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Critiques de Marc Levy (6545)
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Et si c'était vrai...

- C’est pas vrai ? T’as lu un Levy ?

- Ben wouai !

- Et alors ?

- J’avoue que c’est pas vraiment ce qu’on en dit.

- C'est-à-dire ?

- Ca détend, c’est gentil.

- D’accord mais c’est pas de la littérature !

- C’est quoi la littérature ? Hein ? A partir du moment ou t’ouvres une page, que tu en tournes une autre, puis encore une autre, c’est parti. T’es dedans. Et là, j’avais envie de passer un moment “en tranquillité”. Et il y arrive le levy qui n’est pas Strauss. Bon l’histoire tient la route, juste ce qu’il faut pour ne pas en sortir. La phrase ; sujet, verbe, complément. Dés fois le complément il est là pour faire beau.

- Tu m’étonnes…

- Sois pas médisant. C’est agréable. J’ai essayé un autre, puis un autre, j’avoue j’ai pas réussi le coup du chapeau. Mais c’est plaisant comme un truc que tu prends pour te désaltérer. Ca changera rien, pas de grande idée, pas de belles et grandes phrases qui restent. Mais bon tu lis que des chefs d’œuvres toi…

- J’essaye. Oui…

- Ben tu vois moi je mange à tout les râteliers. Et parfois j’suis fatigué des grands marathons, des longues pistes, des châteaux en Espagne. Mais bon tu m’en fais son avocat alors que j’voulais juste te dire que toutes les portes sont ouvertes. Déconnes pas… Et si c’était vrai, que ça ce lit. Je voulais savoir. Et ben ça se lit, sans trop de problème.

- Ok… Ok… J’vois ce que tu veux dire…

- J’espère bien… Et le sujet ? lit la quatrième de couverture. Tu verras tout est dit.

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Et si c'était vrai...

Une question : pourquoi tant de critiques négatives sur ce livre alors que sa note est si élevée ? Où sont donc passés tous les lecteurs qui ont apprécié cette lecture ?

Parce que heureusement que je n'ai pas lu les critiques avant de lire le livre (que je respecte, attention ! Chacun a droit à son avis, et heureusement qu'on est pas tous d'accord), sinon, je ne l'aurais même pas ouvert.



Oui, parce qu'au risque de déplaire à certains, j'ai aimé, et puisqu'il y a une suite, je vais me jeter dessus dès que possible...





Alors, si vous recherchez du suspense, des émotions fortes, une passion dévorante, une histoire originale, changez de livre ! Parce que c'est quand même un peu réchauffé, même si on y croit et on est happé dans l'histoire sans s'en rendre vraiment compte...



C'est vrai, les personnages ne sont pas très travaillés psychologiquement, mais leurs émotions sont sincères et touchent (préparez-vous à des horripilations en règle, voire, si vous êtes émotif(ve), des yeux humides...). Ils sont superficiels, certes, mais tellement réalistes...



Par contre, au niveau des dialogues, mis à part entre Lauren le fantôme (?) et Arthur l'architecte (qui sont profonds, quand on y réfléchit, sur la condition humaine, la vie, l'amour et tout l'attirail de la relation à l'autre...), c'est assez pète-sec ! Ça fait un peu amour vache, quand même...



C'est vrai, certaines scènes sont aussi prévues d'avance, mais il ne faut pas oublier toutes les autres qui nous ont surprises...

Oui, dès le début, on sait que Lauren et Arthur vont finir ensemble. Le coup de "voler" le corps de Lauren dans le coma à l'hôpital, et de réussir correctement une "opération" qui a nécessité 12 ans d'études de médecine avec "seulement" une formation d'architecte, c'est un peu beaucoup très gros !





Mais à part ça, je découvre en Lévy un style particulier (l'entrée dans le livre est un peu laborieuse, mais au bout de 20 pages c'est bon, dès qu'on fait la connaissance d'Arthur, en fait), un humour sous-jacent et des réflexions intéressantes sur des questions ma foi philosophiques qu'on ne s'attendait pas à trouver dans un livre à l'eau de rose...





Et un dernier commentaire (oui, je sais, cette critique n'est pas très structurée...) : le fait que le passé d'Arthur reste un mystère, et soit dévoilé au fur et à mesure, est intéressant, et permet de mieux comprendre le personnage, de s'attacher à lui et de comprendre ses émotions...





Alors, oui, définitivement, j'ai aimé !
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Et si c'était vrai...

autant vous le dire de suite : je n'ose même pas cliquer sur une étoile pour noter ce livre.

MOISI

sans originalité.

écrit simplement... tout juste à la hauteur d'un téléfilm à l'eau de rose qui passe l'après midi sur M6



Bref j'en rajoute un peu là, mais c'est juste pour dire que lorsque j'ai lu ce bouquin, à sa sortie en poche, c'était suite à tout un battage médiatique de folie etc... Je m'attendais à une sorte de bouquins extra , romantique mais original, etc.

