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Critiques de Marcela Iacub (70)
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Belle et bête

J’ai eu grand déplaisir à lire ce livre dont je me demande pourquoi il a été écrit et surtout comment il a pu trouver un éditeur.

En quelques mots, une femme a une liaison (volontaire) avec un homme politique marié, qui a des responsabilités internationales, et qui est accusé de viol dans un pays étranger. Elle s’évertue à lui vomir dessus pendant 120 (très très longues) pages, sans qu’on ne trouve aucun sens à rien de ce qui se dit.

Au secours!!!
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Antimanuel d'éducation sexuelle

Ce manuel est déroutant voire déreangeant. Je l'ai lu il y a plusieurs années dans le cadre de mes études (livre conseillé par un professeur) pour mon mémoire.

Le but était d'avoir un contre avis, un avis qui questionne sur la sexualité et les abus qui peuvent en découler (viol, agressions, pédophilie ...) Dans ce sens le livre a bien rempli sa fonction de questionnement mais je trouve qu'il reste quand même dérangeant. Pas certaine qu'à l'heure actuelle, un professeur recommande la lecture de cet ouvrrage...
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En couple avec moi-même

Mieux vaut être seul.e que mal accompagné.e!



Lu et approuvé sur aikadeliredelire.com



https://www.aikadeliredelire.com/2023/03/lu-en-couple-avec-moi-meme-de-marcela.html?m=1



Mariez-vous et ayez beaucoup d'enfants qu'ils ont dit.



Cet essai de trois chapitres est un point de vue perspicace ouvrant notre esprit sur la solitude en général et le célibat en particulier.



D'une écriture agile et sagace, l'auteure soulève tous les détails triviaux de la vie en couple, le meilleur comme le pire ainsi que les affres de la vie célibataire pour tout remettre en question et s'interroger de leur sens à notre époque.



Il en découle in fine un profil hybride, original et ô combien réaliste: être en couple avec soi-même.



S'aimer soi-même en sa propre compagnie sans être égoïste ni narcissique encore moins schizophrène. C'est tout à fait possible et cela est d'ailleurs nécessaire pour ne pas devenir vulnérable et tomber dans la dépendance affective ou relationnelle.



Dans une société où le mariage et la famille sont des institutions fondamentales et des valeurs marketing que reste-t-il aux célibataires et aux personnes vivant seules?



Que l'on se garde de juger celles et ceux qui prennent la liberté de s'affranchir du qu'en dira-t-on et déclarent haut et fort " Je suis en couple avec moi-même".



À lire pour déconstruire le diktat du couple et voir le célibat d'un nouvel œil.



À fuir si vous vous confortez dans le traditionnel "ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants".
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En couple avec moi-même

L'auteur fait le constat que plus la société affirme son attachement au modèle du couple homme femme enfants, moins il est une réalité vécue.

Elle avance les statistiques connues de ceux qui se nomment eux-mêmes "décideurs".

Divorces en augmentation depuis le début du siècle

Plus de 50 % des personnes adultes vivent seules, par choix, par obligation, par nécessité, par dégout ?

Le désir d'enfant peut aujourd'hui se concrétiser hors du couple traditionnel, plus besoin de mariage, encore moins de relation sexuelle.

Pour autant, aucun homme politique (les fameux décideurs) ne se risquerait à renoncer à son attachement au modèle de la famille traditionnelle.

A partir de son propre exemple, elle cherche à comprendre pourquoi de nombreuses personnes, surtout des femmes appartenant aux CSP+ choisissent de vivre seules.

Dans sa démonstration, parfois voire souvent pleine d'ironie et d'humour, la question de l'équilibre des droits et devoirs de l'homme et de la femme au sein du couple traditionnel est posée.

Ses exemples s'ils sont parfois limites ne sont jamais très loin de la réalité.

Quand elle affirme que malgré l'abolition de l’esclavage il existe en France des millions de femmes exploitées par leurs maris.

