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Critiques de Nicole Voilhes (25)
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De la croix au croissant

Livre reçu pour la masse critique de Septembre, je remercie Babelio et les éditions In Octavo. Je l’avais sélectionné car il m’a fait penser à une lecture récente, « Dans la peau d’une djihadiste ».



Au final, je me suis retrouvais avec un roman historique se passant au 12ème siècle à Jérusalem. En fait, je crois que je me suis trompée de bouquin, mais du coup, je ne sais pas trop pourquoi je l’ai choisi ; peut-être à cause de la mention « roman historique si actuel »… « Mené tambour battant » dit le résumé. On ne doit pas en avoir la même définition car je m’ennuyais sans rien retenir de l’histoire… On suit une jeune femme de 18 ans, qui passe son temps à se plaindre, alors que Jérusalem va subir le siège de Saladin. Ce roman se base sur de nombreuses références historiques mais comme ce n’est pas ma période préférée, je m’y suis perdue et puis, la partie de l’histoire de cette jeune fille m’a paru inintéressante à souhait. J’ai essayé de m’accrocher un peu plus au cas où ça bougerait enfin mais peine perdue. J’ai donc abandonné ma lecture à 75p. Le style de l’auteur est un brin pompeux et il ne s’y passe finalement pas grand-chose. Je me vois donc mal tenir 350p alors que je n’ai rien retenu des 75 premières.



Comme vous l’aurez compris, ce roman a été une grosse déception. Une de plus… Je fais pourtant attention quand je choisis les livres de Masse Critique pour être sûre d’en apprécier la lecture. Du coup, je ne sais pas ce qui a retenu mon attention pour celui-ci, à moins que je n’ai lu trop vite sans réellement avoir un aperçu de l’histoire. Je suis désolée auprès de la maison d’éditions mais je ne suis pas la bonne lectrice pour ce roman. J’espère que d’autres le trouveront plus à leur goût. Petit bémol supplémentaire pour ma part, des coquilles ont été oubliées. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre idée si vous êtes amateurs de roman historique se passant à Jérusalem. Pour ma part, je vais continuer à essayer de vider ma PAL, vaste programme…



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Le coeur du soleil, tome 4 : Les derniers f..

l'amour de Louis Quatorze le roi soleil

pour une jeune femme, amour réciproque et sincère :

vont ils se marier ou se côtoyer ou bien .....

L'auteure a le talent de conter et aussi de connaître très bien l'histoire de France : excellent ce tome I
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Fatum, les lauriers sont coupés

Tout d'abord, merci à Babelio et aux éditions In Octavo pour ce roman.

Malheureusement, une déception pour moi, mon avis rejoignant les critiques précédentes.

Tout d'abord, j'ai été attirée par l'époque, les romans historiques se situant durant les guerres puniques ne sont pas légion (c'est le cas de le dire).

Hélas, j'attendais un roman historique avec entre autre une histoire d'amour (la quatrième de couverture le signalant), et j'ai plutôt eu l'impression de me trouver dans une romance avec un "verni" historique. Il n'y a en effet pas d'autre intrigue que les sentiments entre les deux principaux protagonistes.

N'étant pas du tout une adepte des romances, je serai mauvais juge.

Quoi qu'il en soit, l'écueil évident de ce roman est le placage des informations historiques. L'autrice s'est documentée... et elle le montre. Un peu, beaucoup, trop, mais surtout de façon peu naturelle. Les personnages passent leur temps à palabrer pour expliquer des détails sur la façon de vivre, sur leur monde. On dit toujours "il faut montrer et non raconter". ici, on a l'inverse. Au lieu de faire vivre le mode de vie à travers les personnages dans leurs actions quotidienne, l'autrice nous les raconte par pavés, alors même qu'ils n'ont aucun intérêt dans l'intrigue.

Ajoutez à cela une erreur, malheureusement fréquente dans les historiques, qui est de donner une pensée totalement moderne aux personnages principaux : ils vivent dans un monde où il est normal d'avoir des esclaves, de prier les dieux pour tout, où les femmes n'auraient pas d'éducation... mais l'héroïne est élevée comme un homme et très libre, est bien sûr anti-esclavage, ne croit pas aux dieux (celui qu'elle aime non plus d'ailleurs). Et d'échanger des propos "philosophiques" sur ces questions,le tout avec des termes très modernes.



Dommage, la documentation de base était faite, le style est correct et plutôt agréable à lire. Peut-être ce roman peut-il plaire à des lecteurs qui cherchent une histoire d'amour sans se soucier de vérités historiques? Je ne saurais pas en juger.
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Le coeur du soleil, tome 2 : La Douce-Amère

Louis XIV aime à nouveau une femme agréable bien que simple

comment cette belle histoire va t elle se terminer ?

mieux qu'avec Marie Mancini ?

