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Critiques de Lauren Weisberger (582)
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Sexe, diamants et plus si affinités...

Trois jeunes femmes vivant chacune sa vie sentimentale à sa manière, se sentent insatisfaites. A l’approche de la trentaine, elles décident de commun accord de changer leurs approches respectives. Nous suivrons donc leurs déboires amoureux suite à leurs nouvelles résolutions. J’ai trouvé le livre très bien écrit, très distrayant et très réaliste malgré tout.



Paradoxalement, j’ai eu du mal à avancer dans ma lecture. C’est sans doute dû au fait que le fil rouge était trop léger et qu’il n’y avait pas ce minimum d’enjeu et de tension qui me pousse à tourner les pages.

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People or not people

Ce roman de Lauren Weisberger m'a beaucoup déçue. Je n'ai pas retrouvé ce que j'appréciais chez elle. Peut-être aussi suis je moins fan de ce type de roman sentimental que je pensais. En tout cas l'humour a moins bien fonctionné sur moi et je n'ai pas accroché avec l’héroïne. L'intrigue m'a semblé ennuyeuse et un peu bête. Bref je n'ai pas aimé.
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L'art et la manière de conclure en beauté

Aujourd’hui je vais vous parler de ma dernière lecture “L'art et la manière de conclure en beauté”. Entré dans ma Pal uniquement parce que Lauren Weisberger en est autrice, c’est le genre de livre que j’aime garder sous la main pour les jours ténébreux où le moral à besoin d’un petit coup de pouce !



Et il a bien fait son travail !

Nous y faisons la rencontre de Charlotte Silver, elle préfère "Charlie", jeune étoile montante du tennis et favorite du joueur le plus sexy de la planète. Son but ultime est de gagner un tournoi de Grand Chelem.

Mais tout ne se passe pas comme elle le voudrait et une blessure vient ajouter une ombre à son rêve. Alors quand tout le monde semble vouloir la mettre au placard, elle décide de changer de stratégie !

Au fil des pages Charlie nous entraîne dans l’envers du décor du tennis professionnel. Entre entraînement, sparring-partner, autographes et enfance consacrée au tamis et aux balles pendant que les copines font du lèche vitrine et profite de la vie, on s’attache et on compatit.

Elle évolue dans un monde de compétition, ou parfois certains se montrent sans pitié pour réussir ! C’est ce qui m’a plu chez elle, ce tiraillement entre rester elle-même, une jeune femme qui prendrait le monde sans ses bras, ou suivre délibérément ce qu’on attend d’elle pour devenir impitoyable et atteindre la première place.



Je ne suis pas du tout fan de tennis, mais l’autrice nous partage ici sa passion d’une façon tellement détaillée que le livre a changé mon regard sur cet univers. On y découvre le monde difficile de la compétition, les réglementations et l’importance des tenues des joueurs, les sacrifices, les attentes de l’entourage, les entraînements et restrictions alimentaires ou même encore l’importance de l’image publique.

Même si je ne mettrai pas à regarder Roland Garros, la prochaine fois que je verrai un joueur briser sa raquette après une défaite je serai bien plus compatissante !
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Le Diable s'habille en Prada

A peine sortie d'une prestigieuse université, Andrea décroche un poste d'assistante dans Runaway le magazine de mode New-Yorkais le plus en vue. Elle s'y est engagée pour un an tout heureuse de se dire que ça va être un tremplin pour sa carrière (son souhait étant d'écrire pour le NewYorker) et qu'elle va retrouver son amoureux Alex et sa meilleure amie Lily. Elle va très vite désenchantée, se rendant compte qu'elle n'est employée que pour effectuer les basses besognes (aller chercher le café de sa patronne, remplacer au pied lever la baby-sitter...). Par ailleurs, elle subit la tyrannie de sa patronne qui en demande toujours plus et le mépris de ses collègues. Si elle est consciente de tout cela et qu'elle se rend rend compte du décalage entre son univers et celui de la mode dans lequel elle évolue, elle va se laisser prendre au piège, accepter certaines choses, se perdre...Ella va s'éloigner de sa famille, de son fiancé, de son amie Lily et de ses valeurs. Jusqu'à ce qu'un accident se produise alors même qu'elle se trouve à Paris pour l'un des plus grand défilés de mode. Elle va, alors, prendre conscience de certaines choses et stopper l'aventure. Mais qu'en sera-t-il de son avenir tant professionnel que personnel ? Sera-t-il trop tard ? A vous de le découvrir...

