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Critiques de Nicolas Nutten (192)
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Terra Mater

J'ai reçu ce roman aujourd'hui , je l'ai carrément dévoré, une fois commencé , il est impossible dde le lâcher,

Je suis l'auteur depuis ses débuts, je trouve que ce livre est le plus abouti , le plus prenant, plus de maturité dans son écriture,

Quel roman , je suis en plein questionnement, et oui lil a mis la barre très haute , et quand je dis haute , c'est indéfinissable,

Cest avec habilité et sans aucune difficulté qu'il nous embarque dans le tourbillon infernale de son histoire, Il se joue avec ses lecteurs, , mettant leurs nerfs à vifs, Il nous perd, nous remet dans le droit chemin, on pense trouver l' aboutissement de son récit, mais que nenni, son coté psychopathe refait surface, et nous lecteurs nous tombons dans les méandres de la folie,Une histoire qui va de rebondissent en rebondissements, aucun temps mort, nous avançons en apnée, , Il nous met dans le doute , tout le long du récit, Une intrigue et suspens, haletant, palpitant, qui nous prend aux tripes,

Une histoire hors normes et des personnages hauts en couleur, il nous tient en haleine du début jusqu'au twist final explosif, Une histoire bien ficelée et maîtrisée, la psy des personnages est disséqué en profondeur, pimentant l'histoire,

Nous sommes dans un thriller psychologique comme je les aime, avec tous les éléments qui vont avec,Je ressors toute chamboulée , scotchée, je viens de me prendre une véritable calque , un uppercut, La quatrième de couverture plante le décor,

La plume de l’auteur est percutante et terrifiante, une lecture qui nous donne des frissons, froid dans le dos, nuits blanches assurées, On ne peut sortir indemne de cette lecture

Juste un mot à dire bravo Nicolas pour cet excellent roman.
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Disparition

Après avoir affreusement mais délicieusement souffert en lisant deux romans noirs , j'ai jeté mon dévolu sur " Disparition " , de Nicolas Nutten .La couverture est énigmatique avec son titre , son illustration et son bandeau racoleur . Ça part vite , très vite , dans le métro parisien avec deux jeunes , Maxime et Célia. Une panne , une explosion , une disparition , dés les premières pages et de l'action jusqu'à...la fin . Les gentils contre les méchants. Et on va en parcourir des lieux insolites et pleins de mystères et de dangers ....Les catacombes , les égouts de Paris ...Pour un peu , on croirait y rencontrer Jean Valjean ....Les obstacles ne manquent pas et Maxime devra faire preuve de courage et de perspicacité avec des alliés éphémères comme Loïc ou plus tenaces comme Chloé...Embrouilles , fuite devant la police ou les truands ...J'ai l'impression d'avoir retrouvé dans ce livre une des intrigues vécues par les héros des années 60 et j'avoue m'être bien plu dans ce monde où , vers la fin , on voit ressurgir les " tontons flingueurs " et leurs " silencieux " , où les " sourires de faux - culs " laissent craindre le pire ! De quoi vous dégoûter " du rail de Blanche " .Rassurez - vous , force restera à la loi . Bien sûr, il y aura bien quelques dommages collatéraux mais , comme disait ma grand - mère , " on ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeufs " , " c'est ben vrai ça ", répondait la mère Denis . Mon manque de sérieux pour expliquer que , j'aurais pu citer Tintin ou les " globe - trotters"( feuilleton avec les regrettés Y Rénier et E . Meeks ) pour parler de ce roman qui m'a bien diverti sans me faire trembler .J'ai imaginé " les tronches " des méchants et le parcours des " héros ", des personnages sympas et charismatiques . Oui , j'ai aimé pour un schéma qui m'a rappelé ma jeunesse . En clair , même si on ne prend pas trop ces " disparitions " au sérieux ( chacun fait ce qu'il lui plait ), on passe ( enfin pour ma part ) un fort bon moment . Il y a des victimes mais , " même pas peur " ....Souvenez - vous des vieux fims en noir et blanc ....Les morts ne se couvraient pas de l'hémoglobine visqueuse d'aujourd'hui , l'agonie ne durait pas des heures , l'assassin s'excusait ( enfin ...un peu ......) Et bien , il y a de cela dans ce roman sympa qui donnerait certainement un bon film d'aventures de ces belles années que les moins de 20 ans ne peuvent ....Le scénario est très bien écrit, " y'a plus qu'à " .