Vont-ils avoir des enfants ?

Sera t elle acceptée par la cour ?

l'aventure recommence !! le roi a des problèmes divers

et variés ....
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Moutnedjemet, l'oubliée

Roman lu dans le cadre de l'opération Masse Critique Babelio. Je remercie Babelio et les éditions In Octavo de m'avoir sélectionnée et envoyé ce roman.



Un personnage méconnu

Moutnedjemet... un nom quasiment oublié de l'histoire égyptienne. On sait que cette femme a bel et bien existé, mais l'on ne sait rien d'elle, à part qu'elle fut l'épouse du général puis pharaon Horemheb (XVIIIe dynastie). Si certains historiens estiment qu'elle est une soeur de la reine Néfertiti, d'autres réfutent cette théorie basée, selon eux, sur une mauvaise traduction. Bref, un personnage bien énigmatique dont on trouve tout de même la trace à travers quelques bas-reliefs ou statues ( à voir sur mon blog).



La vie romancée de Moutnedjemet

Dans ce roman, construit sur le mode autobiographique, Moutnedjemet nous est présentée comme une fille d'Akhénaton et d'une concubine d'origine hittite. Vivant à la cour, côtoyant au plus près la famille royale, dont la princesse Ankhésenpaaton dont elle est inséparable et Akhénaton, elle nous fait partager son quotidien dans un pays bien fragilisé par l'instauration du culte d'Aton, les incursions répétées des Hittites et les aléas climatiques. C'est ainsi qu'elle verra quatre pharaons se succéder sur un court laps de temps : Akhénaton, Smenkharé, Toutankhamon, Aӱ, et assistera à l'accession au trône du cinquième, Horemheb, son époux.

Tout en respectant le contexte et les événements historiques, Nicole Voilhes nous propose une belle version romancée de la vie de Moutnedjemet. Même si le postulat de départ – Moutnedjemet est une fille d'Akhénaton – me semble contestable, il fallait bien faire un choix et celui-ci relève de la liberté de la romancière. Mais nul doute pour moi que Moutnedjemet avait bien des origines royales.

À travers ce personnage, l'auteur nous livre un aperçu intéressant de la vie d'alors, mais pas assez détaillé à mon goût : croyances religieuses, moeurs, relations humaines, complots et manigances à la cour…



Des personnages trop manichéens

Les portraits psychologiques des différents protagonistes de l'histoire sont intéressants, mais bien trop manichéens. On sent vraiment une opposition entre le bien (Moutnedjemet et Horemheb) et le mal (Ankhésenpaaton, Mérytaton...), qui est trop caricaturale. Ainsi, la charmante Ankhésenpaaton devient-elle une vraie petite peste au fil du roman tandis que Moutnedjemet est est le prototype même de la sagesse, de la gentillesse. C'est tout noir ou tout blanc, le clair-obscur n'est pas de mise ici. Et l'une comme l'autre en deviennent agaçantes !

De même, la belle histoire d'amour entre Moutnedjemet et Horemheb faite d'écoute, de tendresse, de respect, etc., me semble peu crédible à une époque où l'on se mariait plus par raison que par amour : c'est beau, un peu trop beau pour être vrai.

Néfertiti, personnage étonnamment peu présent dans le roman, est relativement épargnée puisqu'elle meurt assez rapidement, mais il n'en reste pas moins que son portrait est peu élogieux...

Quant à Akhénaton, j'en est eu un peu mal pour lui : présenté un peu comme un pharaon illuminé, loin des préoccupations de son peuple, il est l'antithèse de Horemheb, un homme pragmatique et à l'écoute de son peuple. Or, pour atteindre des fonctions royales et s'y maintenir, il fallait savoir s'imposer, manipuler, comploter, et tous les pharaons et épouses royales ont usé de ces stratagèmes pour régner. Ceci étant, je dois avouer que mon opinion sur Horemheb, plutôt mauvaise, a un peu changé à la lecture de ce roman et me donne envie de me documenter davantage.



Une lecture agréable

Découpé en trois parties intitulées selon les trois saisons égyptiennes (Akhet, Peret et Chemou) et chacune subdivisée en courts chapitres, ce roman se lit facilement, le style de l'auteur étant fluide et très agréable, sans afféterie. Les dialogues, très présents, permettent de rendre le récit vivant et de donner l'impression au lecteur d'être aux côtés de Moutnedjemet.

Même si je comprends le raisonnement de l'auteur, je regrette tout de même que les noms de lieux soient ceux utilisés dans l'Antiquité et non actuellement, car j'ai souvent buté dans ma lecture sur ces noms et dû me reporter au glossaire en fin de livre, interrompant par là même ma lecture. En revanche, la présence d'un avant-propos, d'une carte de l'Égypte, d'une généalogie, d'une bibliographie et d'un épilogue témoignent du soin apporté par l'auteur à l'élaboration de ce roman.