Mes sentiments : j'ai bien aimé le côté caricatural et satirique du roman. J'ai aimé le ton cinglant et sarcastique d'Andrea, on a souvent le sourire aux lèvres. L'écriture est agréable et fluide. Il y a toutefois, des longueurs et des passages où il y a trop de détails.

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Le Diable s'habille en Prada

Le Diable s'habille en Prada est un roman que L'Express, Lire, ainsi que des magazines féminins, ont encensé de critiques élogieuses, et l'adaptation cinématographique de 2006 (si mes souvenirs sont bons) avec Anne Hathaway et Meryl Streep n'a fait que renforcer le succès dont bénéficiait déjà le livre. Alors que j'étais en hypokhâgne, en classes préparatoires littéraires, je me suis plongé dans la lecture de cet ouvrage, histoire de prendre une pause avec les monuments littéraires que je devais étudier. Ce roman a suscité chez moi le rire par ses sarcasmes, et son humour acerbe : Andrea Sachs, la narratrice, récemment diplômée de l'université Brown, se lance à la conquête de New York, afin de faire carrière dans le journalisme. Ce qu'elle veut, c'est mettre sa plume au service du New Yorker. Faute de contacts pour la pistonner (c'est toujours comme ça dans le monde de la presse, je suis bien placé pour le savoir, puisqu'il fut un temps où je souhaitais ardemment devenir journaliste), Andrea fait de timides débuts chez Runway, célèbre magazine de mode dont la rédactrice en chef est Miranda Priestly, l'archétype de la patronne impitoyable. Bon, on devine aisément que Miranda a été créée autour de l'emblématique Anna Wintour, rédactrice en chef de Vogue, magazine de mode que je n'ai pas besoin de vous présenter. Sauf qu'Andrea est embauchée en tant qu'assistante, et que ses tâches se résument essentiellement à : guetter sur son portable les appels de Miranda, consigner ses requêtes, et les exécuter. Attention, c'est un véritable agenda de ministre pour Andrea qui doit accomplir des missions n'ayant nullement trait à la presse écrite. Au contraire, la nouvelle recrue doit le plus souvent aller récupérer des habits pour sa patronne, lui apporter ses repas préparés par les chefs des meilleurs restaurants situés à l'autre bout de New York, ou simplement un café de chez Starbucks. Et encore, je vous résume ses journées de travail dans les grandes lignes ! Attendez de voir la course au manuscrit d'Harry Potter (si, si, il y a bel et bien un passage consacré à une telle mission). Cependant, après des débuts laborieux, Andrea parvient à se conformer à l'image que Runway cherche à donner. Mais pervertie par le carriérisme qui gangrène la rédaction, Andrea sacrifie sa vie sentimentale et ses amitiés, au profit de sa réussite.



Si le personnage de Miranda est très intéressant à observer, celui d'Andrea m'a agacé pour les raisons suivantes : j'ai eu l'impression que la narratrice faisait une crise d'adolescence à retardement  dans ce roman ; notre jeune diplômée se retrouve confrontée au monde du travail dans lequel elle fait ses premiers pas, et se heurte à une réalité qu'elle n'avait jamais soupçonnée. Bref, après avoir pris du bon temps sur les bancs de la fac, Andrea découvre ce que c'est que de vivre en solo sans ses parents, en colocation avec des amis, puis son bien-aimé. Et en dépit de son cheminement dans l'œuvre, sa personnalité n'évolue pas : elle demeure la même gamine qui veut tout sur le champ ; vingt-trois ans, mais quatorze ans d'âge mental. En ce qui concerne le regard de l'auteur sur le monde de la mode, son analyse est tout à fait pertinente : le roman démontre à quel point la mode happe ceux et celles qui veulent faire carrière dans ce domaine. J'ai particulièrement été frappé par les descriptions récurrentes qui dépeignent des filles à la silhouette rachitique, juchées sur des talons de huit ou douze centimètres. L'attitude du personnel de la rédaction n'échappe pas non plus à la plume de l'auteur qui insert des dialogues sournois et tordants. En ce qui concerne le personnage de Miranda, nous avons le cliché le plus réussi de la patronne d'un journal de mode: comme toute créatrice de tendance qui se respecte, elle est convaincue d'en savoir plus que quiconque sur quoi que ce soit, elle reste résolument campée sur ses positions, et bien entendu, ne se remet jamais en question, pas plus qu'elle ne se soucie de la déontologie du travail ni du sort de ses larbins. Égocentrique, narcissique et hautaine, la rédactrice en chef se contente de laisser son équipe faire tout le travail pour elle, et considère indigne de sa personne des tâches comme mettre sa signature au bas d'un document officiel, à tel point que son personnel doit imiter sa signature (qu'est-ce que je vous disais au sujet de la déontologie?), tous les prétextes sont bons pour ne pas lever le petit doigt, alors que son équipe se plie en quatre pour elle.



