beaux que lui…

Comme son titre l’indique, la vedette, le grand rival de Mash, dans ce tome 3, est le sorcier masqué. Avec sa grande cape et son visage superbement dessiné, il ne manque pas d’intriguer et d’impressionner !

Les neuf chapitres s’enchaînent à un rythme soutenu. Comme c’est le cas depuis le début, les rivalités s’exacerbent. Les tours de magie se succèdent pour tenter d’éliminer l’adversaire mais Mash Burnedead est toujours là, prouvant sa volonté indéfectible de réussir dans ce monde de la magie où ses rivaux sont imbus de leur personne. Leur mépris et leur sentiment de supériorité semblent innés.

Une suite de duels féroces jalonne le parcours de ces jeunes héros répartis en trois dortoirs. Le dortoir Lang, regroupant l’élite, cumule toutes les pièces d’or, récompenses destinées à désigner « l’élu divin ». Inutile de préciser que Mash et ses amis n’en font pas partie…

Mash est décidé à tout tenter pour inverser la tendance, bien motivé par Lemon Irvine. J’ajoute qu’au cours de ce tome 3, la découverte des sous-sols de l’académie, avec son arène de combat, de son échiquier géant, cette découverte promet encore bien des surprises et de l’action au cours des tomes à venir.


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Tiens, si je commençais par le Bonus ?

Ces fameux Bonus, ce sont huit pages qui s’ajoutent à l’histoire de Mash Burnedead et que l’auteur, Hajime Komoto, met en scène dans des séquences un peu plus calmes que celles développées dans l’histoire de chaque tome.

Albin, mon petit-fils, apprenant que les Bonus du tome 10 ne m’avaient pas convaincu, m’a recommandé ceux-là. C’est vrai que voir Mash, vanné, se trouver devant un puits surgissant devant lui avec une horrible dame qui s’en extrait, c’est étonnant. Alors, allez jusqu’au Bonus 8 pour savoir comment notre héros s’en sort !

Quant à ce tome 11, il met en scène Mash Burnedead toujours aux prises avec l’organisation malfaisante d’Innocent Zero. Ce sont ses fils qu’il envoie combattre pour éliminer Mash, un garçon qui ne devrait pas vivre dans ce monde de magie puisqu’il n’a été doté d’aucun pouvoir magique. Par contre, il compense ce manque rédhibitoire par une force extraordinaire qui lui a permis, jusqu’à maintenant, de surmonter tous les obstacles.

Cette fois, c’est Domina Blowlive, le plus jeune des cinq fils d’Innocent Zero qui entre en jeu. Il se sert de l’eau pour parvenir à ses fins et tenter de prouver toute sa valeur à son père : Water mad lance ! Trident Rain ! Thirds Water ! Poseidon Angus ! Big Bang Dash ! Voici quelques-unes des formules magiques lancées par Domina pour écraser Mash.

Tout le suspense est là et les dessins très expressifs de l’auteur maintiennent une tension extrême… en attendant la suite dans le tome 12…


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Mashle est une succession d’affrontements, de duels féroces et ce tome 9 ne déroge pas à la règle.

Mash Burnedead commence à être connu pour son absence de pouvoirs magiques. Cela va même dégénérer en manif très hostile… Hajime Komoto continue donc à faire preuve d’une imagination sans limite pour faire durer son manga.

Il glisse même quelques trouvailles au passage comme cette « poulpastèque » (bravo au traducteur !) qui peut être très dangereuse. Heureusement, Mash est là !

J’apprends même que ce fameux héros n’est pas du tout un bon élève et que cela risque de l’éliminer de l’académie Easton. Par bonheur, ses fidèles amis sont là. Lance Crown, Dot Barrett, Fin Ames et Lemon Irvine le font bosser et…

Pour l’obtention du titre d’élu divin, absolument essentiel et même vital pour Mash, cela se complique vraiment. En effet, Hajime Komoto a corsé son histoire en incorporant deux autres académies de magie supplémentaires : Saint Ars et Walkis. C’est cette dernière la plus redoutable avec le terrible Innocent Zéro toujours là, même s’il n’apparaît pas vraiment dans ce tome 9 dont les dessins sont toujours aussi percutants, endiablés alors que, de temps à autre, pour évoquer la petite enfance ou pour créer le démon de maison 008, cela peut devenir très simple, enfantin même.

