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Critiques de Marcela Iacub (70)
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Belle et bête

Disons d’emblée qu’il se lit très facilement, Marcela Iacub sait écrire, et elle évite - heureusement - les scènes scabreuses. [...] Mais en évitant l’explicite, sa liaison devient très éthérée voire un peu ridicule, on n’y croit plus vraiment.
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Belle et bête

Eh bien, j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce livre qui n'a aucun intérêt. Vulgaire et dur, quelle est la nécessité de raconter ces histoires et de cette façon. J'ai pas aimé du tout, autant l'histoire que l'intérêt littéraire sont absents. Une demi étoile pour l'effort je dirais.
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Belle et bête

Ecriture pleine d'énergie, on ressent la frustration, l'impuissance et la souffrance vécue par l'auteure à travers ses mots et on compatit. Se lit d'une traite, je recommande.
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Belle et bête

J’ai trouvé ce livre dans une boîte cet été et je me suis faite avoir.



J’me suis faite avoir par le titre que j’ai trouvé sympa, la couverture que j’ai trouvé marrante et même la quatrième de couv’ qui a suscité ma curiosité… Si je vous disais que je vis dans une grotte et que je n’avais aucune idée que ce livre avait fait couler plein d’encre à sa parution, qu’il avait même été l’objet d’une décision de justice afin qu’un encart soit inséré dans chaque exemplaire avant la diffusion de l’ouvrage, mentionnant que le livre, Belle et Bête, porte atteinte à la vie privée de l’ancien patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, vous ne me croiriez pas... Et pourtant c'est vrai !



Mpppppfffff, si j’l’avais su, j’l’aurais pas lu. M’enfin je l’avais, j’avais commencé à le lire, alors j'ai péniblement terminé.



Bref c’est un terrible livre. Peu d’intérêt, pas de style, pas d’élégance… Les vengeances haineuses d’une femme malheureuse…



On peut s’en passer !
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M le mari

Une franche déception pour ce roman dont la quatrième de couverture était prometteuse. L'écriture est sans style, l'histoire sans goût et les personnages très fades... Je n'y ai pas vu un grand intérêt à la lecture, et je ne sais pas trop quoi ajouter tant la lecture de ce livre ne m'a pas marqué. Dommage.
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La fin du couple

Intéressant de lire l'histoire du couple dans le temps, du point de vu social et légal. Cela aide en mettre en perspective notre vision actuelle de la vie à deux. L’auteur démontre que les lois et consensus sociaux de jadis avantageaient d’abord l’homme en accordant peut de pouvoir à la femme pour ensuite aller complètement à l’opposé en démontrant que les lois plus récentes avantages d’abord la femme en laissant peu de place à l’homme. Le futur nous amènera t’il vers un meilleur équilibre? C’est à souhaiter, mais comment s'y prendre? C’est le sujet du dernier chapitre où on parle carrément de la mort du concept de couple. On fait alors référence aux idées du philosophe Charles Fourier. Des idées utopiques, mais qui font tout de même réfléchir. Une belle occasion de « penser en dehors de la boîte » comme on dit!



Si les lois et conventions du couple d’il y a 100 – 200 ans font sourire aujourd'hui, peut-être en sera-t-il de même des règles actuelles dans 100 ans!

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Oedipe reine

Une chose qui est très visible tout au long du roman, c'est que la construction me rappelle beaucoup celle de Sade dans "La Philosophie dans le Boudoir" où l'histoire devient un décor de théâtre pour exposer les idées philosophiques et politiques de son narrateur.



C'est la même chose ici puisque Juliette (et par extension Marcela Iacub) porte un discours féministe sur la confiscation du plaisir des femmes par les hommes (ou plutôt la majorité des hommes).



Car ne vous y trompés pas tout les hommes ne sont pas rabaissés dans ce roman, au contraire. Prenons Samuel comme exemple, qui est un personnage machiste et misogyne et qui est donc tout naturellement dépeint de façon négative et pathétique tout au long de l'histoire.



À contrario, Alexandre ou Marc, qui sont des hommes ouvert d'esprit et qui considèrent les femmes d'égal à égal, sont très appréciables et développés de manières intelligente. D'autres personnages masculins sont plus nuancés comme Fédor par exemple.