Le roman nous montre un implacable constat qui aujourd'hui encore s'avère réel : seuls les plus tenaces, les plus opiniâtres et les plus pugnaces parviennent à s'imposer dans ce milieu où vous ne pouvez pas vous permettre d'être vous-même. Une fois que vous vous êtes démarqués lors de l'entretien d'embauche, vous devez vous hâter de devenir ce que les autres veulent que vous soyez. Voilà l'expérience que fait Andrea. Ne vous méprenez pas sur mes propos, je respecte le monde de la mode qui encourage et préserve un savoir-faire (et puisqu'on parle de mode, mon style favori est celui dit preppy), mais ses problématiques soulevées par la représentation de l'humain, par la pédophilie (la mode, au même titre que le cinéma d'ailleurs, fait partie de ces industries qui sont viciées par des problèmes de ce genre), et par le rapport au corps me heurtent. Pour en revenir à l'ouvrage de Lauren Weisberger, c'est un livre agréable à lire, très drôle, mais qui dévoile ce que nous ne soupçonnions pas au sujet de l'usine à rêves qu'est cet univers glamoureux. Alors, êtes-vous certains de vouloir obtenir un CDD pour travailler auprès de Karine Roitfeld ? Vous êtes prêts à faire abnégation de votre personne ? À renier votre humanité ? Vous ne vous souciez que de la rentabilité et de tout ce qui a trait à l'apparence ? Vous vous investiriez dans ce travail au péril de votre vie (sans rire) ? Alors ce poste est fait pour vous !
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Le Diable s'habille en Prada

Lu il y a très longtemps maintenant j'en garde un bon souvenir. Un petit roman léger sans prise de tête.
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Le Diable s'habille en Prada

Suite au visionnage du film du même nom, avec dans le rôle d'Amanda Priestly la célèbre Meryl Streep, je me suis attelée à la lecture du roman. J'ai pris beaucoup de plaisir à regarder les aventures d'Andrea se débattant dans le monde de la mode et pris beaucoup moins de plaisir à la lecture du livre.

Il ne faut pas s'attendre à lire un chef d’œuvre, un prix nobel de littérature, mais le style n'est pas mauvais du tout, l'histoire est distrayante et permet de passer un bon moment. Je le classe dans les livres destinés à me vider la tête, à me distraire sans trop réfléchir, ce n'est quand même que de la Chick-lit!
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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

Un petit retour en arrière s'impose : il y a plus de dix, j'ai dévoré avec enthousiasme Le Diable s'habille en Prada, et peu après j'ai tout autant apprécié l'adaptation cinématographie avec Meryl Streep et Anne Hattaway. Je suis en revanche loin d'être une adepte régulière du genre “chick-lit” qui a plutôt tendance à m'ennuyer très vite en général.



Donc quand la suite sort en 2013, je ne me précipite pas dessus même si je l'ajoute à ma "to-read" liste. Actuellement en pleine immersion anglophone de lecture, je me suis tournée vers Revenge wears Prada avec la perspective d'un roman à ma portée et divertissant.



Il faut avouer que l'évolution de l'héroïne (Andrea) est un peu surprenante : on l'a quittée en train de tout envoyer en l'air (la mode, le fric, la presse féminine, Paris) pour se retrouver enfin avec elle-même après une horrible année aux côtés de Miranda. Très clairement, je voyais ça comme une critique assez virulente d'un monde superficiel que Andy envoyait balader pour se concentrer sur ce qui dès le départ importait le plus pour elle : le "vrai" journalisme. Et puis la revoilà dix ans plus tard, couvertes de marques de la tête aux pieds, en train de se triturer le neurone pour voir si elle ferait mieux de manger son croissant caviar avant de prendre un bain, ou d'abord prendre un bain avant le croissant caviar ; reporter de mariages de luxe dans un magazine lancée avec sa meilleure ennemie Emily. Ha et oui bien sûr elle se marie à une des plus grosses fortunes de New York qui en plus d'être gentil et riche, est affublé d'une carrure sexy de mannequin... Bon...



