Nora Hamzawi

30 ans (10 ans de thérapie) c’est un mélange parfait d’humour, de sincérité et de névrose. Imaginez, c’est un peu comme si Woody Allen était une femme et qu’il écrivait un journal intime. Je crois que je n’ai pas arrêté de rire. Parce que c’est drôle évidemment mais aussi parce que c’est tellement moi, tellement nous.
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Que du bonheur, c'est léger, c'est frais, c'est bourrée d'humour et surtout c'est tellement vrai! J'ai eu l'impression pendant toute ma lecture et au travers de toutes les anecdotes contées par Nora que c'était ma vie qui était étalée là sur ces pages! Hormis l'histoire de la frange - oui Nora, je n'ai plus de frange - c'était tout simplement moi!



Je me suis fait remarquée dans le train car je ne pouvais pas m'empêcher de glousser au fil des pages! J'ai dévoré ce livre, truffé des pensées de Nora, j'adore ses réflexions et son humour un peu caustique. Son psy, j'en suis certaine doit se marrer car il n'en est pas possible autrement, bien que parfois celui-ci s'endorme pendant la séance! Un comble non?



C'est dommage que je ne puisse pas écouter Nora sur France Inter le matin, je suis curieuse de savoir si elle est aussi cash et déjantée à la radio que dans ses écrits et sa façon de voir les choses.



Ce livre est vraiment à lire, je vous le conseille. On relativise et on se dit que "non, nous ne sommes pas complètement fous, que d'autres pensent comme nous! Et ouf, ça rassure"!!
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Le journal intime d'une trentenaire maman qui complexe pas mal et qui est souvent insatisfaite.



J'ai lu ce livre sans connaître l'autrice, sa vie et son premier roman. Je m'attendais à une plongé dans les années 80,90 mais pas du tout. Quelques flash back mais rien de plus. Je n'ai pas rit en le lisant (l'autrice est humoriste, on aurait pu penser rire) je n'ai pas été émue non plus. Quelques phrases qui font échos mais rien de plus.

Je ne connaissais pas cette chroniqueuse Nora Hamzawi et la quatrième de couverture m'a donné envie de découvrir son livre. Ce sont des petites chroniques légères et sympathiques mais sans plus. Cependant il se lit très facilement avec ces courts chapitres.

On se reconnait (presque tous) en Nora Hamzawi. Comme pour son premier ouvrage, la chroniqueuse nous dépeint son quotidien, partage ses réflexions, toujours avec brio, humour et auto-dérision. Ici, il est question des vacances, des anniversaires, des Parisiens, des consultations chez le psy, des amis sur Facebook, de la famille et bien sûr, d’Internet.



Tout du long, j’ai apprécié ma lecture, son phrasé, ses anecdotes. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Et pour l’avoir vue en one-woman show, je peux vous dire que sur scène, elle a un sacrée débit !
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Pas facile d’être une humoriste confinée !



Privée de son public, Nora Hamzawi s’adresse à un public imaginaire.



Tiré de son spectacle diffusé sur France Inter, ce livre d’une soixantaine de pages nous replonge dans les tristes heures du confinement. Difficile de ne pas se retrouver dans l’un des passages de ce livre.



La vie de couple en mode confinée, la joie de la sortie “poubelles”, les soirées “zoom”… ça vous parle ?



Je n’ai pas écouté le spectacle sur France Inter mais j’ai adoré le lire.



La plume de Noza Hamzawi est percutante. Elle dépeint avec humour et justesse des moments de vie confinée. C’est vraiment drôle.



Comme quoi, des moments difficiles donnent naissances à de belles créations.
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Léger et amusant, il manque quand même le phrasé de Nora quand elle lit ses chroniques à l’antenne et qu’on retrouve moins à la lecture. Le fonds des propos est dans l’air du temps, la trentenaire qui a du mal à devenir adulte et à s’assumer, mais qui combat les vicissitudes de la vie par beaucoup d’autodérision.

Cele se lit vite avec plaisir mais ne remplace pas la saveur du live.

