Mélissa Restous

Un roman familial sur toile de fond de première Guerre Mondiale : en 1906, la mère de la famille Aupic meurt, bouleversant le cadre de vie heureux de ses trois enfants, Maximilien, Madeline et Marceau et leurs relations à leur père Charles.

On suit alors les métamorphoses personnelles et sociales de chacun des membres de la fratrie et la façon dont chacun d’eux va se construire malgré cet équilibre familial rompu.

J’ai passé un très bon moment de lecture. Néanmoins, on voit assez vite venir l’évolution de la fratrie : une analyse psychologique plus poussée m’aurait permis de m’attacher davantage aux personnages qui manquaient parfois de nuances et d’intériorité. Le contexte social et historique aurait mérité d’être encore davantage développé à mon sens. Bref, j’aurais aimé en savoir plus sur ce père devenu maltraitant, cette jeune femme qui oublie son fiancé parti au front, ce mari volage fasciné par son fantasque beau-frère ou cette jeune bourgeoise qui quitte sa famille pour le métier qui la passionne. C’est peut-être là le point majeur : beaucoup de fils dans l’intrigue et de thématiques riches abordées que j’aurais aimé voir davantage approfondies.

Malgré ce bémol, ce fut une lecture agréable à l’écriture fluide, une belle histoire d’amour fraternel et le travail éditorial est toujours aussi réussi.

On suit les moments de vie de la fratrie Aupic sur plusieurs années : Deux garçons et une fille aux personnalités et caractères bien différents. On les voit évoluer, s’affirmer, connaître des instants de joie et des épisodes sombres et on s’attache à eux, un peu plus à chaque page.



La première partie est plutôt contemplative, mais les personnages sont si bien développés que leur histoire nous fascine et il est difficile de poser ce roman.

J’ai vraiment aimé tous les personnages, même ceux qui semblent antipathiques.



La deuxième partie connaît plus de rebondissements. La fratrie est éclatée, ses membres ont pris des chemins opposés et évoluent séparément dans leur vie d’adulte.



Si le fil conducteur de cette histoire est bien le lien fraternel des trois personnages principaux, de nombreux sujets forts sont également abordés comme la place de la femme au début du XXè et les conditions de vie durant la première guerre mondiale. Mais il y a également d’autres sujets que je préfère ne pas citer ici car ça en dévoilerait trop sur une partie de l’intrigue.



A l’évocation de ces sujets, certaines scènes peuvent d’ailleurs être difficiles pour les plus sensibles (je pense à une en particulier où j’étais partagée entre tristesse et effroi).



Enfin, ce récit est sublimé par une très jolie plume (comme toutes les parutions des éditions Hurlevent).



En conclusion, j’ai beaucoup apprécié cette lecture mais j’aurai aimé que certains passages soient plus approfondis, alors qu’il y en a d’autres que j’ai trouvés trop longs et détaillés (C’est donc un avis très personnel qui dépend uniquement des goûts de chacun et je ne peux que vous recommander de lire ce roman).

Nous allons suivre l'histoire d'une fratrie depuis la naissance du petit dernier jusqu'au début de leur vie d'adulte.

La famille Aupic appartient à la bourgeoisie. Maximilien, Madeline et Marceau vont devoir grandir dans une famille et une société où l'on doit être fidèle aux normes imposées par l'époque. Il est alors difficile de vivre selon ses propres envies et de faire ses propres choix. Cela va être le combat de ces trois enfants: arriver à s'épanouir avec leurs personnalités propres malgré les injonctions. Les trois vivront chacun la situation avec leurs caractères, leurs forces et leurs faiblesses au risque de distendre des liens fragilisés par le contexte historique.

C'est vraiment une très belle histoire. J'ai aimé faire partie de cette famille avec parfois de la colère face à la rigidité et le manque d'ouverture de l'époque. On voit les personnages évoluer au cours du temps et surtout comment le lien familial qui les unit va réagir aux épreuves de la vie.

J'ai terminé ce roman avec une larme à l'oeil car difficile de leur dire au revoir après ce bout de chemin fait ensemble...

