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Critiques de Johanna Marines (175)
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Encens

Je dois être franche, Encens j'y allais à reculons. Il y a quelques temps, j'ai voulu lire Cendres de la même auteur mais j'ai du abandonner car je n'accrochais pas d'où ma réticence pour ce titre. Mais comme il fait parti des finalistes du Plib je me suis fait violence.



Je suis mitigée sur cette lecture. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé car j'ai été jusqu'au bout et j'étais curieuse de connaître la fin mot de l'intrigue policière. J'avais mes théories et je voulais savoir si je faisais bonne route, ce qui n'était pas le cas ^^.

Malgré cela, je n'étais pas à fond dans le récit. J'ai eu beaucoup de mal à m'imaginer les décors, l'univers, les personnages et donc je n'arrivais pas à m'imprégner de ma lecture.



Oui ce roman peut plaire mais je ne suis pas son lectorat. Un univers steampunk qui est trop complexe pour moi ou pas assez expliqué. En tous les cas, il m'a manqué quelque chose.
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Encens

J’ai un faible pour la littérature de l’imaginaire, et particulièrement pour la fantasy et le fantastique. J’aime les récits sombres et mystérieux. J’étais donc ravie lorsque j’ai découvert qu’Encens faisait partie des finalistes du PLIB 2022, auquel je participe en tant que membre du jury.



Johanna Marines nous livre un récit prenant, une histoire de meurtre au cœur de la Nouvelle Orléans, le siècle dernier. Alors que le tueur à la hache sème la terreur dans les rues et nargue les enquêteurs, le corps mutilé d’une jeune femme est découvert en ville. Que signifient ces notes de musique et ces marques de brûlures retrouvées sur sa peau et ces étranges plumes métalliques plantées dans son dos ?

Pour les inspecteurs Perkins et Bowie, une nouvelle enquête s’ouvre. Se pourrait-il qu’un deuxième meurtrier soit à l’œuvre ? Que faire quand deux tueurs en série rivalisent de cruauté et que la ville devient leur terrain de jeu ? Plongez au cœur des Bayous où le jazz est roi et prenez de la hauteur à bord du Mécanic Hall, un aérocabaret où les dancing-automates sont devenus des déesses de la fête. Découvrez le passé trouble de Grace, une intrépide cartomancienne et de sa chouette mécanique et sautez de toits en toits aux côtés des désembobineurs qui collectent l’électricité pour la New Orleans General Electric Company.



Je ressors de cette lecture avec des étoiles dans les yeux. Tout y était : l’univers et l’ambiance de la Nouvelle Orléans, et cette pointe de mystère avec une enquête prenante du début à la fin. J’ai peut être un peu eu de mal avec le steampunk, auquel je suis peu habituée, mais je pense que pour un lecteur en recherche de ce genre, ce roman est une lecture parfaite. L’autrice y mêle également d’autres genres, comme le polar (logique), et un peu de roman historique. C’était chouette de découvrir tout ça !



J’ai eu un peu de mal avec certains personnages, notamment celui de Molly, que j’ai trouvé un peu fade en comparaison des autres et de l’univers du récit. Mis à part ce point, Encens est un bon moment de lecture.



En bref, il s’agit d’un fabuleux cocktail d’émotions.





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Cendres

Londres, fin du XIXème siècle. Dans une époque victorienne sombre où la cendre à remplacer la pluie, nous allons suivre 3 personnages qui tentent de s'en sortir.



D'une part, Nathaniel et Luna, 2 amis aux relations fraternelles, tentent de survivre dans cette ville où les apparences sont trompeuses. Lui, "gagne sa vie" en partant allumer les réverbères la nuit. Elle, vole tout un tas d'objets et de bijoux, puis les revend pour s'en sortir.



Quant à Agathe, qui vit dans un quartier tout aussi mal famé que les 2 amis et qui est prête à tout pour soigner sa mère, elle accepte de se faire engager en tant que domestique dans une famille richissime puis de devenir leur paruriere.



Ces personnages vont finir par être liés à une sombre histoire, notamment lorsque Luna disparaît étrangement. Nathaniel, démuni et traumatisé après avoir découvert un corps lors d'une tournée, va t'il réussir à retrouver son amie ? Qui est cette jeune fille étrange qui semble être la dernière personne à avoir vu Luna ? Va t'elle pouvoir l'aider malgré ses liens avec cette famille qui domine la ville ?

Nathaniel a des flashs de son passé mais il est loin d'imaginer ce qui l'attend au bout de cette ATROCE histoire (et le mot est faible !).



J'ai beaucoup apprécié ce roman qui date de la période de l'avènement de la révolution industrielle. Je lis peu de livre de cette époque, mais Johana Marines la décrit très bien : une période sombre, froide, triste, baignée dans un brouillard constant lié aux cendres que dégagent les grandes industries.