L'histoire est très bien construite et la philosophie de son auteur passe parfaitement bien exposés sans écraser complètement l'intrigue. Qui quant à elle, bien qu'assez prévisible en ce qui concerne la vengeance de Juliette, m'a assez surprise lors du dernier acte, et c'est tant mieux



À partir de ce dernier acte tout par un peu à vau-l'eau, les réactions de Juliette sont assez détestables et je ne sais pas si c'était une volonté de l'auteur de ne pas trop choquer son lecteur (ce qui m'étonnerais énormément au vu de ce que l'on a reçu avant) ou bien si elle voulait que tout soit résolu mais, tout les personnages (à une exception près) retombe sur leur pâtes. Chaque protagoniste à son "chapitre de fin" et le tout est assez respirable par rapport à l'oppression qu'impose la vengeance de Juliette au reste du roman.



J'ai surtout étais fascinée par l'ambiance érotique que l'auteur instaure dans son récit. Beaucoup de scènes sont suggérées pour ne pas faire une overdose et les scènes plus développés sont magnifiquement bien amenés. Ne soyez cependant pas gêné par le côté très cru de certains aspects de la sexualité si vous voulez lire ce roman.



Enfin bref...Un excellent roman à portée philosophique, une immersion sensuelle d'un des sujets les plus tabous et le plus contrôlés de ce siècle : le plaisir féminin. À travers une plume parfaitement maîtrisée, Marcela Iacub nous invite à repenser la sexualité à travers une histoire difficile et dérangeante comme l'a fait Sade en son temps.
Lien : http://bookymary.blogspot.fr..
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M le mari

J'ai vu Marcela Iacub dans une émission d'"On n'est pas couché" où elle présentait son nouveau roman, M le mari. J'ai trouvé cette femme fascinante par ses propos et ses expériences. de prime abord, le roman avait l'air tentant, malheureusement je suis complètement passé à côté.



Une femme mariée depuis quelques années et malheureuse dans son couple, malgré un amour indéfectible, fini par soupçonnée son mari distant, d'être un tueur en série qui agit dans Paris.



M le mari est un roman très court qui enchaîne les événements et les réflexions. Marcela Iacub garde un rythme soutenu où dans la paranoïa de sa narratrice, on découvre une apprentie profileuse perspicace. Quand on croit que tout est déjà dit, un retournement pointe le bout de son nez pour nous faire croire le contraire. du début à la fin le lecteur reste en suspend attendant le dénouement final et les réponses à ses questions.

Malgré toutes ces bonnes choses, je suis ressortie de ma lecture mi-figue, mi-raison. le roman passe trop vie, en deux heures ma lecture était pliée et je suis restée sur ma faim.



Dès le départ on se rend bien compte que ce couple est un peu bancal. Rien que le jour de leur mariage ne présageait rien de bon. A travers cette femme intelligente et aimante, dont nous ne connaissons pas le nom, Marcela Iacub dénonce une mentalité encore bien présente dans notre société : le machisme des hommes face aux pouvoirs que peuvent acquérir les femmes.

La narratrice est une femme qui a réussi sa carrière de chercheuse et qui écrit des romans à succès. Alors que de l'autre côté son mari, universitaire, n'est pas reconnu par ses paires et n'arrive pas à finir ses romances qui n'intéressent aucun éditeur. Ce manque de reconnaissance a rendu son marie aigri et haineux envers elle. Au cours du roman, on peut voir que ce dernier n'a aucune admiration ou fierté envers sa femme. Elle est juste celle qui a réussi alors que lui non. C'est donc sa faute si leur couple bat de l'aile.



Cet aspect de l'histoire régit tout le roman. La narratrice voue un grand amour à son mari, elle se voile la face et si elle voit bien que son mari n'est pas heureux, elle n'imagine pas que c'est de ta faute. En même temps, est-ce vraiment de la sienne? Elle se pose cette question car dans une logique indiscutable elle sait bien que son mari n'est pas un génie. Quant à elle, c'est la passion de l'écriture qui l'anime, elle se définit elle-même comme névrosé, et dans l'ennui de la solitude elle décide d'en savoir plus sur les tueurs en série et surtout sur celui qui sévit. Étrangement ses observations la conduisent vers son mari.



L'intrigue est prenante. Marcela Iacub déroule le fil des pensées de la narratrice qui paraissent parfois décousues et en même temps sensées. A travers elle et son mari, l'auteur critique le mariage, l'amour qui rend aveugle et les hommes aliènent les femmes pour se sentier en phase avec leur égo. Si je partage certaines idées de Marcela Iacub, M le mari m'a laissé de glace, trop court je n'ai pas réussi à m'y ancrer pour vraiment pouvoir l'apprécier.
Lien : https://lapucealoreilleblog...
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M le mari

Je remercie les éditions Michel Lafon et la masse critique BABELIO pour la lecture de ce livre.