Dernier point intéressant : les épitaphes présentes en en-tête des différents chapitres, extraites de documents anciens, tel que le Papyrus d'Ani, les Maximes de Ptah-Hotep, les Maximes d'Aménémopé, etc., qui nous invitent à la réflexion ! En voici une extraite des Maximes de Ptah-Hotep (Ve dynastie) :

"Si tu es grand après avoir été petit, si tu es riche après avoir été pauvre... sache rester simple."
Lien : http://romans-historiques.bl..
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De la croix au croissant

"De la croix au croissant", comme son titre l'indique nous emmène au temps des croisades chrétiennes et des guerres avec le monde musulman. En ce temps là on peut vraiment parler de "choc des civilisations"!

L'histoire débute à Jérusalem, encore sous la coupe des chrétiens, dans le palais royal, on découvre la vie des femmes d'une certaine lignée, recluses derrière les murs, et leur vie rythmée par une discipline ennuyeuse (broderies, prières). L'heroïne, Anne de Loudérac, noble de naissance mais sans aucun appui car orpheline se retrouve violemment projetée dans cet univers guerrier. Elle se trouve au carrefour de deux civilisations, et le destin qui lui réservait le couvent va la mener à Damas, grâce à l'amour.

Bien sûr on comprends le prétexte de l'histoire fictionnelle sur l'Histoire réelle de cette époque, la vie des chrétiens d'orient, et l'univers riche du monde musulman encore méconnu. Même si les détails du roman sont savamment maniés par l'autrice, l'histoire manque de rythme, les personnages sont quelque peu ennuyeux, les traits de caractère sont lisses comme du papier glacé. La rencontre d'Anne avec le monde musulman me semble trop simple, elle réussit à s'insérer et à vivre un bonheur parfait.

Ce roman manque d'ambition, le côté historique est étoffé au dépourvu de l'histoire fictionnelle, c'est dommage.
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Moutnedjemet, l'oubliée

C'est un livre que j'ai énormément apprécié. Dès les premières pages, la plume de l'auteure a agit tel un véritable charme...

Elle nous plonge dans l’Egypte ancienne, au coeur de la XVIIIe dynastie, et nous raconte l'histoire de Moutnedjemet qui au court de sa vie connu pas moins de 5 pharaons. On ne sait pas grand chose avec certitude de celle-ci à part qu'elle fut l'épouse d'Horemheb le dernier pharon de la lignée de Thoutmosides lui apportant sa légitimé par le mariage car celui-ci n'était pas issu de lignée royale. L'auteure a choisi de nous présenter sa vie en suivant la théorie qui veut qu'elle ait été fille d'Akhénaton (avec une concubine) et donc demi-soeur de Toutankhamon.

C'est donc le portrait d'une femme au coeur du pouvoir et de toutes ses turpitudes que nous découvrons. A cette époque en effet, les mariages consanguins, les meurtres et les attentats étaient assez courant pour pouvoir coiffer le Pschent...

C'est un livre que j'ai trouvé très bien documenté, et brillamment écrit, je me suis laissée complètement happée par l’histoire. Si vous êtes un ou une amoureux-se de l’Egypte ancienne, ce livre saura vous combler au même titre que ceux d’un autre auteur connu : Christian Jacq.

J’ai très envie désormais de découvrir les autres livres de l’auteure !
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Le coeur du soleil, tome 1 : Les Larmes de ..

Même si, avouons-le d'emblée, je n'ai pas aimé "Les Larmes de Brouages", je tiens à remercier Babelio et les éditions "In octavio" pour cet ouvrage que la dernière masse critique m'a permise de découvrir. On ne peut pas tomber juste à chaque fois et au fond, ce n'est pas si grave.



"Les larmes de Brouages" se propose de retracer l'amour fou du tout jeune Louis XIV et de Marie Mancini, la nièce de Mazarin, une passion qui se termina comme souvent par un renoncement face à la raison d'état et des larmes, un feu même qui dit-on inspira à Racine ce vers magnifique de Bérénice: "Vous êtes empereur, Seigneur, et vous pleurez".

L'histoire est romanesque -comme toutes les amours du Roi-Soleil- et mérite qu'on s'y attarde, qu'on la traite sur le mode biographique, historique (historiciste même) ou qu'en en fasse un roman.

