Pascale Marie Quiviger

Zia Diaz, archéologue française, arrive au Mexique pour poursuivre des fouilles sur un site Maya du Yucatán. Ce jour-là, le corps d’une jeune femme est découvert, sauvagement mutilé, au pied de la pyramide du site de Xochitl. L’enquête montre rapidement que c’est la fille d’un célèbre sénateur, candidat aux prochaines élections présidentielles du pays. Pablo, le policier du petit village de San Pedro et ami de Zia, est rapidement mis à contribution dans cette enquête qui, vu l’importance de la victime, doit être dirigée par la police de Mérida.

Les recherches commencent, toutes les pistes sont investiguées. Devant l’ampleur de l’enquête, le commissaire Delgado, de Mérida est rapidement secondé par Pablo. Zia, parfaitement au fait des rites de la civilisation maya et consciente des difficultés qu’il peut y avoir à rassembler les pièces d’un puzzle, décide de participer à sa façon aux recherches de Pablo.

D’où vient ce mal ? De la vie légèrement dissolue de jeunes adolescentes un peu trop gâtées par la vie ? D’une secte mystérieuse dont le gourou semble vénérer les dieux anciens, aussi terribles qu’Hatloc, le dieu des ténèbres et du chaos, pour qui semblent être perpétrés de bien sombres sacrifices ? De concurrents acharnés du sénateur dans la lutte pour le pouvoir suprême ? D’un amant délaissé ? D’une haine familiale ?

Le lecteur se laisse emporter par cette intrigue, les mayas sont là comme une trame que l’on souhaiterait davantage présente, mais qui apportent une dose de piquant et le goût d’inconnu au roman. Rapidement l’enquête policière prend le dessus, mêlant les intrigues politico financières, les sectes, les rituels mayas. Les sujets sont parfois un peu trop vastes, l’enquête part dans tous les sens, mais après tout n’est-ce pas le propre d’une enquête de police ! Et finalement l’auteur s’en sort bien et nous tient en haleine. C’est bien écrit, les personnages sont attachants, réalistes, l’intrigue est vraisemblable. Ce thriller se lit d’une traite, et vous laisse un drôle de goût, celui de lire une suite un jour ?

Lançons-nous dans un nouveau thriller avec Cérémonie Assassine.



Zia est une jeune archéologue française. Revenant au Mexique pour faire des fouilles sur son site favori, elle arrive en plein milieu d’un drame : le corps rituellement mutilé de la fille d’un sénateur est retrouvé au pied de la pyramide du site de fouille.

Etant l’amie du commissaire du village de San Pedro, proche du site, Zia décide de se mêler de l’enquête. Mais les choses sont loin d’être simples et, lorsqu’on se retrouve avec le corps la fille du futur président du pays, qui plus est avec un comportement comme le sien, les pistes ne manquent pas.



Mon avis sur ce livre est assez mitigé.



J’ai bien aimé le fait que l’intrigue nous mêne vers des rituels mayas, ce qui nous permet de découvrir un peu les croyances de cette civilisation. A vrai dire, c’est ce qui m’a le plus tenté lorsque j’ai voulu lire ce livre. J’ai donc été un peu déçu de voir que cet aspect ne restait pas très longtemps, et que le thriller prenait (trop) rapidement une tournure plus politique, voire même celle d’une intrigue vraiment classique.



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Je suis arrivée à la dernière page, certes, mais j'aurais tant aimé continuer à lire encore et encore; malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin... Quitter les personnages par la force des choses mais pouvoir demeurer avec eux cependant, voilà toute la force de l'écrivain; Pascale Marie Quiviger les as rendus tellement vivants ! Félicitations à cet écrivain, car n'étant pas fan de Thrillers, je me suis surprise à aimer terriblement "Cérémonie assassine"! j'attends donc son prochain polar avec des étoiles dans les yeux.
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Très bon livre que je recommande

Ce roman est composé de plusieurs petites histoires, des nouvelles qui tournent toute autour du même thème: cinq minutes dans une vie. Chaque histoire est différente et les thèmes sont très variés, variant humour et émotion, leçon de vie ou simple fait divers. J’ai passé un très bon moment avec tous ces personnages et j’ai adoré presque toutes les nouvelles. Une ou deux m’ont peut être moins plu, je pense notamment à celle tournant autour de supporters de foot et à une autre qui incarne le point de vue d’un futur marié, mais globalement j’ai passé un très bon moment. L’auteure ne se contente pas d’écrire des petites histoires, mais fait également passer des messages et soulève des réflexions. Certaines de ces histoires sont à chute et ce sont certainement mes préférées.