Forte de ses constats et de ses convictions, après avoir identifié que dans le couple elle recherchait l’amitié, la complicité...le sexe et compris qu'il lui serait impossible de satisfaire ses trois besoins auprès d'un seul partenaire, elle décide de rechercher des partenaires différents lui permettant de satisfaire ces différents besoins.

Sa démarche bien que comprise intellectuellement par ses relations crée le vide autour d'elle.

Femmes méfiantes. Hommes blessés dans leur virilité. Amis voulant devenir amants.

C'est à ce moment que germe en elle cette idée folle de vivre avec soi-même.

Si cette idée révèle un égoïsme certain, elle ne peut devenir réalité qu'à la condition de s'accepter soi-même plus que de s'aimer soi-même.

On ne peut traiter cette question à la légère qui reprend le concept du « Connais-toi toi-même » cher à Socrate.

Un livre de hasard, qui s'il n'est pas de la littérature, est bine écrit et permet au lecteur de passer un moment agréable tout en réfléchissant à des questions auxquelles il se confronte dans sa vie de tous les jours.





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Belle et bête

Je ne sais pas par où commencer, tellement c'est de mauvais goût, mal écrit et sans intérêt...

Je me pose une question... pourquoi avoir écrit ce "livre"?

Surfer sur l'actualité (passée) pour faire parler d'elle, règlement de compte,...

L'écriture est tellement mauvaise et venant d'une journaliste c'est encore moins acceptable. Je devrais minfliger la relecture de cette daube juste pour relever le nombre de fois où l'auteur utilise les mots porc, cochon, truies,.... venant d'une végétarienne, je trouve qu'elle est très obnubilée par cet animal. Elle devrait peut-être en manger, ça l'a rendrait plus détendue.
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Belle et bête

Mon dieu, mais qu'est-ce que c'est que ce livre ?

Mais qui est cette femme ?

Journaliste, Marcela Iacub a eu pendant plusieurs mois une liaison avec Dominique Strauss-Khan.

Homme qu'elle aurait paraît-il soutenu lors de sa triste affaire.

Alors ce livre c'est quoi ?

De cette relation où il apparaît qu'elle aurait pris du plaisir sort un texte immonde difficile à lire.

Pas une seul page où n'apparaissent plusieurs fois les mots « porc, cochon, truie »

C'est indigeste au possible.

On ne voit vraiment pas ce qu'elle veut dire ni où elle veut en venir.

En plus, ce n'est pas bien écrit.

C'est un livre court, 121 pages.

J'en ai lu un peu plus de la moitié, et puis STOP.

Cette femme est-elle aussi folle que Strauss-Khan est obsédé ?

Je n'ai pas envie de le savoir, juste envie de m'éloigner de cette boue.

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Belle et bête

Pourquoi ce livre ? Pourquoi cette aventure, pour chercher ou démontrer quoi ?



Je reste dubitatif, un besoin de vengeance, de se prouver quelque chose, un besoin de salir, de se salir, une fascination ou une pure manipulation ? Curieux.



Un texte hypnotique atypique et dispensable
Lien : https://www.noid.ch/belle-et..
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Une société de violeurs ?

C'est le titre de ce petit livre qui a attiré mon attention. J'ai découvert que sa première moitié était consacré à la "vieille" affaire DSK (en 2011). L'auteure estime que, dans les médias, l'accusé n'a pas bénéficié de la présomption d'innocence. Elle insiste sur le fait que le but de la justice pénale est de déterminer s'il y a (ou non) des éléments susceptibles de prouver que le crime a eu lieu. Certes ! Mais je trouve qu'elle coupe les cheveux en quatre et elle essaie avec persévérance de distiller le doute. Cette affaire a été classée; mais par la suite on a appris que Marcela Iacub était alors la maîtresse (temporaire) de Strauss-Kahn !