Néanmoins si on fait le deuil d'un récit "suite" et qu'on prend le livre pour une histoire à part entière, on y trouve quand même son compte niveau divertissement. Ce n'est pas d'un style exaltant mais pas nul non plus, et en l'occurrence pour travailler l'anglais, ça remplit parfaitement son rôle.



Pour faire un parallèle, j'aurais tendance à rapprocher le premier tome de la savoureuse série "sex and the city" tandis que le second se rapprocherait des "feux de l'amour" ou même genre.
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

En synthèse, c'est superficiel, creux, mais c'est tellement snob que ça se la joue intellectuel. Je le comparerai bien à certaines œuvres d'art contemporain (et je ne dirai pas lesquelles…) qui n'ont rien à montrer mais qui glosent tellement autour du néant que cela fini par se vendre une fortune.



Pour autant (eh oui, parce que rien n'est tout noir ou tout blanc), j'ai trouvé dommage que ce côté superficiel soit si présent parce qu'il y avait aussi des choses sympathiques dans ce livre. J'ai aimé les trois personnages centraux du roman : Miriam en ex-femme de tête qui s'est effondrée à la naissance de ses enfants et qui navigue entre prise de poids et tentative d'intégration dans une communauté qui lui reste étrangère ; Emily, dynamique consultant en image qui tente de se relancer grâce aux déboires que subit Karolina, ex top-modèle qui a le mauvais goût de ne pas rester bloquer à 20 ans. J'ai bien aimé ces trois caractères si différents, à la fois tranchés par leurs différences mais aussi subtils et complexes. J'ai également apprécié, et c'est paradoxal, la peinture que nous fait Lauren Weisberger de ce monde "bling bling" et superficiel. Mais, je me répète, 420 pages, c'est trop. D'autant que l'intrigue, qui pourrait également être prenante, traîne un peu en longueur, privilégiant la description du quotidien de cette communauté de femmes oisives.



Pour conclure, je dirai que c'est un livre qui se lit vite et facilement, qui fait sourire parfois, dépaysant socialement, un récit léger parfait pour les plages estivales, mais qui ne restera pas dans les annales.
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Pour le troisième volet de la série culte "Le diable s'habille en Prada", Lauren Weisberger dévoile ici "L'enfer est pavé de bonnes intentions", une solide histoire d’amitiés féminine à l'américaine où luxe, drame, et humour se côtoient. (Un opus qu'il est tout à fait possible de lire de façon indépendante



Dans une aventure où Lauren Weisberger dénonce une population privilégiée avec ses travers et ses excès, nous découvrons Karolina ex-top modèle et femme de sénateur, qui en déposant son fils et ses amis, se fait arrêter pour conduite en état d'ivresse et embarquer au poste de police pour y passer la nuit en cellule de dégrisement. Entre scandale et manipulation, elle sera soutenue par son amie Myriam, ancienne avocate réputée de Manhattan qui s'est reconvertie en femme au foyer et qui découvre la vie oisive de la riche banlieue chic et huppée de Greenwich. Emily (personnage culte du Diable s'habille en Prada) consultante pour célébrités à la personnalité franche et sarcastique qui voit petit à petit sa clientèle diminuer et être récupérée par sa rivale, se greffera à elles pour se serrer les coudes en formant un drôle de trio fort, uni et sans pitié.



Trois femmes solidaires, trois destins croisés dans un univers impitoyable, à des années-lumière de notre monde où rivalité flirte avec insolence. Avec des analyses psychologiques intéressantes les personnages sont attachants dans leurs relations et irrésistiblement drôles dans leurs caractères et leurs péripéties.



La lecture est facile et fluide, l'histoire rythmée, sans temps morts avec des passages hilarants mais aussi croustillants. l'écriture est caricaturale, légère et comique avec des dialogues parfois piquants et taillant.



Lauren Weisberger et son franc-parler font mouche pour un dépaysement total dans un livre moderne, sans prise de tête et idéal pour passer un bon moment en vacances !
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Je suis ravie de retrouver Emily pour une nouvelle aventure elle est toujours aussi piquante et pleine d'humour .