Elle nous parle également des inégalités des différentes classes sociales et notamment des difficultés pour les pauvres de s'en sortir.



Petit + pour les références au style steampunk lors de certains passages du livre, que j'adore !



Les personnages sont touchants notamment celui d'Agathe, qui malgré son caractère naïf, n'hésite pas à se montrer forte et courageuse pour aider sa mère puis Nathaniel.



L'histoire est intéressante, et pleine de rebondissements. C'est un roman noir mais pas que ! Il mélange secrets de famille, thriller et policier et c'est un super combo ! La fin de ce roman est juste hallucinante, je n'en revenais pas...
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Encens

Apprécies-tu le jazz ?



C’est toujours un plaisir de découvrir la plume addictive de Johanna Marines et ENCENS n’y fait pas exception.

« Nouvelle Orléans, 1919. Alors que le tueur à la hache sème la terreur dans les rues et nargue les enquêteurs, le corps mutilé d’une jeune femme est découvert en ville. Que signifient ces notes de musique et ces marques de brûlures retrouvées sur sa peau et ces étranges plumes métalliques plantées dans son dos ?

Pour les inspecteurs Perkins et Bowie, une nouvelle enquête s’ouvre. Se pourrait-il qu’un deuxième meurtrier soit à l’œuvre ? Que faire quand deux tueurs en série rivalisent de cruauté et que la ville devient leur terrain de jeu ? »

Juste avec ceci je suis déjà en mode ah ouais pas mal…

Lecture vraiment addictive avec des personnages vraiment intriguant et passionnant. Une lecture entraînante, fluide, dynamique avec une ambiance originale.

C’est un cocktail explosif qui a pour ingrédients, le steampunk, la science-fiction, le thriller psychologique de la Vibs.

Le travail effectué dans cet ouvrage, le contenu est riche en information (envie de voyager). Les oiseaux mécaniques, les automates, les bars volants et les aérocabarets , le Jazz qui vibre dans mes oreilles tout ceci est agréable. On découvre des sujets pertinents comme le racisme, la tolérance, la technologie et la lutte des classes.

Grace est un personnage que j’ai bien aimé suivre. 1919 elle est dans l’air du temps, revendique son indépendance et ne s’occupe pas des codes de conduite de la société. Elle est une femme en faveur de l’évolution et cela se voit. En revanche, son père m’a fait de la peine, je pense que certains ont dû le détesté

Sincèrement je n’ai rien vu venir et le suspense est à couper le souffle, sacré retournement de situation.

On prend plaisir à savourer la plume de l’autrice qui met une pression de ouf dans son ouvrage.

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Encens

Si au début j’ai été décontenancée par le fait qu’il y ait des automates et qu’ils soient considérés dans le roman comme des personnes ayant des sentiments (alors que c’est impossible), j’ai réussi à passer outre par la suite. Souvent quand l’intrigue prend place dans notre monde, j’ai du mal avec le côté fantastique ou sf. Alors qu’en fantasy c’est totalement différent (pour moi bien sûr).



Ici on est carrément dans un thriller, en 1919 à la nouvelle-Orléans, on suit plusieurs personnages. L’un d’eux est flic et enquête sur le tueur à la hache. L’histoire tourne autour de ça. Une dimension sf y est ajoutée.



On sent vite qu’il y a un rapport entre plusieurs de ces personnages. Ils ont des secrets qu’on va découvrir petit à petit. Des flash back sont disséminés ainsi que des revues de presse. Tout cela nous renseigne sur ce qu’il se passe ou ce qu’il s’est passé.



La fin était dingue ! Ça m’a beaucoup fait penser à un film qui m’avait foutu une claque à l’époque où je l’avais découvert.



J’ai très envie de découvrir d’autres romans de l’auteure. L’écriture était hyper addictive et le fait que les chapitres étaient courts y a contribué.

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Encens

Quelle bonne lecture ! Elle m’a accompagnée pour passer de 2021 à 2022, et j’en suis très contente !

Le début est un peu long, j’ai été dans le flou concernant l’intrigue sur environ un tiers du roman, mais petit à petit les liens se créent entre les personnages et le voile se lève petit à petit jusqu’au dénouement final, auquel je n’avais pas du tout pensé.

J’ai aimé cet univers entre réalité et « fiction », la Nouvelle Orléans est évidemment une vraie ville, en 1919 le monde est au lendemain de la Première Guerre Mondiale, mais nous avons un monde où les automates font partie de la société, et où l’électricité recueillie dans les éclairs peut être aussi dangereuse que fascinante. (Il me semble d’ailleurs avoir lu quelque part que l’esthétique « steampunk » est en fait du « voltpunk »). J’aurais aimé en apprendre un peu plus sur cette énergie recueillie, sur les dangers évoqués, sur le pourquoi du comment des aérocabaret,… Malgré tout, on est vraiment transporté dans la ville du jazz.