Dans ce tome 9, pas de Bonus mais quelques pages consacrées aux « Petits rituels matinaux » que je trouve sans intérêt contrairement aux deux pages « Coin des questions » qui permettent à l’auteur d’apporter d’utiles précisions… en attendant le tome 10.


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Toujours avec une imagination débordante, Hajime Komoto poursuit Mashle en faisant débarquer encore de nouveaux personnages. Parfois, je m’y perds, même s’il faut être très attentif aux signes gravés ou peints sur les visages.

Au passage, l’auteur a annoncé une grande nouvelle : Mashle va être bientôt adapté en série d’animation, au Japon, pour commencer. Pour cela, Hajime Komoto remercie ses lecteurs. Plus loin, sont insérés les résultats d’un sondage pour savoir quels sont les personnages préférés des lecteurs japonais.

Les 65 699 votants ont plébiscité Mash Burnedead bien sûr ! Kaldo Gehenna et Lance Crown l’accompagnent sur le podium. Ce sondage a été organisé pour célébrer le deuxième anniversaire du début de la publication de Mashle au Japon.

Au fait, les choux à la crème sont de retour, enfin !

Au cours de ce tome 12, les épreuves se multiplient pour Mash et ses amis Dot et Lance. J’ai très peur à chaque fois de la catastrophe, je me perds dans les pages sans texte où explosions et déflagrations s’empilent mais je suis ébahi devant cette double page où Mash est planté devant l’entrée immense d’un impressionnant tunnel, entrée entourée d’énormes gravats. J’ai peur d’être avalé aussi !

Tout cela se passe avant que débarque un certain Ryoh Grantz qui se dit le plus grand chef-d’œuvre du genre humain, l’élu divin. Rien que ça !

Ça promet, surtout que le fameux ennemi tant redouté passe à l’attaque deux jours avant l’éclipse…

Alors ? Suite avec le tome 13, à négocier, bien sûr, avec Albin, mon petit-fils…


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Hajime Komoto voulait faire court avec Mashle mais, il le reconnaît dans son petit mot habituel aux lecteurs, il continue…

Alors, quand on poursuit une série de mangas, il faut sans cesse en rajouter et c’est ce qu’il fait avec ce tome 10, en attendant les suivants…

Toujours plus d’affrontements, toujours plus d’obstacles sur le chemin que tente de suivre Mash Burnedead pour obtenir enfin le titre d’élu divin, lui qui n’a aucun pouvoir magique. Un comble… mais il n’y a pas d’autre issue possible pour lui, s’il veut survivre !

Alors, notre héros qui semble avoir oublié ses fameux choux à la crème, doit affronter des ennemis de plus en plus redoutables et organisés comme le fils du directeur des affaires magiques qui se croit tout permis et ne recule devant aucun stratagème pour éliminer Mash Burnedead.

Lance Crown et Dot Barrett sont impliqués dans les affrontements. Le fils du directeur des affaires magiques et son compère, sûrs de leur force, utilisent même le magnétisme. Les choses se gâtent lorsque le fils du directeur des affaires magiques dévoile son ambition démesurée et se dit prêt à sacrifier son comparse. Pour lui, pas d’amitié, pas d’entraide mais un égoïsme forcené.

Cela suffira-t-il à éliminer un Mash Burnedead, toujours aussi étonnant qui doit faire face à une salve de formules magiques comme Magnet Ball ! Acid ! Acid Pool ! Machine Gun Exlom ! ou encore Magnet Lightning seconds ! Je le saurai plus tard car Albin, mon petit-fils se charge de m’approvisionner…

Quant aux cinq bonus avec un genre de chien savant… pas terrible…


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Hajime Komoto, toujours traduit par Jean-Benoît Silvestre, le reconnaît lui-même, jamais il n’aurait cru poursuivre l’aventure de Mashle jusqu’au tome 4. C’est pourquoi il remercie tous ceux qui lui font confiance et achètent les volumes de sa série de mangas. Cela a au moins le mérite de la sincérité…

Comme Albin, mon petit-fils, tient à ce que je poursuive l’aventure dans ce monde magique, me voilà à nouveau sur les traces de Mash Burnedead. Ce héros continue à déjouer tous les pièges qui lui sont tendus.