Et j'ai découvert une sorte de mauvaise version de " Ghost" ( le film avec Patrick Swayze ... )(je n'ai rien contre ce film ,hein, c'est même plutôt un bon souvenir...mais c'était pour donner un exemple )...

A se demander pourquoi tout le monde a tant parlé de ce bouquin.



THE déception

je ne suis pas prête d'ouvrir un autre bouquin de marc levy
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Si c'était à refaire

Marc Levy c’est l’auteur que personne n’aime, mais qui a vendu dans les 20 millions (ou plus) de bouquins, ce qui n’est pas négligeable …



Quelques griefs récurrents : style littéraire à chier, histoire à deux balles, auteur à midinette… vous prenez un homme et une femme qui s’aiment, qui se tripotent dans des draps tout propres en écoutant du classique et en buvant du bon vin…



Voici dans les grandes lignes, la trame des ses romans …Bien sur il y a quelques exceptions mais dans l’esprit caricatural dans le quel je me trouve actuellement, on dira qu’effectivement j’ai raison…



J’ai lu quelques uns de ses précédents romans, certains que j’ai appréciés, puis d’autres que je n‘ai pas aimé, ce qui me rend un peu plus objectif que tous ses détracteurs qui le sont beaucoup moins : « C’est de la merde et pis c’est tout »



On est d’accord, il a eu beaucoup de chance, un petit coup pouce du destin : il existe certainement des millions d’auteurs plus talentueux qui mériteraient leur place au sein de l’élite littéraire de notre pays …Moi j’estime qu’un auteur qui arrive à vendre autant de bouquins est aussi légitime que n’importe qui d’autre… que l’on n’aime pas, je peux comprendre, par contre je ne comprendrais jamais l’acharnement snobinard dont il est victime continuellement, il y aussi des millions de daubes reconnues dans le milieu qui resteront des daubes aux yeux des autres…Vous comprenez le raisonnement…



Sinon je n’ai pas aimé « Si c’était à refaire » : impression de « déjà vu »… On retrouve le style Marc Lévy : chapitres très courts, intrigue sympathique, style agréable mais dépouillé, en fait je n’y arrive plus, ce n’est pas que j’emmerde mais j’en ai marre de lire les mêmes trucs, c’est trop linéaire…



En revanche j’ai bien aimé le côté historique relatant le régime Argentin pendant la guerre civile au début des années 1970 même (si c'est très succinct), j’ai bien aimé les effets collatéraux que peuvent engendrés des articles de journaux, bref c’est pas négatif à 100%, c’est l’ensemble qui m’a déplu…



Ce sentiment, je le retrouve chez pleins d’auteurs à succès, tout devient commercial : ne pas sortir du moule au risque de perde des lecteurs…

Mais doit-on les condamner pour autant ? Je ne crois pas, moi si je gagnais un max de pognon en vendant des bouquins j’aimerais que ça continue mais pour ça il faut rentrer dans un « marketing de profit »



Ce roman plaira aux fans, mais moi je n’ai jamais rien compris au fanatisme…Peut-être que ce n’était pas le bon moment, peut-être que ce ne sera plus jamais le bon moment, mais au moins je respecte l’auteur même si…



Mais avec des SI on pourrait refaire le monde... n’est ce pas ?



A plus les copains

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Sept jours pour une éternité...

C'est grâce à ce... livre que je me suis (enfin) juré de ne plus jamais donner sa chance à Marc Lévy. Au moins aura-t-il servi à ça.




Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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Et si c'était vrai...

Ah , Marc Levy, un nom qui fait rêver les éditeurs et fait pleurer l'Académie des lettres...;



Inutile de consacrer trop de lignes à ce roman. Ce que j'en retiens, c'est d'abord que c'est très mal écrit !! C'est vrai, il y a quelques petites comparaisons très simples faites avec des mots très simples et donc accessibles à un très large public qui a dû faire son succès... en ce qui me concerne cela m'a laissée plutôt indifférente.



Alors oui, c'est un scénario à la hollywoodienne plein de bons sentiments (servis à la louche !). Et l'auteur a essayé de dire que mince quand même, il faut profiter de la vie car elle est courte ! Pourquoi s'encombrer de souvenirs et de regrets ? Ah, oui on le sait bien monsieur Levy, mais la théorie et la pratique.... c'est bien grâce à l'écart entre les deux que vous avez pu écrire ce livre !



La 2ème chose que je retiens c'est le ridicule de toute l'histoire et de la mise en scène ! Tantôt on se trouve dans un épisode d'Urgences mal digéré, tantôt dans une réécriture de Ghost . Attention à l'overdose de guimauve ! Mais non, pour moi, la love story avec le fantôme ... Dans un film, ça doit passer, mais dans le roman c'est une autre affaire !



Le détail qui me fait "enrager" tout de même, c'est que je doute que Marc Levy ai jamais eu un de ses proches dans le coma ....

