Citations de Hervé Bourhis (170)
- Soyez gentil Ingmar, vous en mourez d'envie.
- Non, non. Arrêtons-là. Votre oncle, la mission... Il ne faut pas !
- Vous êtes un gentleman, Ingmar. C'est bien ma veine.
- Ne dites pas ça. Je suis censé être un Barbare sans états d'âme...
- Ne vous faites pas plus bête que vous l'êtes, Messire Ingmar...
- Oui mais enfin euh... Voyons Cuneeen, quel est ce regard lubrique ?
- Si je dois aller au couvent, je ne veux pas y entrer vierge.
- Ah bon, c'est une condition d’entrée ?
- Trop vieux, il est.
- (Pas autant que toi, vieux crapaud.)
- Attention, dans les pensées je lis.
- Ah pardon.
- Bon. On peut essayer.
- Je ne te décevrai pas. Je ne connais pas la peur.
- Vraiment?.... Bouh.
- AAAAH ! Ne ... ne faites plus jamais ça.
- Trop présomptueux il est.
Tu n'as pas bien compris à qui tu as affaire. Tu peux commencer à serrer les fesses. Le vent mauvais a commencé à souffler dans ta direction.
Je voulais être avocat, j'ai fait du droit. Ça me répugne cette histoire d'antidouleur mortel, et c'est moi qui vend ce poison. Avec une belle cravate. (P. 43)
Disons qu'à 35 ans, j'aurais aimé être un homme complètement autonome. Mais "Caramba, encore raté".
On l'appelle 'Le 'Teckel'. Ce type est une légende de la profession encore en activité.
- Oh my god, c’est quoi cette chose !
- Tout droit sorti d’un épisode de ‘Derrick’. Pantashop refait une collection vintage ?
Résultat : 2 générations d’accrocs qui pensent que s’ils se concentrent assez, ils pourront faire jaillir des boules de feu de leurs mains…
By jove ! Alleï z-y, Francis, tancez-le avec un phylactère de 3km de long, Ol’ chap !
[Les guerriers qu'Ingmar accompagne sont en train de piller un village et d'en violer et massacrer les habitants, au grand dam de notre héros]
Villageois à terre, blessé (crie en s'accrochant à Ingmar) : AAARGH, SAUVEZ-MOI !
Ingmar (chuchote en essayant de se dégager) : Non, je ne peux pas, je suis aussi un Viking.
Lâchez-moi, s'il-vous plaît.
C'est bon, arrête de pleurnicher. Le côté sombre c'est avant tout l'humour et la dérision.
"Tous les êtres ont une fatalité au bonheur".
Il faut que tu prennes conscience que tes statistiques, ton langage marketing, ton 'poher' point c'est de la merde en barre. Il faut donner du rêve ! Parler d'humain à humain ! Prendre la main du client et s'envoler avec lui vers les cieux inexplorés de la persuasion. Faire l'amour avec ses doutes, ses appréhensions. (p. 33)
Si Lady Gaga se pense dérangeante, elle ferait mieux de prendre des cours chez la souillon afrikaner white-trash-fluo-pédo-anorexique skinhead de Die Ant-Woord
« Je jure comme un charretier de servir le cercle légateux ! »
- La boutique que vous allez acheter, je l'ai ouverte en 1946.
J'y ai vu défiler des quadras fans de jazz et de Britney, des auteurs-compositeurs-interprètes sans talent, des filles qui montent un groupe pour la fête de la musique, des...
- Ah oui ? signez là s'il vous plaît.
Bonsoir père, je reviens d'une campagne glorieuse...
_ Ils sont revenus bredouille de chez bredouille.
Je m'appelle Ingmar. J'habite sur une île où la nature et les hommes sont sauvages et magnifiques. Moi je suis magnifique, mais moyennement sauvage.
Monsieur Chadeau, depuis que je travaille ici vous avez du envoyer, allez, à la louche, 20 cassettes de vos chansons.
_ 21.
_ 21, d'accord. D'ailleurs, l'une d'entre elle était une compil de Jonaz, vous vosu étiez trompé.
_ Ah bon, désolé.
_ C'est pas grave, je l'ai bien aimée, celle-là.