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Critiques de Pascale Gautier (165)
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Les vieilles

je trouve que le début du livre est prometteur, puis s'essouffle petit a petit.

finalement je me suis ennuyée, pourtant le portrait de toutes ces petites vieilles était sympa.....

donc déception....
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Les vieilles

Dans la ville du Trou, la moyenne d’âge des habitants est de 80 ans. La ville est peuplée de vieilles à la mentalité plutôt jeune qui entendent bien profiter de la vie encore quelques décennies. Mais c’est sans compté sur l’annonce de l’arrivée d’une météorite sur la Terre. Météorite, dénommée Bontemps, qui dévastera la planète entière. Et là, nos bonnes vieilles se posent enfin des questions sur la mort imminente. Certaines vont même jusqu’à prendre un peu d’avance sur la météorite.

Roman irrésistible et plein d’humour.

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Les vieilles

Le débat sur l'euthanasie ressort ces jours-ci. L'occasion de se repencher sur ce petit bouquin à la fois tendre et impitoyable. Et qui, il faut bien se l'avouer, ne donne guère l'envie de vieillir.



Car cette succession de portraits de femmes aux prises avec ce naufrage (comme disait de Gaulle, lucide s'il en fut) tape juste. Savoureux quand il décrit leurs petites manies. Triste lorsqu'il décrit leur solitude, et les pauvres parades qu'elles ont mis en place pour la pallier: la télé à fond, le rituel de la partie de Scrabble hebdomadaire... Mention spéciale au chat Mitsou qui profite de leurs faiblesses pour bouffer à tous leurs râteliers, au point de devenir aussi gras qu'un goret.



Finalement, les hommes s'en tirent bien dans cette histoire. La plupart sont déjà morts, après avoir bien profité de la vie et de leur épouse. Les quelques exemplaires vivants continuent sur la même trajectoire, imperturbables. Qu'il s'agisse de Pierre Martin le nonagénaire séducteur, ou de Kevin le croque-mort qui vit littéralement grâce au décès de ses "patientes"...



Petit bémol, le recours à une catastrophe annoncée (que je ne dévoilerai pas) m'a paru une métaphore un peu lourdingue, qui n'apporte pas grand chose à l'histoire.



Mais au final, contrairement à moi, ce bouquin n'a pas pris une ride.
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Les vieilles

Enfin un roman qui ne singe pas la vieillisse pour en rire, la ridiculiser, ou la rendre "sympathique". Les Vieilles, c'est du vitriol, mais pas dans le genre tatie Danielle non plus : c'est le monde entier qui part dans le décor, et en courant !

Toutes ces dames sont graves, drôles, désespérées, exaspérantes ou attendrissantes, bref, humaines, avec une touche de folie, assumée ou pas. Je n'oublie pas le chat, celui là est un sacré coquin, et pas loin d'être humain lui aussi, en tout cas un des rares mâles de l'histoire qui ait la tête à l'endroit !

C'est vraiment un plaisir à dévorer.
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Les vieilles

Un roman qui se prétend cocasse et que j'ai trouvé lamentable, qui aligne les poncifs sur le troisième et le quatrième âge sans aucune finesse. Au lieu de la drôlerie et de la dérision promises, il n'y a qu'un imbroglio de saynètes toutes plus démoralisantes ou grotesques les unes que les autres. C'est vide, sans saveur, même pas marrant. Une parodie loupée, une insulte à la vieillesse, qu'il faut cesser d'envisager comme un désastre. C'est caricatural à souhait, l'absence d'empathie de l'auteur pour les personnages et les situations m'a beaucoup gênée, pour ne pas dire choquée. Ce livre n'a rien d'amusant, il est plutôt révoltant et pathétique.
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Les vieilles

un livre doux amer sur la Vieillesse. Plutôt amer que doux.

une intrigue très pauvre.

je me suis plus ennuyée a le lire qu'à attendre dans la salle d'attente de la Radio !
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Les vieilles

En route pour Le Trou, la ville à la concentration en vieilles la plus importante au monde ! On ne sait pas trop ce qui les y attire, ces vieilles, à vrai dire ; en plus le croque-mort local ne pense qu'à les enterrer et se réjouit d'ailleurs d'une vague de suicides, à la différence du boucher, qui voit sa clientèle fondre comme neige au soleil, ou plutôt s'aplatir comme des crêpes devant sa boutique. Ah là là, misère misère que cette affaire-là !



C'est un roman d'une grande fraîcheur, dans lequel Pascale Gautier dresse des portraits plus irrésistibles les uns que les autres et imagine des scènes de la vie courante du quatrième âge avec grande justesse, notamment par une alternance maîtrisée entre passages dialogués et récit, ainsi que par un usage subtil des changements de points de vue narratifs.
Lien : http://www.facebook.com/Pere..
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Les vieilles

Un roman marrant dans lequel chacun peut reconnaître, dans les attitudes des différentes "vieilles", sa mère, sa grand-mère ou son arrière-grand-mère, mais dont le style, au fil de la lecture, devient de plus en plus lourd. Le roman devient donc de plus en plus difficile à terminer, malgré les moments clairement drôles.
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La clef sous la porte

(...)

