Lucinda Riley

Bon, c’est évident, la saga intitulée « Les 7 soeurs » n’est plus à présenter, tant elle a suscité un vif intérêt à travers le monde et conquis plus de 25 millions de lecteurs. Malheureusement, cette année, sa créatrice Lucinda Riley est décédée alors qu’elle était en train de conclure le dernier des 7 tomes. Petite information, son frère devrait reprendre le flambeau de son écriture afin de ne pas laisser les fans, sans réponse à leurs questions.



J’entends déjà de nombreuses critiques fusées comme quoi ce n’est que du commercial, comme quoi c’est mièvre et bien, je m’en fous! Comptant plus de 672 pages en format « poche », j’ai dévoré ce premier tome « Maïa » en seulement deux jours. Je ne sais pas si c’est le fait d’être en vacances ou les embruns de l’air marin ou même le soleil qui aurait pu me taper sur la tête mais je me suis laissée prendre au jeu. L’écriture est fluide, la traduction parfaitement orchestrée, permet-tant une lecture vive.



Ce premier tome m’a en tout cas donné envie de découvrir la suite de l’histoire. Étant à plus de 4.500 kilomètres de chez moi, j’ai donc dû patienter pour me procurer le second tome mais cela ne devrait tarder. Je ne pense pas attendre encore aussi longtemps avant de poursuivre cette aventure des 7 soeurs. Si vous souhaitez quelque chose de totalement différent de mes lectures traditionnelles bien noires, pour une lecture sans prise de tête mais avec beaucoup d’évasion tant dans le temps que dans l’espace, c’est le livre parfait.
Lien : https://www.musemaniasbooks...

Bon, clairement ce livre n'est pas ma tasse de thé. L'écriture est plate. Les personnages n'ont aucune profondeur et semblent juste répéter un scénario convenu depuis la fin des temps sur la rencontre amoureuse. Il faudra qu'on m'explique à quel moment un homme pose vraiment son doigt sur les lèvres d'une femme en lui faisant chuuuut sans que ce soit odieux. Et pourtant, on retrouve ce poncif des pires romans de gare à PLUSIEURS reprises dans le même livre... bref, ça me paraît quand même problématique au 21ème siècle de poser la rencontre amoureuse comme seul lieu de l'accomplissement de la vie d'une femme, décrite en plus avec force détails physiques (les seins voluptueux, la taille mince et j'en passe). Donc, clairement pas ma tasse de thé :)

J'ai apprécié cette lecture du 3ème tome de la saga des 7 soeurs. Même construction que les tomes précédents. Le lecteur plonge dans 2 époques différentes. La 1ère dans la campagne anglaise autour de Flora, jeune fille anglaise du début du 20ème siècle qui quitte sa campagne pour être introduite dans l'aristocratie londonienne et qui découvre ses propres origines. La 2nde partie se concentre donc sur Star, cette 3ème soeur, qui s'émancipe, se détache de sa soeur "jumelle", et qui s'épanouit peu à peu au sein d'une famille anglaise peu conventionnelle.

Dans les 2 histoires, j'ai eu l'envie d'en savoir plus, et les pages se tournaient donc facilement afin de satisfaire ma curiosité.

Restent quelques facilités dans l'histoire qui la rendent un peu "trop simple" une fois encore, quelques hasards trop flagrants (cette facilité dans la découverte des origines des soeurs me gênent toujours !), des prénoms qui s'accordent comme par miracle (pfff...), mais cela m'a permis de passer un bon moment de lecture...

J’ai commencé la lecture de ce troisième tome avec une légère appréhension parce que les deux précédents ne m'avaient pas autant plu que je ne l'espérais.



Lucinda Riley reprend la même construction : le roman se partage entre l’histoire de Flora, au début du 20ème siècle, et celle de Star, de nos jours.



J’ai bien aimé l’histoire de Flora, entre campagne anglaise et haute société londonienne, entre Beatrix Potter (autrice et illustratrice) et Alice Keppel (maîtresse d'Edward VII)...

On devine des secrets autour de Flora, des secrets connus de beaucoup et qui influencent son existence sans qu'elle comprenne pourquoi.

J’ai encore plus aimé l’histoire de Star, la troisième des Sept Sœurs, la plus effacée.