Je vous conseille vraiment ce livre qui se lit tout seul et qui ne peut que vous faire passer un bon moment, j’en suis sure.
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Je tiens dans un premier temps, je tiens à remercier Pascale Marie Quiviger pour cette proposition de lecture et SimplementPro.



Je tiens à préciser en amont de cette chronique que les nouvelles ne sont pas à la base, ma tasse de thé. J’ai été membre d’un jury d’un concours de nouvelles et j’avais lu à l’époque pas mal de belles pépites et d’autres… qui l’étaient un peu moins. Pourquoi je dis ça ? Parce que pour moi, lire des nouvelles demande un effort pour chaque nouvelle. Il faut se mettre dans l’ambiance de chaque nouvelle et comprendre où l’auteur veut nous amener. Pour les apprécier, il faut en lire quelques unes par jour et ne pas les lire toutes d’un trait.



Avec Cinq minutes, c’est une réussite. J’ai mis quasiment un mois à lire son ouvrage car je lisais en même temps un roman à côté. L’auteure arrive à nous plonger dans chaque univers de chaque nouvelle telle une conteuse. Et elle arrive à nous retenir jusqu’au bout de sa nouvelle.



Le thème principal de ce livre est comme son nom l’indique le temps et comment cinq petites minutes peut changer notre vie. C’est un thème qui est intéressant en soi.



Personnellement, j’ai préféré les 2 nouvelles qui se nomment Willy et Cinq minutes fatales. Je vais dire quelques mots sur chacune d’elles .



La nouvelle dénommée « Willy » brosse le portrait d’une femme qui court après le temps. Elle court après son bus le matin pour aller au travail et ne prends jamais le temps de parler avec ses voisins ou de consacrer ne serait-ce que 5 minutes au SDF Willy, en bas de son immeuble. Elle lui a pourtant promis de s’arrêter auprès de lui mais elle n’a pas le temps, selon elle. Et tous les jours, c’est la même chose, elle se promet qu’elle consacrera plus de temps à son entourage et à Willy. Et puis, les circonstances de la vie font qu’elle va regretter ce comportement.



Pour la deuxième nouvelle que j’évoquais plus haut, il s’agit de « Cinq minutes fatales ». Un homme se retrouve dans une pièce sans pouvoir en sortir. Il se pose des questions : comment il est arrivé là ? Que s’est-il passé la veille lors de cette soirée un peu trop arrosée. Et puis une voix d’homme se fait entendre et explique que s’il est enfermé, c’est pour une raison qu’il doit deviner … sinon il va mourir. J’ai beaucoup aimé la manière de mettre la pression sur ce personnage et sur l’angoisse que ressent le lecteur. On essaye de deviner à sa place ce qui a bien pu se passer. Et puis… vous le verrez en lisant ces nouvelles.



Dans ces 2 histoires, j’ai trouvé que l’auteure nous embarque complètement et sans difficulté pour entrer dans son monde. C’est même avec beaucoup d’intérêt que j’ai lu ces nouvelles.



Il y a d’autres nouvelles qui m’ont moins plus mais pour le coup, c’est égoïste de ma part puisque Adieu Smoking, c’est l’histoire de la fin de vie d’un chat aimé de ses 2 maîtres. J’avoue que c’est très triste. On dirait bien que ça sent le vécu.



En bref : j’ai beaucoup aimé ce livre qui a réussi à m’emporter pour chacune de ces histoires. L’écriture est percutante, l’ambiance est bien retracée, les histoires sont toutes différentes les unes des autres. L’imagination de l’auteure est assez remarquable. Une auteure à suivre !
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Voilà une idée de base, 5 minutes, qui ouvre un champ infini de possible. J’avoue que c’est ce qui m’a tenté en premier dans ce recueil…



Pas de risque de s’ennuyer avec les thématiques abordées par l’auteure, certaines de ses histoires sont drôles, d’autres plus sombres , enfin d’autres parlent du quotidien et de sa banalité.



Cependant ce recueil me laisse une impression un peu mitigée.