Elle est désormais consultante en image pour des stars et a laissée sa carrière d'assistante dans la mode de côté.👜 ( Elle était l'assistante de Miranda Priestley )



Elle forme un trio déjanté avec son amie de toujours Miriam ( ancienne avocate devenue mère au foyer) et Karolina ( ancienne mannequin et femme de Sénateur ). Elles sont toutes à un tournant important de leurs vies et elles vont s'allier pour le meilleur .👠

💄

Fraîcheur et humour sont au rendez vous.🍹
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Je suis déçue par ma lecture. Je m’attendais à une histoire et des personnages assez proches du livre/film Le diable s’habille en Prada mais ce livre ne me laissera pas un souvenir impérissable. Je me suis cruellement ennuyée en lisant les déboires de ces trois bourgeoises américaines obsédées par leur poids, leur âge et les rides qui vont avec, leur maris volages, etc.



Que dire de plus sur ce roman ? L’histoire est très « américaine », Barbie a vieilli et elle a de la cellulite mais ça ne se voit pas trop parce qu’elle va à la salle de sport (et à le n° de son chirurgien en favori dans son smartphone). Elle occupe son temps libre en cancanant avec ses copines, les mamans-bourgeoises de banlieue huppée. Pas ma tasse de thé…
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People or not people

Un livre charmant. On s'attache aux personnage qui ont beaucoup d'humour. Un livre qui permet de passer un bon moment.
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

un livre à lire à la plage...

rien n'est crédible mais au moins on n'a pas à réfléchir
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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

Quelle déception ! L'écriture manque du peps initial, les personnages sont creux, l'histoire sans intérêt et bien trop prévisible .... Quel dommage !!!!
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L'art et la manière de conclure en beauté

De cette auteure, après le superbe Le Diable s'habille en Prada, j'ai été très déçue : une écriture devenue moins fine, moins travaillée, des histoires creuses ... L'Art et la manière de conclure en beauté a donc été de jolies retrouvailles : c'est un bon roman de divertissement qui fait son travail : une histoire sympa, pas tarabiscotée mais pas trop simpliste non plus, des personnages avec un peu d'épaisseur, ... J'ai retrouvé le plaisir de lire du Lauren Weisberger ... et j'espère que ça continuera !
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L'art et la manière de conclure en beauté

Un livre sympa mais un peu long à venir. Le couplet de la gentille fille qui devient une garce pour réussir est vu et revu mais il est bien traité. Dommage que l'auteur n'ai pas poussé davantage son héroïne, car au fond, Charlie reste quand même une gentille fille avec des remords et tout. Donc on arrive même pas à détester ce qu'elle est devenue. Le tout sur fond de tennis pro, j'en ai beaucoup appris sur ce sport (Un peu trop?).
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Le Diable s'habille en Prada

Lecture divertissante, amusante et intéressante qui donne un aperçu du monde de la mode, de la presse féminine.



J'ai regardé le film en même temps que j'ai lu le livre et j'ai remarqué beaucoup d'écarts. Le début est beaucoup plus intéressant dans le livre car davantage développé et on a plus le temps de découvrir Andréa, le personnage principal, avant son entrée chez Runway. Le film ne respecte pas la chronologie du roman : certains faits sont utilisés mais pas au même moment de la vie d'Andréa ni toujours de la même manière. Le personnage de Miranda est plus humain dans le film que dans le livre, même si je dois reconnaître que Meryl Streep relève bien le défi! En outre, les personnages secondaires sont vraiment relégués au second plan dans le film : Lily et Alex ne correspondent pas du tout à leurs homonymes du roman... ils sont réellement plus intéressants à lire qu'à regarder.



En bref, le film met en avant quelques éléments de critique sociale mais beaucoup de points sont comme gommés pour tendre davantage vers le divertissement plutôt que vers la présentation d'une strate de la société américaine.

J'ai préféré la lecture au film. Les seuls points qui m'ont plu dans le film sont les acteurs qui tiennent bien leur rôle mais je n'ai pas apprécié l'adaptation du texte.
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People or not people

Lu en 2007

C'est léger, facile à lire, vite oublié...
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People or not people

Un très bon moment qui ne m'a pas laissé de souvenirs, qu'importe, j'ai passé un bon moment sans réfléchir. C'est cela aussi la lecture
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