J’ai découvert aussi cette affaire de meurtre perpétrés par le tueur à la hache qui a sévi à la Nouvelle Orléans dans les années 1910. Le tueur en série est toujours inconnu, et n’est pas sans rappeler Jack l’Eventreur (évoqué dans le roman d’ailleurs). L’autrice a retranscrit une lettre du tueur qui était parue dans le journal Times-Picayun, où le tueur à la hache annonçait la prochaine date de son crime, et annonçant épargner tous les habitants qui…écouteraient du jazz !

Vraiment, le roman est bien documenté, c’était vraiment agréable de se trouver à la frontière entre réalité et fiction.
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Encens

Ce one-shot mêle plusieurs genres : le steampunk, le roman historique, la science-fiction, le polar et le thriller psychologique.

Tout est parfaitement dosé.

J’ai dévoré cette jolie brique en à peine une journée, j’ai aimé retrouvé la plume de l’auteure que j’avais tant aimé dans Oxygen.

La plume est fluide, on passe de points de vue en points de vue, on mène l’enquête en scrutant le comportent de chacun des narrateurs, on découvre l’univers et on apprend à connaître tous nos protagoniste sans une seule fois s’ennuyer.

Les personnages sont bien campés et construits.

Leur psychologie est bien maîtrisée et bien menée.

C'est sans aucun doute le point fort de ce livre.

Etant une très grande fan de romans policiers, j’ai adoré mener l’enquête, mettant sur un bout de papiers toutes mes pistes tout en les partageant à Johanna (très fière d’avoir réussie à démêler l’enquête d’ailleurs ^^)

L’insertion d’articles de journaux dans l’ouvrage rend l’immersion dans l’univers encore plus flagrante.

Pour conclure, je ne peux que chaleureusement vous encourager à laisser sa chance à Encens.

Pour ma part, cela aura été une excellente lecture, effrayante et grinçante.

Une lecture comme on les aime, une intrigue prenante, dynamique et écrite par une plume passionnée.
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Encens

Dans son roman Encens, Johanna Marines mêle habilement plusieurs genres littéraires : le steampunk, l’uchronie, le thriller et le polar pour nous livrer une intrigue haletante et captivante. L’univers est d’emblée intriguant et plonge le lecteur dans une Nouvelle-Orléans steampunk de 1919, teintée par la fête, la musique jazz et une ambiance à la Jack L’Eventreur. J’ai adoré découvrir petit à petit le côté steampunk de ce roman avec des éléments tels que les automates, les oiseaux mécaniques ou encore les aérostats. La technologie basée sur l’électricité, originale et inventive, m’a beaucoup plu !



Dans ce récit choral, plusieurs personnages sont narrateurs, nous livrant des points de vue et ressentis variés sur la Nouvelle-Orléans mais surtout sur les terribles meurtres qui terrifient la ville. Certains chapitres ont même pour narrateur les deux tueurs en série anonymes et sont glaçants ! Les chapitres sont également entrecoupés par des articles de journaux très intéressants qui apportent de la lumière sur le contexte social, sociétal (conflictuels) et historique de la ville. J’aurais tout de même aimé avoir plus d’informations sur l’aspect « technique » des automates : leur fabrication, leur fonctionnement, leurs origines, etc.



J’ai trouvé les personnages bien construits et très touchants, chacun ayant été touché par une tragédie personnelle. Grace en particulier m’a beaucoup plu et je me suis très vite attachée à cette jeune femme intelligente au passé flou qui possède un don mystérieux hors du commun. Petit à petit les destins s'entremêlent, les personnages se rencontrent ou se rendent compte qu'ils se sont déjà rencontrés. On apprend par petits bouts ce qu'il s'est passé et on se rend compte au fur et à mesure que des éléments de leur passé tragique les lient entre eux.



L’enquête policière et la chasse à l’homme sont bien menées et m’ont tenu en haleine tout du long. Beaucoup de tension et de mystère s’accumulent alors que les meurtres restent irrésolus et que les rebondissements s’enchaînent. J’ai passé mon temps à élaborer des théories, à douter de la sincérité de tel ou tel personnage que je pensais coupable. Les pièces du puzzle se mettent en place, nous donnant des pistes de résolution, et pourtant, la fin a su me surprendre ! (même si certains éléments d’explication m’ont un peu déçue mais je n’en dit pas plus)



L’écriture est très belle, addictive et efficace. Elle retranscrit bien l’ambiance colorée et festive de la ville où l’alcool, la musique et la danse côtoient néanmoins le côté glauque et brumeux des bas quartiers et des meurtres sanglants. C’est très fluide à lire, les 500 pages se tournent toutes seules !