Une femme et un homme se marient, mais ils n’ont pas d’enfant, car ils sont tous deux carriéristes. La femme est intelligente et travailleuse, elle écrit et réussit dans sa vie professionnelle. Mais pas son mari. Non, lui connaît l’échec, il devient une sorte de raté qui souffre de la réussite et de la supériorité de sa femme.

Alors les deux personnages s’éloignent, empruntent des chemins différents, jusqu’au jour où… Un tueur en série sévit à Paris.

«Mais qui ignore que le désir de ne pas savoir nous rend parfois aussi amnésiques que les victimes de traumatismes de guerre ou de grands accidents ?»

Cette citation est tout le reflet de ce roman tragicomique qui use d’ironie et de subterfuges pour parler du couple. Car s’il y a une période faste lors de laquelle l’homme et la femme forment une entité (le couple), il n’en reste pas moins qu’ils sont chacun un être unique, avec son autonomie, son libre-arbitre et son jardin secret. Qui sait vraiment qui est l’autre ? Ce qu’il fait de ses journées ? Comment il évolue ?

Sur fond d’intrigue policière due à une série de meurtres, on assiste à la déchéance du mari et à l’implication de l’héroïne (plus par ennui que par conviction) dans la résolution de cette enquête.

L’écriture de Marcela Iacub est nette et sans bavure, elle va droit au but. Les chapitres sont courts, les dialogues directs, les personnages dans le vrai. Les rebondissements sont nombreux (mais malheureusement prévisibles).

En fait, si j’ai découvert une auteure qui écrit avec fluidité, je suis restée de marbre face à l’histoire. Pire, le roman est si court que le lecteur connaît le dénouement avant même d’avoir eu le temps d’y réfléchir. Quel dommage !
Lien : http://carobookine.com/m-le-..
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M le mari



Ils sont mariés, vivent à Paris. Au sein de ce couple d'intellectuels, elle semble avoir le dessus, une carrière bien menée, des travaux reconnus, des projets exaltants, pendant que lui stagne dans une sorte de frustration jalouse. Quand, dans leur quartier, un tueur en série se met à supprimer des jeunes femmes, elle s'y intéresse de près et va aider les services en charge de l'enquête pour apporter ses lumières, ses interprétations. Leur couple s'étiole, elle demande le divorce, se rapproche de l'homme de police, hésite entre la crainte que son mari soit assassin et celle qu'il l'ait trompée....



Il y a certes bien une intrigue, les ingrédients d'un thriller, un quotidien qui tourne au délire. Mais il manque quelquechose, et par dessus tout une plume qui donne à l'ensemble plus de cohésion, de naturel, de forme. La lecture m'a parue rapide par le scenario, laborieuse par l'écriture. Ca n'est pas assez éloigné du style scientifique pour nous entraîner dans un thriller efficace, ça n'est pas non plus assez étayé pour nous convaincre d'un pamphlet dénonçant l'aliénation de la femme dans le machisme ambiant.



Un roman lisible mais dont on peut amplement se passer.


Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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Jouir, obéir et autres activités vitales

Pas si mauvaise surprise à la lecture de ce livre, même si je trouve justement le développement de ces chroniques moins attirant.

Le livre est un recueil des chroniques écrits pour Libération (4 pages pour chaque chronique, donc bien agréable à lire même à côté d'un autre livre) et ne les connaissant pas, je me réjouissais au début de la découverte. Des critiques de film mais sous un tout autre angle m'ont bien plus et j'étais un peu déçue de ne plus les retrouver après la moitié du livre.

Néanmoins, j'ai bien aimé l'analyse des actualités qui m'ont fait réfléchir et comprendre certaines choses. Je recommanderais ce livre pour tous ceux qui cherchent une vision décalée, mais bien argumentée de la société, comme je disais, il est agréable à lire dû au fait qu'on retrouve des chapitres courts de quatre pages seulement.
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Confessions d'une mangeuse de viande

Il est bien difficile de faire une critique de cet ouvrage de Marcela Iacub. Davantage habitué à lire ses ouvrages sur le féminisme et la sexualité, cette excursion vers le végétarisme est surprenante.

Elle nous raconte le chemin qu'elle a emprunté pour abandonner la consomnation de viande. Marcela Iacub a beaucoup aimé la viande et ca se sent, mais elle a connu plusieurs tournants dans sa vie qui l'ont fait changer, sans perdre son amour de la viance, pour une alimentation qui n'a pas pour conséquence l'élevage et la mort des animaux.