Grâce à une force physique hors du commun et, il faut le souligner, une intelligence assez prodigieuse, il résiste après avoir souffert et enduré les pires insultes ou vexations.

Dans ce quatrième tome, huit chapitres lui sont consacrés. Un seul est réservé à Dot Barrett qui, comme cela est rappelé au début, est « impulsif et braillard, n’a pas la cote avec les filles et déteste les garçons plus beaux que lui. »

Si Mash Burnedead est toujours friand de choux à la crème, cela est moins évident dans ce tome, sauf lors d’un moment décisif.

Dans son parcours pour tenter de s’imposer à l’académie de magie Easton pour tout simplement rester lui-même, Mash doit affronter des adversaires de plus en plus coriaces et tellement imbus de leur supériorité qu’ils frisent le ridicule ou l’atteignent vraiment.

Comme d’habitude, les dessins sont pleins de vie et d’énergie. Les affrontements éclatent sur une ou deux pages et sont agrémentés de formules magiques qui me désorientent un peu. Qu’importe ! Il faut se laisser emporter et je suis captivé par cette histoire pleine de frayeurs et de rebondissements.

Enfin, dans Mashle, certaines répliques et formules sont d’un bon sens idéal pour réfléchir aux rapports sociaux, loin des écoles de magie, dans l’école de la vie, tout simplement.


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Avant de me laisser avec un suspense intenable – bien joué Hajime Komoto ! – je suis encore toutes les épreuves que doit affronter Mash Burnedead.

Pour préserver sa vie, le héros se voit confronté à toutes sortes de menaces et, bien sûr, à des adversaires de plus en plus coriaces.

Toujours dans l’arène destinée à accueillir les épreuves permettant de désigner l’élu divin, devant un public immense, voilà Mash face à Margaret Macaron. Ce n’est pas une fille comme son prénom le laisse supposer et comme son visage superbement maquillé semble le confirmer.

Comme c’est le cas depuis le début de Mashle, chaque adversaire se présentant face à Mash Burnedead est sûr et certain de la victoire. Cela donne des pages d’une grande violence, sans texte, pleines d’éclats et d’explosions toujours étonnantes. C’est là qu’Hajime Komoto se régale et exprime tous ses talents de dessinateur.

Sept bonus émaillent le récit, les neuf chapitres. Comme me l’a conseillé mon maître avisé en mangas, Albin, mon petit-fils, je dois lire ces bonus à part, dès que j’ai terminé ma lecture. C’est vrai, c’est beaucoup mieux !

Très effacés pendant ce tome 7, les amis fidèles de Mash : Dot Barrett, Lance Crown, Lemon Irvine sont mis en valeur dans ces bonus, avec Mash lui-même. Confrontés à une boule de cristal, ils tentent de lire quel sera leur avenir.

Bien sûr, pour connaître le sens de ce titre faisant allusion au tennis, avec une raquette dans les mains de Mash, il faut se précipiter pour lire ce tome 7… avant bien d’autres puisque Hajime Komoto confie n’être qu’à la moitié de l’histoire.

À suivre donc…


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Ce tome 6 du manga Mashle est peut-être le plus intéressant. En tout cas, c’est celui qui a le plus captivé mon attention et motivé ma réflexion comme lorsque Rayne Ames affirme : « Ce sont les actes qui donnent un sens à nos paroles… Autant se taire si on est incapable d’agir derrière. »

D’abord, j’apprends enfin le nom de ce personnage apparu dans le tome 5. Ce personnage au visage très fin se nomme Margaret Macaron. Elle ou Il est préfet du dortoir Orca. La clé de sol tatouée de part et d’autre de son œil droit a un très beau rendu. Son rôle est énigmatique et son attitude vis-à-vis de Mash Burnedead est ambigüe.

J’apprends aussi que le frère aîné de Finn, Rayan Ames, déjà cité, a été le plus jeune ayant obtenu la fameuse troisième marque sur le visage. Ces marques attestent du pouvoir de sorcellerie, prouvent que ceux qui les arborent sont magiciens. Alors, une, deux ou trois marques sont des sortes de grades.

Hajime Komoto, comme à son habitude, remercie les acheteurs de son manga, offre des bonus et répond même à des questions de lecteurs.

Un jeu de l’oie entre Mash, Finn, Lance, Lemon et Dot ne manque pas d’inquiéter sur l’avenir de notre héros qui trouve cependant un moment pour se ressourcer auprès de celui qu’il nomme Papa.