J'ai passé un bon moment , j'ai bien récupéré et , maintenant je fonce sur ...un roman noir , bien entendu ...et je reviens vers vous ...enfin , j'espère....
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Terra Mater

Bonjour,

Voici « Terra Mater » de Nicolas Nutten. J’ai adoré ce thriller captivant au rythme trépidant. Nous suivons une lieutenante de police chargée d’une enquête complexe suite à la découverte d’un corps au fond d’un aven.Les personnages principaux sont très attachants, hauts en couleurs et parfaitement rendus. L’intrigue est passionnante, peuplée d’énigmes à la construction originale et maîtrisée et ne laisse aucun répit au lecteur. Vous serez très vite submergé par cette atmosphère sombre et oppressante qui habite les grottes. Pour la troisième fois, j’ai été totalement séduite par la plume brillante de l’auteur qui nous emporte avec maestria dans une aventure machiavélique au twist final détonnant. Un redoutable thriller comme je les aime.

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Comme deux gouttes de sang

"Deux âmes brisées n'ont pas besoin de paroles pour se comprendre : un regard suffit, une larme parfois..."



L'obscurité d'un coffre puant, une belle soirée, l'étoile dorée de l'immense sapin, de l'horreur pure, un regard d' incompréhension, l'énergie du désespoir, un bleu glacé, une couronne légère, une info virale, une étincelle d'espoir, de l'exploration urbaine, les affres du temps, une bouffée de colère, la nuit griffée par les gyrophares, de l'excitation, un thé au jasmin, le masque de la mort, une tête brûlée, une autre réalité, un talisman de tendresse, une affaire a l'air d'un piège, du fil barbelé, des yeux malicieux, un rituel sataniste, un rictus taquin, un chêne centenaire, un open space, un récit épique, des angoisses au fer rouge, une ambiance chaleureuse, des défis techniques, une haleine fétide, une musique lénifiante, un voile de tristesse, un chat de gouttière, un manque d'attention, trembler comme une feuille, ne pas perdre pied, un verre de vin blanc, des visions morbides, des vieilles histoires, un mal corrosif...





Il y a de la tension, de l'efficacité, des émotions, du réalisme, de l'action, des pièces du puzzle qui s'emboîtent bien, des personnages intéressants, de sacrés rebondissements, et des moments glaçants dans cet excellent thriller.



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Comme deux gouttes de sang

J’ai eu la chance de lire ce livre en bêta lecture, et j’ai beaucoup aimé.



En décembre 1997, à Alesund en Norvège, Johanna Lyngstad est miraculeusement rescapée d'une tuerie familiale perpétrée par Lars Bransdal, tueur en série. Elle témoigne au procès de ce dernier et il écope de 21 ans de prison (peine maximale en Norvège).

En 2019, en région parisienne, une bande de jeunes trouvent dans un manoir abandonné : un squelette ligoté avec du fil de fer barbelé. L'enquête est confiée au Commandant Sarda et son équipe de la DRPJ de Paris.

A Montpellier Johanna vite le parfait amour avec Aymeric, soudain elle disparaît et l'enquête est confiée au Lieutenant de gendarmerie Romane Delmiez et son équipe. Il va de soi que les enquêtes vont faire découvrir beaucoup de fait inattendus. Les prétendus coupables se mêlent et s'entremêlent, comme les enquêtes d'ailleurs. Beaucoup de personnages interviennent. On va découvrir au fil de l'enquête du squelette Camille et Aurore Jourdain. Qui a tué ? qui tue car les victimes vont se succéder ? Une intrigue bien menée. La fin m'a laissée sur ma faim (sans faire de jeu de mots) mais peut-être aurons-nous une suite !

Un roman addictif. Quand on le commence on a du mal à le quitter tant l'histoire est prenante, beaucoup de rebondissements.

L'auteur a une belle écriture, il sait entretenir le suspense, les personnages sont bien choisis, ils entrent bien dans l'histoire, il est vrai qu'entre les deux équipes enquêtrices j'ai eu parfois du mal à me souvenir qui est qui (beaucoup de noms à retenir pas toujours évident de les resituer).