J'ai été charmée par la plume de l'auteure qui parvient avec autant de justesse que de délicatesse à briser de nombreux tabous de l'époque (homosexualité, deuil, l'horreur des tranchées, ...) tout en mettant en lumière les us et coutumes de la bourgeoisie de ce début du 19e, un siècle qui reste en mémoire pour ses nombreuses guerres, mais aussi pour sa révolution des mœurs.



Dès qu'on voit en quelle année commence l'histoire, le ton est donné, on sait que rien ne nous sera épargné, et c'est le cas ! L'immersion est telle, que l'atmosphère était parfois palpable.



Certaines scènes étaient bouleversantes, d'autres choquantes, autant par les actions de certains que par l'absence de réaction des autres, et d'autres donnaient le sourire aux lèvres, tellement elles étaient empreintes de grâce et d'espoir. J'ai parfois eu l'impression que mes rêves n'attendaient que moi, que je n'avais qu'à tendre le bras 😂



J'ai adoré suivre l'évolution de cette fratrie, leur quête d'identité était vraiment émouvante. L'intrigue était souvent assez prévisible, assez simple même, mais l'ensemble reste beau et très touchant.

Les Éclats de la fratrie Aupic



Avec sa plume addictive, l’autrice balaie les tabous, les codes bourgeois et les leçons de morale pour mettre de la lumière, sans pathos, sur la trajectoire de chacun de ces enfants que tout oppose mais que rien ne peut séparer. Une histoire aussi belle que tragique, où seul le lien fraternel est indéfectible.



C’est en 1897 que le lecteur rencontre la fratrie. Le petit Marceau vient agrandir la famille, qui décide de quitter Paris pour un écrin de verdure, une villa pleine des promesses d’une vie de famille idéale : poésie, nature, joie de vivre. Ils grandissent avec une belle complicité et l’idée que rien ni personne ne pourra jamais les séparer.



Pourtant en 1906, le décès de leur mère est comme une tempête destructrice et des ravages vont s’abattre sur la famille… jusqu’à la faire voler en éclats. Le père, Charles, voit s’éteindre en lui toute étincelle de lumière et ne garde que noirceur, amertume, cynisme, froideur et violence. La morosité s’installe et la villa perd toute son âme. Quant à la fratrie, ils doivent composer avec l’absence d’une mère, la rudesse et la violence d’un père et d’une société qui imposent des codes stricts… Puisqu’un mariage est un contrat d’affaire qui ne se gère pas avec le cœur, Madeline va se marier et deviendra une femme irréprochable, Maximilien deviendra médecin pour satisfaire son père et Marceau… Ah… Marceau est jeune et plein de rêves !



La vie va les désunir, les abimer, les isoler dans leurs douleurs, les séparer par des gouffres de plus en plus grands… Le lecteur ne peut qu’espérer que cette complicité rejaillisse, comme un ciel bleu après l’orage.



De 1906 à 1917, tandis que l’Histoire s’ébranle et que la PGM se précipite, nous pénétrons dans l’intimité de cette famille, nous découvrons les secrets de chacun, nous oscillons entre complicité et rancœur, nous découvrons les moments qui ont construit les relations entre ces frères et sœurs si différents, qui ont eu tant de mal à se comprendre en grandissant.



J’ai aimé me promener dans Paris, de la rue des bars, au café de Flore, de la villa à Pigalle… J’ai vécu l’enfer des tranchées et j’ai trouvé que l’autrice parvenait à retranscrire le climat d’horreur de la guerre avec justesse.



J’ai aimé la place donnée à la littérature et l’écriture, au pouvoir de la fiction, de l’invention et de la créativité, j’ai aimé les thèmes soulevés et les messages passés : émancipation de la femme, droit d’être différent, homosexualité, poursuite de ses rêves…



J’ai aimé le portrait de ce garçon courageux, Marceau. J’ai adoré le personnage d’Héloïse, une femme émancipée, rayonnante et pleine de courage et de bienveillance. J’ai aimé ses propos qui secouent et ses discours qui sont aux antipodes des préoccupations et des codes de l’époque.



Bref, c’est un roman contemplatif, tel une fresque… que je referme avec ce sentiment de quitter des amis, avec une drôle d’émotion, sincère et nostalgique.