Il y a d'abord sa relation étrange avec sa sœur Cece, fusionnelle au point qu'elle ne supporte plus elle-même cette promiscuité. Lorsque Star se décide à suivre les indices laissés par son père, elle découvre une librairie pittoresque et son libraire encore plus excentrique qui va l'aider tout en l'absorbant dans son univers chaleureux et brouillon : une demeure de rêve, quoique décatie, une famille haute en couleurs et attachante malgré tous leurs problèmes.Comme l'héroïne, je me suis complètement laissée absorber par cet univers cosy.



En revanche, j'ai eu du mal avec l’articulation entre les deux histoires. Cela me semble toujours aussi difficile à croire qu'une personne adoptée qui part en quête de ses origines se contente de l'histoire d'une vague arrière-grand-tante, aussi passionnante soit-elle. Et encore, cette fois la jeune femme retrouve sa mère et obtient toutes les explications qu'elle recherchait...



Comme dans les deux premiers tomes, l'auteur cultive une part de mystère autour du père des sept sœurs, continuant à semer des indices troublants qui pourraient laisser planer un doute sur la mort même de Pa Salt. Et comme j'ai découvert qu'il allait y avoir, en mai, un huitième tome qui sera justement centré sur le personnage du père, il n'est pas difficile d'imaginer que tout n'est pas si simple...



J'ai passé un excellent moment avec La Sœur de l'Ombre... et maintenant j'appréhende un peu de lire le prochain tome parce que j'ai bien peur de ne pas pouvoir l'apprécier autant que celui-ci, surtout que Cece paraît moins sympathique que les autres sœurs.

D'ordinaire je me méfie des sagas aux multiples tomes et au succès fulgurant.

A quelques exceptions près, je n'ai jamais accroché au format et j'en suis souvent ressortie déçue.



Le premier tome des Sept Soeurs, Maia, m'ayant été offert, j'ai cédé à la curiosité.

Très rapidement je comprends que ce n'est pas le style d'écriture que j'affectionne et qui me fait vibrer.



Lucinda Riley a du talent, cela est indéniable.

Elle a trouvé une recette très prenante qui permet au lecteur/coureur de fond, d'enchaîner les tomes les uns après les autres, tel un marathonien, attiré par une orchestration intelligente habitée d'énigmes et menés par la curiosité et l'envie d'assembler les pièces du puzzle.



A mon humble avis l'écriture est un peu bavarde, accentuée par des répétitions et des longueurs.

Toutefois c'est extrêmement bien vu d'exploiter des secrets famille en mêlant quête identitaire, mystères et histoires d'amour en dynamisant chaque tome par la promesse de venir à bout de ces énigmes.



Le premier tome, un peu teasing, a pour mission d'implanter le tableau général et d'attiser la curiosité et l'envie de découvrir à chaque fois un personnage dans un coin différent de la planète et dans un univers bien propre, suscitant une espèce de force centrifuge qui tient la magie.



Remonter les histoires des ancêtres pour y arriver à comprendre sa propre histoire en mêlant réalité et fiction est également un tour de force bien exploité.



Découvrir les autres procure la meilleure façon d'arriver à soi.



Malheureusement il m'a manqué le souffle nécessaire des grandes distances et une certaine crédulité pour que la magie opère en me donnant envie de poursuivre cette odyssée familiale.

Ce cinquième tome parle lui d'ésotérisme, et comme les autres, deux histoires s'entrecroisent. Celle du passé, à Grenade, et celle du présent, en Ecosse.

Tiggy a de l'intuition, un contact particulier avec les animaux qui se révèle. Elle va découvrir son histoire et ses racines.

J'ai apprécié la deuxième partie de la lecture, une fois que l'histoire était lancée et la partie ésotérique acceptée. L'histoire des gitans de Grenade est intéressante. Et quelques mystères au sujet de Pa Salt apparaissent

Comme tout le monde, j’avais entendu parler de la série de Lucinda Riley intitulée « Les sept sœurs ». Je reconnais que je n’avais pas l’intention de la lire, ayant suffisamment de lectures en avance grâce au volume fort impressionnant de ma PAL et me méfiant en général des livres entourés d’un certain battage médiatique.

C’est sur l’insistance de deux de mes collègues que j’ai cédé (ce sont mes collègues préférées, il faut le dire) et accepté que l’on me prête les trois premiers tomes de cette série, et puis après tout, la période des vacances me semblait propice à ce genre de lecture…

Je me suis donc lancée tranquillement dans cette lecture, n’en attendant rien de particulier et finalement, je me suis laissé prendre au jeu.