Chapeau l'auteur ! Belle imagination, j'ai vraiment adoré ! Ce livre est comparable à un Jean-Christophe Grangé.

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Terra Mater

Terra Mater, la déesse de la Terre dans la mythologie romaine.



Moi qui étais partie pour continuer à lire du feel-good... Parce que ça fait du bien.



C'est sans compter sur ma chère Yael, avec son joli billet, qui m'a fait mettre ce roman de côté. Merci pour cette découverte.

Un roman n'est jamais resté aussi peu de temps en attente dans ma pile à lire !



C'est un Thriller qui se mange en une seule bouchée ! Posant l'intrigue dès le début, il m'a embarqué immédiatement.



Ici, nous sommes dans les Causses de l’Hortus avec Anthony et Erwan.

Ils participent à un géocaching, ce nouveau loisirs high-tech consistant à utiliser un GPS pour rechercher des caches dans divers endroits. Et dès le début du roman, ça se passe mal. Bah oui, sinon ça ne serait pas un Thriller.



Gros point positif pour moi : les personnages, on s'y attache très vite. Simple dans la description, aussi bien sur le décor que les protagonistes, nous sommes tout de suite mis dans le bain sans perdre de temps et passons rapidement aux choses sérieuses.



Nul besoin d'aimer les grottes ou la spéléologie pour apprécier ce roman. Bien qu'ayant déjà fait de la spéléologie en tant qu'amatrice, j'ai vite ressenti le côté étouffant que procure le décor. Nous avons vite l'impression que nous risquons d'être aspirés dans les tréfonds sombres de la Terre.



Mais soyez rassuré, l'histoire se déroule aussi là haut, sur la terre ferme.



De plus, j'aime beaucoup cette couverture que je trouve énigmatique et qui colle parfaitement au contenu.



Si vous souhaitez découvrir ce roman, vous n'avez plus qu'à vous munir d'une combinaison et d'une lampe frontale pour vous glisser entre les pages !
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Comme deux gouttes de sang

L’histoire débute un soir de Noël 1997 comme bien d’autres en Norvège pour une famille lambdas et, quelqu’un frappe à la porte

Et la c’est le drame.

D’un côté nous avons donc l’histoire tragique de la petite Johanna que nous retrouverons 21 ans plus tard et qui a essayé d’effacer les stigmates de son passé, et de l’autre la découverte d’un cadavre squelettique orné sur le crâne, d’une croix inversée.

Deux histoires distinctes qui évidemment finiront par ce rejoindre et se sera bien la les seules indications que je vous donnerai

L’histoire est prenante, extrêmement bien raconté, un enchaînement d’indices ou de petits rien qui finiront par faire un tout, qu’il est impossible d’imaginer car même si le fil conducteur de l’histoire ne laisse que peut de doute quant au déroulement de l’intrigue, on se demande comment Nicolas Nutten va bien pouvoir s’y prendre.

Et là, l’auteur manœuvre intelligemment en nous tenant en haleine et en pratiquant des virages à 180 degrés savamment orchestrés qui nous déroutent et brisent nos certitudes au fur et à mesure qu’il les crée pour le plus grand plaisir de cette lecture à rebondissements

Un style d’écriture particulier dont je n’avais pas l’habitude et qui m’a conquis à 200 %

Cette façon bien à lui de débuter certains chapitres m’a fait par moment me demander ou j’étais pour à terme, totalement me scotcher

Aucun faux pas, aucune incohérence dans ce polar 5 étoiles qui va m’obliger à suivre cet auteur que je ne connaissais pas et qui mérite sans nul doutes les récompenses décernées autant que les éloges proférées

Une histoire d’une complexité insoupçonnée qui n’a égal que la facilité avec laquelle elle est Narée

Un super ouvrage que je ne peux que recommander
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Comme deux gouttes de sang

Un démarrage qui commence très fort en Norvège le 24 décembre 1997, un squelette est retrouvé au fond d'une cave dans un manoir abandonné de nos jours au sud de Paris.



Pour tous les personnages de ce roman ce sera l'occasion de faire connaissance et de se mettre à la recherche de Johanna Lyngstad. Chaque personnage a une histoire a raconter mais le principal objectif à tous, c'est de retrouver les liens qui unissent ces plusieurs affaires de meurtres.



