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Citations de Patrick Ness (234)


Il incarnait ce dont le monde avait le plus souffert tout au long de ses quatre milliards d'années d'existence : un homme stupide qui avait du pouvoir. Lorsqu'un jour les lumières du monde s'éteindraient, debout devant la prise électrique, ayant tiré malgré tous les avertissements, se tiendrait un homme tel que l'adjoint Kelby, réfractaire à tout ce qui pourrait le conseiller, outre sa propre stupidité.
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Il voulait l'étrangler. Pas au sens propre. Peut-être au sens propre.
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- Tu es vraiment amoureux de moi ? avait demandé Enzo juste avant qu'ils s'embrassent, un sourire à moitié incrédule, à moitié intrigué traversant son beau visage d'ange.
Et pourquoi pas ? C'était tellement plus facile d'être aimé que de se lancer dans le désespérant travail d'aimer.
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— Ce n'est qu'un rêve... murmura-t-il encore.
— Mais qu'est-ce qu'un rêve, Conor O'Malley ? dit le monstre en se penchant pour rapprocher son visage de celui du garçon. Qui peut dire que ce n'est pas TOUT LE RESTE qui est un rêve ?
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Il n’y a pas toujours un gentil. Et pas toujours un méchant non plus. La plupart des gens sont entre les deux.
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Conor cligna des yeux. Plusieurs fois.
- Tu vas me raconter des... histoires?
Absolument, répondit le monstre.
Conor regarda autour de lui, incrédule
- Mais... en quoi est-ce un cauchemar?
Les histoires sont les choses les plus sauvages de toutes, gronda-t-il. Les histoires chassent et griffent et mordent.
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Avec le soleil qui se couche, moi et le Maire debout sur les éboulis de la cathédrale, on regarde l'armée des Spackle qui descend toujours en zigzags la colline en face, leurs trompes de bataille vomissant un son à vous déchirer en deux -
Pendant que l'armée de Maîtresse Coyle entre dans la ville derrière nous, bombardant tout sur son passage -
Boum ! Boum ! BOUM !
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La guerre est un monstre.... La guerre, c'est le diable . Elle commence et elle brûle et elle s'étend et elle s'étend puis elle s'étend. Et des hommes autrement normaux deviennent aussi des monstres.
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On n’écrit pas sa vie avec des mots. On l’écrit avec des actes. Ce que tu penses n’est pas important. C’est ce que tu fais qui compte.
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- Était ? nota l'agent Dernovich.
- Je l'ai mangé. Après qu'il a essayé de tuer cette jeune fille et le garçon japonais.
Autre silence.
- Mais nous nous éloignons du sujet. Laissez-moi vous parler de notre Déesse.
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Mais c'est une histoire vraie. Bien des choses vraies ont l'air de tromperies. Les royaumes ont les princes qu'ils méritent, les filles de fermier meurent sans raison, et des sorcières méritent parfois d'être sauvées.
Très souvent, même. Tu serais étonné.
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Il incarnait ce dont le monde avait le plus souffert tout au long de ses quatre milliards d'années d'existence : un homme stupide qui avait du pouvoir.
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Il avait entendu dire une fois que les seules personnes capables de soigner la traumatisme de survivants à un accident d'avion étaient justement d'autres survivants. On ne pouvait faire confiance d'instinct qu'à quelqu'un qui en était passé par là, qui l'avait vécu.
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Pourquoi faudrait-il absolument se définir ? Parce que, si tu ne le fais pas, liberté. Parce que, réalisation personnelle. Parce que, fluidité au lieu de te classifié dans ce que l'étiquette fera de toi.
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- Tu m'a assassinée, répète-elle
- Je ne l'ai pas fait exprès...
- Tu l'as fait.
- Seulement pendant cette seconde. Seulement une petite seconde.
- Une seconde c'est bien suffisant.
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Curieux comment les choses évoluent tout le temps. Un jour on lève les yeux, et tout est différent.
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Il savait que le moment viendrait, peut-être même cette nuit-là, à 00h07. Le moment où il aurait beau la serrer, elle glisserait, elle échapperait à son étreinte.
- Mais pas tout de suite, chuchota le monstre, toujours tout près. Pas encore.

Conor serrait étroitement sa mère.
Alors il put enfin la laisser partir.
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- Voici ce qui va se passer, Connor O'Malley. Je vais revenir te voir d'autres nuits [...] Et je te raconterai trois histoires. Trois histoires du temps où je suis venu. [...] Et quand j'aurai terminé mes trois histoires, tu m'en raconteras une quatrième. Et ce sera la vérité. [...]
- Bon, d'accord. Mais tu as dit que je serais terrifié avant que tout cela finisse, et tout ça n'a rien de particulièrement terrifiant.
- Tu sais que ce n'est pas vrai. Tu sais que ta vérité, celle que tu caches, Conor O'Malley, est la chose que tu crains le plus.
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Mais un couteau c'est pas qu'une chose, d'accord ? C'est un choix, c'est quelque chose qu'on fait. Un couteau dit oui ou non, coupe ou ne coupe pas, meurt ou ne meurt pas. Un couteau prend une décision dans votre main et la met dans le monde et jamais ça peut revenir en arrière.
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Si votre monde est plus rien qu'une seule et unique ville Bruyante sans futur, parfois vous avez plus qu'à partir, même si vous avez nulle part où aller.
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