(pour ceux qui connaissent, j'ai trouvé ça tout aussi indécent que la dernière saison de Ghost Whisperer. L'idée que des personnes puissent parler à des "âmes", ok. Que les revenants aient des regrets concernant leur vie sur terre, ok. etc etc Mais parfois les scénaristes feraient bien de penser aux gens qui ont perdu un proche et ne s'en remettent pas ou difficilement avant de faire un scénario trop mielleux, trop à l'eau de rose)



En bref, à la question peut-on s'abstenir de lire ce roman, la réponse est sans hésiter : SANS AUCUN DOUTE !!!! OUI !



Je ne peux quand même pas résister : voici un petit exemple de la "fabuleuse (ou presque)" écriture de Marc Levy :



" Fébrilement il décroche le téléphone et compose le 911. Il appelle au secours, et les secours se mettent en route."

(ok j'exagère, il a fait l'effort de mettre un adverbe plutôt que d'enchaîner les mots les uns derrière les autres. On peut quand même se demander comment il a fait pour ne pas se dire "non, c'est pas possible. là faut qu'j'arrête !" )
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Une fille comme elle

Voici un roman qui ne permet aucun rattrapage si vous ratez le coche des premières pages. Je n’ai pas percuté directement et ne l’ai jamais été par la suite, faute à une panoplie de personnages sans profondeur, creux et insipides. Ce roman manque cruellement de descriptions afin de nous familiariser avec les personnages, sans compter l’absence total d’émotions. Quel ennui !



Quant au résumé, c’est une histoire quelconque dans un immeuble new-yorkais, entre un couple d’immigrés indiens, une jeune fille en chaise roulante et un liftier qui met à mal tout l’immeuble en se cassant une jambe. J’ignorais qu’aujourd’hui il existait encore des ascenseurs manuels. J’ai tellement survolé cette histoire que je suis incapable de relever un intérêt, un rebondissement, une trame, un fil.



Il y a tout de même un brin de sympathie et de fraîcheur dans ce roman. Une histoire qui a le mérite de relâcher les synapses mais de mon côté, la lecture fut plutôt éprouvante surtout après avoir lu deux très bons romans.

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Les enfants de la liberté

Quand vous dites Marc levy, il y a souvent une pluie de méchanceté qui lui tombe dessus. Prétextant qu'il fait des livres idiots, avec des énigmes plan-plan, des personnages con-cons. Et pourtant, c'est un écrivain que j'apprécie particulièrement. A voir les livres que je lis, vous pourriez facilement comprendre que je suis une adepte des romances et donc, me placer tout de suite dans la catégorie des groupies qui adooooorent lire ses romans à l'eau de rose. Et bien, lorsque j'ai découvert cet écrivain, c'était par un pur hasard et ma fidèle complicité a commencé avec ce livre qui n'a strictement rien à voir avec ses autres romans fantastiques saupoudrés d'amouuuur.



Ce livre conte une biographie de son papa au sein de la Résistance 40-45. Cette difficile période où les hommes juifs en ont pris plein la face. Et depuis cette nuit où j'ai dévoré l'histoire entièrement, pleine de courage et de sagesse, je n'ai plus su quitter son écriture. J'ai été marquée au fer rouge par sa plume, par ses pensées et sa façon d'expliquer les choses qui étaient abruptes mais tout à la fois « douces ». Quel contraste vous allez me dire ...



A la foire du livre de Paris, j'ai assisté à l'une de ses conférences où il a pris une heure pour expliquer son fonctionnement d'écriture et sa façon de voir les choses lorsqu'il écrivait un livre et il en revenait toujours aux enfants de la liberté, cette histoire qui – comme il l'a dit – le bouleversera jusqu'à la fin de sa vie. Même Jeannot était là, nous faisant l'honneur de sa présence. Ses romans sont imparfaits, il le dit lui même. Son écriture est à travaillé, il le dit lui même mais pour ce roman, j'avoue de mon point de vue qu'il n'y a rien à changer. Il est parfait. Prise au cou durant toute la lecture, j'ai été franchement émue de cette façon qu'il avait d'expliquer tout les périples de son papa, entourés de Nazis qui prenaient des vies. Il lui a fallut un certain courage pour l'écrire, surtout que c'est une période qu'on tente à oublier, tellement la méchanceté de certain était une deuxième nature.



Bouleversant et tout à la fois touchant, je remercierai jamais assez cet auteur, de m'avoir ouvert les portes des émotions grâce à ce livre qui, sans réfléchir, me suivrai sur une île déserte. L'écriture du passé nous montre ce que le monde a oublié et toute cette foi que les hommes ont fait disparaître. Alors, au risque de me faire huer, je dis Bravo Monsieur Levy.

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Une autre idée du bonheur

Acheté ce matin a 9 heures et déjà terminé…Non, pas que ce livre est passionnant ou haletant, non, juste parce qu’il se lit très rapidement, trop même.



