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EAN : 9782221157862
384 pages
Robert Laffont/Versilio (22/05/2018)
  Existe en édition audio
3.7/5   1555 notes
Résumé :
MARC LEVY
Une fille comme elle

" Il y a tellement de gens qui se ratent pour de mauvaises raisons.
Quel risque y a -t-il à voler un peu de bonheur ? "

New York, sur la 5e Avenue, s'élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres…
Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l'ascenseur mécanique, une véritable antiquité.
Mais la vie de la joyeuse communauté se... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (229) Voir plus Ajouter une critique
3,7

sur 1555 notes
Voici un roman qui ne permet aucun rattrapage si vous ratez le coche des premières pages. Je n'ai pas percuté directement et ne l'ai jamais été par la suite, faute à une panoplie de personnages sans profondeur, creux et insipides. Ce roman manque cruellement de descriptions afin de nous familiariser avec les personnages, sans compter l'absence total d'émotions. Quel ennui !

Quant au résumé, c'est une histoire quelconque dans un immeuble new-yorkais, entre un couple d'immigrés indiens, une jeune fille en chaise roulante et un liftier qui met à mal tout l'immeuble en se cassant une jambe. J'ignorais qu'aujourd'hui il existait encore des ascenseurs manuels. J'ai tellement survolé cette histoire que je suis incapable de relever un intérêt, un rebondissement, une trame, un fil.

Il y a tout de même un brin de sympathie et de fraîcheur dans ce roman. Une histoire qui a le mérite de relâcher les synapses mais de mon côté, la lecture fut plutôt éprouvante surtout après avoir lu deux très bons romans.
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Deepak est venu de Mumbai avec Lali, son épouse.
Ils se sont installés à New York.
Ils ont dû quitter leur famille car leur union n'était pas la bienvenue. Lali venait d'une famille riche.
Après 39 ans, ils forment un couple heureux même s'il ont dû subir un drame au début de leur mariage.
Deepak, Sanjari de son nom de famille, exerce le métier de liftier dans un ascenseur mécanique, un ancêtre, situé dans la 5ème avenue.
L'immeuble compte 8 étages. Il connaît tout le monde.
Il travaille le jour et Monsieur Rivera vient le remplacer le soir.
A la suite d'un accident de ce dernier, les habitants ( pas tous) veulent installer un ascenseur moderne.
Marc Levy nous livre un petit passage qui vaut la peine d'être lu page 163 au sujet des métiers disparus.
Les personnages centraux de ce roman sont Chloé, l'habitante du 8ème et Sanji, le neveu de Deepak qui vont vivre une histoire d'amour pas facile.
Chloé est en fauteuil roulant. On ne saura qu'à la fin ce qui lui est arrivé. L'auteur insiste souvent sur sa féminité et sa débrouillardise. On dirait qu'il veut prouver que même avec une différence, on trouve sa place.
Sanji est à la tête de l'équivalent de Facebook en Inde et là aussi l'auteur montre que lorsque Sanji oublie de s'habiller en homme d'affaires new yorkais, il est moins considéré. Il met assez souvent l'accent sur les différences dans son livre.
"Une fille comme elle" est une lecture très vivante, avec de l'amour, de l'amitié, de la sympathie, un parfum de cette mégapole dans laquelle je n'ai jamais mis les pieds.
J'avais abandonné Marc Levy depuis "Où es-tu ".
Je l'ai relu depuis "La dernière des Stanfield" et celui-ci.
Pour la suite, on verra, je dois d'abord lire ce qu'il nous réserve.
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Avec ce nouveau roman Marc Lévy signe une comédie romantique gentillette et sans grande originalité. Même si le bouquin reste agréable à lire et se lit vite et bien, il reste un peu trop convenu pour déclencher un enthousiasme immodéré.

L'auteur nous offre une belle brochette de personnages. A commencer par Chloé, le personnage féminin principal, une jeune femme clouée sur un fauteuil roulant, mais pleine de bonne humeur et qui ne manque pas de répartie.

Puis il y a Deepak, le liftier, un vieil indien plein de principes qui se dévoue quasiment corps et âme au bien-être des habitants de la résidence qui en contrepartie le considère, pour beaucoup d'entre eux, comme un élément du décor.

Puis il y a Sanji, qui incarne le visage de l'Inde moderne. Un homme d'affaires qui a réussi à mener une affaire florissante dans un pays encore régenté par les castes et qui cherche à s'ouvrir au marché américain. Et va se retrouver à mener deux combats de front, richissime homme d'affaires le jour et liftier la nuit…

Sans oublier, Lali, l'épouse de Deepak, Sam l'associé américain de Sanji et bien sûr tous les résidents du n°12 Cinquième Avenue. Brefs les personnages sont la clé de voûte de ce roman.

Dommage qu'ils soient mis au service d'une intrigue un peu fade et très prévisible. Les bons sentiments, parfum guimauve, sont assumés et font toutefois mouche. Idem pour les touches d'humour apportées par certains quiproquos.