Plus intéressant: l'auteure affirme que, en France, la justice serait devenue stricte avec les violeurs; la parole des victimes présumées est valorisée au point que, sans violence caractérisée, elles puissent faire reconnaitre leur état de sidération qui les ont empêchées de résister. On revient ainsi aux problèmes délicats et récurrents, concernant le consentement dans tout le domaine de la sexualité…



Marcela Iacub est une polémiste, qui s'inscrit à contre-courant des tendances majoritaires. Elle est très hostile aux féministes les plus agressives et elle refuse l'ordre moral qui a commencé à être "prêché" bien avant le mouvement #metoo. D'une manière générale, elle pense que le sexe est un aspect essentiel dans la vie des hommes et femmes; il ne faudrait donc pas le brimer dans des carcans légaux ou moraux. Son refus du "politiquement correct" mérite un petit coup de chapeau; mais je ne reprends pas à mon compte toutes ses idées.
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Aimer tue

Cours essai sur la perversion narcissique, la destruction psychologique de l'autre en amour, sous forme de 5 cas relatés et décortiqués. Cela me semble un peu de l'amateurisme, psychologie de gare, bref si vous aimez preferez de loin les ouvrages de Yalom. Heureusement très court. Se lit très facilement.
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En couple avec moi-même

Un peu trop dubitative et critique (négativement sur ce livre). En bref, l'auteure a l'air de penser à l'universalité de sa pensée. Je ne suis pas sûre qu'être "amoureu(x)se de soi-même" soit le comble du bonheur dans nos sociétés, comme j'eusse espérer que ma précédente histoire d'amour ne fut pas qu'un jeu maître assistante, comme ont l'air tous les quadra à rechercher leur propre amour propre dans la jeunesse quand celle ci y assouvit sa quête sociale et professionnelle...Je schématise, ce qui est pourtant dit, et je n'adhère à rien. Un 2 étoiles pour le style de l'écriture.
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La fin du couple

Très bon
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Oedipe reine

Elle est vraiment gonflée , cette Marcela Iacub. De livre en livre elle m'épate chaque fois un peu plus. Ce qu'elle écrit, ce qu'elle décrit et théorise ici ( la formidable puissance du "jouir" des femmes : cette "Méduse" tapie dans leurs organes et la plupart du temps ignorée d'elles-mêmes ) c'est quand même pas piqué des hannetons ... pornographiques.

Avec cela très docte, très didactique . Une histoire de vengeance, tout à la fois démarquée de Sade, de Laclos (Mme de Merteuil), de Diderot ( Histoire de Mme de la Pommeraye), sur un ton qui se veut très contemporain en même temps que très XVIIIÈME siècle libertin.

Il faut croire qu'elle était très très en colère , madame Iacoub, quand elle a perpétré ce livre: contre un mari? Un ou des amants?

J'ai bien envie de suivre mon propre regard...



Pour arriver à conduire un tel projet il faut en tout cas être une sacrée bonne femme, doublée d'un très bon écrivain. Pourtant, je ne saurais dire si j'ai aimé ou détesté ce livre -au final, ni très crédible ni très sérieux , mais d'une crudité, d'une cruauté sidérantes.

Je l'ai lu......médusée!
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M le mari

Waouh! Quel "pages tourneur " que ce petit livre! Il se lit d'une traite.

Bien sûr , la résolution de l'énigme est quelque peu alambiquée. Bien sûr, c'est un peu , et même tout à fait, "Jack l'Eventreur chez les Intellos"....



Mais le récit est conduit avec brio par une narratrice intelligente et perspicace. On la suit dans ses déductions, ses emballements paranoïaques, et jusque dans sa volonté de s'aveugler, ou de se forger des théories subtiles pour ne pas écouter les avertissements.



Un très bon livre. Dans un genre littéraire qui me semble-t-il n'est pas le vôtre, madame Iacoub, chapeau!
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En couple avec moi-même

Un livre curieux, quelque part entre l'essai théorique, la confession, la fable .... entremêlant des considérations sociologiques sur la perte de séduction des femmes quarantenaires, des éléments autobiographiques très intimes, et finalement le récit d'une résignation au célibat, mais traitée sur le mode émerveillé d'une rencontre amoureuse avec soi-même.