Le fait est que quelque soit l'approche choisie, le résultat sera très différent mais qu'il parait compliqué de mêler ces deux voies. Or, c'est là que le bât blesse: le livre se présente comme une "biographie romancée" ce qui me semble un exercice très, très périlleux. Parfois, bien sûr, c'est une réussite et j'en veux pour preuve le très bon "Frieda, la véritable histoire de Lady Chatterley" d'Annabel Abbs. Parfois, c'est médiocre voire raté et c'est la sensation que m'a laissé "Les Larmes de Brouage". Je vais tenter de m'expliquer et de le faire sans maladresse.



Férue de romans historiques, friande de XVII°siècle, je n'aime rien tant que les romanciers qui "emploient" des figures historiques, qui les "malmènent" un peu pour les transformer en personnages. C'est malin, c'est souvent passionnant et de bonne guerre. Dumas l'a fait par exemple et on sait fort bien aujourd'hui que sa Margot et sa Catherine de Médicis n'ont pas grand chose à voir avec la véritable Marguerite de Navarre et sa royale mère, comme on sait que son D Artagnan est bien plus passionnant que Charles de Batz Castelmore d'Artagnan. C'est décevant, mais c'est ainsi.

Passionnée d'Histoire également, je ne dédaigne pas les biographies ou les travaux d'historiens sur les êtres et les périodes qui m'intéressent.

Je trouve passionnante la créativité des premiers et j'idolâtre la rigueur des seconds qui souvent, tout en faisant oeuvre d'historiens, peuvent se fendre d'une belle plume pour relater des faits, les analyser et pourquoi pas les interpréter.

Ainsi, dans une biographie, on peut analyser les paroles d'un personnage, faire des hypothèses sur ses pensées en adéquation avec les faits, les témoignages, les correspondances, les interpréter. Dans un roman, on peut les inventer, en adéquation avec le modèle et y ajouter des sentiments, des émotions...

C'est l'une des choses qui m'a gêné dans l'ouvrage: l'usage du point de vue interne est omniprésent. On est dans la tête du roi, de sa bien-aimée, de leurs proches et l'auteur leur confère leurs pensées, des sentiments; Clairement, ça ne passe pas (ça ne peut et ça ne doit pas passer!) dans une biographie, surtout quand c'est rédigé avec tant de sentimentalisme précieux et dégoulinant. Ainsi, d'un point de vue romancé, c'est très bien. Pour le côté biographique, historique, on repassera. A l'inverse, la narration au présent, très chronologique et un peu aride pourrait très bien convenir à un travail historique mais pour l'aspect romancé, c'est raté.



De plus, et si elle n'est pas désagréable, l'écriture pèche par trop de mièvreries (n'est pas confiseur qui veut) et de préciosité (n'est pas non plus Madame de Lafayette qui le souhaite). Pour un texte qui se veut biographique, cela manque de pertinence. Pour le côté romancé… Oui, d'accord, c'est un parti pris… Mais c'est vraiment trop plein de guimauve. Les atermoiements amoureux du roi sont développés avec trop de lyrisme, trop de bleu pastel… Certes, il état jeune et amoureux, mais la mièvrerie. Non. Je vais vomir et je passe mon tour.



Enfin, j'ai été un peu gênée par l'interprétation proposée: je ne nie pas qu'un premier amour demeure inoubliable, qu'il marque pour toujours mais supposer que cette idylle avec Marie colora de son romantisme toute la vie sentimentale à venir du roi et sa vie tout court… Je trouve cela peu convaincant. C'est l'issue qu'aurait inventé un romancier. Dans la "vraie vie", les choses durent être moins tranchées, plus compliquées et forcement moins jolies et romanesques.

J'ai vraiment eu l'impression de lire une version édulcorée et fantasmée de l'histoire… Un roman se voulant œuvre d'Histoire. Un oiseau qui voudrait être un poisson (ou l'inverse).



Je n'aime guère les étiquettes, mais il me semble que ce livre aurait gagner à choisir un camp et à s'y tenir plutôt que d'osciller entre la biographie et le roman et de n'être convaincant dans aucun.



C'est d'autant plus dommage que l'auteur a accompli en amont un formidable travail de documentation, qu'elle a collecté de merveilleuses citations de Racine qui ont pris place dans son récit à chaque étape importante de l'idylle. Ce parallèle entre "Bérénice" et Marie Mancini était une très bonne idée, clairvoyante et belle. Cela aurait pu être, pourquoi pas, le véritable fil rouge du livre, son point de départ et d'analyse.



Les seules larmes que m'auront fait verser le roi et sa maîtresse ici furent de lassitude. Les seuls sentiments qu'ils auront convoqué: l'ennui assorti d'une tenace sensation de ratage et d'écoeurement.