On découvre une famille fort particulière puisque composée d’un père et de ses six filles adoptives. A la mort du patriarche, chacune de ses filles se voit attribuer un courrier paternel qui devrait lui permettre de partir à la recherche de ses origines.

Le tome deux, intitulé « La sœur de la tempête » met en avant la numéro des six sœurs : Ally .

Navigatrice confirmée, cette dernière va elle aussi se mettre à la recherche de sa famille biologique, ce qui va l’amener à se rendre en Norvège.

Comme pour le tome précédent, c’est la partie historique que j’ai le plus apprécié, d’autant plus qu’elle s’est centrée sur Grieg et son Peer Gynt, œuvre que j’apprécie particulièrement.

Un deuxième intéressant, même si je l’ai trouvé un chouia en dessous du précédent…



Challenge Multi-Défis 2021

Challenge Pavés 2021

Challenge Multi-Défis 2021

Ahhhh comme je suis triste de refermer à nouveau un livre de Lucinda Riley!!

j'étais si bien dans ma campagne Anglaise, dans ce Cottage au jardin si grand et abondant de verdure, y a pas à dire cette auteure me plonge dans une totale immersion de plaisir quand je la lis.

Peu importe qu'on vienne me dire Oui c'est de la Romance, Oui on se croirait aux Editions Harlequin moi, j'estime qu'à partir du moment où l'on peut sévader et que la lecture nous envoûte eh bien c'est le summum du plaisir. Lucinda Riley c'est la reine du roman féminin et quelle auteure, elle sait toujours nous tenir en haleine sans jamais nous faire lâcher son livre. On lit, on lit et on attend qu'une chose c'est que le dénouement soit au top, secrets de famille, rebondissements, Flash backs historiques, liens transgénérationnels, personnages aux passés ambigus, non-dits révélés au grand jour. Et je n'oublie pas cette plume toujours aussi fluide et qui fait que l'on ne s'en lasse pas.

Je ne m'attarderai pas sur la 4è de couverture, il y a juste à ouvrir son dernier roman, se préparer une bonne tasse de thé devant un bon feu de cheminée et se laisser happer par la lecture.

Pour faire baisser ma PAL, j'ai lu La maison de l'orchidée de Lucinda Riley.

Dans son enfance, Julia Forrester a passé des moments idylliques dans la serre de Wharton Park. Un immense et magnifique domaine où son grand-père était chargé de prendre soin des orchidées.

Des années plus tard, Julia est devenue une pianiste de renommée mondiale. Alors qu'elle fait face à une tragédie personnelle, la jeune femme revient sur les traces de son enfance et renoue avec Christopher, l'héritier de Wharton Park.

Un journal intime, écrit dans les années 1940 par le grand-père de Julia, est découvert lors de travaux de rénovation.

Quels mystères renferment ces pages ?

Dans les méandres de l'histoire de deux familles ravagées par la guerre, Julia va découvrir de sombres secrets qui vont bouleverser sa vie.

Les secrets de familles resurgissent toujours ?

La maison de l'orchidée est un roman magnifique ; une saga familiale comme je les aime qui m'a captivée de la première à la dernière page.

Julia est une jeune femme devenue une célèbre pianiste. Suite à un drame qui la touche en plein cœur, elle revient sur les traces de son enfance près de Wharton Park, un domaine où ses grands-parents travaillaient et où elle passait ses vacances, enfant.

Julia est une femme touchante, elle a vu sa vie bouleversée du tout au tout en quelques heures. Ce qu'elle vit est difficile et j'ai été profondément touché par ce personnage.

Elle va rencontrer Christopher, qu'elle avait croisée des années auparavant.

Autour d'eux gravitent de nombreux personnages, y compris leurs ancêtres. J'ai beaucoup aimé découvrir autant de personnes, à aucun moment je ne me suis perdue car c'est très clair.

Les pages se succèdent et les surprises aussi. Il est impossible de s'ennuyer.

On a des personnages attachants, certains un peu moins que d'autres évidemment mais autrement ce serait trop lisse ;)

L'histoire est hyper bien ficelée. Malgré des retours dans le passé, je ne me suis jamais perdue.

Il y a des voyages, des secrets de famille..

Tout est réunie pour me plaire et j'ai d'ailleurs adoré ma lecture. Les 747 pages que comptent ce roman ont été lues très rapidement. Pas d'une traite, évidemment. Mais il me semble l'avoir lu en trois jours. Et encore, car je travaillais, sans quoi en deux jours il aurait été dévoré.