Débutent alors les épreuves de sélection pour ceux qui ont collecté au moins trois pièces d’or, soit douze candidats voulant obtenir le titre de : Élu divin.

C’est palpitant, vite angoissant et ce n’est bien sûr pas terminé à la fin de ce tome 6.

Bien joué Hajime Komoto !

Me voilà donc impatient de lire la suite et de frémir tout en admirant la qualité du dessin de l’auteur car Mash Burnedead est vraiment en danger…


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Ce tome 8 de Mashle me laisse en plein doute. En effet, je suis très sceptique devant cette avalanche d’épisodes de plus en plus compliqués, de plus en plus violents mais, en ce qui me concerne, de moins en moins intéressants.

Je trouve ce tome de plus en plus brouillon, de plus en plus déjanté mais je reconnais que ça peut plaire et séduire les jeunes lecteurs fans de mangas.

Dans sa logique, Hajime Komoto poursuit les affrontements, accumule les périls, fait sortir de son chapeau des personnages de plus en plus redoutables. Cela donne des pages sans texte avec des dessins explosifs agrémentés de formules paraît-il magiques comme « Graviole ! Explom ! Sounds ! etc… »

Dans ce tome 8, la vedette est donnée au directeur de l’académie de magie, Wahlberg, un homme âgé qui a pris Mash Burnedead en affection et fait tout pour qu’il vienne à bout d’adversaires de plus en plus redoutables et déterminés.

Quant aux bonus, ils m’ont appris qu’il existe une coopérative à l’académie Easton. On y trouve en particulier des choco-caries, tellement sucrés qu’ils vous pourrissent directement les dents. Il y a aussi des bonbons magiques « Cupidon » qui permettent de se faire aimer par n’importe qui… mais aussi une éponge qui dégraisse sans liquide vaisselle et une boule de gomme de nerfs… Par contre, cette série de bonus m’a paru bien fade comparée à celle du tome 7.

Enfin, je poursuivrai tout de même l’aventure avec le tome 9.


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J’avais beaucoup entendu parler de ce manga et je n’ai pas été déçue ! La parodie de la célèbre saga du petit sorcier (Harry Potter pour ceux qui n’avaient pas deviné) n’est pas légère, on reconnaît tout de suite les grandes scènes de la série. Ici, tous les sorciers ont une marque, ça donne des personnages un peu… particuliers à visualiser.

Après on est un peu dans la surenchère dans les scènes, on est dans le spectaculaire… un peu trop. Ça reste un manga très drôle, je vais continuer pour voir si on s’écarte ou pas de Harry Potter.

De nouveaux personnages et de nouveaux gags pour ce second tome. De nouveaux sorciers toujours persuadés qu'ils peuvent voler ou violenter les autres apprentis. Heureusement, Mash, l'insouciant mangeur de choux à la crème est là pour les défendre. Sa fausse naïveté donne des scènes géniaux, j'ai beaucoup ri (la corne de la licorne). J'espère que la suite sera à la hauteur, avec une évolution de l'intrigue, sans rentrer forcément dans la surenchère de combats toujours plus impressionnants...

Résumé : Mash est un garçon qui a toujours vécu au fin fond d’une forêt avec son grand-père adoptif, caché par celui-ci parce qu’il n’a aucun pouvoir magique, mais élevé dans l’entraînement physique intensif. Mais un jour le secret éclate et Mash va n’avoir d’autre choix que d’intégrer l’école de magie pour survivre, et surtout en devenir le meilleur élève…



Mon avis : J’ai beaucoup entendu parler de cette série, et je me suis régalée en commençant ce premier tome, qui est un mélange plein d’humour entre « Harry Potter » et « One-Punch Man ». Contrairement à Harry, Mash n’a pas l’once d’un pouvoir magique, mais a de gros muscles avec lesquels il règle tous ses problèmes. Et comme Saitama, il est vraiment très fort, mais pas toujours très futé, et adore manger, surtout les choux à la crème, qui sont sa véritable passion.



Il arrive dans l’école de magie, où le directeur ressemble à Dumbledore, et où trois maisons existent et sont en rivalité. Il se fait peindre une marque de magie, et commence son apprentissage. Il va rencontrer des camarades, et devoir faire face à des situations de rivalité, où il mettra à chaque fois ses poings en jeu au lieu de la magie.