M'en vais relire Dumas, moi. Et Simone de Bertière. Et tiens, tant que j'y suis: Racine aussi.
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Le coeur du soleil, tome 1 : Les Larmes de ..

excellent j'ai annoté le tome IV par erreur alors que j'ai savouré le

tome I
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La mouche et le masque de fer

Autant le dire tout de suite : ce roman est sublime. Tant l’histoire, que les personnages ou que le style de l’auteure. Pour mon plus grand plaisir, j’ai eu l’impression de me plonger dans un ouvrage de Juliette Benzoni, une romancière française que j’aime beaucoup. Attention, ce n’est pas péjoratif, ce n’est pas un calque pur et simple, il y a bien entendu des différences. Simplement, j’ai pris autant de plaisir que lorsque que je lis un livre de Benzoni !



L’intrigue est palpitante. Suite à un événement douloureux, Marie va se lancer dans une quête de la vérité : qui est donc ce prisonnier mystérieux ? Cette obsession de la vérité est compréhensible, on veut connaitre l’identité de ce prisonnier tout autant qu’elle, au vu de ce qu’elle a subi à cause de lui. Mais cette obsession reste tout de même démesurée. Marie ne semble plus vivre pour autre chose, pas même pour ses propres enfants !

Outre l’intrigue palpitante qui fait battre notre cœur au rythme des découvertes de Marie, ce roman permet au lecteur d’avoir un aperçu de la vie à cette époque. D’autant plus que les notes en bas de page, relativement nombreuses, sont très utiles et instructives.



L’héroïne de l’histoire est exactement comme je les aime. Un destin tragique l’attend mais elle ne baisse pas les bras, au contraire, elle reste forte et déterminée malgré toutes les embûches que ses adversaires mettront sur son chemin. De ce fait je l’ai trouvée très attachante et intéressante, même si sa détermination sans faille m’a parfois agacée. Je m’explique : elle se plaint des conséquences négatives de ses choix mais reste déterminée à continuer sa quête, sachant que ce n’est que le début des ennuis. Cependant c’est bien la seule chose que j’ai à reprocher à ce livre ! Les personnages ne se limitent pas qu’à l’héroïne. Notre Mouche va traverser beaucoup d’épreuves, épaulée en cela par plusieurs personnages « secondaires » dont certains que j’ai beaucoup appréciés, petite mention spéciale à Artus.



Au final, c’est un livre que je recommande chaudement. Étant passionnée d’histoire, j’ai beaucoup aimé suivre les péripéties de la Mouche, d’autant plus que le style de l’auteur est vraiment très agréable à lire, tout en restant simple. Suite à cette lecture, j’ai même très envie de continuer la découverte de cette auteure pleine de talent …



Merci donc Babelio pour cette fabuleuse découverte.
Lien : http://antredeslivres.blogsp..
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De la croix au croissant

1187, dans le palais royal de Jérusalem. Anne de Loudérac, une jeune chrétienne, brode avec d’autres jeunes filles sous la surveillance d’une gouvernante, alors que pèse la menace de la reprise de Jérusalem par les musulmans du sultan Saladin. Alors que son destin de noble orpheline la destinait à finir dans un couvent, l’arrivée des troupes musulmanes va marquer un tournant dans la vie de cette jeune fille. Et c’est son point de vue qui va éclairer le lecteur sur ce que pouvait être la vie en Terre Sainte au temps des croisades, quand les fous de Dieu, peu importe qu’il s’agisse du dieu des musulmans, des juifs ou des chrétiens, se battaient pour la possession des lieux saints. Nicole Voilhes signe un très beau roman historique dont les personnages principaux sont emplis d’une grande sagesse qui interpelle, plusieurs siècles après les croisades, mais en des temps toujours marqués par les guerres menées au nom de la religion. Bien sûr, on en peut s’empêcher de se dire que l’intrigue est assez gentille en regard de l’Histoire, mais les documents annexés à la fin du roman sont très appréciables pour donner de la profondeur au récit. Je remercie Babelio et les éditions In Octavo pour cette belle découverte.
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Fatum, les lauriers sont coupés

En ce moment, j'ai vraiment des lectures en dent de scie avec les romans historique mais je n'ai pas pu résister au thème de ce livre qui faisait parti de la Masse critique du 14 septembre dernier. Que voulez-vous, dès que je vois un Romain ou un Grec en jupette, je craque. En plus, la quatrième de couverture évoquait la guerre punique, que je n'avais encore jamais vu traitée dans une fiction, aussi étais-je grandement intriguée par ce roman. Hélas, si le début a pu faire illusion un temps, je dois avouer que la déception l'a finalement emporté.