La plume de l’auteure fait mouche dans plusieurs nouvelles, je pense notamment à « Adieu Smoking »… A priori cette histoire nous présente une scène du quotidien, que nous sommes beaucoup à avoir connu, la perte d’un animal de compagnie. Pascal Marie QUIVIGER en fait quelque chose de touchant, on se sent en empathie totale avec les propriétaires de l’animal. On sent que ce chagrin là a déjà été celui de l’auteure et si ce n’est pas le cas, c’est tout à son honneur de retranscrire aussi bien cette perte.



A l’inverse j’ai trouvé que d’autres nouvelles étaient moins bien tournées comme « Rencontre opportune » ou « Cinq minutes avant le oui définitif. Christian. Deuxième partie ». J’ai ainsi trouvé que la première sonnait parfois un peu faux au niveau des dialogues, quant à la deuxième je dirais que trop de jeux de mots peuvent lasser.


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Quelle merveilleuse découverte que ce recueil de nouvelles. Et quel sujet : 5 minutes. Impossible pour moi d'arrêter avant la dernière page. Je l'ai lue d'un trait sans m'arrêter (même pas 5 minutes) .

Le sujet est infini :

5 minutes pour oublier de vivre, pour dire oui, pour dire non, pour anéantir une vie, pour se faire voir, pour faire honte, pour vivre l'extase ou la déception, pour oublier ou pour se rappeler.

Tout ce que 5 minutes peuvent faire dans une vie, pour certains c'est le destin pour d'autres un choix bon ou mauvais.

Des décisions, des questionnements, de la sagesse ou des erreurs.

Les personnages sont tellement réalistes que l'on peut se reconnaître dans certaines nouvelles. On passe de la joie à la tristesse par moment. On vit avec l'auteure.

Une écriture fluide, efficace, dynamique et très imagée.

Sans oublier sa passion pour les mots, présente dans chacune des nouvelles ..

À lire et relire. D'un trait ou par tranches de 5 MINUTES.

Merci Madame Quiviger au plaisir de vous lire encore …...
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Ce livre se lit très bien, la littérature générale n’est pas mon genre de prédilection mais j’ai adoré ce roman. L’écriture est fluide et les histoires sont passionnantes.



Ce sont des belles leçons de vie, qui changent nos points de vues. La plupart pourrait nous arriver.



5 minutes, ce n’est pas grand chose, une durée très courte et pourtant en 5 minutes, on peut changer une vie, faire de belles rencontres,…



Il faut jute parfois prendre 5 minutes à faire autre chose, sortir de nos habitudes.



Et si 5 minutes pouvaient tout changer ?
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Cinq minutes : pour certains ce petit laps de temps peut être banal et peut passer sans aucun changement. Pour d’autres ces minutes peuvent bousculer des vies, peuvent être fatales, changer tout un scénario vers le meilleur comme vers le pire.



Ce livre nous offre plusieurs nouvelles basées sur des sujets intéressants comme l’adolescence, la maladie , le kidnapping, les préjugés et l’intolérance des autres. Elles tournent toujours autour d’un seul thème : 5 minutes dans une vie. Ces histoires sont pimentées par plusieurs émotions, les plus omniprésentes restent la tristesse et le doute et ces moments sont parfois traversés par quelques lueurs d’espoirs.



L’auteure nous relatent des problèmes que rencontrent les gens au quotidien, l’impact qu’ont ces cinq minutes sur leurs vies et comment elles peuvent influencer leurs choix. Des gens qui ont été blessés et sur qui la vie a laissé des séquelles.



Je ne vais pas vous dévoiler l’intrigue d’une nouvelle en particulier ni vous donner des détails précis mais chaque nouvelle a son charme, son atmosphère et ses personnages. J’avoue m’avoir attachée à des personnages et m’être accrochée à quelques histoires plus que d’autres ( par exemple: j’ai détesté Christian et ses méchants propos, j’ai aimé « Éclaircie » mais pas « Cinq minute avant le oui définitif (partie 2) »). J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteure, j’ai apprécié ce côté ironique qu’elle donne à ses personnages et j’ai moins aimé les jeux de mots insérés dans quelques parties. Les pages se tournent rapidement et je peux donc dire que je suis séduite.



Un livre qui nous rappelle que les choses qui arrivent aux autres peuvent aussi nous arriver. Il nous rappelle à quel point la notion du temps est importante dans la vie. L’auteure par ce livre fait passer plusieurs messages importants. Un livre qui donne à réfléchir, des leçons de vie, des thèmes variés et plusieurs émotions partagées.
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5 minutes pour raconter la vie !