Athénaîs et Lisandre mènent une vie de misère dans les quartiers pauvres de Paris. Survivant grâce aux vols et à leur jeu d'acteur remarquable, ils s'invitent un jour dans un salon mondain, en se faisant passer pour un couple de Nobles.

Ils empruntent le nom De Beaumont pour s'y infiltrer, un nom auquel ils sont attachés pour des raisons inconnues.

Cependant cette fausse identité finit par attiser la curiosité d'un certain Henri De Beaumont,

un abbé cruel et manipulateur qui pense avoir retrouvé son neveu Lisandre, disparu depuis dix ans.

Il les invite à passer quelques jours avec lui chez une amie, résidant en dehors de la ville.Tentés de vivre une vie meilleure, les deux jeunes gens acceptent sa proposition, mais ce qu'ils ignorent c'est que cette demeure dissimule bien des mystères, des mystères sombres et terrifiants.

Pris au piège, leur seul allié est Chogan, un indien fraîchement débarqué de Nouvelle-France. Protégé d'Henri De Beaumont qu'il déteste car il l'a arraché à sa terre natale, il se liera d'amitié avec Lisandre et Athénaîs.

Malheureusement leur calvaire ne fait que commencer dans ce lieu sinistre, et nous découvrons au fil des pages les secrets inavoués de ces personnages intrigants, mais aussi les horreurs les plus inattendues concernant leurs hôtes...

L'auteure Melissa Restous signe un roman historique bouleversant.

Lorsqu’un corps est retrouvé dans les rues de Paris, Esaias Fersen, un journaliste, va s'y intéresser de plus près. Ce n’est pas le premier cadavre retrouvé avec des marques étranges sur le corps. Qui est derrière tout ça ? Dans ses recherches, Fersen va se rendre compte que cette affaire est plus complexe que ce qu’il pensait. Quel est le lien entre un peintre, un homme mystérieux et des meurtres ?





Théophile est un jeune peintre timide et introverti, qui va, petit à petit, se découvrir une force insoupçonnée, tandis que Iokanaan est un homme mystérieux au passé trouble. Lorsque Théophile sauve Iokanaan, une étrange relation va s’installer entre eux.



Petite lectrice de thriller, j’adore en lire de temps en temps.



La chapelle des disparus a été une très bonne découverte. C’est un livre qui se lit d’une traite avec une trame qui m’a prise au dépourvu. Jusqu’au bout, je ne savais pas comment tout cela allait se finir. Quel plaisir d’avoir été surprise et j’ai adoré ma lecture.





Je ne m’attendais pas à être emportée dans ce roman, à côtoyer des personnages attachants, tous aussi différents les uns que les autres. Les apparences peuvent parfois être trompeuses…







J’ai pris beaucoup de plaisir à suivre cette enquête en 1880 à Paris.
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j'ai beaucoup apprécié ma lecture. Déjà grâce aux recherches historiques menées par l'autrice, mais aussi parce qu'on s'attache aux trois personnages principaux avec facilité. On apprend au fil des pages leurs secrets, et on découvre avec l'horreur une réalité souvent oubliée de cette époque.

La fin m'a rendue presque nostalgique.

A découvrir =)

Théophile est peintre, il a du mal à gagner sa vie mais la peinture est sa passion, au point de ne vivre que pour elle.

Mais tout va basculer quand il va rencontrer Iokanaan, cet homme mystérieux et bagarreur.

Du jour au lendemain la vie de Théophile va tourner à la chasse à l'homme, il va être recherché, traqué, simplement parce qu'il a eu un contact avec Iokanaan...

Qui est donc cet homme ? Pourquoi des gens veulent sa peau ? Et pour quelle raison Théophile est-il en danger ?

Dans cette histoire on est entre le fantastique, l'ésotérisme et le policier.

Car Iokanaan cache bien son jeu et ce que l'on découvrira de lui sera à mille lieux de ce que l'on peut imaginer en commençant le livre.

J'ai été agréablement surprise par la tournure des événements, j'ai aimé la plume de Mélissa qui est très fluide.

Le personnage de Théophile est "classique" il a des projets et il ne veut pas s'en détourner.

Iokanaan lui est ténébreux, sévère et il aime sa solitude... devoir prendre quelqu'un sous son aile va être compliqué mais sûrement la meilleure chose qui va lui arriver.