Sarda, le commandant parisien et son équipe vont travailler en collaboration avec le lieutenant Romane Delmiez tout chaudement débarqué de Montpellier.



Cette enquête très bien ficelée m'a emporté dans le passé de trois jeunes femmes et les mystères qui se cachaient dans leur enfance et dans un pensionnat au fin fond des Ardennes.



Quand l'identité du squelette est dévoilée, une lumière commence à s'éclairer sur des pistes pour nos enquêteurs.



Impossible d'avoir une idée sur le coupable, car l'auteur m'a aspiré dans un tourbillon de situations improbables. Avec sa plume distrayante et une pointe d'humour, l'auteur m'a emporté dans son histoire terrifiante et glaçante.



Des personnages très attachants, du suspense et un dénouement inattendu et explosif.



Jusqu'à la fin de ma lecture, j'ai été surprise, l'auteur a surement un don pour jouer avec l'esprit de curiosité et les nerfs de ses lecteurs et lectrices.



Ce thriller est un véritable coup de coeur pour moi qui avait du mal à retrouver des émotions en lisant. J'ai été captivée de la première à la dernière page.



Comme deux gouttes de sang c'est du très bon thriller et c'est surtout des nouvelles sensations inconnues.



Je tiens à remercier l'auteur et les éditions les nouveaux auteurs de m'avoir donnés leur confiance.




Lien : https://sabineremy.blogspot...
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Terra Mater

Terra Mater est le 3° roman de Nicolas Nutten, dont j'avais fait la connaissance l'an passé à Nemours avec « Comme deux gouttes de sang ».

Terra Mater (littéralement : la Terre-Mère) se révèle assez vite être le nom d'un « jeu » de recherches et d'enquêtes en appui sur du « geocaching ».

Adepte de ce type d'activité et des sports extrêmes, Erwan va se lancer dans l'exploration d'un aven méconnu, non sans avoir au préalable recruté son pote de toujours, Tony. Erwan n'est pas un néophyte en la matière et la spéléologie a peu de secret pour lui… initié depuis son plus jeune âge par son père, le maire du village, et lui-même explorateur des tréfonds de notre planète, ce qui lui a valu la notoriété d'être le découvreur d'une grotte devenue l'attraction touristique de sa commune.

Une fois sur place, les événements vont se précipiter et méchamment déraper !

Dans le même temps, la lieutenante de gendarmerie Romane Delmiez est envoyée sur une scène de crime alors que son quotidien depuis un accident rime plutôt avec la rubrique des « chiens écrasés »… Elle se réjouit de cette opportunité de prouver ses compétences sans se douter que cette enquête va l'entraîner bien au-delà de la découverte d'un « simple » cadavre, et la mettre personnellement en danger.

L'intrigue est bien ficelée avec des imbrications auxquelles on ne s'attend pas forcément. Les personnages sont forts et leur psychologie est bien utilisée.

J'ai retrouvé un style agréable, recherché sans être ampoulé avec un vocabulaire riche mis au profit de belles descriptions, pas trop longues ni trop brèves… juste ce qu'il faut pour se projeter sans peine dans les lieux ; le tout agrémenté de quelques touches d'humour permettant de respirer dans cette atmosphère plutôt oppressante !

Par contre, la fin m'a laissée un peu dubitative avec un ultime rebondissement dans les 10 dernières pages qui ne me semblait pas indispensable…

J'ai frôlé le coup de coeur avec ce thriller captivant que je vous recommande 😊

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Disparition

Après avoir découvert Nicolas Nutten avec « Comme deux gouttes de sang », puis « Terra Mater », j’ai eu envie de lire son tout premier roman « Disparition ».