La maison de l'orchidée est un excellent roman que je vous invite à découvrir à votre tour et que je note un énorme cinq étoiles.

J’ai passé un très bon moment à Chypre grâce à ce roman de Lucinda Riley.



On y retrouve des ingrédients souvent vus ailleurs (une famille recomposée, un amour de jeunesse, des amis qui s’invitent, quelques secrets qui finissent par s’éventer,…), mais l’auteur agence tout cela avec son talent habituel pour nous concocter une intrigue prenante, essentiellement parce que les personnages sont très attachants. En particulier Helena, une femme séduisante qui semble tout avoir pour être heureuse mais qui cache bien des failles, et Alex, son fils adolescent, aussi touchant qu'agaçant parfois. J'ai trouvé intéressant d’avoir son point de vue d’adolescent sur ce qui se passe à travers son journal.



La dernière partie du roman, qui nous amène dix ans plus tard, m’a semblé presque de trop. C’est comme si l’auteur tenait à conclure l’histoire de chaque personnage, ce qui n’était pas forcément nécessaire à mon avis car l'essentiel était dit. En plus, le ton est différent, plus dans le mélo, avec maladie, décès, peines de cœur…



Malgré cette fin en demi-teinte, j'ai beaucoup aimé Le Secret d'Helena et je me réjouis d'avoir d'autres romans de Lucinda Riley dans ma bibliothèque.

Le septième tome de cette saga achevé, je peux enfin émettre un avis global.



Mon avis reste nuancé, j'espère avoir les mots justes pour l'exprimer.



L'histoire est sans aucun doute bien ficelée. La thématique est originale, l'intrigue est prenante, les personnages bien dépeints et l'on n'a aucun mal à rapidement se plonger dans le récit. Lâcher le livre fut parfois difficile et j'avoue m'être souvent endormie très tard le soir !



Les retours dans le passé sont à chaque fois très documentés. On perçoit un grand travail de recherche. Je suis loin d'être incollable en histoire et serait donc incapable de déceler quelconque erreur ou anachronisme. Un peu comme à la lecture d'un roman de Ken Follet, on apprend beaucoup de choses et c'est culturellement enrichissant. J'ai personnellement pris beaucoup de plaisir à lire ces parties de la saga qui nous font faire le tour du monde en mêlant roman et faits historiques mis en valeur par des personnalités fortes dans leurs combats.



Lorsque l'on revient dans le présent en revanche, l'écriture devient beaucoup plus simpliste. Les personnages deviennent creux, donnant au récit un arrière goût d'eau de rose que j'ai eu du mal à assimiler.

J'ai donc été très gênée par ce contraste d'écriture venant de la part d'un même auteur. Cela était-il voulu ? Si oui, je n'ai pas saisi l'utilité de cette approche.



Par ailleurs on note beaucoup d'erreurs dans les derniers tomes (inversion des noms de personnages, erreurs de syntaxe, de grammaire, fautes d'orthographe,...). Si l'on peut pardonner une ou deux erreurs sur le volume et prendre en considération que l'écriture est un lourd travail, je m'interroge lorsque ces dernières se répètent et qu'elles passent à travers les différentes relectures.



La grande question qui demeure : y aura-t-il un chapitre suivant à cette histoire qui, sans dévoiler la substantifique moelle du dernier tome, laisse le lecteur sur sa faim ?

J'ai lu ce livre en manuscrit en tant que lectrice Charleston 2019. La plume de Lucinda Riley est simple et captivante. Dès les premières pages, elle nous embarque totalement dans son histoire. Tiggy est un personnage engagé, aux belles convictions, passionné et proche de la nature. Elle a hérité de dons de ses ancêtres et peu à peu elle va en prendre conscience. Elle est la spirituelle de la famille. J'ai beaucoup aimé cette histoire même s'il ne se passe pas des événements grandioses. On entre dans une histoire de femmes celle de Tiggy à la recherche de ses origines, celle de sa grand-mère Lucia qui était "la plus jeune gitane enchanteresse qui dansait en vêtement d'hommes." , une grande danseuse de flamenco connue dans le monde entier, un personnage fort, en quête de reconnaissance, parfois imbue d'elle-même mais qui ne voulait qu'être aimée puis celle d'Isadora sa mère qu'elle n'a jamais connue. C'est un roman qui nous parle de quête d'identité, de famille, de la vie des gitans espagnols, de l'amour et surtout de l'espoir. (...)