Je pense que Marc Levy n’arrive plus a se renouveler, c’était déjà une impression que m’avait laissé ses trois derniers livres, mais là, c’est de plus en plus constant.



Le synopsis de la 4ème de couverture, ne démarre qu’a partir de la centième page. Avant, il prends bien soin de nous présenter les personnages un par un, comme il aime le faire. Sauf que ça ne sert pas vraiment le récit, on préférerais rentrer dans le vif du sujet plus rapidement. Le livre fait 400 pages, dont 100 d’introduction. Son style est trop vieillissant, ça ne colle plus.



J’ai toujours aimé Marc Levy, quoiqu’en disaient les critiques, mais là, on est a des années lumières de « Et si c’était vrai », « Sept jours pour une éternité » , ou même « Les enfants de la liberté » que j’avait adorés.



Ces personnages sont toujours faciles, les ficelles de l’intrigue sont tellement visibles que cela en est même vexant pour le lecteur. On se dit qu’il nous prends un peu pour des idiots tant les choses sont flagrantes.



Au final, je ressors encore de cette lecture avec un sentiment mitigé, voir déçu. C’est triste a dire mais Marc Lévy est actuellement surcoté et il ne prends plus la peine de se renouveler. Ces personnages sont toujours construits de la même manière, personne n’a vraiment un mauvais fond et il y a toujours une petite morale bien pensante à la fin.



Je lirais sans doute ses prochains livres, car je garde l’espoir qu’un jour cet auteur parvienne a se renouveler, mais il est clair que l’engouement d’aller acheter un livre grand format le jour de sa sortie, c’est fini. Un emprunt en livre de poche à la bibliothèque m’iras très bien.
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Sept jours pour une éternité...

mon dieu que c'est gnangnan... figurez vous que dieu et diable (désolée pour les majuscules) se disent "eh dis donc, si on se lançait un ultime défi pour savoir qui gouvernera le monde" et qu'ils envoient chacun un émissaire, un ange, un démon (qui n'a pas grand chose d'un démon hormis peut être le fait qu'il aime bien voler des voitures...) et savez vous ce qu'il arriva (on le sait à peu près dès la 2ème page) ils tombent amoureux, ça alors, incroyable,les voilà qui fricotent ensemble et comme il faut que ça soit cucul la praline jusqu'au bout, ils nous font un ptit, et dieu et diable tout émus d'être grands pères font la paix... si vous pouvez vous passer de cette lecture, je vous en prie, n'hésitez pas!!!!
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Éteignez tout et la vie s'allume

C est l histoire d une femme d un certain âge qui rencontre un jeune homme, Jeremy, sur un bateau. Elle se rend à l enterrement de son grand Amour, avec qui la relation était terminée depuis longtemps. Jeremy va l accompagner…



Je suis tellement dégoûtée de le dire mais je suis passée totalement à côté de ce

roman. Pourtant j ai dévoré les premiers ouvrages de Marc Levy, je les ai adorés ( a part la série des 9) et j étais très contente qu il reprenne ses idées de base, a savoir les amours impossibles.



Mais quelle déception. Je

n ai absolument pas aimé les personnages, Peut être est ce personnel, mais Adèle ne m a absolument pas touchée. Je l ai trouvée désagréable, âgée, insipide, bizarre dans ses réactions, et même si je

comprends l idée de l auteur de créer une histoire d amour avec une différence d âge, je ne l ai pas trouvée belle. Le côté moralisant, brusque, femme mûre d Adèle m a agacée. Et pourtant je n ai rien contre les personnes qui s aiment malgré les années qui les séparent. Mais ici c était vraiment étrange, fade, inintéressant.



Je n ai pas adhéré au fait que bizarrement ce qu elle vivait avec Jérémy, elle l avait vécu quand elle était plus jeune avec son grand amour. Comme par hasard… Et ces phrases surfaites,

que l on connaît, où ces situations totalement sorties de nulle part, comme par exemple rencontrer quelqu’un pour la première fois et lui dire sans préambule : «  Quelle est votre définition du bonheur ? ». Vraiment prévisible et plat.



Je répète, je suis désolée de cette critique parce que j adore le reste de ses œuvres, mais malheureusement celle ci ne m a pas touchée…
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Et si c'était vrai...

C’est vrai que je n’avais encore jamais lu de Levy avant, mais comme ma fille devait lire celui-ci pour l’école, je me suis laissé tenter.



Cette histoire romantique, sorte de remake du film « Ghost » avec Demi Moore, mais un peu plus à l’eau de rose, déborde certes de bons sentiments mais, dans l’ensemble, j’ai tout de même passé un agréable moment de lecture. Je me suis légèrement ennuyé lors des passages consacrés à la relation entre le personnage principal et sa défunte mère, mais je n’ai eu aucun mal à me laisser happer par le reste.