Un manga à lire pour son second dégré et son humour avec ce héros décalé.
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Tome 1 - 4 étoiles

Tome 2 - 3,5 étoiles

Tome 3...Mais quel ennuie! J'attribue 1 étoile.

Je n'ai pas retrouvé l'humour des tomes précédents. L'histoire n'évolue pas vraiment, elle n'est pas non plus très captivante. J'ai ressenti un ennui profond et donc une grande déception.

Le manga a l'air de s'éloigner un peu de "l'ambiance Harry Potter" ce que je trouve dommage car pour ma part je lisais ce manga avec un esprit de parodie de HP. L'auteur aurait pu créer sa propre ambiance dès le début mais il ne l'a pas fait et donc pour ma part il aurait fallu un élément accrocheur pour que je puisse continuer à apprécier cette série comme il se doit.



Nous allons donc assister à l'affrontement des confréries dont Mash qui n'hésitera pas à défier Magia Lupus.



Je n'ai pas trouvé cet élément accrocheur car c'est bagarre sur bagarre.

Mais avant de baisser les bras, je vais lire le tome 4 pour me faire une opinion un peu plus tranchée à savoir si je continue ou non cette série...



Mély

Résumé : Mash va découvrir avec ses camarades que la maison Lang obéit à Magia Lupus, et il ne va pas hésiter à défier les membres de cette organisation.



Mon avis : Ce tome 3 monte en puissance dans l’intrigue avec l’arrivée de Magia Lupus, un groupe secret qui prône la pureté de la race des magiciens, et veut prendre le pouvoir afin de faire régner uniquement les purs magiciens.



Mais à ce jeu-là, Mash va faire jouer sa force pour les contrecarrer, prouver que la magie ne peut pas tout, et surtout démontrer que seul importe l’esprit soudé d’un groupe, quelles que soient les capacités de chacun.



On découvre aussi des aspects cachés des personnages, comme Dot qui boit de la tisane.



Un manga au ton résolument décalé qui fait rire, tout en développant une intrigue intéressante.
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Résumé : Mash s’est lancé dans un duel avec un camarade, et va découvrir la face cachée de ce dernier, ce qui va les rapprocher. Il va aussi participer à une activité de plein air, où il va découvrir que tous les coups sont permis.



Mon avis : Dans ce second tome, Mash va découvrir d’autres élèves avec qui il va progressivement sympathiser malgré des débuts chaotiques, chacun étant plutôt haut en couleurs.



Mais il va aussi surtout découvrir que les rivalités entre maisons ne sont pas qu’un vain mot, et que certains sont prêts à tout pour récupérer les pièces qui permettent de monter dans le classement, surtout la ruse ou la force envers les plus faibles.



Sans magie, Mash parvient malgré tout à s’en sortir, notamment grâce à son entraînement physique, et à ses réflexes.



Un tome tout aussi intéressant que le premier, et qui permet de voir l’envers du décor de la magie, et tous les enjeux cachés.
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Mash Burnedead fana de choux a la crème et de musculation, vit dans une maisonnette avec son grand pere.

Dans un monde où tout être ne sachant maîtriser la magie est condamné à mort, un agent découvre que le jeune homme n'a aucune aptitude magique.

Un marché est alors passé avec le policier,..Mash doit être un élu divin grâce à l’Académie de magie Easton.



Très second degré, histoire additif

Dessin simple, mais efficace.

Belle découverte.

Après un premier tome qui m'a bien fait sourire, je continue ma petite lecture avec ce tome 2 qui nous fait découvrir différents personnages. L'univers s'étoffe peu à peu et nous y découvrons également les différents dortoirs: Adler, Orca, Lang.

Les élèves y sont répartis en fonction de leurs caractères et de leurs idéaux. Mais, cette fois-ci, ce ne sera pas un choixpeau magique mais une licorne! Vous l'aurez compris, les références à Harry Potter sont nombreuses mais toujours aussi amusantes. J'ai apprécié que l'auteur nous explique entre chaque chapitre la genèse de son manga avec beaucoup d'humour.

Je reste donc réceptive à cet humour déjanté et je ne vais pas tarder à commencer le tome 3. Et, peut-être même me mettre à la fabrication des choux à la crème... car à force d'en parler, ben ça donne envie! 😜



Mély 🧙