Ma page Facebook Au chapitre d'Elodie
Lien : http://auchapitre.canalblog...

Comté de Norfolk en Angleterre, de nos jours.

Le prestigieux internat privé de St. Stephen, qui comprend l'ancien dortoir de Fleat House, se trouve dans une vieille bâtisse victorienne au cœur de la campagne anglaise. L'établissement est situé en pleine nature, dans la lande embrumée, fraîche et sombre. Tout est calme. Le milieu est propice à ces étudiants issus, pour la plupart, de l'aristocratie anglaise.

Pourtant, une nuit, un élève est retrouvé mort dans sa chambre. Accident, suicide ou assassinat ? Tout est possible. Si le directeur conclut très vite à un accident pour étouffer rapidement l'affaire, l'enquêtrice Jazz Hunter, chargée de mener les investigations, n'est pas de cet avis. Il faut explorer toutes les pistes.

Mystères, secrets et mensonges font partis de ses découvertes.



Après avoir lu presque l'intégralité des sagas de Lucinda Riley, voici ce nouveau titre qui sort du style habituel de l'autrice. Car, ce livre est un thriller universitaire ou un Campus novel touchant le milieu étudiant britannique. Il s'agit du seul et unique titre de ce style que l'autrice a écrit. Et, c'est une réussite.



Ecrit il y a de nombreuses années, lorsque ces enfants étaient encore petits, "Les mystères de Fleat House" n'a jamais été publié de son vivant. J'ai été surprise et ravie de le lire. Comme d'habitude, dès les premières lignes, j'ai été complétement embarquée dans le monde décrit par Lucinda Riley. Avec une plume toujours aussi fluide, j'ai adoré ma lecture que j'ai dévoré en deux jours.



J'ai beaucoup aimé l'atmosphère posée dès le premier chapitre. L'endroit est sombre et froid. Le bâtiment victorien semble impressionnant et austère. Tout autour, il y a la verdure et le ciel à perte de vue. Les villes sont éloignées. En dehors de l'internat, les étudiants n'ont pas de grandes occupations mis à part les promenades dans la nature. Le seul bruit que l'on entend est celui de vent. On est vite dans l'ambiance.

"Fleat House n'était que l'une des huit maisons constituant l'école privée St. Stephen. Elle portait le nom du directeur de l'école, à l'époque de sa construction, cent cinquante ans plus tôt. Surnommée "la bicoque" par ses occupants actuels, c'était une bâtisse victorienne en briques assez laide, transformée en chambres d'internat après la Seconde Guerre mondiale."

L'enquêtrice, Jazz Hunter, est un personnage féminin au caractère fort, forgé par son passé et les déceptions passées, en pleine remise en question sur son avenir professionnel. Après avoir quitté son poste de Londres, elle se retrouve sur cette enquête à la campagne sur insistance de son supérieur. Peut-être retrouvera-t-elle ensuite le goût du métier.



J'ai aimé la façon dont elle a mené son enquête, tranquillement, calmement et intelligemment. Elle va de découverte en découverte en entrant dans les secrets bien enfouis de Fleat House mais également de certaines familles qui se retrouvent, malgré elles, impliquées dans l'affaire. Il y a de nombreux personnages. Ils ont tous leur histoire. Certains sont attachants, d'autres terriblement arrogants.



Une lecture que j'ai beaucoup aimé. L'intrigue est bien ficelée.

J'ai adoré le contexte et surtout l'héroïne féminine qui se trouve au cœur de l'histoire.

A lire en automne pour être parfaitement dans l'ambiance.


Lien : http://labibliothequedemarjo..

Une fois de plus je sors vraiment touchée par la teneur de ce roman de Lucinda Riley.

Quand je prends un de ses romans (mise à part la série de 7 soeurs) je peux dire que je ne m'ennuierai pas un seul moment, je sais pertinemment que deux époques seront décrites en alternance parmi les chapitres et le puzzle sera résolu à la fin de mon livre.

Ici nous allons découvrir comment cette jeune noble Émilie se voit hériter du domaine de ses parents en Provence et comment en parallèle en 1943 et jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale on fait connaissance de jeunes femmes anglaise, correspondantes secrètes pour sauver la France des nazis qui opprimaient le peuple.

