Chaque vendredi à 10h45, Valérie Expert reçoit le libraire Gérard Collard pour parler de livres. Voici la sélection du vendredi 30 mars 2018.
Commandez vos livres dans la librairie en ligne :
Ragdoll de Daniel Cole et Natalie Beunat aux éditions Pocket
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L'Appat de Daniel Cole et Natalie Beunat aux éditions Robert Laffont
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Rien de ce qui est humain n'est honteux de Marianne Vic aux éditions Fayard
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Mémé dans les orties de Aurélie Valognes aux éditions Livre de Poche
https://www.lagriffenoire.com/6914-divers-litterature-meme-dans-les-orties.html
En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes aux éditions Livre de Poche
https://www.lagriffenoire.com/75193-divers-litterature-en-voiture--simone-.html
Au petit bonheur la chance de Aurélie Valognes aux éditions Mazarine
https://www.lagriffenoire.com/108462-article_recherche-au-petit-bonheur-la-chance.html
Ni tout à fait une autre de Caroline Vié aux éditions Les Escale
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La réceptionniste du New Yorker de Janet Groth et Helene Cohen aux éditions du Sous-Sol
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Sur cette terre comme au ciel de Davide Enia aux éditions Livre de Poche
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Le jardin secret de Jean-Pierre Coffe de Catherine Delvaux et Christophe Dolbeau aux éditions Larousse
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La culture décontractée !!!!!
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Gerard collard? Jean-Edgar Casel
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Le pain s'adresse tout d'abord à l'odorat. L'odeur du froment doit erré sensible et flatter le sens olfactif. Son arôme doit prévenir, sensibiliser le goût.
Pour le pain, la vue aussi a son importance. La robe doit être dorée et sa croûte permettre à l'œil de distinguer son mode de cuisson. Sur tôle ou sur sole, la différence est essentielle.
Le pain ouvert, l'œil appréciera la qualité de la mie, sa couleur légèrement crème, et sa régularité.
Si l'odorat sollicite le goût, la vue appellera le toucher car le bon pain est toujours beau et incite à la caresse. Le très léger craquement de la croûte sous la pression légère des doigts éveille notre sensualité.
Le surgelé n'a rien de dangereux mais quand on congèle de la merde, on décongèle de la merde...
[à propos de son père, mort en 40 quand Coffe avait deux ans]
Il ne m'a pris dans ses bras qu'une fois, à l'occasion d'une permission. Nous ne nous sommes pas connus et donc pas aimés.
FRUITS & LÉGUMES
Avant l'apparition des céréales, ils constituaient la base de la nourriture, étant entendu que le ramassage ne se limitait pas aux plantes ; escargots, vers, chenilles, lézards et rats n'étaient pas négligés.
Est-ce un voeu pieux ? Non, il est possible d'y arriver en ne concentrant pas systématiquement les achats au niveau national, mais au contraire en les régionalisant. Cette volonté de tout regrouper est néfaste aux consommateurs qui se trouvent victimisés par ces comportements. Pourquoi imposer des produits primeurs dès le mois de janvier alors qu'ils sont coûteux à produire sous serres, gourmands de chauffage et peu satisfaisants sur les plans gustatifs et nutritionnel ? L'argument qui prétens que le consommateur l'exige est évidemment faux. Qui peut affirmer que nous préfférons payer des aliments sans goût, alimetés artificiellemnt, à des prix gogos. Luttons contre ces dévoiements de la mondialisations et de la "dessaisonalisation" au détriment du goût et de la qualité.
Restrictions : mot tabou. Et pourtant, quand on évoque la crise alimentaire, économique, la rédaction du pouvoir d'achat, c'est bien de restriction qu'il s'agit. Rien ne sert de camoufler la situation, il faut se rendre à l'évidence : nous sommes, pour certains déjà et d'autres bientôt, en temps de restrictions.
Cette période de "vaches maigres" doit nous permettre de réfléchir et, sans nous y attarder trop longtemps, de faire notre examen de conscience.
Mme Chirac nous avoue qu'elle n'a jamais cuisiné de sa vie sinon une fois où elle a tenté pour son mari une omelette.
Ma précédente faillite m'a entraîné vers une longue dépression, et une immense période de réflexion. Cette fois, à l'inverse, je sens une énergie que je ne me connaissais pas s'emparer de moi. Je devrais être au fond du trou. Bien au contraire, mon appétit de vie est insatiable. A aucun prix, je ne veux revivre l'année passée à me flageller, seul, loin de la vie active, sans projet, sans issue. […] J'ai quarante ans, je veux, je dois m'en sortir, aller de l'avant. Et, je le sais, je n'ai plus le droit à l'erreur. Je dois réussir.Mais dans quoi?
Tu sais ça été dur... mais depuis que je suis dans cette cave, je fais bouteille de décoration. Y'a rien boire mais je me suis résignée. J'ai d'autres moyens de rêver. Comment je fais ? J'appelle mon nuage, je monte dessus et je lui dis montre moi la vie. Quoi ? et alors ! elle est belle et j'ai encore envie d'en profiter.
Derrière le plaisir de goûter un produit de qualité, n’oubliez pas, jamais, qu’il y a un éleveur, un homme de caractère, rejetant les diktats de la profession, refusant de courber l’échine, devant la toute-puissance du productivisme.