James Clavell

J'ai lu ce livre, en anglais, alors que j'habitais à Hong Kong.

Une oeuvre magistrale dans laquelle on découvre de façon romancée et très vivante, l'histoire de la fondation de la colonie anglaise de Hong Kong et le combat des aventuriers du commerce anglais ou écossais.



Long, exigeant à lire sans doute, mais passionnant !

Si comme moi, vous vous sentez parfois comme si les thèmes abordés dans les romans traditionnels finissent par être trop souvent redondant, ceci est un excellant livre pour vous. Malgré le fait que l'auteur soit un occidental, il me semble avoir assez bien compris l'essence japonaise et a su exprimer intelligemment les contrastes existant entre nos deux civilisations, le récit se déroulant dans la période qui fut probablement la plus critique dans l'élaboration du concept qui deviendra la modernité.



Nous ne serions jamais devenu ce que nous sommes aujourd'hui si nos ancêtres n'étaient jamais sorti de leur petits carcans européens pour se confronter à des pensées et mode de vie différent (et d'une autre sophistication).



Un livre que l'on finit sans s'en rendre compte !

Clavell est vraiment un auteur exceptionnel, lorsque l'on referme ce roman on a l'impression de connaitre et d'avoir vécu ce début de XVIIème au Japon. On ne peut se décrocher de l'histoire de ce pilote Anglais d'un navire Hollandais qui va s'échouer dans un Japon jusqu'alors seulement visité par les Portugais et Espagnols. Lui et son navire vont y devenir les pions d'une lutte de pouvoir pour le controle de l'Empire. A mon sens le meilleur des Clavell même si j'ai adoré la plupart de ses romans et de toute facon le premier à lire si on veut les aborder par ordre chronologique.
Lien : http://www.amazon.fr/review/..

Le rats sont délicieux ou au moins c'est l'avis de l'auteur James Clavell qui a passé deux ans dans le camp de prisonniers de guerre sur Changi (un l'île à l'est de Singapour) pendant la deuxième. "King Rat" est un roman fortement autobiographe qui rend hommage aux détenus courageux qui avaient le courage et la volonté de survivre une situation infernale.

La cote "King Rat" a toujours été très élevée chez les lecteurs qui s'intéressent à l'histoire parce que c'est un des rares témoignages d'un phénomène historique important. Pourtant, "King Rat" est beaucoup plus. C'est aussi un plaidoyer contre le racisme et l'homophobie. Finalement c'est une critique féroce du système classe anglais. Aux yeux de Clavell, les véritables ennemis des détenus n'étaient pas les Japonaise mais les officiers de l'armée britannique qui appliquaient les règles des Japonais.

Le plaisir, à travers un roman d'aventure historique captivant, de découvrir: une partie de l’histoire des rapports entre la chine et l’occident, l’histoire de Hong Kong et un modèle stupéfiant des négociations avec les Chinois

Clavell nous apprend qu'en 1699 un navire britannique rapporte pour la 1ere fois du thé de Chine.

En 50 ans le thé devient le breuvage le plus apprécié de Grande Bretagne et en 70 ans la principale ressource fiscale.

Comme l’empereur de Chine n’acceptait qu’un paiement en argent et refusait toute autre importation, en 100 ans le trésor anglais se trouva dans une situation critique.

C’est vers cette époque, en 1767 que les Anglais introduisirent et imposèrent leur opium en provenance des indes britanniques qu’ils vendirent illégalement. Le commerce de l’opium se développa à grande vitesse. L’équilibre commercial se redressa et puis pencha en faveur des Anglais http://jclandry.free.fr/Histoire/Histoire.htm,



Tai Pan raconte l’histoire d’un des principaux marchands et armateur anglais Dirk Struan, qui pour s’affranchir des édits de l’empereur de chine, utilisa la puissance de la flotte de guerre anglaise afin d’obtenir la cession de la petite ile pratiquement déserte de Hong Kong et commença à en faire ce qui va devenir un des lieux les plus prospères du monde.

Le premier, et pour l'instant le seul livre que je n'ai pas réussi à finir.



On m'en avait dit beaucoup de bien et je suis extrèmement déçu, je le trouve très lent et je n'ai réussi a lire que les 200 ou 300 premières pages.

Un roman passionnant car tres credible,tres documenté et qui maintient le suspense tout au long de ses presque 800 pages grand format.Ici nous sommes a Hong Kong dans une maison de commerce a suivre l'evolution du nouveau tai pan (grand patron) de ma societe qui doit honorer une promesse de son ancetre.Des aventures pzssionnantes,rythmees jamais ennuyeuses.Un excellent roman.

Un classique adapté (partiellement) à la télévision sous le nom de Tai pan. Une fine description de l'univers du commerce avec le Japon, à peine ouvert aux occidentaux en ces temps-là.

Les personnages sont bien campés et le style est assez bon. L'histoire est en outre beaucoup plus intéressante que dans le film. La complexité ne nuit pas du tout au livre, car on y croise un très grand nombre de personnes. Des nobles qui conspirent, des espions, des geishas qui soutirent des informations, des commerçants européens assez fourbes et peu scrupuleux. Tout un univers. Assurément, James Clavel est un de ces auteurs qui nous manque aujourd'hui !