5 minutes, c’est si peu et c’est beaucoup. Pascale Marie QUIVIGER raconte ce qu’il peut se passer durant ce laps de temps. Et c’est incroyable de voir comment 5 petites minutes peuvent changer un destin ou le poursuivre.

Les 18 histoires de ce recueil abordent des sujets variés où chacun peut se retrouver à un moment ou à un autre, un petit détail qui nous parle, une situation déjà vécue. Ce livre nous parle de la vie d’une manière parfois amusante avec des jeux de mots ou dramatique suivant les sujets mais toujours avec empathie pour les personnages.

Très bon recueil !

Un recueil d'anecdotes pour lequel je suis plutôt mitigée. Autant certaines m'ont fait rire, ou sourire, autant d'autres situations m'ont parue totalement injustes et donc pas forcément drôles.



L'auteure nous raconte par le biais de très courtes anecdotes ses expériences passées avec les hommes, toutes plus désastreuses les unes que les autres. La fin en est d'ailleurs plus ou moins étonnante, en tout cas je ne m'y attendais pas.

Au début, j'ai beaucoup aimé découvrir les jeux de mots de l'auteure, elle a une belle façon de dire les choses et avec humour, clairement, mais, petit à petit, des petites choses m'ont dérangée, notamment les remarques sur le physique des personnes avec qui elle a eu rendez-vous. Bon, ce n'est qu'un avis personnel, mais c'est surtout pour dire qu'il y a des anecdotes où l'on accroche plus facilement qu'à d'autres et que ça dépend aussi de son propre avis.

C'est un recueil rapide à lire parce que les anecdotes sont courtes mais parfois j'aurais "préféré" plus de détails, comme une chronologie claire ou les circonstances d'une rencontre (on les a mais pas toujours ou alors pas assez clairement, je ne sais pas), juste pour être un peu plus "dedans" mais ça n'est pas désagréable à lire pour autant.



Le style est vraiment unique, sans verbe sauf participe passé, c'est direct, sans fioriture, sans gêne et avec beaucoup d'humour qui est parfois bon, parfois déplacé, de mon avis. Toutefois, ça reste assez original et ça se lit vite.
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Voilà un roman un peu particulier, pour plusieurs raisons :

- Ce n'est pas un "roman" en tant que tel, car cela n'est pas une histoire avec début, milieu, fin, avec un suivi de personnages, etc.

- C'est écrit sans verbes conjugués, exception faite du participe passé.



Le cadre posé, bienvenue dans Echec et mâle, un roman basé sur une succession de situations d'échecs hommes/femmes, toutes les plus comiques les unes que les autres, d'une part pour les jeux de mots proposés par l'auteur, mais également grâce aux situations rocambolesques et surtout les mâles particuliers que rencontre l'héroïne.



N'allez pas chercher le fin mot de l'histoire, il n'y a pas de surprise ni de suspens, pas d'histoire à proprement parler, pas de profondeur de personnages, pas de réel but. Il s'agit tout simplement de situations qui s'enchaînent. De cette façon, ce livre m'a fait sourire, voire rire par moments, et j'admire la performance de l'auteur d'avoir réussi à écrire sans verbes conjugués, sans que ce soit lourd.



Toutefois, il faut noter que je conseille ces histoires ou plutôt ces épisodes au compte-goutte, car à lire d'une traite, ça a très vite été redondant pour moi. Je connaissais la trame, alors j'ai commencé à m'ennuyer... Heureusement, j'ai fait une pause et revenir au texte a été plus facile, même si moins intéressant du coup. Je conseille donc ce roman à feuilleter de temps en temps pour rigoler un peu :-)



En conclusion, voici un ouvrage sympa et drôle, qu'il faut prendre pour ce qu'il est : une succession d'histoires rocambolesques, parfois propices à faire sourire ou à nous rappeler des souvenirs, parfois redondantes aussi (vu qu'il s'agit de la même héroïne de bout en bout), à lire par petits bouts, pour se détendre.