Non ce livre n'est pas drôle. Il nous raconte 4 vies.

(...)

Quatre personnages, tous aussi solitaires et à côté de leur vie les uns que les autres. Leurs non-vies se ressemblent tellement. Ils pensent de la même manière sur de nombreux points (comme Agnès, Auguste et Ferdinand qui trouvent que c'est une aberration de faire des enfants dans ce monde pourrit déjà surpeuplé). Seuls au milieu du monde qui tourne sans eux, et pourtant tellement proches par leurs similitudes.

Ils sont tristes et gris, traînent la vie qu'ils n'ont pas choisis comme un boulet à leur pied. Ils semblent tous attendre que ça passe.

Et pourtant, sur ces deux jours, leur vie va basculer. Chacun à un moment de crise, à une croisée des chemins. Faire comme d'habitude, courber l'échine et attendre que l'orage passe, ou se relever et affronter la vie en la prenant à bras le corps? De quelle manière chacun va-t-il mettre la clef sous la porte?

Pascale Gautier nous offre une vision finalement assez optimiste du monde.

(...)

Un roman qui offre à réfléchir sur notre monde et la place que l'on souhaite y prendre.



Merci à Babelio pour cet envoi.

La critique en entier se trouve par là:
Lien : http://110livres.blogspot.fr..
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Les vieilles

Arrêté au milieu
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Les vieilles

Je suis toujours dérangée par ce style de Pascale Gautier, où le récit tourne à la fable rocambolesque...

Certaines petites vieilles m'ont fait sourire, mais sans plus.
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Les vieilles

J'ai beaucoup de mal à donner mon avis sur ce livre. L'écriture est intéressante mais très inégale selon les chapitres. Les différents chapitres sur chaque personnalité se veulent rafraîchissants. Cependant, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, j'étais presque contente d'avoir fini le livre alors que le sujet était bien choisi et que le livre commençait bien..
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Les vieilles

La quatrième de couverture me promettait un roman bourré d’humour et d’originalité, et bien c’est raté ! Je ne m’attendais certes pas à un chef d’oeuvre et de ce point de vue là je ne suis pas déçue. Pascale Gautier nous dépeint ici des vieilles sorcières et le moins que l’on puisse dire c’est que si la vieillesse est conforme à ce ramassis de clichés, et bien ce n’est décidément pas beau de vieillir.



Plus qu’un roman, c’est plutôt une succession de portraits de femmes qui vivent dans une ville où le soleil brille 365 jours par an et qui attire irrésistiblement les vieux, Le Trou ! Un eldorado doré dans lequel les vieux attendent la mort et que les jeunes ont fui.



L’auteure y décrit en quelques situations, le quotidien des vieux et la grande solitude à laquelle sont confrontées les générations du 3è âge et du 4è âge. Des générations majoritairement féminines, les hommes ayant une espérance de vie plus courte, d’où le titre du livre. Veuves ou célibataires, avec ou sans enfant, elles sont toutes plus ou moins abandonnées par leur famille qui à mieux à faire que de s’occuper d’elles et en proie à une terrible solitude.



Si certaines sont joyeuses, la plupart sont acariâtres et feraient fuir les personnes les mieux attentionnées à leur égard. Les scènes se suivent, servies par des dialogues souvent savoureux (la seule chose qui sauve le livre du naufrage) mais ce ramassis de clichés et cette succession caricaturale ne fait pas rire et surtout met très mal à l’aise le lecteur.



Lire la suite...
Lien : http://deslivresdeslivres.wo..
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Les vieilles

« Les Vieilles » Pascale Gautier – (Prix Renaudot poche 2012) Aucun intérêt, suffit-il de présenter des « vieux » avec des traits de caractère poussés systématiquement à l’extrême pour être « plein d’humour » aux yeux de la critique, c’est consternant ! J’ai renoncé au milieu du bouquin, furieuse de m’être fait avoir par l’attribution du prix Renaudot.
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Les vieilles

J'ai un avis mitigé sur cette lecture, j'ai adoré les premiers chapitres, les mamies sont attachantes, chacune avec leurs petites manies.

L'une est sourde et met la télé à fond tout la journée, une autre vit dans une maison et dans la peur de voleurs imaginaires, une autre boit un peu trop.... ; toutes ces mamies se retrouvent pour le thé et papotent de tout et surtout de rien.

Elle vivents dans une résidence au cour d'un village où il n'y a que des vieux, le coin y est paisible et toujours ensoleillé.