C'est un genre littéraire que je n'ai pas l'habitude de lire, mais j'ai beaucoup apprécié cette lecture. C'est une forme d'autobiographie réalisée avec humour et lucidité. Nora nous fait part de ses névroses, ses peurs, son quotidien et ses petits bonheurs. On s'identifie sans mal à cette personne car rien n'est romancé, tout est plein de réalisme. Cela permet aussi de déculpabiliser sur certaines réflexions qu'on peut se faire et qu'on est sûrement nombreux à partager. C'est un livre drôle, qui nous fait passer un bon moment et qui est à l'image de Nora Hamzawi.

Le titre m'a tout de suite accroché puisque j'ai aussi 35 ans. C'est donc avec curiosité que j'ai ouvert #35ans et je ne suis pas déçue.

J'ai beaucoup ri, j'adhère totalement à l'humour de @norahamzawi (que je ne connaissais pas, honte à moi je sais, mais mieux vaut tard que jamais non?)

Beaucoup de références, et de nostalgie du coup, à notre jeunesse (RIP Dylan).

C'est une agréable lecture qui donne envie de replonger dans les souvenirs parce que c'est passé si vite et il y a eu tellement de changements depuis.

Soyez curieux, lisez le

Si vous êtes déjà fan de Nora Hamzawi ou si vous souhaitez la découvrir un peu plus comme moi, ce petit ouvrage est parfait. Par le biais de différentes petites scénettes qui reprennent les conversations lors de sa thérapie chez son psy, Nora dépeint la vie quotidienne d'une trentenaire qui navigue entre ses amis, sa familles, ses amis, son travail ou encore ses vacances. Mais c'est avant tout avec beaucoup d'autodérision et un regard acerbe qu'elle dresse ce portrait. L'humour est véhiculé par un ton sarcastique, que j'aime particulièrement. Si ce livre est une bonne approche pour identifier le style de Nora Hamzawi, il est vrai que la forme audio est sûrement mieux pour avoir des chroniques encore plus percutantes et drôles en ayant les intonations et le phrasé de l'humoriste. Mais ce livre reste tout de même une jolie bouffée d'air frais qui nous fait bien rigoler!
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Toi qui es né(e) dans les années 80, tu vas adorer ce livre...

Nora Hamzawi est de ma génération. Comme moi, elle a grandi devant la télé avec les feuilletons américains comme Melrose Place ou Beverly Hills. Comme moi, elle a écouté les Spice Girls en mangeant des skittles ; elle a connu les débuts d'internet et le développement des réseaux sociaux. Et comme moi, elle est plus proche de l'âge de la mère de Vic dans la Boum, plutôt que de l'âge de Vic elle-même (j'ai l'impression d'être un dinosaure en écrivant cela...)

Aujourd'hui elle a 35 ans, un compagnon, un fils qui rentre à l'école et un psy qu'elle essaie de quitter. Et elle se pose mille questions sur le monde qui l'entoure.

Avec humour et spontanéité, elle évoque dans ce livre les relations hommes-femmes, la vie parisienne, les copines (et aussi les filles que l'on ne peut pas blairer), ses rêves d'ado dans les années 90, la vie quand on a trente-cinq ans (avec le combo canap-plaid-camomille), ses rapports avec sa famille etc... Elle pose sur notre époque le regard de sa génération et en démontre parfois les absurdités🙂

J'ai vraiment ri à la lecture de certains chapitres, d'autres ont réveillé chez moi beaucoup de nostalgie (notamment celui où elle parle d'Angela Bower, grande idole de ma jeunesse). Et c'est pour cela que j'ai adoré ce livre : parce qu'on a les mêmes références, on a eu les mêmes rêves et les mêmes galères et finalement... on se retrouve avec les mêmes névroses !

C'est drôle, rafraichissant, parfois acide, moderne... un vrai anti-dépresseur contre la morosité ambiante ! Je recommande !