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Je voudrais déjà remercier les Plumes solidaires pour cette lecture. J’avoue qu’il m’a fait de l’œil avec une grosse hésitation. Puis pourquoi pas il est court, et finalement se lit très rapidement. Vous me direz que c’est encore un énième livre sur les relations désastreuses que l’on peut rencontrer dans notre vie et plus que revisité dans la littérature. Mais il a un côté assez drôle. L’auteure va s’amuser à classer ses Mâles en fonction des catégories. Ce que je trouve fort dommage, c’est que nous n’avons aucune chronologie dans le livre. Ce qui ne nous permet pas d’avoir une progression ou autres. Du coup, on ne sait pas si le suivant est pire que le précédent ou meilleur que le prochain. Mais cela peut être aussi le genre de livre assez lourd à lire, surtout que parfois, j’ai eu l’impression de revoir la même catégorie, mais pas appeler pareille. Mais il est court et se lit rapidement donc tout va bien. La fin est assez drôle et sympa, on n’a pas forcément le happy end souhaité, mais il complète bien notre petite lecture.





En conclusion, c’est assez sympathique, bien drôle et dynamique. Je l’ai lu d’une traite, mais il ne fallait pas plus de pages. Il faut lire ce livre et savoir le prendre au second degré. Après soit on se reconnaît dans ces histoires et on en rigoler avec le recul, soit non.
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Sous couvert du genre annoncé, ce titre s'apparente bien plus à un exercice de style qu'à une réelle romance humoristique. Même si tous les ingrédients du genre sont là, il ne m'a pas été possible de rentrer complètement dans le roman pour le vivre. J'en ai été détachée, et j'ai lu ce texte sans pouvoir m'immiscer dans l'histoire. Pourquoi ? À cause du style.



Un texte écrit sans aucun verbe conjugué, c'est un défi intéressant que pouvait se lancer l'auteur. Mais pour le lecteur, je trouve que c'est difficile à lire. Monotone et fade, car on se retrouve toujours avec la même façon de dire les choses, avec les mêmes tournures de phrase. Il n'y a pas de fantaisie, car tout est pareil, sur le même niveau. Personnellement, j'ai failli décrocher plusieurs fois, car le texte manquait de vie à cause de son style. Et ce n'est pas les exclamations ou les phrases nominales qui auraient pu changer mon ressenti personnel.



L'histoire en elle-même est quant à elle plutôt sympathique, mais aurait mérité d'être traitée correctement. le style ayant gâché mon humeur, j'avoue qu'il en devient difficile d'apprécier les événements à leur juste valeur, et pourtant ! La narratrice vit de telles choses qu'il y a quand même de quoi bien rire. Elle a tout tenté, tout testé, a tout vécu, et raconte tout ça avec une telle auto dérision qu'on ne peut rester indifférent. Les mâles ont une place de choix dans cette histoire, et ce n'est pas forcément en bien !



Chaque chapitre nous présente un mâle différent et si parfois on a l'impression qu'elle est enfin tombée sur la perle rare, on finit par se rendre compte que… non, toujours pas. Parfois, je me suis dit que son niveau d'exigence était trop élevé. Et ensuite, je tombais sur un chapitre où un tel goujat apparaissait que… non, finalement non. Il y a de quoi rire, s'indigner, et s'amuser avec ce texte. L'auteur joue avec ses mâles avec beaucoup d'humour et c'est fort appréciable.



En bref, une lecture sur le fond intéressante, mais qu'il faut prendre avec légèreté. Si vous voulez du sérieux et de l'intellect, passez votre chemin, car l'humour est ici aux premières loges. Je ne déplore dans ce texte que le style, qui ne m'a pas convaincue, car monotone, même si j'applaudis l'effort, car un texte sans verbe conjugué ne doit pas être simple à écrire ainsi.
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Avec Échec et Mâle, Pascale nous livre ses relations amoureuses avec différents Mâle avec beaucoup d'humour et une bonne dose d'auto-dérision. A chaque chapitre, un nouveau Mâle..., et ses défauts... On peut penser qu'elle n'est jamais contente, jamais satisfaite de l'homme sur lequel elle tombe mais moi non plus je n'aurais voulu être à sa place...