Une panne dans le métro bloque des centaines de voyageurs sous terre ; parmi eux, un jeune couple, Maxime et Célia. Lorsque les malheureux passagers parviennent enfin à sortir de la rame pour remonter à la surface, ils sont séparés par un mouvement de foule et Maxime perd de vue Célia… Une fois sorti, nulle trace de sa compagne… Fou d’angoisse, il va déployer toute son énergie et des heures de recherches en tout genre pour tenter de la retrouver…

Avec ce polar, Nicolas Nutten nous balade successivement dans les tréfonds du « sous-Paris », dans le milieu mafieux et dans les instances dirigeantes d’une multinationale aux desseins peu recommandables…

Avec une idée de départ séduisante, l’auteur tire finalement trop de ficelles diverses qui m’ont donné le sentiment d’un récit confus, un peu brouillon… J’ai eu du mal à raccrocher tous les morceaux et l’empathie envers les principaux personnages a souffert de ces directions trop différentes ☹

Un premier roman toutefois riche (un peu trop peut-être) et prometteur… conclusion assez facile puisque je connais les suivants et les ai appréciés 😉

A tester si vous voulez voir une belle évolution dans l’écriture de cet auteur 😊

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Disparition

Un roman bourré d’action et sans aucun temps mort ! Si vous êtes un.e adepte des page-turners, alors celui-ci devrait combler vos attentes. Pour ma part, j’ai pris plaisir à suivre les aventures de Maxime, Chloé, Célia et les personnages rencontrés au cours du récit. C’était fluide même si, pour être honnête, il y a beaucoup de stéréotypes, notamment avec les antagonistes, ainsi que des facilités. Bon, ça reste sympa... J’imagine assez bien un film.
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Comme deux gouttes de sang

Je vais commencer cette chronique, une fois n'est pas coutume, par des remerciements que j'adresse à une babelionaute, mariechrist67, dont je suis régulièrement les billets; c'est son enthousiasme qui m'a donné envie de découvrir et le roman et l'auteur. Et j'ai bien fait.

Ce thriller s'ouvre en décembre 1997, en Norvège, sur le massacre de la famille Lyngstad; seule, Johanna, 15 ans, arrive à en réchapper, elle témoigne contre le meurtrier puis se cache.

Vingt-deux ans plus tard, en novembre 2019, près de Paris, le corps d'une jeune fille de 15 ans, assassinée 20 ans auparavant, est retrouvé dans un manoir abandonné. L'enquête est confiée au commandant Sarda, de la direction régionale de la police judiciaire de Paris.

A Montpellier, Johanna, traductrice, disparaît le 1 décembre 2019, après avoir dérobé une arme à son beau-frère. L'enquête est confiée à la lieutenante de gendarmerie, Romane Delmiez.

Ces 3 affaires, à priori sans lien les unes avec les autres se rejoignent au 2/3 du roman. Toutes les pièces de ce gigantesque puzzle finissent par s'emboîter parfaitement avec une précision machiavélique. Il faut s'accrocher car l'auteur semble prendre un malin plaisir à nous maltraiter, à nous aiguiller vers de fausses pistes. Alors qu'on croit être arrivés au dénouement, les rebondissements s'enchaînent maintenant le suspense intact jusqu'à la fin. Le rythme soutenu entre deux indices, entre deux révélations, entre deux retournements de situation nous empêche de reprendre notre souffle. Il faut cependant rester concentré vu le nombre de personnage, les lieux et les époques différents mais cet effort est largement récompensé.

Les deux enquêteurs ne sont pas des super-héros mais madame et monsieur tout le monde faisant un métier dangereux et ayant des problèmes (divorce, parent d'adolescent en révolte, maladie) qui les rendent humains.

J'ai tellement apprécié cette lecture que je me suis déjà procuré le roman précédent de Nicolas Nutten, son premier, "Disparition". J'ai hâte d'être à nouveau bousculée, saisie, épatée.

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Comme deux gouttes de sang

J’avais beaucoup aimé “Disparition”, le premier roman de @Nicolas Nutten. J’étais donc curieuse de savoir s’il continuerait à écrire des romans qui me captivent. Disons-le d’emblée, le deuxième a fait le job.

Norvège, 1997. Un tueur en série massacre une famille la nuit de Noël et enlève Johanna, l’aînée, adolescente. Un accident de voiture lui permet de s’échapper.

De nos jours, à Paris, un squelette attaché dans la cave d’un manoir abandonné est découvert par des jeunes qui pratiquent l’urbex.

Pendant ce temps, à Toulouse, Johanna disparaît mystérieusement.

Ce roman est un page turner, je l’ai lu en un peu plus d’une journée. La plume de l’auteur est plaisante, la construction de l’intrigue maintient bien le suspense, le rythme est soutenu, je n’avais pas vu venir le twist final… et la fin nous promet de retrouver certains protagonistes.