Par contre, au niveau du style, même si c’est terriblement efficace et accessible à un public très large, je m’attendais à quelque chose d’autre de la part d’un auteur qui vend autant de livres. A défaut de savoir bien écrire, il a cependant le mérite de faire lire beaucoup de gens… ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose.



Une lecture sympa, mais peut-être un peu trop gentille/facile. Par contre, je ne pense pas que je lirai la suite « Vous revoir ».
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Et si c'était vrai...

Il faut reconnaitre que j’ai perdu depuis quelques mois l’envie de lire, mais je retrouve celui d’écrire, alors il a bien fallu que je trouve un moyen légitime de verser quelques lignes sur ce site que j’affectionne tant…



Alors j’ai trouvé le moyen : réécrire quelques unes de mes critiques qui commencent à dater, simplement pour le plaisir d’aligner quelques mots et Marc Levy fait partie de ces auteurs décriés dont j’apprécie la plume populaire, déclassé au rang des romans à deux balles, sacrifié au prix d’un talent non académique, mais qui me donne par moment de quoi alimenter quelques émotions sincères devant la simplicité de son écriture…



C’est vrai que toutes ses histoires se ressemblent, voilà pourquoi j’ai lâché l’affaire, les romances au vin rouge ne m’enivrent plus « au temps » de mon inculture certaine, j’ai donc tourné les dos à cette levrette littéraire pour me pencher plus sérieusement sur des orgasmes plus philosophiques, plus intellectuels… et ce pour différentes raisons, pour m’élever au rang de l’illusion culturelle, être en droit de revendiquer un certaine savoir qui m’échappe le plus souvent, essayer de comprendre ce monde dans lequel nous survivons, comprendre qui nous sommes, pouvoir donner un sens à tout cette merde qui pollue les mers, génocide notre environnement, celui de trouver les réponses dont j’ignore les questions, et à force de chercher, on finit par s’enfoncer dans le néant qui nous caractérise si bien, celui de l’incompréhension face à tout notre gâchis de ne pas saisir notre chance de vivre comme dans un comte de fées, les rêves sont audacieux, l’espoir sans est sans issue, on finira tous par crever avec des regrets…



Mais je ne renie pas cet étrange plaisir de bouquiner du Marc Levy en pointant de mon doigt le plus sincère, qui préfère taquiner les terres humides, ruisselantes d’une envie lubrique devant ce plaisir au combien délicieux, plutôt que de s’élever seul contre l’élite méprisante qui revendique cette certitude de détenir la subjectivité d’une vérité personnelle qui donnerait toute légitimité à leur avis… chacun étant libre de se branler sa vérité dans un mouchoir de soie, moi j’utilise un rouleau de Sopalin en me caressant la médiocrité...



Bien sur que je respecte ceux qui détestent ce style de lecture bon marché, bien marketé, je ne suis pas dans le jugement, je m’en branle un peu, j’ai toujours assumé mon côté romantique, à l’eau de rose, c’est bien d’assumer l’inavouable, ça permet de se détendre un peu l’égo et de se foutre son orgueil derrière l’oreille le temps de quelques émotions simplettes que procure ce genre de bouquins…



il n’y a pas à débattre pour déterminer qui à la plus grosse, à se regarder dans le miroir pour se convaincre de notre objectivité, on est ce que l’on est, différents au yeux des uns et des autres, l’unanimité est un doux mirage que l’utopie revendique depuis trop longtemps, se berçant d’illusions d’une victoire unanime qui nous plongerait tous dans le chaos d’un avis universelle, laissant peu de place à la fantaisie, à l’horreur, au bonheur, à l’espoir d’un monde sclérosé peuplé de moutons binaire qui végéteraient bêlement jusqu’à cette fatalité imminente…



Et si c’était vrai est loin d’être un bouquin original, mais je me suis laissé embarquer dans cette histoire cul cul d’un fantôme comateux et d’un gars amoureux, me laissant bercer par une écriture sans prétention mais qui m’a fait sourire le temps d’une histoire, courte certes mais drôlement efficace si peu que vous soyez réceptif au style…



A plus les copains

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13 à table ! 2015

1 livre acheté = 3 repas distribués aux Restos du Cœur.



Franchement, quel meilleur moyen d’allier plaisir et bonne action ?



Parce que du plaisir vous allez en avoir, à travers ce recueil de nouvelles vous présentant sur un plateau la crème des auteurs :



Françoise BOURDIN - Maxime CHATTAM - Alexandra LAPIERRE - Agnès LEDIG - Gilles LEGARDINIER - Pierre LEMAITRE - Marc LEVY - Guillaume MUSSO - Jean-Marie PERIER - Tatiana de ROSNAY - Eric-Emmanuel SCHMITT - Franck THILLIEZ - Bernard WERBER



Un brochette de talents qui fait rêver, non ?