La présence des automates amène une dénonciation et une réflexion sur les thématiques la ségrégation, de l’intolérance, des génocides et de la guerre. De la même façon, Grace, jeune femme indépendante et avant-gardiste, permet à l’autrice d’aborder le féminisme et la place ainsi que l’image de la femme dans une société patriarcale du début du XXe siècle.



Encens a donc été un vrai plaisir de lecture qui m’a charmée grâce à son univers steampunk et historique immersif, son ambiance travaillée, ses personnages profonds et son écriture musicale.
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Encens

J'ai découvert ce roman par hasard et je ne suis pas déçu. C'est un style particulier que je n’avais jamais essayé et la bonne nouvelle, j’aime beaucoup. L'histoire se passe à la Nouvelle-Orléans avec cette ambiance si sympa (la musique, la danse et... le bayou). L’écriture aussi est différente chaque chapitre à son lot de révélations avec une vue des personnages (ça change beaucoup et pourtant on ne se perd pas). Après c'est une enquête policière où tout a son importance et où les détails peuvent aussi pour envoyer vers des fausses pistes. Plongez dans cet univers un peu glauque qui malgré tout vous emporte pour vous raconter une histoire d'enfants, de meurtres, d'amour et de familles.
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Encens

Coucou mes Mystigris 😉



J'ai lu dans le cadre du Plib @leplib2022 Encens de @johannamarines



🅲🅷🆁🅾🅽🅸🆀🆄🅴 1919 Nouvelle Orléans. Alors que le tueur à la hache sème la terreur et nargue les policiers, le corps d'une jeune femme est retrouvé mutilé de brûlures et de notes gravées sur sa peau mais aussi elle a des plumes métalliques fixées dans son dos. Une nouvelle enquête débute pour les inspecteurs Perkins et Bowie. Se peut-il qu'un second meurtrier sévisse dans la ville ? On se retrouve plongé au cœur des bayous avec son jazz entêtant, ses danseuses automates. On fait la connaissance de Grace, une cartomancienne au passé trouble. On découvre une ville qui ne dort jamais et les désembobineurs qui récoltent l'électricité pendant la nuit.



🄼🄾🄽 🄰🅅🄸🅂 J'ai adoré ce roman, j'aime toujours autant la plume de Johanna et l'ambiance qu'elle crée pour chaque roman. Pour celui-ci nous sommes dans un univers voltpunk (merci @armance pour cette précision) basé sur les nouvelles technologies concernant l'électricité. On est embarqué dans une ville très animée la nuit, le rythme du jazz est omniprésent et il y a même des aérojazzclubs où l'on peut admirer des danseuses automates et faire la fête jusqu'au bout de la nuit. Nous sommes dans une ambiance sombre et dangereuse où les rues ne sont pas sûres. L'enquête sur les deux tueurs et le passé sombre de Grace ne fait qu'amplifier le côté intriguant du roman.



🄲🄾🄽🄲🄻🅄🅂🄸🄾🄽 J'ai adoré le personnage de Grace et son passé mais aussi cette ambiance voltpunk à la sauce Jack l'éventreur. C'est une très belle découverte et un super moment de lecture.
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Encens

💜coup de coeur 💜



Ebook reçu grâce au plib 2022 , un grand merci à Snag Édition.​



Une autrice que je ne connaissais pas et que j'ai eu le plaisir de découvrir grâce au plib 2022 lors d'une lecture commune organisée avec les jurés.​



C'est un livre qui se lit très vite, l'intrigue est prenante.​



On suit les personnages dans une ambiance steampunk est très mystérieuse.​

Des meurtres, une double enquête et des secrets qui nous seront révélés au fur et à mesure que nous avançons dans ce thriller young adult.​



Chaque chapitre nous permet de suivre l'histoire du point de vue de différents personnages. Au début, cela m'a un peu perdu mais très vite on s'y habitue.

​ J'ai aimé cette immersion dans la Nouvelle-Orléans de 1919 où l'on rencontre les automates et les ​ illusionautes.​



J'ai adoré l'héroïne Grace et je me suis attachée à tous les personnages que j'ai trouvé très intéressants et très charismatiques.​



L'enquête est bien menée et nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. La tension est palpable jusqu'au dénouement qui m'a bluffé, pour une fois, ​ je n'ai rien vu venir.​



Un véritable coup de foudre pour ce roman qui m'a complètement envoûté. J'ai hâte de découvrir les autres romans de l'autrice, ​ c'est sûr il fera partie de mes 5 sélectionnés.



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Encens

Une lecture sympathique qui se lit très facilement, l'écriture est fluide et les pages se tournent rapidement. Le roman est quand même beaucoup plus tourné comme une enquête policière et l'univers steampunk/SF est relégué au second plan.