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Nora est une humoriste, chroniqueuse et comédienne, née en 1983, que j’ai personnellement remarquée dans l’émission Quotidien sur TMC. J’aimais beaucoup sa chronique où elle répondait avec ironie aux questions des enfants. Elle nous propose dans ce nouveau livre de s’attarder sur ses névroses (qui sont aussi les nôtres), ses difficultés à grandir (comme nous tous) ainsi que sur les mythiques années 80-90 : souvenirs partagés pour ma part, puisque qu’à deux ans près, nous sommes du même âge.



Identification garantie.



Elle nous emmène volontiers dans sa vie de femme, de jeune maman ou encore d’adolescente, toujours avec humour et autodérision, par l’intermédiaire de billets, convertis sous forme de courts chapitres. Et je dois dire, qu’on se laisse prendre au jeu, avec bonne humeur et tendresse.



Un plaisir, non dissimulé, de retrouver cassettes, blousons de jeans et la série Beverly Hills.



Nora, un brin nostalgique, fait le parallèle avec la vie actuelle et nous fait traverser le pont entre Nokia 3310 et dernier IPhone, la vie d’avec et sans internet, celle où les réseaux sociaux n’existaient pas. Bien entendu, toujours avec l’esprit et la gaieté qui la caractérise, sa signature, qui permet de bien l’identifier. Et justement, ce qui m’a peut-être manqué, finalement, et bien c’est Nora pour me raconter l’histoire ! Car, si on reconnaît clairement sa patte dans le texte, et que son intonation nous revient instantanément à la lecture, ce n’est quand même pas pareil et par moment cela m’a fait un peu décrocher … Ce n’est pas pour autant que je n’en ai pas trouvé la réflexion intéressante.



Loin de là.



C’est un petit livre qui se lit bien, qui a la pêche, ponctué de petits dessins caricaturés, et dont j’ai aimé l’état d’esprit. Surtout dans ces moments difficiles.



Peut-être que j’aurais encore aimé plus d’années 80 et moins de sa vie d’aujourd’hui, pour pouvoir m’évader encore un peu plus, mais c’est vraiment une légère appréciation personnelle qui restera propre à chacun.
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Un grand merci aux Editions Mazarine pour l’envoi en avant-première de 35 ans dont 15 avant internet de Nora Hamzawi. J’avais dévoré son précédent livre 30 ans (10 ans de thérapie), me retrouvant parfois dans ses vignettes. De plus, j’aime beaucoup l’humour de Nora, c’est une bouffée d’air frais à chaque fois.



Un peu plus long que son prédécesseur, 35 ans dont 15 avant internet se lit tout aussi rapidement et joyeusement. Nora Hamzawi nous livre des tranches de sa vie avec autodérision et lucidité, portant parfois un regard interrogateur, nostalgique sur ce qu’est devenu sa génération et la société. Bien que Nora Hamzawi soit plus âgée de quelques années que moi, je me suis beaucoup retrouvée dans ses écrits. Elle décortique avec humour l’essor des nouvelles technologies et notre addiction à ces dernières au fil du temps.



Nora ne dépeint pas le portrait de toute une génération mais bien le sien. Cependant, ayant vécu la même chose, j’ai pu me retrouver dans certaines de ses situations, de ses réflexions. Quand on lit un livre de Nora Hamzawi, c’est comme écouter une connaissance nous raconter sa vie. Parfois on est d’accord, parfois non.



Dans tous les cas, si vous appréciez les billets de Nora, vous ne serez pas déçus en lisant 35 ans dont 15 avant internet. Tout le fil de ma lecture, j’entendais dans ma tête la voix et le débit si caractéristique de l’humoriste.



Petit plus : de jolis dessins illustrent parfaitement les billets de Nora. Colorés, drôles ils égayent à merveille ce livre.
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Fan absolue des chroniques de Nora Hamzawi, je suis, donc... je ne pouvais qu'être impatiente de lire son dernier livre, d'autant que cette sacrée épidémie m'a privée de son spectacle pour l'instant !

Et je ne suis pas déçue ! Petits et grands soucis, névroses quotidiennes et agacements de la vie, tout passe à la moulinette acidulée de Nora, et si les hommes en prennent pour leur grade, les femmes rigolent mais ne sont pas épargnées non plus !

