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Citations de Maud Tabachnik (389)


Les mères ça se fait toujours du souci pour les garçons qui partent à la guerre
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Selon que vous soyez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
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Pas besoin d’une boule de cristal pour imaginer que si le suspect n’avait pas été ce maire si aimé de ses imbéciles d’administrés, ce notable si bien protégé par sa fonction, la police se serait montrée moins circonspecte.
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La paresse est un péché capital.
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Ma mère m’avait appris à être méfiante, une femme pour elle était une proie rêvée qui risquait bien plus de tomber sur un salaud que sur un type bien.
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Un crime est l’action de tuer un être vivant par cupidité, haine, jalousie, plaisir, cruauté, sadisme, sexualité perverse.
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En fin de compte, il n’est vraiment pas difficile de berner les autorités. Une femme, surtout, ne paraît pas présenter de danger. Une femme qui voudrait s’amuser à commettre des délits, voire des crimes, pourrait presque le faire en toute impunité. Qui irait penser qu’une femme dans mon genre puisse embrocher un homme et noyer une fillette ?
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L’Écosse, c’est un monde à part où des hommes en jupes jouent de la cornemuse qui vous arrache des frissons, se nourrissent de panse de brebis et balancent des troncs d’arbre aussi aisément que des bâtons.
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Protégez-moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge !
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Le plus difficile à vivre, quand on est seule, c’est de ne pouvoir partager ses émotions, ses sentiments, ses joies et ses chagrins.
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C’est un autre monde, où le plaisir remplacerait l’utile, et l’harmonie la lassitude. Un conte de fées sans sorcière.
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Parfois, je sentais vibrer en moi des forces qui me faisaient peur. Des fantasmes de vengeance contre ce monde qui m’avait oubliée. Les médias étaient remplis de gens qui se moquaient des perdants dont je faisais indubitablement partie.
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L’ennui peut rendre fou.
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Les souliers c’est fait pour marcher et pas pour faire la coquette.
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Qui peut le plus peut le moins.
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Curieusement, elle adorait lire tout ce qui concernait la vie des stars ou des têtes couronnées. Elle savait tout des divorces, mariages, naissances, aventures sentimentales des gens célèbres. Moi, je m’en moquais complètement. Je lisais les faits-divers, les crimes, les turpitudes de notre société. Je prenais toujours fait et cause pour les victimes, et dans ma tête je m’érigeais en justicier.
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Quand j’étais plus jeune, maman avait feint de s’étonner que je ne « fréquente » pas, mais je savais qu’en réalité elle craignait que je quitte la maison et la laisse seule. Forte de son expérience malheureuse elle me présentait le mariage comme une aventure dépourvue d’intérêt mais riche de chagrins.
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Dieu sait ce que les gens peuvent inventer. Moins on en dit, mieux on se porte.
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Muette, elle soutint son regard, et celui du bourreau cilla devant ce qu'il y lut.
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Je pourrais me diriger les yeux fermés à New York, et même à Detroit, mais je n’arrive pas à me mettre dans la tête la topographie de cette foutue ville de Milwaukee. Elle a été construite par des Européens qui avaient le goût des quartiers, des rues qui partent dans tous les sens, des petites places où les nouveaux immigrants se retrouvaient. Aucune rationalité dans tout ça. New York, ce sont des avenues à angles droit, coupées de rues qui débouchent sur d’autres avenues. Un numérotage que comprendrait même un débile. Des axes qui quadrillent la ville et où l’on ne se perd pas. Deux fleuves qui la cernent et servent de points de repère.
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