Je dois dire que ce livre n'a pas fait long feu. Je l'ai lu très vite. Des chapitres courts. Des phrases courtes. Et pas de verbe (sauf participe passé). Mais ça ne pose pas de problème, au contraire. Je trouve que ça donne un rythme différent de ce que l'on peut lire d'habitude. Et qui fait qu'on ne voit pas défiler les pages. La plume de Pascale Marie Quiviger accroche et m'a bien fait rire. Elle manie les mots avec brio, ne passe pas par quatre chemins pour dire les choses, toujours avec humour et avec de jolis jeux de mots. Et c'est un vrai plaisir. A chaque fois, je me demandais si elle allait tomber sur pire Mâle que le précédent...

Bref, un très bon moment passé avec Échec et Mâle en compagnie de Pascale. Idéal pour passer un instant de détente, ce petit livre est rafraîchissant.
Lien : http://notrecarnetlecture.bl..

1244 voit le massacre de centaines de Cathares et la destruction du château de Montségur. Un trésor aurait échappé à ces persécutions.

De nos jours, à Toulouse, un jeune étudiant est assassiné dans une salle des archives d’une bibliothèque. Un livre, apparemment insignifiant, est dérobé lors du meurtre.

Y aurait-il un lien entre le trésor des Cathares et ce meurtre ? C’est ce que Joëlle, chargée de l’enquête, va s’évertuer à élucider, tout en gérant sa vie personnelle, frappée d’un drame familial.

Pascale Marie Quiviger a su intégrer le mystère du trésor des Cathares comme une réalité tangible et nous transporter au cœur du 13ème siècle. Le trésor qu’elle nous laisse entrevoir, les passions qu’il a déchaînées au fil des siècles, sa sauvegarde au fil du temps, mêlés à la vie quotidienne d’une section de la police criminelle aujourd’hui, font de cette histoire un thriller actuel sur fonds de roman historique, le tout de manière très homogène.

Une succession de courts chapitres qui dresse un tableau des mâles et de leur comportement : « le mâle honnête », « le mâle entendu »…Divertissant, amusant.

Un pur moment de détente ! Une folie douce ! Une écriture épatante qui accroche tout de suite, et on n'a plus envie d'arrêter ! On tombe dans le tourbillon de jeu de mots et de formule qui est communicatif. Une fois la dernière page lue, on s'amuse automatiquement à chercher à s'aligner mais l'auteure est très forte ! je n'ai jamais rien lu de tel !

Je tiens à remercier l'auteure pour son invitation à découvrir et à lire son roman. "Le Mâle Effet : avec le verbe sous anesthésie" est un roman humoristique qui contient 23 chapitres en plus du prologue et de la conclusion.

Les chapitres sont autant de situations différentes décrites de façon très réaliste et racontées dans un langage aisé et naturel. La narratrice, en fait l'auteure elle-même, prend la parole pour toutes celles qui ont vécu les mêmes déboires en quête de rencontres sentimentales car elle dit tout haut les pensées que l'on garde pour soi.

Ces situations loufoques sont racontées avec une sincérité sans borne.

Après chaque chapitre, soit chaque aventure, une résolution supplémentaire est ajoutée en vue de la prochaine rencontre comme une recette qui est complétée au fil du temps, avec d'un côté, les bons ingrédients et surtout, de l'autre, les mauvais ingrédients à rejeter absolument. Par exemple, pour le "Mâle sain", le bon ingrédient est l'inscription auprès d'une agence matrimoniale et pour le "Mâle chanceux", le mauvais ingrédient c'est le guignard et ainsi de suite...

Pascale Marie Quiviger jongle avec les mots et nous régale, j'ai vécu ses aventures comme une quête ascensionnelle vers le bon Mâle avec les leçons à en tirer après chaque expérience amoureuse.

De plus, j'ai bien ri, entre autre, avec le "Mâle de tête", le "Mini-mâle" et surtout le "Mâle en point". Les titres des chapitres forment de jolis jeux de mots et la longueur des chapitres est pratiquement identique pour chacun.

Ensuite, j'hésite entre le "Mâle odorant" et le "Mâle foutu" pour le pire des Mâles, mais ... tout bien réfléchi...je n'hésite pas du tout ! c'est le "Mâle odorant" (c'est terrible!).

Enfin, j'ai trouvé la conclusion surprenante et inattendue sur le coup, mais tout bien réfléchi, elle est plutôt réaliste.

Le mot de la fin : "Le Mâle Effet" est un roman franchement pas Mâle à glisser dans la Mâle de nos vacances ! Ah...c'est vrai...c'est un livre disponible en version numérique...et alors on s'en fout pas Mâle....on y glissera nos liseuses !
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