Parmi tout cela, notre riche héritière va découvrir l'amour et la suite du roman nous réserve bien des surprises quant au dénouement sous forme de puzzle et dont les pièces se seront emboîtées pour mon plus grand plaisir de lecture.

Ce n'est pourtant pas une époque qui me passionne mais j'avoue être plongée facilement dans cette lecture et la quitter avec une boule dans la gorge tellement les émotions sont assez fortes sur la fin.

Un bon petite pavé pour commencer ce mois de janvier, une histoire intéressante et prenante, certes sans grandes fioritures, mais ça fait du bien parfois de se laisser porter en douceur par la rondeur des récits. J'apprécie en règle générale les romans au long cours qui cahotent d'une époque à une autre, les secrets de famille, les histoires qui resurgissent à l'improviste. J'ai beaucoup aimé les ambiances, que ça soit à Londres dans le passé ou en Irlande, c'est dépaysant.

Voilà un bon roman sans prétention qui fait du bien à lire au coin de la cheminée avec un bon gros plaid, une tasse d'une boisson chaude rien de plus rien de moins, et c'est le bonheur assuré de passer de longues heures de lecture.

C'est mon préféré de la longue saga de Lucinda Riley. Dés le premier tome, le personnage de Star m'avait intrigué. Asterope est la troisième soeur et elle vit dans l'ombre et surtout sous la coupe de Cece la quatrième de la fratrie. Star est une jeune femme effacée qui s'exprime peu et l'on demande ce qu'elle cache sous ses traits angéliques.

Encore une fois, au début de chaque tome on se pose les questions : quel pays allons nous découvrir, quel pan de l'histoire Lucinda Riley va nous raconter, est ce que les mystères de Pa Salt vont être révélés et surtout quel sera la fin de la quête pour Star....

Lucinda Riley est douée et encore une fois elle frappe fort et nous embarque dans l'histoire émouvante de deux superbes femmes : Flora et Astérope. Quel est le lien entre ces deux femmes à 100 ans d'écart : le sacrifice par amour. Voilà le maitre mot qui est ressorti pour moi. Et cela m'a complétement chamboulée.

Pour le moment Lucinda Riley réussit son pari de créer des soeurs différentes avec des personnalités complexes et qui nous touchent. J'ai été fascinée par le combat de ses deux femmes, Flora et Star qui se battent avec leurs complexes et avancent dans la vie avec leur force intérieur. Deux histoires captivantes où je dirais que celle de Flora m'a le plus émue. Elle nous replonge à une époque pas si lointaine où la femme n'était qu'un faire valoir, loin d'être l'égale de l'homme, la femme devait suivre des conventions pour rentrer dans la société ou sinon elles se faisaient renier. Lucinda Riley nous parle d'une immence artiste Beatrix Potter, avant gardiste à son époque dans sa manière de penser. Elle aborde aussi la royauté à l'époque qui avait son droit de regard sur toute la société.

J'ai noté beaucoup d'émotion dans cet opus avec beaucoup d'amour : l'amour d'une soeur qui met de côté son bonheur pour le bien de l'autre, l'amour d'une maman qui va au delà du lien du sang, l'amour interdit entre deux êtres, l'amour perdu dont on a du mal à se relever....

Le mystère Pa Salt s'épaissit et on demande ce que nous réserve l'auteure dans le tome 7 qui devra bien parler de quelqu'un. Lucinda Riley offre à toutes ses pleiades pour le moment un passé hors du commun et un futur beaucoup plus serein. J'ai hâte de lire Cece qui pour le moment est loin d'être ma favorite. C'est la soeur la plus antipathique.... J'ai hâte de voyager et de découvrir tous ses mystères....

J’ai beaucoup entendu parler de la sage des sept sœurs de cette auteure. Je voulais donc me faire une idée avant de commencer une tels série.

Autant au début j’ai apprécié ce roman, autant à la longue je me suis lassé, je dirais même que je fus écœuré.

Trop de romance, trop de déjà vu, trop c’est trop… Je ne suis réellement pas faite pour les romances…

ça me rappelle lorsque j’étais jeune et que je lisais les arlequins et que je trouvais cela trop top… je croyais au grand Amour, je rêvais de paillette, de stars, de musique, de richesse, de folie... mais j‘avais 15 ans… C’est mignon, mais je n’y crois plus…



bonne lecture !

Je suis toujours époustouflée par l'écriture de Lucinda Riley et sa façon de nous raconter ces sagas.