On suivra également un journaliste, qui enquêtera sur des morts suspectes dans Paris (qui pourrait avoir un rapport avec nos deux protagonistes), il sera le seul à vouloir la vérité, et c'est là que le côté suspense prendra un peu le dessus pour nous immerger dans une enquête qui s'avéra ésotérique...

Le monde n'est peut être pas celui que l'on croit...

Et nous allons de surprise en surprise...

C'était une lecture intéressante, j'aurais aimé que certains points soit un peu plus développer certes (je ne peux pas plus développer par peur de vous spoiler) mais à la fin je me suis dis que l'histoire de Théophile et Iokanaan était belle derrière tout ces mystères et cela m'a suffit.
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Encore un roman vampirique : L’Inconsolé, de Mélissa Restous et publié par les Éditions du Petit Caveau. Déjà, la couverture est vraiment belle, j’aime bien le style graphique et les couleurs choisies. Ensuite, l’histoire en elle-même était vraiment sympa à lire, ça fait du bien car j’ai beau aimer les vampires, je me méfie des sorties littéraires à leur sujet, ils ont quand même pris cher, ces dernières années.



Mais pas ici : Sacha et Henri sont tous deux des vampires différents, leurs deux visions des choses en font un duo intéressant. Ensuite, l’époque où se passe l’histoire passe mieux que la nôtre qui, je trouve, réussit moins bien aux vampires. Enfin, même la présence du personnage de Louise qui implique une romance ne verse pas pour autant dans la mièvrerie, ce que je crains souvent quand il y a une rencontre entre un vampire et une mortelle voire juste un homme et une femme dans les fictions sans surnaturel.



Bref, c’était plaisant de suivre le sulfureux Sacha, dont la condition et le prénom m’ont rappelé un de mes personnages même si le mien est encore moins fréquentable. Sacha Gabrilov, donc, ainsi que son comparse, Henri Duplessis, sont des vampires beaucoup plus intéressants et travaillés que certains qui brillent au soleil. Je ne sais pas pourquoi, ce duo m’a donné une petite impression du Portrait de Dorian Gray, mais je peux me tromper : je dois lire ce roman.



Pour résumer, une bonne lecture vampirique. 🧛‍♀️

Je remercie les Éditions HJ pour cette lecture en partenariat.



Le titre ainsi que le résumé de ce livre était assez énigmatique, c’est ce qui ma tout de suite plus. Eléonor voit les morts et peut les aider à quitter notre monde, mais ça lui cause pas mal d’ennuis, certains morts s’en prennent à elle ou d’autres ne veulent pas de son aide. Mais elle va faire la connaissance de Yuno et elle va l’aider à savoir pourquoi il est mort. Elle va se mettre à enquêter dans le monde de la mafia japonaise. Ce qui va lui causer quelque ennuient.



Enfin il y a une histoire d’amour, un peu inhabituelle entre elle et Yuno. Elle va tout faire pour le repousser car elle sait qu’elle ne pourra pas vivre pleinement son histoire d’amour sauf si elle le rejoint.



Ce livre sort un peu des sentiers battus en manière de fantastique et j’ai beaucoup aimé, par contre certaines passages ont beaucoup de description ce qui les rend parfois un peu brouillons mais cela ne gène en rien la lecture



Je recommande ce livre plein de rebondissement.
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J'ai beaucoup aimé ce livre de cette belle amitié entre cette jeune fille du monde des vivants et ce jeune homme du monde des fantômes. Cette jeune fille qui semble si étrange à parler seule mais qui le vit très bien. Cette amitié si irréelle au yeux du monde qui l'entoure mais si réelle pour elle. Et ce don qu'elle utilise à bon escient... Une histoire sans temps mort avec une chute a laquelle je ne 'attendais pas. ravie de cette lecture
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Au départ, je dois dire que j'étais un peu mitigée face à ma lecture. La plume était agréable, mais les personnages me semblaient bien stéréotypés pour ce genre, et assez prévisibles. Mais, à mesure que j'ai avancé dans ma lecture, je me suis plongée dans l'univers et je me suis attachée aux personnages.