Nous passons de chapitre en chapitre, d'un mamie à l'autre et d'un papy (le seul rescapé ), chacun nous fait part de ces reflexions, pas toujours très cohérente.

Mais, au bout d'un moment , on commence à se demander où va l'histoire, cela tourne à l'absurde et c'est dommage, l'idée du départ était bonne, plaisante, pleine de fraicheur et d'humour pour aboutir à rien, d'où ma déception.

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Les vieilles

"Les vieilles" est d'abord un petit livre plein d'humour, mais c'est aussi une description très sensible des caractères de ces petites vieilles qui n'espèrent plus rien désormais qu'une mort douce. Et ces petites mamies ne sont forcément de gentilles petites vieilles : leurs enfants et petits-enfants les fatiguent avec leurs conseils et leur soi-disante bienveillancee, certaines leur en veulent de leur imposer leur bru pendant que les autres ne veulent pas rendre les clés de la voiture (certes, elles n'y voient plus très clair mais elles roulent doucement...) ; certaines veulent encore séduire et cherchent à prendre du bon temps avec les petits jeunes de passage ; d'autres parlent avec leur mari disparu et venu faire une petite visite dans le jardin ; et certaines encore attendent la fin...
Lien : http://itzamna.over-blog.fr/..
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Les vieilles

Le résumé du livre m'avait beaucoup attiré. On nous y annonçait une bousculade des préjugés sur la vieillesse qui n'ont finalement été qu'accentués. Les phrases sont d'un ennui terrible, on ne se souvient jamais des personnages au début de chaque chapitre, on ne s'attache pas aux personnages. L'ambiance décrite dans le résumé ne correspond pas du tout au contenu du livre. J'ai dépensé 6€ dans un mauvais livre, qui n'est pas agréable à lire.

On rit une fois éventuellement, l'histoire de l'astéroïde est totalement incredible et je vois pas en quoi Nicole change la vie des vieilles.

Je ne le conseille pas, avoir lu ce livre après avoir terminé Germinal de Zola, à été une désillusion totale.
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Les vieilles

Dans la ville du Trou, capitale d'une région où il fait beau 365 jours par an, les très vieilles femmes sont nombreuses. Il y a Madame Rousse qui est sourde comme un pot et qui pousse le son de sa télé si fort qu'elle dérange tout son quartier, Madame Rouby et ses permanentes bleu-vert qui est une amie des Arts et qui décore son salon avec les croutes des artistes locaux, Madame Chiffe, la bigote qui n'aime rien tant que déclamer des poèmes, la vieille vieille mère de Paul, atteinte par la maladie d'Alzheimer et qui s'évertue à être la plus désagréable possible avec sa famille au petits soins pour elle et également Nicole qui fait figure de jeunette avec ses 60 ans. Elle arrive tout droit d'une ville du Nord, Moisy, où elle a passé sa vie de postière célibataire à s'occuper de ses vieux parents. Toutes sont âgées, blasées, seules, sans homme (leurs maris, compagnons ou amants sont tous morts), pleines de problèmes de santé et s'ennuient terriblement dans une fin de vie morose où les seuls plaisirs qui leur restent sont les ragots, la gourmandise, la prière, la télé ou la compagnie d'un matou pourri-gâté. Mais une catastrophe annoncée risque de bouleverser leur existence routinière.

Un roman social plein de fraîcheur et d'humour. Le regard que porte Pascal Gautier sur ces vieilles si réelles est dur, cruel, parfois même un tantinet caricatural, mais jamais méchant ni sarcastique. Avec ce livre, le lecteur pourra revoir ses idées reçues sur ce que d'aucuns appellent le « quatrième âge » avec cette belle élégance de vocabulaire de notre époque qui ne veut plus appeler un chat un chat, mais toujours embellir et édulcorer les réalités dérangeantes. Non, cet âge n'est pas le plus beau de la vie. Oui, la vieillesse est un naufrage. Grâces soient rendues à l'auteur de l'avoir si magnifiquement décrite dans un style agréable et poétique, avec des dialogues vivants et de petits leitmotivs qui reviennent de ci, de là comme les refrains d'une mélodie. Un auteur à conseiller vivement.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Les vieilles

Bienvenue au Trou, charmante bourgade d'un Sud enchanteur, ciel toujours bleu 365 jours par an, royaume médical de la famille Fenouil, père et fils spécialistes en tous genres, Le Trou, sa clinique, son crématorium flambant neuf, ses cimetières, moyenne d'âge des habitants 70-80 ans.



C'est là que Nicole, une jeunette de 60 ans, a choisi de prendre sa retraite après trente ans passés au PTT de Moisy dans le Nord. Trente ans à économiser pour un petit appart de rêve dans une chouette résidence et sous le soleil permanent "ça se refuse pas" avait dit l'agence immobilière.