Elle sait très bien captiver ses lecteurs et c'est ce qui fait le charme de ses romans, on est pris dans le souffle romanesque et on ne lâche pas son roman avant la fin.

L'alternance des récits sur plusieurs époques et de pays d'ailleurs en font son originalité.

Entre les secrets de famille, les trahisons, les événements plus ou moins dramatiques et les dénouements au fil de la lecture, j'avoue qu'il faut suivre mais c'est toujours un plaisir de retrouver cette plume anglaise où toutes les émotions sont exacerbées.

Inutile de faire un résumé de l'histoire car quand on s'attaque à une saga on sait à peu près quels sont les tenants et les aboutissants, sans oublier les rebondissements qui, eux aussi sont de mise sinon à quoi bon en lire une?

J’ai adoré ce tome qui est le tome 3 de la saga des sept sœurs et il fait parti de mes préférés.

La saga des sept sœurs nous fait toujours découvrir un pays, une histoire, des faits historiques, une artiste ou une personne connue, chaque tome est enrichissant !

Ce tome est consacré à la troisième soeur Star.

Star est la soeur la plus fragile, étant arrivée en même temps que sa soeur Cécé, elle a été immédiatement prise sous l’aile de celle-ci, qui a un fort caractère et qui la surprotégée durant toute leur enfance.

En grandissant, Star a vécu dans l’ombre de sa soeur, elle s’est laissée guider, s’est laissée influencer, elle aime beaucoup sa soeur et ne veut pas avoir de conflits avec elle et du coup elle lui obéit même si ça ne lui convient pas vraiment. Elle l’aime trop pour pouvoir la contrarier.



Mais à la mort de leur père tout va changer. Elle a envie de savoir qui elle est vraiment, ça va lui couter, ça va lui demander un effort considérable, mais elle va essayer de couper ce cordon qui la lie à sa soeur Cécé et elle va partir toute seule à la recherche de ses ancêtres.



Lucinda Riley va nous plonger au cœur de Londres, le Londres d’aujourd’hui et celui du siècle dernier.

Elle va nous raconter encore une magnifique histoire où elle va nous dépeindre la condition féminine de l’époque où c’était dur de faire valoir ses idées quand on était une femme .

On va côtoyer la célèbre écrivain pour enfant Béatrix Potter, on va avoir envie de rentrer dans ces librairies si exceptionnelles , on va avoir envie d’aider Star dans sa recherche , on va être conquis par cette ambiance d’une époque révolue mais si particulière , bref vous l’avez compris on va être captivé tout au long de notre lecture .

Je découvre Lucinda Riley avec cette saga familiale. Un roman, histoires de femmes, danseuses de 1900 à nos jours, liées par un amour immodéré pour Aurore, héroïne du ballet "la belle au bois dormant". Les sentiments des personnages sont délicatement livrés par la plume fluide de l'auteure.



Les familles Ryan et Lisle imbriquées par l'amour d'un lieu : l'irlande, la baie de Dunworley dans le comté de Cork. L'auteure décrit des personnages émouvants, des paysages sauvages. La lande, les falaises, l'océan déchaîné, des secrets, des fillettes, des non-dits. Lucinda vous fera rêver au clair de lune, respirer les embruns.



En parallèle, l'histoire de Matt le New-Yorkais, comme celle d'Anna ne sont pas assez développées à mon goût. Grania va vivre des émotions fortes, découvrir le lien entre les Ryan, les Lisle, se découvrir, réapprivoiser l'amour avec son âme d'artiste. Toutefois, la flamboyance du début de son aventure s'amenuise dans les derniers chapitres au profit d'Aurora, Anna, Mary et les autres, Destins mêlés à travers le temps. Ces générations de femmes toutes fortes, sont pour les premières animées par une passion la danse classique, les ballets Russes.



Une histoire à tiroirs, captivante dès les premiers chapitres qui s'essoufle un peu par choix de l'auteur d'un florilège de personnages dont tous les parcours ne sont pas développés. Des péripéties nombreuses, des invraisemblances aussi, mais l'écriture de Lucinda Riley rend cela confortable. Un fil rouge, les commentaires d'Aurora qui accompagnent les événements de la vie de Grania.



Un excellent moment de lecture, d'évasion romantique comme peu l'être l'âme slave. En refermant ce roman, vous vous direz qu'il faut vraiment profiter du moment présent, des petits bonheurs quand ils vous croisent en attendant la prochaine tempête !