L’ensemble de la chaîne du livre, outre les auteurs, a décidé de mettre la main à la pâte pour proposer ce beau projet (éditeur, imprimeur, diffuseur, photographe…).



Le thème imposé pour ces récits : « un repas ». De quoi laisser l’imagination de chaque auteur faire son propre cheminement.



Parfois, ce genre d’initiative fort louable propose malheureusement des histoires fast-food de piètre qualité gustative. J’insiste donc sur le fait que ce 13 à table est vraiment d’excellente facture. De vraies belles histoires, aux ingrédients variés, aux goûts prononcés et fort bien cuisinés. De quoi véritablement sustenter tous les palais.



Oui, quelles variétés de saveurs :



- aigre avec Françoise Bourdin et son repas de famille,



- saignante avec Maxime Chattam, parfaitement en phase avec son univers habituel,



- digne des grands chefs pour Alexandra Lapierre, et sa belle conclusion,



- partageuse pour Agnès Ledig et son histoire à la belle ambiance nostalgique,



- intimiste pour Gilles Legardinier, avec son récit autobiographique qui nous narre deux de ses souvenirs forts,



- à l’ancienne pour Pierre Lemaitre et son papy si touchant,



- acrimonieuse avec Marc Levy, mais qui subitement se transforme à merveille en bouche,



- classique pour Guillaume Musso, proche de son univers habituel,



- mélancolique pour Jean-Marie Périer et cette histoire de retrouvailles étranges,



- piquante pour Tatiana de Rosnay, et ce repas de mariage qui finit en beauté (mais pas pour tout le monde),



- qui reste longuement en bouche avec Eric-Emmanuel Schmitt, et cette histoire si émouvante que j’en ai eu la larme à l’œil,



- poissonnière pour Franck Thilliez, avec ce beau récit à message, assez éloigné de son univers habituel,



- en sauce pour Bernard Werber, qui termine joyeusement l’ouvrage sur un ton drolatique.



Un défilé de mets agréablement roboratifs mais pas du tout bourratifs, tout à l’honneur des maîtres queux qui ont joliment joué le jeu, certains de manière très personnelle (même si quelques uns se sont éloignés du thème initial, mais ça n’a pas grande importance).



Vous auriez tort de ne pas venir partager cette tablée du cœur, sincèrement l’ambiance vaut le déplacement. Un repas à 13 qui ne peut que porter bonheur !
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Le Voleur d'ombres

Et si l’adulte que vous êtes devenu rencontrait l’enfant que vous étiez ?

C’est cette belle phrase qui m’a tout de suite attirée et initiée à la lecture de ce roman : un roman magique, nostalgique, qui m'a fait passer des rires aux larmes. Entre réalité et imaginaire Marc Levy nous offre une promenade passionnante dans ce livre tellement émouvant et si humain.



Les premiers chapitres nous entraînent dans l'enfance du narrateur ; le départ de son père, les peurs et les doutes qui l’envahissent, son tout premier amour, beau mais tellement inaccessible…et puis les ombres de son entourage qui se mettent à lui parler comme s'il était une sorte de sauveur. Mais de quoi? Et bien le sauveur de son entourage, car ce que les ombres lui confient ce sont les rêves cachés que l'on enfouit au plus profond de nous quand en devenant adulte, on tait l'enfant qui est en nous... Et puis, notre héros va grandir, il évite les ombres et tait à son tour ses rêves et ses envies, mais pas sûr que les ombres de son enfance ne viendront pas titiller son ombre adulte afin de lui permettre de trouver, un jour peut-être, le vrai et simple bonheur...



Marc Levy est un adulte qui a réussi à se rappeler de ce que cela fait d'être encore petit. D'ailleurs le livre traite de cela : ne pas se trahir soi-même, devenir un adulte qui se rappelle encore de son enfance, qui se rappelle encore de ses rêves, un adulte dont l'enfant serait fier. L'adulte prend l'enfant par la main pour l'aider à devenir ce qu'il aurait voulu, mais l'enfant tient aussi la main de l'adulte pour lui rappeler qui il est et qui il ne veut pas être. J'ai aussi aimé le fait que, même si le livre finit bien, il y a des regrets et des non-dits qui ne s'effaceront jamais. Tout n'est pas blanc ou noir dans ce récit. C'est l'un des points qui rend le livre très sincère et réel, et qui permet une véritable réflexion.



Le voleur d’ombres est un roman poétique et léger à la fois, rempli d'amour et d'affection, de fantaisie et un peu de mystère. A mes yeux, ce livre représente la quintessence même de l'amour d'une mère pour son fils, d'un fils pour sa mère, mais aussi d'un amour d'enfance qui marque à vie et retrouvé des années plus tard. Car « Un amour d’enfance, c’est sacré, rien ne peut vous l’enlever. Ça reste là, ancré au fond de vous. Qu’un souvenir le libère et il remonte à la surface, même avec les ailes brisées. »



Merci à Marc LEVY de m'avoir fait passer un vrai moment de douceur, un peu magique, et qui m’a emmené très loin du quotidien.