J’aime beaucoup, aussi, le fait que l’auteur nous livre des descriptions qui me permettent de visualiser les lieux et les personnages. Sans cela, je ne parviens pas à éprouver de l’empathie pour un quelconque personnage, et je reste sur ma faim.

Bref, une très bonne lecture, je continuerai sans aucun doute à suivre le travail de l’auteur.
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Disparition

Maxime et sa petite-amie Célia voyagent dans le métro parisien. Un incident technique les bloque entre deux stations et lorsqu’ils sont finalement évacués, Célia est introuvable. Fuite volontaire ou enlèvement ? Que cachait-elle ?



Maxime part à sa recherche sans relâche et sans prévenir la police comme le lui conseille son coloc Yann. Il démarre par les souterrains (visite sympa des catacombes et des raccords du métro). Quand il retrouve le sac à main de Célia vide, Maxime est encore plus motivé. Il croisera par hasard Chloé qui fera un bon bout d’enquête avec lui et qui connait Célia aussi mais sous une autre identité… Lorsque la mafia entrera en scène, Maxime saura que cette histoire changera sa vie à jamais.



Pour un premier roman, Nicolas Nutten s’en sort plutôt bien. Le rythme est happant, le lecteur a envie de suivre Maxime et se trouve vite désemparé comme lui. Quelques détails m’ont quand même gênée : la police n’est pas assez présente, dans ce genre d’affaires cela me semble indispensable, Maxime n’étant pas flic lui-même. Certains détails tombent à point nommé et permettent aux protagonistes de parer les difficultés un peu trop facilement. Bref, j’ai trouvé ce roman sympa mais il m’a manqué un petit quelque chose.

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Comme deux gouttes de sang

Ce thriller démarre sur une terrible scène de massacre perpétré en Norvège le 24 décembre 1997. Une famille est décimée à l’arme blanche par un tueur impitoyable… sauf la fille ainée, Juliana, 17 ans, qui sera enlevée et échappera au meurtrier grâce au hasard d’un accident de la circulation. En fuite, celui-ci sera finalement arrêté puis condamné à 21 ans de réclusion après un procès où Juliana témoignera contre lui.

21 ans… c’est la peine maximale qui existe en Norvège…

Dans ce roman, nous suivons 2 enquêtes parallèles :

- La découverte d’un cadavre réduit à l’état de squelette dans un manoir inhabité en région parisienne,

- La disparition d’une jeune femme qui semble s’être volatilisée sur Montpellier…

Assez rapidement, Olivier Nutten donne à ses lecteurs les éléments permettant de relier ces 2 affaires apparemment distinctes… et nous suivons ainsi le cheminement des 2 enquêtes qui vont finir par relier ces affaires… au rythme réaliste de la « vraie vie ».

Rencontré à Nemours où son livre avait obtenu le prix des lecteurs de ce salon, Olivier Nutten m’a convaincue de lire son thriller… et c’est une bonne pioche 😊

« Comme deux gouttes de sang » révèle une écriture intéressante qui alterne quelques descriptions de scènes émaillées des réflexions des divers protagonistes, des dialogues teintés d’humour noir, des flics terriblement attachants avec leurs travers et leurs emm… du quotidien (fracture d’un couple pour l’une, maladie grave débutante pour l’autre…)

Un final tonitruant, en forme de points de suspension, qui clôt cette enquête de manière musclée mais laisse la porte ouverte sur une suite…

Tout ce qu’il faut pour conseiller ce thriller sans hésiter... et j’ai hâte de découvrir le prochain de cet auteur 😉

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Disparition

Disparition - Nicolas Nutten - Nouveaux auteurs



Une journée banale qui commence, la canicule dans Paris, un wagon de métro qui s’arrête en plein milieu de son parcours, des passagers exténués qui décident de se débrouiller pour rejoindre les quais, et Célia qui disparait au milieu de tout ce tumulte.Où est-elle donc passée?Comment s’est-elle volatilisée en une fraction de seconde et surtout pourquoi?

Maxime se lance à sa recherche sans imaginer une seconde où cette enquête va le mener.