J'ai lu ce livre avec la voix et les intonations de la comédienne dans la tête, et, il faut bien le dire, c'est la seule chose qui m'a manqué ! Humour et autodérision. Un bon programme en ce moment...

Merci à l'éditeur et à NetGalley pour cette lecture.

C'était drôle et ça m'a rappelé plein de bons souvenirs. Cependant, en voyant le titre, je pensais lire plus d'anecdotes sur les années 90. Le gros du livre, c'est la vie d'aujourd'hui, de cette femme de 35 ans. Certains passages sont criants de vérité et vraiment amusants, d'autres plus longs et sans grand intérêt, à mon sens. Mais voilà, pour le rappel de Beverly Hills, Melrose place, du Nokia 3210 et toute cette époque, je dis merci Nora !!!

J’ai adoré retrouver l’humour et la personnalité de Nora Hamzawi. Ce livre était un véritable régal, drôle et tellement parlant !



Elle réalise une critique de la société actuelle depuis la mise en place d’internet et de toutes ses dérives. Elle met en avant l’impact plutôt négatif, il faut le dire, qu’internet et les réseaux sociaux ont sur notre quotidien et nos relations.



Elle raconte son quotidien sans filtre avec une autodérision incroyable qui nous permet de nous retrouver dans de nombreuses scènes de tous les jours.



Je l’attendais avec impatience et je suis ravie d’avoir pu le découvrir si vite grâce à Netgalley, c’est une belle réussite!

On retrouve dans ce livre la Nora Hamzawi que l'on connaît à travers ses diverses chroniques. Il n'y a donc pas de surprise : le ton est drôle, décalé dans son style survolté. On se surprend même à le lire à toute vitesse comme le débit de ses interventions.

Ce n'est pas le portrait d'une génération mais bien le sien : avec tous ses paradoxes (comme décrire avec une énergie folle ses grands moment de paresse), l'autrice sait nous toucher et nous faire rire.

Merci à Netgalley et aux éditions Fayard pour cette lecture.

J'adooooore Nora, elle est mon moment préféré dans Quotidien et ça a été un réel plaisir d'entrer un peu plus dans son quotidien (désolée) de femme qui finalement nous ressemble toutes, non ?

La première chose à savoir c'est qu'il se lit très facilement et très simplement. La deuxième chose, c'est que c'est ma génération. Si vous n'êtes pas né dans les années 80-90, il y a pleins de références que vous ne comprendrez peut-être pas. Pour moi, ça a juste été un pure bonheur!

Sous forme de petites chroniques/journal/confession sur le divan, Nora parle d’abord d’elle-même et de sa vision du monde qui l’entoure à l’image de son travail à la télé, à la radio et sur papier. Sur un ton toujours un peu chafouin, elle parle de ce qui l’angoisse, de ce qui l’énerve, de ce qu’elle aimerait et de ce qu’elle récolte, en vrai, de ce que c’est d’être une meuf normale et anormale à la fois. Ce que j’ai aimé, c’est qu’on sent bien qu’elle ne prétend pas deux secondes tenir un langage universel, au contraire, elle nous invite simplement à écouter ses élucubrations personnelles. Et c’est précisément là où la plupart de ses observations trouvent leur résonance. Entre deux éclats de rire disgracieux, j’ai passé mon temps à hocher vivement la tête. « Mais grave, les gens qui tutoient direct, c’est inadmissible ! » ou « Moi aussi je n’ai qu’une expression validée par la Haute Autorité de la Non Photogénie. » et autres « Je sens les métastases qui se multiplient en live, le nez scotché sur Doctissimo. », « Je veux cet appartement au loyer exorbitant tout de suite maintenant et tant pis si les chiottes sont sur le palier. »



L’ayant acheté les yeux fermés, j’avais peur de ne tomber que sur un condensé de ses chroniques, jetées comme ça à la va-comme-je-te-pousse-mémé-dans-les-orties, mais pas du tout. Les textes s’enchainent à merveille et ont été pensés comme un tout. Et cela m’a aussi permis de découvrir le chouette travail d’illustration d’Anna Wanda Gogusey.
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