Cette dernière partie un peu trop bavarde, un peu trop "exercice drolatique ", il faut bien l'avouer.

Hymne forcené au repli individualiste, dans la tendance de l' époque? Ou bien tout au contraire, parodie de l'amour de soi, poussé si loin, avec un tel luxe de détails, que c'est forcément pour de rire. A ne surtout pas prendre au sérieux.

Je me garderai bien de trancher..





Une sorte d'hybride littéraire, en tout cas.

Il vaut par un mélange de sincérité écorchée et d'objectivité "scientifique". Par sa lucidité féroce ( l'auteure se vit comme périmée sur le marché de l'échange amoureux; se qualifie cruellement de "vieille" , réduite comme toutes les femmes de son âge aux partenaires de deuxième choix, dont elle dresse la typologie....).

Et aussi par quelques jolies formules, non dénuées d'humour - par exemple quand elle parle de sa petite chienne Igrecque, si laide qu'elle l'a achetée "soldée".





Le recommanderais-je pour autant , ce livre ?

Pas sûr.





Car c'est probablement pour des raisons "impures, pour ainsi dire "people" qu'en définitive il m'a intéressée : à savoir, l'envie de mieux cerner cette étrange chimère post-moderniste qu'est Marcela Iacoub. Cette intellectuelle [juriste et sociologue, je crois, par ailleurs "vegan" passionnée ] qui a mis le Sexe au coeur de sa réflexion, et qui de publication en publication ne cesse de développer d'ébouriffantes théories sur l'avenir du couple, la procréation, l'éducation en kibboutz des enfants, la prostitution sans entraves, le jouir ensemble, le manger cochon - voire l'explosion des serial killers, en conséquence quasiment nécessaire de la libération sexuelle.

Tout en déroulant sur nos écrans de suaves inflexions de voix, doublées de torsions de cou, de battements de paupières , qui pendant longtemps me faisaient davantage penser aux actrices de charme, pour ne pas dire pornos, qu'à une directrice de recherches au CNRS, ce que pourtant elle est également. Et dans certaines émissions de divertissement à grosses blagues, semblait toujours en train de draguer ou se laisser draguer, au point se susciter les moqueries bien grasses de la part des comparses de service...

En de certaines occasions, pourtant, beaucoup plus fleur bleue, moins révolutionnaire qu'on ne s'y attendrait: confessant des attendrissements de midinette, une fidélité conjugale de quinze ans; déplorant (?) la fin du mariage bourgeois, qu'elle appelle "napoléonien", qui au moins assurait la pérennité des couples.





Je dois l'avouer, ce n'est pas tant son livre que le personnage de cette Marcela qui a piqué ma curiosité, et en définitive m'a retenue . Ses raisonnements "scientifiques ", ses pseudo-statistiques ne m'ont guère édifiée, et rien appris, je crois sur la fragilité des couples. Ses variations acrobatiques sur le thème " Je est un autre, et cet Autre est pour moi la meilleure des compagnies possibles, et voici comment nous vivons ensemble, bien au chaud dans notre petit nid d'amour" .... À vrai dire, ça m'a paru un peu longuet.

Mais celle qui se qualifie elle-même d''"ancienne coquette" avoue ses failles narcissiques avec tant de lucidité , se met à nu avec une telle franchise que dans les deux premières parties elle m'a intéressée, et touchée.

C'est d'une autre oreille, je le pense, que j'écouterai désormais ses élucubrations libertaires. Car elle vit sur une planète intellectuelle assurément très très éloignée de la mienne; ses théories sexuelles audacieuses m'ont bousculée souvent, hérissée quelquefois ... Mais en tant que personne, elle me parle. Un peu comme une bonne copine qu'on fréquenterait d'un peu loin : une fille un rien excentrique , dont on ne partage pas toutes les idées, bien loin de là , mais qu'on aime bien quand même, et dont les outrances, les dérapages, finalement vous donnent matière à penser. (D'ailleurs j'en ai une, de copine, exactement sur ce modèle: vegan, déjantée, marrante, et qui adore les chiens!).