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Tout d’abord, je tiens à vous dire qu’il y a peu de romans avec lesquels je sens d’emblée que l’écriture et le phrasé vont me plaire au point où je sais quasi instantanément que je vais prendre un réel plaisir à le lire. Avec celui-ci, il m’a suffit des deux premiers chapitres pour me convaincre. La plume m’a véritablement conquise tout le long, d’autant plus que l’intrigue est très bien ficelée et noire à souhait.Le récit est très visuel, voire mettra tous vos sens en alerte.Vous descendrez tel un cataphile dans les couloirs de la mort pour difficilement en ressortir…

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De fouettés en uppercuts,ça cogne sévère et votre cœur et vos tripes seront les réceptacles de cette atmosphère au combien anxiogène qui règne au gré des découvertes macabres auxquelles vous serez obligés de faire face.Rajoutez à cela, des références effrayantes à la mythologie grecque et se prêtant parfaitement à la situation et vous avez un cocktail molotov qui vous explose en pleine face.

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Un séisme de magnitude 6 sur l’échelle de Richter, de celui qui vous laissera de sacrées séquelles au passage…vous êtes prévenus!

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Pour un premier roman, c’est une réussite et j’espère qu’à l’avenir, l’auteur ira encore plus loin dans l’exploitation de ses personnages en leur apportant encore plus de profondeur mais aussi dans sa façon de dépeindre toute l’horreur dont est capable un être humain, sujet qu’il traite déjà très bien ici. Je me suis régalée!
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Comme deux gouttes de sang

Coup de cœur

J’avais entendu parler de l’auteur avec son 1er roman Disparition, qui a obtenu le prix du suspense psychologique, jury présidé par Bernard Minier. C’est tout naturellement, que j’ai eu envie de lire son 2ème roman.

Ce livre débute par le massacre d’une famille en Norvège en 1997, et seule Johanna alors âgée de 15 ans en réchappera. 22 ans plus tard, le corps d’une jeune fille est retrouvé dans un manoir abandonné aux alentours de Paris, par des jeunes qui font de l’urbex. L’enquête est confiée au commandant Sarda et à son équipe. Dans le même temps, Johanna, à Montpellier, disparaît. L’enquête est confiée à la lieutenante de gendarmerie Romane Delmiez.

Il y a une alternance dans les chapitres entre ces 2 enquêtes jusqu’au moment ou elles vont se rejoindre et nous emmener jusqu’au dénouement final.

Des personnages très crédibles, même si ils sont nombreux, ils ont leurs qualités, leurs défauts, leurs fêlures. Ils sont bien décrits, ils ont de la consistance.

L’intrigue est bien construite. A un moment, j’ai cru avoir découvert le dénouement final, et bien je me suis fais surprendre, et ce final est vraiment bluffant.

L’écriture est fluide et addictive. Les chapitres sont courts et rythment l’histoire.

Une très belle découverte

Un auteur à suivre

Un livre que je vous recommande.

Merci à Babelio et aux éditions Nouveaux Auteurs pour cet envoi.
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Comme deux gouttes de sang

Coup de ❤

D’habitude, je n’apprécie pas qu’on me trompe, mais j’avoue y avoir pris, ici, un plaisir énorme.

Tout, dans ce thriller haletant, est excellent : 3 affaires qui a priori n’ont rien à voir entre elles et se résolvent dans des rebondissements à couper le souffle, la coopération inopinée entre la Crim’ parisienne, déménagée au Bastion, et le SRPJ de Montpellier, des enquêteurs réalistes, ni clichés de flics usés ni surhumains, ballotés au gré des affaires professionnelles et personnelles, les acteurs de l’intrigue, unanimement bien construits, qu’ils soient protagonistes ou secondaires, campés dans leurs histoires intimes, leur passé, leurs casseroles, leur psychologie complexe et si bien maîtrisée, et leurs masques, car ici, pour survivre, tous portent un masque social, efficace, rien rôdé, mais dès qu’il tombe….

En plus d’une écriture élégante et travaillée où rien n’est laissé au hasard pour nous assujettir totalement au plaisir de la lecture, la structure est fine, parsemées d’indices invisibles à l’œil nu mais qui prennent tout leur sens a posteriori, comme ce titre énigmatique dont on se dit, après coup : « bon sang, mais évidemment ! » Tout est à sa place. Tout est faux-semblant. Finalement, rien n’est là où on l’attend ! Et le piège se referme sur nous, nous laissant incapables de fermer le livre avant d’en connaître la (les ?) fin. Et quelle fin ! Résolution ! Effet de rebond ! Bluff ?...