J'ai trouvé que cela manquait un peu d'originalité mais cela ne m'a pas empêché de passer un excellent moment.

Les meurtres sont spectaculaires, bien mis en scène et l'intrigue nous tient en haleine.

La révélation sur les deux meurtriers m'a bien surprise et la découverte du passé de Grace est bien amené.

Des extraits de journaux parsèment le roman et nous permettent de découvrir plus du contexte politique dans le roman et c'est une touche original que j'ai apprécié.

Pour résumer si vous aimez les romans assez sombre avec tueur en serie et enquête policière, les personnages au passé trouble et une touche de steampunk, ce roman est pour vous
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Encens

🌊Citation: « un mélange de peur et d’appréhension grandit au creux de son ventre. Était-elle prête à se dévoiler ? Si elle avait pu faire marche arrière elle, l’aurait fait. »



Dans ce livre on se retrouve dans la Nouvelle-Orléans en 1919, un univers un peu science-fiction, car il y a des humains et des automates (être mécaniques dotés de conscience comme les humains). Au milieu de cet univers assez particulier, là nouvelle-Orléans c'est la ville de la fête, de la musique, du jazz, mais aussi de deux tueurs en séries. Ils tuent de manière totalement différente et pour des raisons totalement différentes, cependant ils le dont en même temps et quasiment aux mêmes endroits.



Dans cet univers, qui au début m'a un peu surprise, car ce n'était pas précisé dans la quatrième de couverture qu'il y avait un côté science-fiction, on découvre plusieurs personnages et plusieurs « vies » qui s'avèrent en réalité être reliées. L'intrigue policière n'est pas la dominante de l'histoire pourtant elle est bien présente et sert à faire évolué l'histoire, en plus la chute de cette dernière n'est absolument pas prévisible. Pourtant, je suis bonne pour voir venir la fin de l'histoire cette fois-ci je n'ai rien vu venir, je suis littéralement tombée dans les pièges que l'auteur mets pour conserver le suspens. J'ai adorée ne pas pouvoir prévoir la fin et sentir que malgré tout on y approche sans avoir la moindre idée de la chute finale.



J'ai beaucoup apprécié la lecture, même si c'était un bon petit pavé et qu'au début on ne voit vraiment pas où on va atterrir, il faut s'armer de patience on finit par comprendre le cheminement !



J'ai aussi beaucoup aimé l'intrigue autour des droits des automates, j'ai eu l'impression de vivre les combats des femmes pour le droit de vote. Je me suis même posée la question et si aujourd'hui on avait ce cas, les automates auraient-ils le droit de vote ? Il me reste des petites questions à élucider mais j'ai bien apprécié ce livre !🦋
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Cendres

J'avoue avoir été de prime abord, intriguée par la couverture (me rappelant Rouille de Floriane Soulas). Puis en fond, j'ai remarqué Big Ben à Londres et là c'était fini, il me fallait ce livre ! Cette couverture est vraiment très belle. Par ailleurs, à l'intérieur de la couverture, on y trouve également une carte de Londres avec différents points d'intérêt où nos divers personnages vont évoluer, que j'ai trouvé très utile au cours de ma lecture.



On suit ainsi plusieurs personnages qui finissent pas se retrouver afin de nous donner une vision globale de l'histoire. Agathe, une jeune femme qui cherche à soigner sa mère malade, qui part en quête d'un travail, est un personnage un peu naïf et curieuse, également un peu suspicieuse. Nathaniel et Luna, frère et sœur qui tentent de survivre : lui allume les réverbères de Londres, elle vole aux petites gens divers objets qu'elle revend au marché noir. Nathaniel est très protecteur envers sa sœur et cela se ressent bien, même si la jeune femme n'en fait qu'à sa tête ! Le policier, Frederick Abberline qui enquête sur des meurtres et des disparitions bien étranges de femmes. Tous ont un passé et leur petit caractère et vont se rencontrer au fil de pages.



Je me suis prise au jeu d'enquêter sur la disparition de jeunes femmes aux côtés de ces personnages dans ce Londres industriel et son fameux smog, le Black Day, où les cendres se mélangent à la pluie sur la ville et noircissent tout ce qu'elles touchent.



Le rythme est assez lent au début, puis tout s'accélère. La première partie du roman se concentrant plutôt sur les personnages et une mise en contexte et la seconde moitié est plus addictive : les évènements s'enchaînent et l'on est pris dans le tourbillon.

Concernant l'écriture, celle-ci est plutôt fluide, même si le texte manque de descriptions à mon goût, notamment vis-à-vis des décors. Je ne connais malheureusement pas l'architecture des bâtiments de Londres et j'aurais apprécié que cela soit développé davantage. Par ailleurs, j'ai trouvé qu'il y avait des incohérences, notamment sur la fin du roman en ce qui concerne des objets ou des personnages secondaires.