Je n'ai jamais ressenti la passion censée brûler Daphné la Sicilienne et Lucius le Romain, vendue par la quatrième de couverture. Ni les malheurs frappant l'héroïne, à part au début de l'histoire. Il faut dire que le récit est rapporté à la première personne (procédé dont je ne suis d'ailleurs pas friande, ce qui a dû jouer un peu dans mon ressenti mais pas que). Malheureusement, je me suis progressivement désintéressée de la destinée de ce couple fade. J'ai trouvé en effet que les personnages manquaient terriblement de relief, de chair, de passion. Je me suis sentie complètement détachée de leur histoire, aussi détachée que les personnages eux-mêmes quand ils racontaient leurs malheurs. Car l'auteure utilise les dialogues pour faire débattre les protagonistes sur la situation géo-politique du monde antique, les détails de la vie quotidienne, leurs croyances, leurs réflexions, leurs souvenirs, (...) en de loooongs monologues ressemblant plus à l'exposé d'un cours d'histoire qu'à un roman. Ce procédé, très maladroit et artificiel, devient vraiment lourd à la longue et a fait naître chez moi un ennui de plus en plus profond. C'était tellement lassant que la majorité des informations passe par les dialogues (et des dialogues aussi longs qu'un jour sans pain) que j'en venais à lire mécaniquement ! En plus, je n'ai pas du tout été convaincue par les révélations concernant Daphné ou les détails (inutilement) sordides révélée par l'histoire personnelle de Lucius, tant ils sont mal intégrés au récit et sonnent faux.



Ajoutez à cela que l'intrigue fourmille d'inexactitudes historiques, malgré l'impression de documentation. Par exemple (et comme souvent), le principe des tria nomina n'est pas du tout respecté et les mentalités de l'époque où est censée se déroulait l'histoire sont calquées sur les nôtres rendant certaines réflexions ou décisions des protagonistes totalement inappropriées, anachroniques et impensables pour un Romain. Certains actes, ou certains modes de pensée, qui nous paraissent naturels, seraient perçus comme un déshonneur ou une infamie par les Romains (par exemple l'esclavage, les considérations sexuelles, débattus par les héros...).



Pour conclure, la lecture de ce roman n'a provoqué aucune surprise chez moi, ni aucune émotion, à peine un intérêt poli. Les procédés narratifs pour amener les informations et les révélations apparaissaient artificiels, d'autant que certains épisodes sont traités de manière expéditive et un peu trop opportunément. J'attendais un romain historique vraiment fouillé, et si certains faits sont exacts, d'autres sujets sont traités maladroitement et ne correspondent pas à la mentalité ou au fonctionnement de l'époque. Je n'ai pas non plus adhéré à l'écriture qui utilisait les dialogues pour nous donner la majorité des informations sur les détails de la vie quotidienne et politique ou les souvenirs des héros, enlevant de ce fait toute tension dramatique au récit, en plus de nous donner l'impression que les héros n'étaient pas eux-mêmes concernés par ce qu'il leur arrivait. Et pour finir, Carthage n'apparaît qu'en filigrane...

Bref, comme vous le constatez, je suis passée à côté du roman !



En tout cas, je remercie Nathalie des éditions In Octavo ainsi que Babelio pour ce partenariat !
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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Des mouches sur Cartouche

Pour résumer la situation, je n'ai pas vraiment aimé ce livre. En lisant la quatrième de couverture, qui est souvent mal faite mais cela est une autre histoire, je partais déjà avec un a priori négatif : parler de la condition des femmes dans l'Histoire est déjà difficile comme exercice historique, alors parler de la condition des femmes dans un roman et on entre rapidement dans les clichés sexistes. En lisant le livre je ne me trompais pas, l'auteure tient à donner une morale contemporaine (XXIème siècle) à une noble du début du XVIIIème siècle. Ce n'est pas possible. Bien sûr il y a certains aspects de la vie (l'esclavage, le Régime...) qu'ils devaient penser mais certaines choses m'ont fait « tiquer ». De plus, l’héroïne a des connaissances sur le monde et sur les sciences qui me paraissent étranges pour l'époque (voir les puces des rats). Cependant, malgré ce côté assez subjectif; l'écriture en elle-même est assez mauvaise, il y a beaucoup de discours indirects ce qui nous fait sortir complètement de l'histoire. Certaines phrases sont maladroites, certaines sont très, trop, soutenues d'autres anachroniques et les pointillés pour signifier le doute ou la gêne tous les trois mois c'est agaçant. On sort d'autant plus de l'histoire quand l'auteure fait référence aux autres livres qui parlent de la même héroïne tous les 10 chapitres, il y a beaucoup trop de références, d'autant plus quand une note fait référence à un livre qui n'est pas encore paru... Et pour rester sur les notes, je me suis senti bien idiote quand l'auteure sent le besoin d'expliquer en note ce que veux dire l'expression « bottes de sept lieues ». Enfin, je finirais sur une note positive, l'histoire était très intéressante avec de bons rebondissements, ce qui m'a déçue c'est l'écriture. Je ne le recommanderais pas.
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Le coeur du soleil, tome 1 : Les Larmes de ..

j'ai demandé l'ouvrage car je vais régulièrement en vacances voir Brouage, cela m'amusait de revoir le lieu sous un autre angle. Merci à Masse critique et l'éditeur pour l'envoi.

je lis souvent des romans historiques mais j'avoue avoir un peu calé sur celui ci, trop de détails, l'action traine en longueur. Je ne suis pas vraiment entrée dans l'histoire, n'ai pas éprouvé d'empathie pour les personnages.

dommage

.