.....

NOTA BENE: Quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi ce titre s'est enregistré non pas sous le nom de Marcela Iacub, mais sous celui d'un mystérieux "M"

Parce qu'elle a écrit un "M le mari", qui paraît-il est un très bon thriller?....
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Belle et bête

Eh bien, j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce livre qui n'a aucun intérêt. Vulgaire et dur, quelle est la nécessité de raconter ces histoires et de cette façon. J'ai pas aimé du tout, autant l'histoire que l'intérêt littéraire sont absents. Une demi étoile pour l'effort je dirais.
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Belle et bête

Ecriture pleine d'énergie, on ressent la frustration, l'impuissance et la souffrance vécue par l'auteure à travers ses mots et on compatit. Se lit d'une traite, je recommande.
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Belle et bête

Comment peut-on publier un livre aussi inintéressant ?
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M le mari

Paranoïa ? Passion pour l’écriture, ici je me fais peur. Peur du meurtre, peur de la trahison, peur du non-dit dans le couple, peur de la terreur, peur de celui ou de celle qui a une main qui tient un couteau caché sous son manteau, peur des doigts de celui ou de celle tient un fil servant pour étrangler.

Marcela Iacub est efficace elle parvient à me faire détester le mariage et le mari. Je ne peux ni ne veux vous expliquer l’histoire dans l’ordre et en détail ce serait tout gâcher. Découvrez la vous-même cette histoire qui sépare.



J’offre quelques éléments dans le désordre, lisez M.le mari, récit cruel, remettez tout dans votre ordre ensuite.



Une femme cultivé écrit, la jalousie dans le couple, le dominant, le dominé, ne pas se parler, ne pas se comprendre, ne pas s’apprendre, écrire, finir sans descendance, s’aimer, avoir peur de l’autre, s’attendre à une relation charnelle et ne pas être satisfaite, le dépit, le dégoût, rependre le dessus, jouir plus tard, tolérer, attendre deviner qui est le tueur, femme saoule mais clairvoyante, un tueur, un confident, des victimes, puissance de nos rêves, s’en sortir, une lune jamais atteinte, se défendre, se sauver, aimer écrire, être loyal, surprise, suspens, durabilité du couple, libre arbitre, faire du bien à l’autre, le temps présent, la réussite de l’autre, ne pas maîtriser son stress, clivage.



Vous y retrouvez-vous ? Faites l’amour avant pendant et après M le mari.



Je retiens une phrase de M le mari : « L’expérience m’a appris que rien n’agace plus un homme qu’une femme qui écrit ».

Si je peux me permettre je réponds : tant pis pour l’agacé.



M le mari est une réussite, tiré par les cheveux, lu vite, rempli de talent. Mme Iacub, merci pour ce récit.

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Le Che, à mort

Marcela IACUB :

Che a étudié la médecine parce qu'il rêvait de sauver l'humanité en la guérissant. Mais rapidement, il se rend compte que cela l'intéresse assez peu. Alors, il a souhaité sauver l'humanité en la détruisant.

Il reste un pauvre type qui se transforme en assassin. Un assassin qui met en place un suicide différé.
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M le mari

Ce roman m'a plu. J'ai d'abord apprécié ne pas vraiment savoir où j'allais. En effet, étant donné la manière dont la narratrice présente les choses, j'ai commencé par m'amuser de ses suppositions. Ensuite, je me suis dit que parfois, les théories les plus invraisemblables pouvaient être exactes, d'autant que l'héroïne avait réponse à tout, et que ses arguments étaient valables.



Elle-même est d'ailleurs captivante: on s'identifie à elle, on admire la manière dont elle raisonne.

[...]

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Lien : https://www.lalivrophile.net..
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