Je me suis perdu dans ce deuxième tome. L’histoire se termine en mélodrame (inévitable), mais c’est assez confusant. On comprend la stratégie du Shogun, mais on se perd dans les rivalités et les traitrises de Yabu, Omi et des Régents. Un vrai panier de crabes. Dans celui-ci émerge la figure de l’héroïne japonaise, de Fujiko et de quelques autres femmes (dont la mère maquerelle) qui sont plus dignes et fières.



on a l’impression que l’auteur ne sait comment finir. C’est long, lourd et plein de détails qui vous tournent la tête. Dommage.

Fan de la série, je m'étais juré de lire le roman parce que le personnage de Yabu sama m'intriguait et qu'il suscitait chez moi bien des questions (personnalité, motivations...). Au cours de ma lecture, j'ai découvert des contextes ou situations différents notamment sur la nature de l'invalidité de John BLACKTHORNE, la révélation sur le fruit des "amours" d'un couple en particulier, la vérité sur la fameuse nuit entre Anjin san et Mariko ainsi que l'explication de la décapitation sur la plage.

Je ne saurais que trop vous conseiller cette lecture surtout si vous aimez comme moi le Japon féodal.

Fan de la série, je m'étais juré de lire le roman parce que le personnage de Yabu sama m'intriguait et qu'il suscitait chez moi bien des questions (personnalité, motivations...). Au cours de ma lecture, j'ai découvert des contextes ou situations différents notamment sur la nature de l'invalidité de John BLACKTHORNE, la révélation sur le fruit des "amours" d'un couple en particulier, la vérité sur la fameuse nuit entre Anjin san et Mariko ainsi que l'explication de la décapitation sur la plage.

Je ne saurais que trop vous conseiller cette lecture surtout si vous aimez comme moi le Japon féodal.

Lu dans ma jeunesse, ce livre a suscité ma curiosité pour le Japon. La culture implacable de cette période, la transformation graduelle du pilote, les mœurs étranges de ces gens, tout a contribué à mon éveil à cette étrange contrée. Un excellent souvenir!

j'ai lu ce livre bien avant de pouvoir le partager sur des sites comme celui ci, mais je m'en rappelle comme si c'était hier. j'adore la culture asiatique et je m'étais régalé avec cette trilogie

Ca fait un moment que je souhaitais le lire, voilà, c'est fait !

bon, j'avais de vagues souvenirs de la série TV (surtout du début), et je ne me rappelais pas du tout de la fin...

C'est une histoire sympa avec beaucoup de complots, trahisons, et plein de clans, ... je me suis senti un peu perdu dans les stratégies.

Par contre, qu'est-ce que j'ai trouvé comme fautes !! c'est incroyable ! sur de simples conjugaisons, accords, fautes de frappes, ...

Le nom du héros Blackthorne une fois écrit Blacthorne... Peut-être que certains chapitres n'ont pas été corrigés ? D'autres éditions sont peut-être meilleures ?

(j'ai lu l'édition Stock)

Dans le Japon du XVII ème siècle un marin anglais découvre la culture japonaise de cette époque et qui finit pa être un samouraï reconnu. Une grande aventure, une saga assaisonnée d'une belle histoire d'amour

C'est un livre qui en plus d'avoir une intrigue intéressante, des enjeux politiques bien écrit, donne une bonne idée du mode de vie et de la philosophie japonaise ancienne.

Voilà le roman qui dans mes années adolescentes m'a fait aimer le Japon, qui fut mon point d'entrée dans cette culture passionante. Assez occidental pour ne pas perder le lecteur d'Occident mais suffisamment pertinent pour donner un aperçu significatif de cette culture à travers une des ses époques les plus fondamentale puisque prélude avec l'ère Meiji deux siècles et demi plus tard de l'esprit du Japon moderne.

Quelle aventure ! Un des premiers grands romans que j'ai lu. Une époque violente et un monde aux coutumes ancestrales parfaitement décrites. Au milieu des grandes batailles, des escarmouches et des conspirations, une romance dangereuse. A découvrir

Après un premier tome compliqué à suivre, l'auteur tout comme le lecteur atteignent une vitesse de croisière de haut niveau dans le tome 2. Le lecteur connaît les personnages et s'immerge encore plus dans la société japonaise. Les intrigues sont parfois difficiles à suivre mais reflètent les calculs propres à toute société et auquel le Japon n'échappe pas. Chacun préserve ses propres intérêts, ou ceux de son maître. A la différence qu'au Japon, la traîtrise se solde en seppuku, tout comme la loyauté. Toranaga est un fin stratège. Les personnages sont vivants et attachants. James Clavell nous offre aussi une sublime cérémonie du thé. Cette scène de quelques pages vaut à elle seule le coup de lire ce gros pavé qui se dévore.

Début du roman un peu fastidieux. On s'y perd dans les personnages. Qui est qui ? Qui est le parent de qui ? Il y aussi des problèmes de mise en page avec des oublis de saut de paragraphe qui rendent la compréhension difficile la compréhension (mon édition est celle du Livre de Poche). Puis on s'immerge avec Blackthorne dans ce Japon mystérieux et mythique, dans le pays des samouraï, et d'un code de l'honneur si différent de la foi chrétienne. Le roman sera apprécié de toute personne qui comme moi est fascinée et passionnée par le Japon, les arts martiaux et les samouraï. Il est intéressant d'un point de vue historique car il met en scène les rivalités entre l'Angleterre, l'Espagne et le Portugal pour le contrôle des routes marchandes et du négoce. La seconde moitié fait fortement écho au film "Le dernier samouraï", que je recommande chaudement. Finalement, l'auteur parvient à tenir le lecteur en haleine et lui donne envie de poursuivre avec le deuxième tome.