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Des mouches sur Cartouche

C'est la conduite du récit qui m'a posé problème, trop linéaire, sans acmé, alors que ce personnage haut en couleur (le plus grand bandit du XVIIIè avec Mandrin !) se prêtait à une démarche plus romanesque. On aurait aimé s'approcher de Cartouche, au moins le voir en action, en saisir les contradictions. Or, il n'apparaît jamais dans le roman.

Peu de scènes, au demeurant, dans cet ouvrage sans doute trop court et qui manque de souffle ou encore de vie.
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Fatum, les lauriers sont coupés

J'ai reçu ce livre grâce à l'opération masse critique du mois dernier... les lettres classiques étant mon domaine, j'avais hâte de me plonger dans ce roman historique. Hélas, je me suis plutôt ennuyée : l'auteur semble "plaquer" le résultats de ses recherches dans des dialogues artificiellement explicatifs. Du coup, on se sent détaché de l'histoire des deux héros, je n'ai ressenti ni passion ni émotion.

Si vous voulez vous plonger dans un roman savamment documenté et passionnant, optez alors pour "la première femme nue".

Merci Babelio, on ne peut pas avoir la main heureuse à tous les coups !
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Moutnedjemet, l'oubliée

Merci à Babelio et aux éditions in Octavo pour la découverte de ce roman. J’ai particulièrement apprécié la petite dédicace manuscrite à l’intérieur, c’est toujours très agréable !



Sorti en décembre 2014, ce roman a été écrit par Nicole Voilhes une auteur française qui s’intéresse souvent à l’Histoire. Elle a choisi cette fois une époque qui passionne souvent, l’Egypte Ancienne.



Moutnedjemet (on va dire Mout) est une jeune orpheline, élevée avec la princesse Ankhesepaton (on va dire Ankh). Celle-ci est la 3ème fille d’Akhenaton et de Nefertiti et pour tout de suite vous situer, elle sera la femme de Toutankhamon.



Donc les deux filles grandissent ensembles et devenue nubile, Mout entre au harem d’Akhenaton qui grâce à sa tâche de naissance et à un grain de beauté comprend qu’elle est la fille qu’il a eu d’une princesse hittite tuée alors qu’elle venait de donner naissance à un enfant disparu mystérieusement. Mout comprend donc qu’elle est une princesse, même si elle n’est pas la fille de la Grande Épouse Royale. Je rappelle qu’à l’époque, pour les pharaons, il est tout à fait normal d’avoir des relations entre père et filles, il s’agit de faire le plus d’enfants possible possédant le « fluide divin », donc personne n’ait choqué qu’il ait couché et engrossé sa propre fille. Mout accouche donc d’un garçon, le 1er depuis Toutankhamon, mais celui-ci est assassiné.



Le pharaon décide donc de la mettre en sécurité et elle est confiée au général Horemheb qui protège l’Egypte des hittites. finalement, ils tombent amoureux et s’épousent.



Akhenaton finit par mourir, Ankh épouse Toutankhamon qui est jeune et malade, la jeune femme fait fausse couche sur fausse couche et l’avenir du pays est mal engagé.



Alors, j’ai beaucoup aimé retrouvé cette période qui est exactement la même que dans le roman La Reine Soleil de Christian Jacq. En effet, les historiens sont encore peu sûrs sur qui était Moutnedjmet (fille d’Akhenaton et d’une concubine comme là, ou sœur de Nefertiti, dans les deux cas, même en étant femme d’Horemheb, elle n’a pas la même place dans la lignée royale). Chez Christian Jacq, le roman est centrée sur Ankhesepaton, nommée Akhesa et c’est la femme d’Horemheb la « méchante » qui veut accéder au trône. Deux vues différentes donc.