S'ils étaient en effet toujours un peu prévisibles, certains se sont révélés un peu plus intéressants qu'au premier abord. Louise, Sacha, l'époux de Louise... Leur destinée me semblait écrite dès les premières pages... Henri, par contre, il était LA révélation à mes yeux. Celui qui a relevé un peu le reste niveau personnage... Les passages lui étant dédiés étaient bons, avec une narration plus soignée et adaptée que par exemple à d'autres passages... Peut-être suis-je un peu trop exigeante, mais notamment sur la nuit de noces de Louise, elle est résumée en une phrase... Si je ne suis pas adepte du gore et de la violence gratuite, j'aurais apprécié un peu plus, ne serait-ce que pour éprouver un peu plus de compassion pour Louise, pour avoir un peu plus d'introspection sur son sujet...



D'une manière générale, il y a certaines choses qui auraient pu être un peu plus développées, sans pour autant diminuer le rythme du récit, des sentiments plus approfondis qui auraient apporté de la richesse aux personnages et à l'intrigue. Le roman reste assez court (156 pages, pour 13,90€, ce que j'ai trouvé un peu cher...) donc il y aurait largement eu la place pour étoffer un peu plus certains passages et souligner les psychés certainement bien plus complexes de Sacha et d'Henri... même Louise aurait pu prendre de l'ampleur et réussir à devenir magistrale, un peu à la manière d'une Elena de The Vampire Diaries... ou peut-être plutôt Katherine ? (Ceux qui connaissent la série et les livres sauront xD)... mais je ne suis pas là pour me rendre mélancolique sur des "et si", hein? Au final, j'ai quand même passé à un agréable moment avec les personnages et l'histoire, et c'est le principal ! Même si j'aurais aimé que ça dure un peu plus longtemps =P Preuve que c'était bon, non? Sinon j'aurais été contente que ça se termine vite...
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L’histoire de Sacha (le vampire blasé et parfois assoiffé) et la jeune Louise Delorme (jouvencelle gracieuse et enjouée…gardienne d’un mystère qu’elle même ne connaît pas😉 ) est touchante. Même si c’est Sacha qui a engagé le jeu, ce dernier est dangereux pour les 2 car chacun risque d’y perdre quelque chose. C’est addictif de les suivre et d’essayer de savoir comment l’auteure va faire évoluer la relation.



Quand à la fin je n’ai qu’un mot à dire : Félicitation ! C’est vraiment très bien trouvé, tout à fait cohérent avec en plus un brin d’humour
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L’inconsolé est un court récit sombre se déroulant à la Belle Époque. Sacha représente l'antihéros par excellence : élégant, arrogant, froid, égoïste, il incarne un être au sang froid possédé par ses pulsions qui le poussent à s’assouvir de sang et à tuer les filles qui croisent sa route. Il inspire la méfiance, contrairement à Henri qui, malgré son régime restreint, incarne la beauté. Il est réservé, discret. Mais c’est aussi celui des deux qui cache le mieux leur secret. ...
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Un roman de science-fiction très moyen. On a l'impression que l'auteur a fait des coupes sans se soucier de la cohérence d'ensemble.
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L'intrigue est agréable, il y a pas mal d'action, de combat, pas de longueurs car on rentre dans le vif du sujet. Ce n'est pas qu'une simple histoire de fantômes.



J'ai pris plaisir à découvrir ce livre, c'est une romance paranormale vraiment sympathique.
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Mon avis :



Bien déjà pour commencer, je tiens à saluer l'initiative de la maison d'édition qui a mis tous ses auteurs à contribution pour livrer ce recueil varié qui met en scène des histoires de voisinage. Les nouvelles sont toutes différentes et je vais essayer de vous donner mon avis sur chacune sans pour autant vous en dévoiler toute l'intrigue.



* Clémentine de Kathy Dorl : J'ai beaucoup apprécié cette histoire, la narratrice y est plutôt dispersée mais au bout du compte, on s'y retrouve, même si on ne comprend ce qui se passe qu'aux dernières pages. Mention spéciale pour l'humour ! Par exemple la petite phrase " Elle me dit que si je pose un un caméléon sur une robe Desigual, il meurt d'épuisement" m'a beaucoup fait rire. Rafraichissant !