Elle nous livre un processus et met des mots sur ce que nous avons pu ressentir sur cette question de l'alimentation carnée, sans jamais avoir le courage verbaliser et de se regarder en face.
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Belle et bête

Cela fait trois jours que j'ai lu ce "livre", je place ce beau mot livre entre guillement car ici, il ne s'agirait plutôt que d'un torchon! Je tiens tout d'abord à préciser que je ne suis pas une "pro" DSK, je ne suis pas contre non plus. En fait, j'ai voulu lire celui-ci simplement car je suis une curieuse, non pas sur la vie des "peoples" mais vu tout le remue-ménage qu'il a succité, je voulais voir ça par moi-même. Cette parenthèse étant faite, voici mon avis! Si toutefois, on peut avoir un avis! 120 pages de haine, de mépris, d'insultes, voilà ce qu'on y trouve! Et aussi, surtout même, l'utilisation du mot "cochon" plus d'une centaine de fois, quasi 2 à 3 fois par pages. C'est dire l'enrichissement du vocabulaire de cette juriste! Ce torchon n'apporte rien si ce n'est un énorme coup de pub et une vengeance de l'auteur pour une liaison qui se serait mal déroulée avec DSK. Je tiens à préciser, qu'à aucun moment, elle n'indique que celui-ci l'aurait forcée à quoique ce soit, d'ailleurs ils n'ont jamais eu de relations intimes à proprement parlé! Cette femme est pleine de haine, elle vocifère tout le long de son "témoignage". Si DSK n'est pas un prix de vertu cela ne regarde que lui je pense qu'il n'est pas un cas unique! Quant à sa femme un peu de respect pour elle, madame Iacub vous l'avez bien trompée avec son mari, pourquoi ce tapage si ce n'est pour le fric! Vous accablez un "partenaire" que vous avez choisi, "aimé", vous vous prenez pour Voltaire (je précise que vous le répétez plusieurs fois dans votre torchon)! Mais Madame, avant de vitrioler les autres, regardez vous dans une glace, d'après vos dires, c'est vous qui avez contacté DSK, c'est vous qui lui avez proposé ce 1er rendez-vous! Vous pensiez quoi ? Qu'il allait vous demandez de jouer aux cartes!

Je redis à nouveau que je ne suis pas une "admiratrice" de ce monsieur, mais bon sang, je n'ai qu'une envie c'est de vous dire que vous êtes une belle ga...
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Belle et bête

Abandon après 26 pages. Je sais que ce n'est pas très constructif de dire ça mais ce livre est nul pas besoin d'aller plus loin je soufflais à toutes les pages face à cette niaiserie.
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Belle et bête

Au bout de quelques pages, on se fiche totalement des allusions, des clés cachées. L'aventure intérieure de l'héroïne l'emporte, sa descente aux enfers de la passion, telle une religieuse portugaise qui nous écrirait aujourd'hui...
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Antimanuel d'éducation sexuelle

Ce manuel est déroutant voire déreangeant. Je l'ai lu il y a plusieurs années dans le cadre de mes études (livre conseillé par un professeur) pour mon mémoire.

Le but était d'avoir un contre avis, un avis qui questionne sur la sexualité et les abus qui peuvent en découler (viol, agressions, pédophilie ...) Dans ce sens le livre a bien rempli sa fonction de questionnement mais je trouve qu'il reste quand même dérangeant. Pas certaine qu'à l'heure actuelle, un professeur recommande la lecture de cet ouvrrage...
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La fin du couple

Très bon
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Belle et bête

Comment peut-on publier un livre aussi inintéressant ?
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Le Che, à mort

Marcela IACUB :

Che a étudié la médecine parce qu'il rêvait de sauver l'humanité en la guérissant. Mais rapidement, il se rend compte que cela l'intéresse assez peu. Alors, il a souhaité sauver l'humanité en la détruisant.

Il reste un pauvre type qui se transforme en assassin. Un assassin qui met en place un suicide différé.
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Belle et bête

Livre sans intérêt. Il est court et pourtant m'a paru bien long!

Cette répétition du mot cochon est porté jusqu'à l'indigestion. L'auteure n'attire pas la sympathie et au contraire se présente comme une femme prétentieuse et pompeuse.

Le livre ne nous apprend rien d’intéressant et je l’aurai vite oublié.

Alors oui le style est différent de tous ce que j'avais lu auparavant mais je n'ai pas du tout aimé.
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