Dans ce roman, j’ai bien aimé l’écriture et le côté historique. En revanche, je trouve qu’il y a un petit raté. En effet, les deux sœurs, qui sont surtout sœurs de cœur avant d’apprendre qu’elles sont réellement demi-sœurs me sont apparues comme vraiment proches au début, avec une vraies complicité. Puis, j’ai eu l’impression que Mout devenait la femme parfaite, belle, intelligente, fertile, elles veut comprendre la condition des paysans, la politique, elle aime son mari, elle respecte la foi de son père, etc. Alors que de son côté Ankh devient égoïste, hypocrite, manipulatrice, refuse de comprendre la politique ou la réalité. D’un autre côté, Mout lui demande d’aimer son mari, alors qu’ils ont quelque chose comme 5 ans d’écart, quand on est marié à 14-15 ans avec un gamin de 9 ans, malade de surcroi, ça n’aide pas. elle lui dit d’être heureuse et lui montre combien elle est heureuse alors qu’Ankh fait constamment des fausses couches. Bref, on a vraiment l’impression qu’un personnage est le bien incarné et l’autre le mal.



Alors qu’il y a aurait pu avoir un véritable jeu de pouvoir et de manipulation, beaucoup plus poussé entre Horemheb le général (là il ne veut même pas un peu le pouvoir, il est également absolument parfait), Aÿ, le vieil homme qui ne veut pas non plus le lâcher, Toutankhamon le jeune homme qui aimerait comprendre les règles du jeu et les deux sœurs, les deux épouses qui auraient chacune de leurs côtés manipuler hommes et époux.



Donc, j’ai vraiment aimé cette lecture et cette interprétation, même si j’ai parfois été agacée par le côté un peu stéréotypé des personnages.
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Des mouches sur Cartouche



Ce livre faisait partie de ma sélection lors de la dernière masse critique babelio. . Heureuse de l'avoir reçu et impatiente de commencer ma lecture, j'ai eu cependant du mal à rester accrochée à l'histoire.

Le titre promettait de l'action et pourtant.

Les faits historiques en toile de fond( ce que j'aime), les annotations en bas de page( toujours utile), le style d'écriture m'ont plu, mais la lenteur des évènements étaient parfois pesante.

J'aurai aimé rentrer dans le feu de l'action, suivre ce travail de mouches de plus près. Vibrer, angoisser, rester en haleine face à des situations périlleuses . Côtoyer ce Cartouche , avoir peur et enfin être soulagée de voir Philippe et Angélique se sortir de tout danger.

Là est mon regret , je reste sur ma faim côté aventure.

je suis allée néanmoins au bout de ma lecture ,très contente d'avoir découvert ce nouvel auteur dont je lirai les précédents livres
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Des mouches sur Cartouche

Je n’ai absolument rien à reprocher à l’auteur en ce qui concerne l’utilisation des notes de bas de page, tant pour les références aux tomes précédents (qui sont utiles pour ceux qui ne lisent que ce tome ci), que pour les références historiques. Tous les lecteurs n’ayant pas la même culture.

J’ai trouvé le style agréable et fluide, pas vraiment de longueurs qui pourraient rebuter les personnes réticentes aux récits ayant trait à l’histoire.

En revanche, je m’attendais à un peu plus d’action. Et c’est là, en ce qui me concerne, que le bât blesse. Au fur et à mesure de la lecture je me suis un peu ennuyée. Ce qui me gêne le plus c’est que l’on soit en permanence en contact avec la Marquise de Beaudry. Que l’on partage ses états d’âme, la façon dont elle apprécie les changements dans le monde et sa vision de la Régence est une chose. Que l’on ne découvre l’action que presque exclusivement par l’intermédiaire des récits que viennent lui faire ses descendants me chagrine beaucoup plus. C’est un parti pris d’auteur qui se défend, d’autant que le personnage principal reste Marie malgré la présence des nouvelles Mouches, mais cela m’a empêché de réellement entrer dans l’histoire.

La raison en est sans doute également que je n’ai pas lu les précédents tomes, ce que je vais m’employer à réparer.

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La mouche et le masque de fer

Amatrice de romans historiques fouillés, j'ai été profondément déçue par cet ouvrage dont le public est probablement mal ciblé.

La narration au présent, ainsi que les dialogues des personnages rappellent plutôt les romans historiques que l'on trouve au rayon enfants/adolescents des bibliothèques. Malgré des péripéties très longues à venir, l'absence de réelle progression dans l'enquête (combien de fois nous promet-on de nouvelles informations qui ne sont qu'une reprise des précédentes!) et le côté infiniment naïf de la rédaction, l'ouvrage se lit assez vite. Cependant l'absence de résolution finale laisse sur sa faim: si l'intrigue peine à tenir le lecteur en haleine tout du long, la résolution par "Finalement, laissons cela de côté" ruine l'intérêt difficilement suscité.

Quoi qu'il en soit, il est probable que le problème tienne essentiellement dans le choix du public: plus jeune, l'ouvrage m'eût sûrement beaucoup plus attirée!
Lien : http://encres-et-calames.ove..
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