Ma note : 8/10



* La voisineuse de Valérie Hervy : Une histoire nettement plus sombre que la précédente qui aborde une thématique peu évidente à aborder. C'est bien fait et c'est bien écrit.



Ma note : 6/10



* Un voisin de Charles Demassieux : Une histoire très très sombre qui traite parfaitement son sujet, j'ai adoré la chute et l'auteur a su manier le suspense à merveille



Ma note : 7,5/10



* Le joli temps de son enfance de Jean Claude Thibault : Dans tout recueil il y a toujours une histoire qui laisse sceptique. Pour moi ce fut celle-ci... Je n'ai pas eu l'impression de comprendre la nouvelle et j'ai été un peu lassée par le vocabulaire argotique de l'auteur. Sans moi.



Ma note : 4/10



* Les jolis yeux de Madeline Desmurs : Celle ci je l'ai trouvée géniale. Glauque, bien écrite et le switch final m'a énormément plu !



Ma note : 8/10



* Un dessert qui se mange froid de Mélanie Wency : Un peu de surnaturel avec cette histoire de vampire. La chute m'a fait sourire.



Ma note : 7,5/10



* Au fond du trou de Ariane Fusain : Drôle, enlevé, le "mystère" est bien traité tout comme la relation de voisinage !



Ma note : 7/10



* Journal d'un misanthrope de Hervé Heurtebise : Au début j'ai eu un peu de mal avec le style de l'auteur, mais rapidement je suis entrée dans l'histoire que j'ai trouvée très jolie.



Ma note : 6,5/10



* Un beau jour, l'avenir s'appelle passé de Audrey & Natacha Ajasse : Bref mais efficace. J'ai dévoré cette histoire et apprécié la chute. En revanche celle ci m'a frustrée, je l'ai trouvée trop courte, j'aurais aimé en avoir un peu plus



Ma note 7,5/10



* Le bus de 15H20 de Marie-Pierre Bardou : Ah celle ci je l'ai beaucoup aimée. Déjà j'ai apprécié l'angle par lequel l'auteur appréhendait le voisinage. Ensuite, j'ai apprécié le côté inéluctable de l'histoire, on sait d'entrée de jeu comment ça va se terminer et on eut savoir pourquoi, comment ? La fin tragique est bien trouvée.



Ma note : 8/10



* La curiosité est un vilain défaut de Emmanuelle Soulard : La fin m'a laissée perplexe, je n'ai pas eu l'impression d'avoir vraiment tout compris. L'écriture de l'auteure est bonne mais cette histoire m'a laissée dubitative.



Ma note : 5/10



* Déclics et Claques de RoseLys Desdunes : Là j'ai eu du mal avec le style de la narratrice, très 19eme alors que l'histoire est contemporaine, je l'ai suivie sans passion et au final je l'ai rapidement oubliée.



Ma note : 4,5/10



* L'ultimo Contratto de Yannick Billaut : Bon l'histoire est un peu attendue, mais elle est drôle. Mention très spéciale pour la chute qui m'a fait sourire jusqu'aux oreilles



Ma note : 7/10



* Le cas de Lucas de Manou Fuentes : Le personnage principal m'a fait sourire (moi non plus je n'aime pas la fête des voisins) même si j'ai trouvé le début du journal un peu pénible à lire (parce que sans structure, le narrateur jette ses idées comme elles lui viennent). La chute est jolie



Ma note : 5,5/10



* Le banc de Mélissa Restous : Une histoire étrange mais très belle. J'ai aimé me laisser bercer par cette narration, la fin est tragique mais on s'y attend



Ma note : 6,5/10



* Le nom de la voisine de Nathalie Desormaux : Une réécriture très originale d'un épisode très connu dans le patrimoine culturel. J'ai trouvé cela très original et imaginatif et c'était bien écrit



Ma note : 8/10



* L'érable de la cour d'Olivier Lerouge: Un hymne à la tolérance et à l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup aimé cette histoire, légèrement teintée de fantastique.