Depuis trois mois qu'elle y est, Nicole découvre la population.



Des femmes, beaucoup de femmes forcément... Mme Cointe et Mme Rousse qui carburent au porto sur fond de télé braillante, Mme Daspet qui compte ses amants, Mme Chiffe qui prie à longueur de journée, Mme Rouby qui vit nuit et jour dans le noir par crainte des voleurs, Lucette persécutée par les nombreux téléphones que lui installe son fils, Mamoune qui fait tourner son fils en bourrique, et puis la femme de Gilbert, mort il y a cinq ans, qui s'évertue à conduire la 106 aux aurores au grand dam de sa fille, et encore Ginette, Maguy, Mauricette, Paulette Marguerite, etc etc...



Côté hommes c'est plus restreint, ces dames n'ont guère le choix... Il y a THE mâle, Pierre-Martin, le coq de la basse-cour, bon pied, dans ses Nike, bon oeil, pour reluquer encore, 90 ans au compteur, "tout auréolé de gloire dans son short bleu" lorsqu'il s'entraîne pour le marathon de Londres.

Le jeune Kévin, qui chôme pas au crématorium et a un certain goût pour les vieilles, enfin les plus girondes.

Et le père Catelan qui supporte plus grand chose, prêche contre la télévision, les 4 x 4 et se prend pour Zorro.



Un événement planétaire va surprendre tout ce petit monde et boulverser les journées meublées de cancaneries, de jalousies, de bondieuseries, de rendez-vous médicaux, de parties de scrabble, rythmées par les bulletins météo, les infos et les feuilletons mièvres. Tout cela sous l'oeil bienveillant de Notre cher Président.



On l'aura deviné, notre avenir n'est pas rose. C'est drôle, grinçant, affolant, voire même désespérant, mais émouvant et tendre. On rit jaune car on ne peut pas s'empêcher de se demander : " Et moi, quelle vieille ou quel vieux je deviendrai ?", sachant qu'inexorablement on s'achemine un jour ou l'autre vers le club des t'as mal où et des qui qu'est mort ?...



Finalement, les caisses de retraite et de prévoyance devraient envoyer ce livre gracieusement à tous les travailleurs qui s'approchent, inconscients, dangeureusement du grand âge fatidique; ça nous éviterait de descendre dans les rue vitupérer contre Notre cher Président et sa politique du grand capital mafieux. Parce que franchement, vue sous l'angle de l'auteur, la retraite ça donne pas envie...



A compléter par le livre du regretté Pascal Garnier " Lune captive dans un oeil mort" (pas de billet pour cause de plein de choses). Voilà, après tout ça, reste toujours une solution, le suicide !...



Un ton sarcastique, des portraits plus vrais que nature, un livre cependant réjouissant où l'on retrouve toute l'originalité de Pascale Gautier.


Lien : http://moustafette.canalblog..
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Les vieilles

Mon avis : on m'avait dit d'un air dépité et déçu, quand je l'ai emprunté, "c'est plein de clichés". Certes. Mais des clichés super pêchus, tournés de manière marrante, très moqueuse, parfois tendre et compréhensive parfois acide, toujours avec un petit air de ne pas y toucher, une fausse objectivité très savoureuse, et mine de rien ou frontalement, une analyse décapante de notre société ridicule. Quelques pointes de poésie clins d'oeil, un peu de références basiques, des répétitions fréquentes qui créent des repères ou des décrochements absurdes (par exemples, "Pierre Martin auréolé de gloire dans son short bleu" est un genre de nom complet où "Pierre Martin" serait le surnom ; "Avant était l'âge merveilleux de leur jeunesse d'or" ponctue quelques chapitres, etc.), des chapitres bien structurés qui forment une impression de fouillis rangé comme un village, des scènes lentes pathétiques, d'autres vives désopilantes (le chapitre 27, j'en ris encore toute seule ! et pourtant je ne vous le retranscrit même pas tellement sinon il y en aurait trop !) et parfois on glisse de l'une à l'autre ; des personnages caricaturaux, sympas, poignants ou hilarants (aaaah Kevin, trop fort !!!), campés d'une bonne consistance en deux phrases, plantés dans la réalité. Dans chaque chapitre, on entre dans l'esprit du protagoniste du chapitre, on pense avec lui, ses petites phrases toutes faites qu'il/elle se sert pour mieux avancer ou stagner, ses petites justifications qu'il/elle ressasse, son passé, son présent, ses goûts, son bilan...



Bref : un livre de détente remarquable, bien construit, intelligent sans se la jouer, vraiment amusant (il n'aurait pas fallu qu'il soit plus long, je pense, on est vraiment au maximum de longueur possible sans se lasser dans le style). Distrayant, très très très distrayant, et réjouissant =^.^=
Lien : http://ploufetreplouf.over-b..
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