En bref ?

Une enquête captivante dans un Londres industrialisé et steampunk : que demander de plus ?
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Oxygen

J'ai beaucoup aimé l'univers original et l'ambiance, tout comme l'intrigue qui nous permet d'enquêter sur cet univers où l'oxygène est payant. Les faits scientifiques tiennent la route et permettent de rendre l'univers crédible. Néanmoins, il y a de nombreuses facilités scénaristiques...

Sinon c'est une bonne histoire, avec de bons personnages.
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Encens

Publié le 9 juin chez Snag éditions dans la collection « La mécanique des ombres », Encens nous plonge dans une version steampunk de La Nouvelle-Orléans en 1919, la 4e de couverture nous parle de jazz et d’un tueur à la hache, une enquête musicale aux multiples rouages. Une plongée au cœur du Bayou sur fond de lutte sociale pour les droits des automates. Intrigant n’est-ce pas ?



Je suis honnête j’ai vu tueur, enquête, mais surtout Nouvelle Orléans je ne me suis pas posée plus de questions surtout que j’avais adoré comme je te l’ai dit en introduction « Cendres » qui se déroule à peu près dans le même univers. (Résumé de Cendres : L’histoire va graviter autour d’un manoir victorien, où vivent les Henwoorth, une famille — en apparence parfaite — qui a fait fortune grâce au commerce de diamants dans la capitale. Mais, il semblerait que de nombreux secrets planent autour du manoir et de ses habitants. Comment expliquer les nuées de cendres mystérieuses qui s’échappent de leur atelier ?

Pour mener l’enquête, le lecteur va suivre deux personnages principaux :

Agathe Sildarat et Nathaniel Depford, un jeune homme de 27 ans, qui travaille comme allumeur de réverbères dans la vieille ville

Des rues sombres de la capitale, en passant par un manoir victorien, de soirées mondaines où le diamant est roi, aux tavernes où l’opium circule dans les veines.

Plongez du côté sombre de Londres… mais prenez garde, personne ne sort indemne d’un tel voyage…)



Enfin, je me dois de souligner les magnifiques couvertures signées par Aurélien Police

J’adore son travail que tu peux voir ici



Quel travail tu ne trouves pas ? je suis fan



Mon avis.



Les thématiques et les personnages



Dans ce roman, nous découvrons une Nouvelle-Orléans des années 20, revisitée à la sauce steampunk, où sévit un tueur en série amateur de jazz et armé d’une hache.

Tu es donc tu l’as compris dans un roman steampunk oui, mais c’est surtout l’aspect enquête qui est développé et ce n’est pas pour me déplaire.

Le prélude et le prologue te mettent directement dans l’ambiance, ce sera sombre, tu es prévenu.



Le début pourrait être un peu compliqué pour les lecteurs qui ne connaissent absolument pas l’univers et qui n’aiment pas le roman choral ou du moins qui n’en ont pas l’habitude.

On alterne les points de vue de plusieurs personnages notamment l’héroïne : Grace.



Les 100 premières pages pourront te paraitre un peu lentes, mais rassure-toi une fois ce cap passé, les personnages et les intrigues mis en place ; la suite est haletante.

Le rythme s’intensifie pour ne jamais baisser de tempo.

J’ai littéralement dévoré les 400 pages suivantes, car il me fallait comprendre.

Évidemment ce rythme n’aurait pas pu être maintenu sans des personnages intéressants, attachants et charismatiques ainsi que des thèmes d’actualité très bien intégrés dans l’univers de Johanna Marines.



Les thématiques transposées dans cette uchronie sont fortes et importantes pour moi.

Tu y trouveras dans le désordre : racisme, mixité, condition féminine, lutte sociale, etc.



Les personnages sont bien campés et construits. Leur psychologie est bien maîtrisée et menée. C’est sans aucun doute le point fort de ce livre.

Tu as Grace, mais aussi Ian, tous deux embarqués bien malgré eux dans cette enquête.

J’ai adoré Plim, l’oiseau mécanique de Grace et leur relation.

Tu as évidemment des chapitres où c’est le mystérieux tueur en série qui prend la parole ; d’autres où c’est Adam, William, Wilhem, un second tueur : le tueur à la plume, Molly, Anton, Rachel, etc.

Humains et automates, enquêteurs et médecins, diseuse de bonne aventure et danseuse tout ce petit monde se mêle sans que rien ne dénote ou ne soit de trop.

Des énigmes et des questions qui te poussent à tourner les pages pour comprendre tous les tenants et aboutissants.

Je n’avais pas vu poindre certains liens ou rebondissements.