Personnellement, j’ai éprouvé un coup de cœur pour 2 personnages : Winckler et son feu sacré et Laurence et son indicible douleur ; tous deux m’ont touchée par leur justesse de ton, leurs faiblesses et leur force incroyable. Je n’ai qu’un reproche à faire à ce roman : il se lit trop vite ! On aimerait tant continuer à se faire balader par l’auteur dans les méandres de l’âme humaine ! Il ne me reste plus qu’à me jeter sur « Disparition » en attendant le 3ème !

Bref, précipitez-vous ! Courez chez votre libraire, installez-vous confortablement et jouissez sans réserve de ces moments fébriles et brillants que nous offre Nicolas Nutten, incontestablement nouveau grand nom du thriller français à suivre de très près !Je recommande ++++
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Terra Mater

ADDICTIF ET IMMERSIF - Par ce troisième thriller de l'auteur, je découvre sa plume et j'avoue que c'est un réel coup de cœur. Une plume complètement addictive, des personnages auxquels je me suis très vite attachée et une enquête intriguante.



L'action démarre vite pour notre permettre une immersion très rapide. J'ai adoré cette enquête, ces énigmes à déchiffrer. J'ai cru que la fin arrivait un peu vite sur une évidence, pour que Nicolas Nutten nous retourne rapidement le cerveau, dans la foulée.



Une enquête très bien ficelée, construite intelligemment avec plein de pistes. J'ai été frustrée quand je devais reposer mon livre. J'avais envie d'en savoir plus, de connaître le fin mot de l'histoire. Aucun temps mort dans cette lecture, l'auteur sait nous tenir en tension tout au long du livre. Elle monte crescendo nous laissant accroché à l'intrigue sans répit possible.



J'ai aussi beaucoup aimé cette couverture sombre et énigmatique à souhait.



J'ai hâte de lire son second livre gagné chez @maiahotiautrice et j'avoue avoir commandé le premier dans la foulée. (Pas du tout dans l'ordre de parution, mais pas du tout gênant pour la lecture 😁).
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Comme deux gouttes de sang

La chronique jubilatoire de Dany Flingueuse pour Collectif POlar

Comme deux gouttes de sang de Nicolas Nutten

Une expédition d'urbex tourne à la catastrophe … une structure de bâtiment est fragilisée, et voici que le chantier révèle un gisement d'ossements daté d'une vingtaine d'années. Cet événement devient le lot du commandant Sarda et de son équipe, basés au Bastion.

Une jeune femme, traductrice sous pseudo, voit son identité révélée au public du fait d'une maladresse lors d'une publication. Dès lors le meurtrier de ses parents, l'auteur de son enlèvement pourra-t-il retrouver de l'ultime témoin de ses méfaits ? Elle disparait près de Montpellier et son compagnon va tenter de retrouver sa trace parallèlement à l'enquête officielle.

Ajoutez les drames de l'adoption, les violences sur les enfants, l'impossible complicité entre deux soeurs qui ne sont pas du même sang, les indéfectibles liens entre deux adolescentes sensibles au point d'envisager le suicide, les difficultés personnelles de nos flics en perdition et vous aurez à peu près tous les ingrédients de ce polar. Ingrédients certes, mais pas l'intrigue …

Ce deuxième roman de Nicolas Nutten, le premier que je lis de cet auteur rencontré au Verdoyer en 2021 et chaudement recommandé par sa consoeur Isabelle Villain, est de très belle facture dirons-nous, autrement dit, vachement bien construit…c'est mon avis. Un rythme soutenu confirme l'efficacité d'un prologue angoissant. Pas de temps mort, les deux enquêtes s'imbriquent admirablement bien, le ton est juste, sans dérapage inutile quand les situations deviennent scabreuses. J'ai beaucoup aimé ce thriller haletant, aux rebondissements multiples et inattendus, abordant aussi des sujets graves. Une très belle surprise et comme j'aime qu'on me surprenne, quoique cela devienne de plus en plus difficile !



Je remercie l'auteur pour sa confiance et Isabelle Villain pour son flair !
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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