Ma note : 7/10



* Nocturnes de Dominique Lebel : L'idée est bonne mais en définitive, je n'ai pas tant que ça trouvé dans le thème. C'est bien écrit mais je n'ai pas spécialement aimé



Ma note : 5/10



* Aucun contact physique de Marjorie Loup : J'ai eu envie de dire... ENFIN ! Enfin une histoire SF dans ce recueil. Celle ci est très bonne, mais j'aurais aimé qu'elle soit plus développée, plus longue, que le côté sentiment soit approfondi mais je suppose que dans le contexte du recueil ce n'était pas possible



Ma note : 7,5/10



* Ma voisine est nue de Marie-Noelle Garric : Drôle, j'ai aimé le côté harpie de la compagne du narrateur et le côté désabusé de celui ci. J'ai un peu plus de réserves sur les dialogues, notamment ceux de la harpie, j'ai trouvé qu'ils manquaient de naturel. Par contre la chute m'a fait rire



Ma note : 7/10



* PEPE de M.I.A : L'idée du voisinage est originale mais j'ai eu un peu de mal à comprendre toute l'histoire.... Le personnage principal m'a ennuyée



Ma note : 5/10



Ce que j'aime : les genres différents de chaque histoire. Certaines sont vraiment excellentes.



Ce que j'aime moins : j'aurais apprécié que certaines histoires soient plus développées.



En bref : Un recueil divertissant et varié sur les voisins. Mention plus pour le fait que la plupart des auteurs publiés par la maison d'édition aient participé. Cela permet de découvrir la palette des plumes et m'a donnée envie de lire des choses plus longues de nombres d'entre eux.



Ma note



6,5/10
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Ma chronique: C’est après avoir lu quelques chroniques positives sur ce livre que j’ai eu envie de le lire. En plus, il est d’une auteure française ce qui m’a davantage encouragé!



Heureusement pour moi, je ne me suis pas arrêtée sur le résumé qui m’a directement fait penser à la série TV “Ghost Whisperer” car j’aurai loupé quelque chose!



Dans ce livre, on fait la connaissance de Eleonor une adolescence hors du commun, puisqu’elle peut voir les morts et les aider à se diriger de l’autre coté. Dès les premières pages, on comprend que le quotidien de la jeune femme n’est pas de tout repos! Malgré cela, elle arrive à mener un semblant de vie normale entre le lycée et sa famille -quasi inexistante.



Jusqu’au jour ou elle rencontre Yuno, un jeune fantôme asiatique. Immédiatement, ils s’entendent à merveille malgré des échanges assez piquants. (C’est l’adolescence ça :p) Lorsque Yuno confie à Eleonor qu’il a été assassiné, la jeune fille se met alors rapidement en tête de trouver son meurtrier.



Seulement, Yuno n’était pas un enfant de chœur, et ses fréquentations étaient des plus dangereuses et la jeune femme remue ce que beaucoup aurait aimé voir rester caché.



(La suite au bout du lien :D)
Lien : http://tahichaschronicles.we..

Tout d'abord, je suis très heureuse d'avoir lu ce livre en partenariat avec les maisons d'édition Helene Jacob.

Mon avis sur ce roman est plutôt mitigé.

Si je dis ce que j'en ai pensé sans réfléchir, je dirais que c'est un bon roman. J'ai beaucoup aimé l'histoire (contre toute attente puisque le sujet des fantômes est vu et revu...). Les personnages sont très attachants. J'ai bien aimé Eleonor même si elle a quelque fois un comportement bizarre... Yuno est pas mal mais il ne m'a pas vraiment fait rêver. La fin est plutôt satisfaisante.

Maintenant, si j'y réfléchies, je n'ai pas trop aimé le style d'écriture et il y a plusieurs choses que je n'ai pas comprise comme, pour commencer, le titre. Cette date n'est pas super importante pour le roman donc... Puis, je n'ai pas compris pourquoi il y a le jour comme titre de chapitre, c'est assez inutile.

Quant aux autres personnages, je trouve qu'ils ne sont pas assez exploités.

En fait, je n'étais pas vraiment dans l'histoire, j'étais plus comme un fantôme (sans jeu de mot) qui assiste à l'histoire d'Eleonor.



Pour conclure, je ne recommande pas forcément ce livre mais j'en garde un bon souvenir, même si je pense que ça ne sera pas une lecture très marquante.
Lien : http://meslectuures.skyrock...