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13 à table ! 2015

Treize auteurs. Treize nouvelles.

Treize mots pour en parler ! Treize émotions contrastées. Des mots doux, des mots durs, des mots tendres... Et surtout treize immenses talents qui nous ont concocté de délicieuses histoires à mijoter à petits feux et à déguster chaud. Merci à vous.



Francoise Bourdin : amusante !

Maxime Chattam : inquiétante !

Alexandra Lapierre : mignonne !

Agnès Ledig : légère !

Gilles Legardinier : touchante !

Pierre Lemaitre : mièvre !

Marc Levy : théologique !

Guillaume Musso : fantomatique !

Jean-Marie Périer : nostalgique !

Tatiana de Rosnay : grinçante !

Eric-Emmanuel Schmitt : inspirante !

Franck Thilliez : humaine !

Bernard Werber : savoureuse !



4/5

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Sept jours pour une éternité...

Une daube. Une insulte à la littérature; ce livre est tout juste bon à être qualifié de "roman de gare".

Pas d'action : les personnages sont censés faire pencher la balance du côté du bien ou du mal en une semaine, mais cela ne les empêche pas de continuer leur petite vie routinière; happy end complètement cucu - la - praloche : lire le résumé en quatrième de couverture suffit amplement à connaître l'histoire et son déroulement; quant à l'écriture ... c'est plat, niais, il n'y a rien.

Quand on sait que Marc Lévy est l'auteur français contemporain le plus lu dans le monde, ça fait mal aux fesses.
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Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites

Il y a des matins câlins, des matins chagrins, des matins ensoleillés, des matins grisâtres mais toujours avec cette envie pressante de faire un gros pipi les yeux remplis d’un sommeil mal réveillé, il est 6h00, t’as pas bien dormi, tu traines des pieds, tu jettes un œil par la fenêtre pour connaitre l’ambiance du jour, la pluie s’abat sur ton moral, t’irais bien te glisser sur la couette chaleureuse d’une journée déjà toute mouillée, fermer les yeux pour t’enfoncer dans l’oubli serein des songes plus bandants…



Je ne sais pas pourquoi je ne rêve plus de cul, j’ai remarqué ça depuis un moment déjà, ça m’inquiète ces conneries, avec toutes les petites chattes qui se trainent les pixels sur babelio aux doux écrits anonymes, planquées timidement derrière leur écran, il y aurait de quoi fantasmer… dans les rêves on peut tout se permettre, glisser ses doigts partout humidifiés par tants de contrés mal fréquentés, imaginer cet orgie littéraire loin des physiques disgracieux, ou l’on peut s’inventer mille lubricités, mouillant dans la luxure de corps emmêlés de désirs charnels, sans retenu, loin de la timidité, complices éphémères ou se mélange l’inconscience imaginaire, avec la douceur violente de baisers sucrés avant que l’illusion ne s’estompe sous le bruit des gouttes suicidaires qui s’écrasent violemment sur le jour qui se lève…



Et puis la réalité, t’as le baro-mètre qui se dresse, enfin avec honnêteté le baro-centimètre me parait objectivement plus approprié, et pour faire pipi ça va être coton tiens, comment que je vais bien pouvoir me démerder pour ne pas en foutre partout ? Au pire tu te demandes pas, tu y vas à l’aveuglette, par petits jets, tu ne regardes pas le massacre, et ça va être plus long que prévu… Pourquoi ya pas un mec qui a inventé un putain de chiotte équipé d’une cuvette qui se trouverait dans l’axe de ta bite un matin de pipi, évitant ainsi d’arroser un peu près tout sauf la cuvette réservée à cet effet…



Faut reconnaitre que le matin c’est chiant, surtout le lundi, mais bon c’est comme ça qu’on fait marcher le capitalisme… il y a cette expression que je trouve amusante :



« Le monde appartient à celui qui se lève tôt »



Vu comment que c’est le bordel ces derniers millénaires un peu partout, je vais me la jouer petite bite sans ambition et me contenter de mon trois pièces, après quand t’as des gosses, t’as plus le choix sur ta fainéantise, il est réglé le boulet comme dans la semaine, 6h20 à peine digitalisé que déjà, tu pleures ton week-end :



- Papa…Papa…Papa…

- Papa il est mort chérie dans un accident de fatigue aigue, rendors-toi bordel de-merde !

- Papa…Papa…papa

- Oh mon amour t’as fait un gros dodo ?