L’autrice réussit à garder leur ambiguïté et à nous faire douter jusqu’au bout. Jusqu’à la toute dernière page, tu ne seras certain de rien. J’ai particulièrement aimé Grâce, l’héroïne principale. Une jeune femme au caractère bien trempé, indépendante, et qui refuse de se plier aux mœurs de l’époque.

Tous les protagonistes ont en commun d’être nuancés et entourés de mystères, Grace y compris.



L’enquête et l’intrigue :



Je ne le cache pas, j’avais peur que cela devienne facile, que cela soit bâclé à un moment ou un autre, mais non.



Je n’ai rien à reprocher au roman sauf peut-être un manque de développement du dénouement final et comme je te l’ai dit une plus grande immersion dans la Nouvelle Orléans.

J’ai aimé l’atmosphère, mais je n’ai pas trouvé que la ville prenait une grande place. J’ai peut-être cette impression, car c’est une ville que j’adore retrouver en littérature.

C’est un détail, car cela n’a pas perturbé ma lecture pour autant.



Les nouveaux éléments introduits pas Johanna Marines m’ont bien plu.

Tu lèves les yeux et tu peux admirer le Mecanic Hall, un aérocabaret où travaille Grace.

Tu entends les notes de jazz, tu vois les automates ou les illusionautes. Cartomanciennes ou désembobineurs. Ou encore, les ensemenceurs dans leurs planeurs.

Je n’ai pas saisi toutes les subtilités de ces derniers, mais l’enquête étant primordiale pour moi là encore aucun souci.



Point positif supplémentaire : la dimension sociale du roman.

Les automates accomplissent certaines tâches, mais ils sont persécutés, dénigrés et sans aucun droit.

Ce n’est pas sans rappeler la société de notre époque.



L’autrice, Johanna Marine, laisse planer cette aura de mystère tout au long de son intrigue. Les articles de journaux, disséminés entre les chapitres, apportent un éclairage nouveau, des explications sur l’univers où tu évolues sans oublier une plu-value sur le travail éditorial.





En bref :



J’ai dévoré ce roman, je n’avais qu’une hâte le lire.

La plume est très addictive, fluide.

L’intrigue est pleine de rebondissements dans cet univers imaginé par l’autrice, un univers imaginaire et historique fascinant !

J’ai adoré que cela se déroule à cette époque et qu’on le ressente dans les thèmes.



Dans Encens, tu auras : des meurtres, des révélations, une atmosphère glauque, sombre et mystérieuse. Des moments de tensions, des conflits sociaux, une double enquête, des secrets et tellement de choses que je ne te révèle pas et que tu devras découvrir par toi-même.



Si tu lis beaucoup de romans de ce genre, je ne pense pas que tu seras pleinement satisfait pour quelques petits défauts ou parfois un peu trop de légèreté, mais par contre si tu veux débuter dans le genre fonce !
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Encens

ALERTE COUP DE COEUR

Et je l’écris en gros parce que c’est, jusque-là, ma meilleure lecture de 2021.Pour ne rien gâcher, ce qui a rendu aussi cette lecture fabuleuse, c’est aussi d’avoir pu échanger directement avec l’autrice, lui donner mon ressenti et poser des questions auxquelles elle a gentiment répondu, un vrai plaisir, merci Johanna.

Avec Encens, nous sommes donc plongés dans une uchronie, à la Nouvelle-Orléans dans les années 20 où sévissent deux tueurs, terrorisant la population. C’est un roman choral, chaque chapitre suit donc un personnage différent et offre une vue d’ensemble sur cette intrigue fabuleuse. Chacun d’eux à un rôle à jouer, aucun n’est laissé sur le bord de la route et l’autrice nous offre un final absolument parfait. Je ne m’y attendais absolument pas et j’ai adoré.

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Vous passerez par une multitude d’émotions avec cette lecture : curiosité, angoisse, douleur, compassion, peine mais aussi amour et tendresse. Vous y trouverez aussi des amitiés sincères et bouleversantes, de la tolérance aussi et malheureusement du racisme et de la discrimination, bref, pas de quoi s’ennuyer ! Sans compter sur une enquête et une intrigue très très bien menées, à la recherche des tueurs.

La plume de Johanna est très belle, douce et addictive. Les pages défilent sans que l’on s’en rende compte, l’ambiance de la Nouvelle-Orléans est bien présente notamment avec les extraits d’articles de journaux qui donnent un petit plus et que j'ai particulièrement appréciés.

Bref, si vous ne l’avez pas lu, n’hésitez plus une seule seconde, ce livre est une pépite !

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Oxygen

"Si l'air devenait toxique, jusqu'où seriez-vous prêt à aller pour respirer ? " Cette phrase du résumé m'a tout de suite accroché et m'a donné envie de lire cette dystopie, écrite par une jeune auteur montpelliéraine.