Je n'ai pas de regrets, j'ai passé un bon moment avec ce bouquin, mais j'aurai apprécié quelque chose de plus audacieux ; je referme le roman avec l'impression que Marc Lévy s'est contenté du minimum syndical sur ce coup.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Depuis mon gros coup de coeur pour L'horizon à l'envers, Marc Levy a du mal à me convaincre. Et ici, je reste très perplexe par sa proposition qui n'est pas la dernière.
Oui c'est très bien écrit. Mais j'ai l'impression d'avoir lu un roman sans aucune trame directive, limite sans queue ni tête. Un roman fourre tout où Marc Levy a eu un soupçon d'une bonne idée mais partir dans toutes les directions.
Il y a un trame sympathique mais tout le reste n'est pas approfondi.
On commence avec un prologue qui concerne une des habitantes de cet immeuble. Oui c'est l'élément central du roman comme un personnage secondaire. On se dit que le roman va tourner autour de Chloé vu le titre plus que suggestif. Mais la quatrième de couverture annonce une toute autre trame, une sorte de comédie romantique à la Love Actually. Des destins qui se croisent où leur point commun est le liftier Deepak. D'ailleurs j'ai eu l'impression que Marc Levy voulait rendre hommage à ce vieux métier. C'est le personnage de Deepak qui est le plus mis en valeur et du coup je comprends pas l'enjeu de ce roman.
Une impression qu'il n'y aucun rapport entre le titre et le synopsis.
Cependant, toutes ces petites histoires sont sympa à lire. Des belles morales véhiculées. Il y a des messages forts. Il y avait moyen de faire ressortir ces problématiques fortes. L'auteur aborde le racisme, la différence sociale et culturelle, les préjugés ethniques…. avec un zest de légèreté.
L'auteur avait un bon projet sous la main mais les trames ne sont pas bien exploitées à mon gout. Il manque de la matière pour en faire un très bon roman. J'attends que Marc Levy me surprenne à nouveau.
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Un roman qui se lit vite, comme tous les Marc Levy!
Laissez-vous envoûter par cette fresque, où la fête des voisins a lieu tous les jours dans cet immeuble newyorkais !
De bons sentiments, une petite romance...
L'un des romans les plus agréables de Levy, à lire sur la plage pour ajouter du dépaysement !
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critiques presse (3)
LeJournaldeQuebec
23 avril 2024
Léger, sympathique, divertissant.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Marc Levy, l’écrivain français à succès établi à New York depuis plusieurs années, propose une superbe comédie romantique pleine d’humanité dans son 19e roman.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Pour son 19e roman, le romancier français à succès Marc Levy propose une comédie romantique pleine d’humanité, examinant nos différences et tout ce qui nous rapproche.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (117) Voir plus Ajouter une citation
Tu penses parfois au nombre de métiers qui ont disparu ? Qui se souvient de la fierté de ceux qui les exerçaient ? De ces vies laborieuses ? Tiens, les allumeurs de réverbères par exemple, ces gars ont éclairé la ville pendant des siècles. De la tombée du soir jusqu’au petit matin, ils parcouraient les rues avec leur perche, je me demande combien de kilomètres de trottoirs ils ont éclairés. Un sacré score à la fin d’une carrière. Et voilà, pfff, soufflés comme leur flamme, des poussières étiolées dans la nuit, avant d’avoir gagné leur tombe. Combien de gens savent encore qu’ils ont existé?
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- Vous voyez ce couple là-bas qui nous observe, c'est mon fauteuil qui les fascine.
- Ce que vous êtes prétentieuse !
- Merci, mais je ne vois vraiment pas en quoi.
- D'être toujours convaincue que l'attention des gens se porte sur vous. C'est moi qu'ils observent, ils se demandent si je suis un ami ou votre domestique.
...
- Vous avez de belles roues, mais moi j'ai la peau mate, à votre avis qu'est-ce qui les choque le plus?
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ça va te paraître idiot mais dans quelques années qui se souviendra de nous, de ce que nous avons fait ? Tu penses parfois au nombre de métiers qui ont disparu ? Qui se souvient de la fierté de ceux qui les exerçaient ? De ces vies laborieuses ? Tiens, les allumeurs de réverbères par exemple, ces gars ont éclairé la ville pendant des siècles. De la tombée du soir jusqu'au petit matin, ils parcouraient les rues avec leur perche, je me demande combien de kilomètres de trottoirs ils ont éclairés. Un sacré score à la fin d'une carrière. Et voilà, pfff, soufflés comme leur flamme, des poussières étiolées dans la nuit, avant d'avoir gagné leur tombe. Combien de gens savent encore qu'ils ont existé ? Mais tu sais, je crois qu'en Inde, il y a encore pas mal d'ascenseurs comme le nôtre. Alors quand mon neveu rentrera au pays, et montera dans l'un d'eux, il pensera forcément à moi, et tant qu'il pensera à moi, j'existerai. Voilà pourquoi je fais ça. Pour gagner un peu de temps avant de sombrer dans l'oubli.
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"Ce qui est compliqué, c'est de formuler nos problèmes."

"Perdre ses parents est une épreuve cruelle, mais c'est dans l'ordre des choses. Lorsqu'ils vous renient, c'est bien plus que de la cruauté."

"Pourquoi ne pas lui dire que je tiens un journal ? Parce qu'un journal est un jardin secret, voilà tout."

"Il faut accepter sa vie pour ce qu'elle est et cesser de faire semblant."

"C'est la peur qui fait fuir les gens. Le courage, c'est ce qui vous pousse à aller de l'avant, à embrasser une autre vie...le courage, c'est d'espérer.
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J'ai recommencé à pleurer dans la voiture, quand j'ai compris qu'on ne me félicitait pas d'avoir presque atteint la ligne d'arrivée mais d'avoir survécu.
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