- Ouais

- On dit « oui », pas ouais

- Vuiiiiiiiiiiiiiiiiiii

- Allez en route cocotte

- En route cocotte

- Putain tu vas répéter tout ce que je dis

- Putain (rire de gosse)

- Non arrêtes de dire putain, putain (rire de papa)

- Putain, putain, putain (rire de gosse)



Putain ça vous craquer un enfant, comme une petite douceur, peu importe l’heure, c’est une bouffée de bonheur et d’emmerdements, t’as plus le temps d’aller pisser, de penser à toutes ces femmes nues qui me hantent la libido en berne, Il ne me restait plus que les rêves pour tremper mes désirs les plus souriants et du coup même dans mes songes les plus profonds, il n’y a pas une petite chatte pour ronronner de plaisir sous mes doigts affutés de caresses futiles…



Voilà une partie des choses que je ne vous avais pas dites…



A plus les copains

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Où es-tu ?

Un livre horriblement touchant ! Une histoire incroyablement belle. Et comme toujours, les larmes sont au rendez-vous.



Susan et Philip ont vécu toute leur enfance ensemble et l'amitié qui s’est tissée au fil de ces années s’est transformée peu à peu en un amour passionnel. Trop passionnel aux yeux de Susan qui, effrayée, préfère fuir et partir au Honduras où elle s'est engagée dans une action humanitaire pour porter secours aux victimes des catastrophes naturelles, en particulier des ouragans phénomènes fréquents dans ces régions. Resté seul à New-York pour poursuivre ses études universitaires, Philip attendra le retour de son amie d'enfance durant de longues et douloureuses années au cours desquelles ils entretiendront des correspondances qui s'effilocheront au fil du temps.



Le début est assez long, on se demande où l'auteur veut en venir, et au fur et à mesure qu’on rentre dans l'histoire, le rythme s'accélère et enfin l'histoire surprend et bouleverse. Le style est d'une spontanéité qui n'a pas d'égal, Levy sait faire vivre ses personnages qui sont tellement attachants, surtout celui de Mary qui est d'une bonté extrême ! Comme quoi l'amour peut se créer avec les temps, la patience, la confiance, mais il y a toujours des liens qui ne se briseront jamais... Ce roman nous montre bien la complicité des relations humaines où les choix à faire de nos vies est d'une importance capitale.



"Aimer c'est avant tout prendre un risque" cette phrase est la clé du livre, c'est la phrase directionnelle de l'auteur qui a construit son histoire autour de cela. Une histoire touchante, pleine de tendresse, de déchirures, de coups de gueule… L'histoire d’un amour simple mais impossible merveilleusement conté par M.Levy qui nous donne là une leçon sur les méandres de l’amour et sur l'importance du temps dans notre courte existence marquée à vie par les traces indélébiles qu'il y laisse.

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C’est arrivé la nuit

Autant dire que j'ai dévoré ce dernier roman de Marc Lévy, pioché dans ma PAL et reçu par la cheminée à l'occasion du dernier Noël...Confiné ! Si j'insiste sur ce dernier point, c'est parce que cela est paradoxal avec ce t ouvrage dans lequel le lecteur voyage mais ses personnages aussi. Ils sont neuf mais huit seulement ici sont dévoilés ! Ils travaillent ensemble malgré le fait que tout les oppose : position géographique, statut social, profession, appartenance sexuelle et pourtant, un petit outil magique les relie et les connecte sans cesse les uns aux autres : l'ordinateur. Ils ont tous la même passion, se faufiler, s'infiltrer clandestinement dans les réseaux mais tout cela dans un but commun : répare l'injustice autant bien que faire se peut en passant au travers des lois, ou disons, en naviguant plus ou moins en parallèle d'elles car si ce qu'ils font est bel et bien illégal, ce qu'ils veulent avant tout, c'est faire tomber les escrocs (mais là, je parle de véritables gros gibiers) et que ceux-ci payent pour leurs crimes. Ce qu'ils ignorent en revanche, c'est qu'en s'attaquant à cette affaire-là, au cours de laquelle ils n'ont qu'une interdiction - que le groupe des neuf ne se réunisse jamais physiquement - c'est qu'ils vont s'embarquer dans une affaire qui va les amener à s'attaquer à une véritable machine gouvernementale (enfin même plusieurs) et qu'une fois lancée, il sera extrêmement difficile pour eux d'arrêter.



Aussi, lorsque ces neuf-là reçoivent tous le même message, à savoir qu'ils doivent se voir le plus rapidement possible, c'est que la situation devient critique !



Un roman dans lequel le lecteur se retrouve à la fois à Madrid, en Israël, à Rome, à Londres et tout cela, en quelques pages seulement et dans lequel, les personnes s'activent au même moment et ce, en toute coordination !

Une enquête complexe mais extrêmement bien écrite et au cours de laquelle le lecteur n'a pas le temps d'atterrir que c'est déjà reparti ! Un récit extrêmement dynamique dans lequel l'on ne s'ennuie jamais (pas le temps). Il me tarde de découvrir la suite et j'espère que l'auteur n'attendra pas u prochain confinement pour la publier ! En attendant, je ne vous en dis pas plus et ne peux que vous inciter vivement à vous plonger dans cet ouvrage !
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