Une chose m'a tout de suite plu dans ce roman, le réalisme du futur envisagé par l'auteure. En effet, tous les modifications apportés au monde que nous connaissons aujourd'hui sont justifiés par différents événements et scientifiquement possible, sans que leur justification soit ennuyante. En effet, le côté scientifique est apporté par petite touche, de manière simple et efficace.



Ce livre est empli de mystère que l’héroïne, Maïa, cherche à résoudre. Elle cherche à comprendre les raisons de la mort de son père, les mystères entourant le fonctionnement de la ville et les technologies leur permettant de survivre avec l'aide de son ami Naos. Et à chaque fois qu'ils s'approchent de la résolution d'une partie d'un mystère, un nouveau fait son apparition, nous plongeant plus loin dans la lecture.



De nombreuses problématiques importantes sont abordées dans ce roman comme le réchauffement climatique, les avancés technologiques et leurs excès, la lutte des classes et les difficultés affrontés par les classes les plus pauvres.



Cependant, ce livre a quelques points négatifs. Le début du livre est pour moi trop long, la mise en place de tous les éléments du monde prend trop de temps et retarde le début de l'action même si cette partie de l'histoire est importante pour la compréhension de la suite. Ensuite, Maïa embrasse trop de causes différentes, la conduisant à enquêter sur beaucoup de choses à la fois et dispersant un peu le récit et l'intrigue. Toutefois, tous les mystères finissent par trouver leurs réponses et l'intrigue possède une belle conclusion.



Ce livre se lit très bien et l'écriture de l'auteure est très agréable. L'histoire est prenante et on ne se lasse pas du début à la fin.
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Oxygen

Ce roman jeunesse est une belle découverte, prometteuse (j'imagine même une suite possible à cet opus). Nous découvrons un paysage apocalyptique absolument génial, planté en 2215. Venise et New York mêlés, avec de nouvelles saisons, un nouveau mode de vie, de nouveaux jeux (une loterie par an qui fait froid dans le dos) et trois catégories sociales: les Irons, les Pewters et les Gold. Chaque catégorie a une autonomie de respiration différente, et cette idée apparente les hommes à des machines, ce que je trouve délectable.



Le suspense est bien présent, les personnages attachants et la réflexion est amenée sur différents sujets, ce qui peut éveiller les consciences de nos chères têtes blondes, rousses et brunes. On fait face à la conséquence de la fonte des glaciers, à la disparition de certaines espèces... Certains passages interrogent sur notre dépendance aux nouvelles technologies; on l'a vécu ces derniers temps avec le piratage informatique des hôpitaux, chacun l'a vécu lors de coupures électriques... mais là, il s'agit du réseau d'oxygène!!! D'autres thèmes sont abordés comme la peine de mort, la GPA, les différents trafics qui tuent à petit feu mais aident aussi à vivre, la monocratie...



La protagoniste, Maïa, une jeune fille de vingt ans, comprend le fonctionnement de la société dans laquelle elle vit, assimile l'injustice qui règne sur terre, doit faire des choix difficiles, essayer de comprendre ce qu'on lui cache... Je n'en dis pas plus! C'est en tous cas un roman à glisser dans les mains des ados dès 13 ou14 ans, un roman qui fait passer un message pour l'avenir!!!
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Oxygen

Très chère Johanna,





Merci encore pour cet univers impressionnant qui nous fait poser mille et une questions. Merci pour cette plume si fluide, ces rebondissements inattendus, et tes personnages si attachants..





Oxygène, c'est un roman qui m'a donné des frissons. Effectivement il est tellement réaliste qu'on se dit que dans des centaines d'années ça pourrait potentiellement être le cas. Et c'est flippant.



L'idée même de rendre l'air toxique et l'oxygène payant 🥶 Il y a peu de temps, j'ai eu l'occasion de voir le film "Time out" qui m'a lui aussi, impressionné, et je peux les comparer sans aucune hésitation.



De plus, ce qui est effrayant, c'est que même si c'est un roman dystopique, la condition environnementale est bien celle qu'on craint aujourd'hui, tellement de réalisme... Et l'idée même de naître et de subir une modification corporelle pour respirer... 😫





Cendres avait déjà été un coup de cœur, Oxygène à suivie.. et je ne doute pas que Encens et Écailles suivront le même chemin. (J'ai extrêmement hâte qu'ils sortent pour les lires 👀)





Encore un univers magnifique, prenant, et surprenant. Merci d'écrire d'aussi beaux romans !



avec tout mon amour Loéva ✨





ps: merci pour la playlist, c'était extrêmement agréable
Lien : https://ladroguerieecrite.wo..
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