Critiques de Paul Beorn (930)
2 jeunes garçons de 13 ans ; un vit en 1914, l’autre en 2014. Un siècle les sépare et pourtant ils entretiennent une correspondance, chacun se confiant à l’autre, découvrant les différences de génération, notamment dans leur scolarité. Ces lettres qu’ils échangent vont changer le cours de leur vie.
C’est beau, c’est prenant et très bien écrit.
Un beau petit roman qui se situe entre Laon et Corbeny dans l’Aisne (chemin des dames), secteur de mes grands-parents que je connais bien.
C’est beau, c’est prenant et très bien écrit.
Un beau petit roman qui se situe entre Laon et Corbeny dans l’Aisne (chemin des dames), secteur de mes grands-parents que je connais bien.
Lu en 2019. Ce roman jeunesse a été lauréat du Prix des Incorruptibles en 2016, niveau 5e-4e. Une intrigue captivante et des personnages attachants.
Un récit qui parle de mimétisme affectif, social et psychologique, où la comparaison entre les différences réside surtout dans l'éducation, la vie quotidienne et les progrès technologiques.
Un récit qui parle de mimétisme affectif, social et psychologique, où la comparaison entre les différences réside surtout dans l'éducation, la vie quotidienne et les progrès technologiques.
"14-14" est un roman fascinant qui raconte l'histoire de deux adolescents, Adrien et Hadrien, vivant à un siècle d'intervalle. Ils se retrouvent mystérieusement connectés à travers le temps grâce à un carnet et une boîte aux lettres. Ensemble, ils vont vivre des aventures incroyables et découvrir des secrets surprenants. C'est un voyage captivant à travers l'histoire.Oh, j'adore le livre "14-14" ! C'est une histoire captivante qui mélange habilement le passé et le présent. Les personnages sont si attachants et l'intrigue est pleine de rebondissements. Je recommande vivement de le lire.
Ce livre est vraiment génial. C’était une relecture pour moi mais toujours un pur bonheur. L’écriture est fluide et l’histoire racontée avec plusieurs personnages, d’un côté Lune et de l’autre Lapsa, nous permet de ne jamais nous ennuyer et de se rapprocher des protagonistes. J’ai vraiment adoré ce livre plein de rebondissements, mais le petit bémol d’avoir l’histoire de Lune est que cela nous enlève une partie du suspense.
Je trouve que Paul Beorne et Silène Edgar ont su parfaitement réinvestir le jeu dont ils se sont inspirés et en ont fait un roman merveilleux et très agréable à lire.
Je trouve que Paul Beorne et Silène Edgar ont su parfaitement réinvestir le jeu dont ils se sont inspirés et en ont fait un roman merveilleux et très agréable à lire.
Fidèle à mon habitude de feignasse qui consiste à prendre ma plume seulement quand un ouvrage à peu de critiques, je me décide donc de pondre une merveille pour ce récit qui m'a bien diverti....
Paul Beorn est apprécié pour son diptyque Calme, sont premier tome est sorti en 2018, il avait provoqué un certain enthousiasme chez les lecteurs d'imaginaire.
Le livre qui m'intéresse dans cette critique est sorti en 2012, je l'ai puisé de ma PAL grand bien m'en a pris.
Les derniers parfait est un récit de Fantasy assez classique avec une pointe de steampunk qui est vraiment agréable à lire avec beaucoup de rythme .
Pendant l'assaut d'une forteresse 4 esclaves utilisé pour pousser les engins de siège arrive à prendre la fuite enchaînées l'un à l'autre.
J'ai déjà bien apprécié le postulat de départ, ces personnages fuyant les combats, forcé de collaborer est vraiment une très bonne idée de début, cela m'a fait penser au puits des mémoires de Gabriel Katz.
En sujet des références, l'auteur, il me semble c'est inspiré de Gabriel Katz mais aussi de l'arcane dès épées, Georges Martin et des cités d'or.
Le récit est véloce, les péripéties s'enchaînent avec logique et de manière fluide.
Les interactions entre nos 4 enchaînées sont parfois drôles, parfois touchantes, toujours savoureuses
Peut-être qu'un développement un poil plus profond des personnages, une caractérisation plus poussée aurait fait du bien au récit qui aurait gagné en profondeur.
Après , les thématiques développées sont intéressantes, la place de la femme dans une société patriarcale, le fanatisme religieux ainsi que le libre arbitre et la maternité sont bien exploité par l'auteur.
A noter que l'histoire est violente, sa découpe de manière généreuse et que les personnages sont vraiment en danger, Paul Beorn n'hésite pas à en faire mourir même ceux envers qui, il a construit un certain attachement.
Il y a aussi un peu de romance mais qui ne prend pas tout le récit est donc et même plutôt agréable dans ce contexte, nous ne sommes pas dans une sortie récente de Bragelonne (Dieu merci).
Pour conclure (mais pas sur un malentendu 😰), voilà une lecture chouette, très divertissante, lu rapidement qui m'a procuré un réel plaisir.
Précision, il ne s'agit pas d'une saga, donc pour découvrir la fantasy sa peut être une bonne porte d'entrée....
Je lirai avec plaisir les autres ouvrages de cet auteur, de la bonne fantasy Française à découvrir si c'est pas déjà fait.
Paul Beorn est apprécié pour son diptyque Calme, sont premier tome est sorti en 2018, il avait provoqué un certain enthousiasme chez les lecteurs d'imaginaire.
Le livre qui m'intéresse dans cette critique est sorti en 2012, je l'ai puisé de ma PAL grand bien m'en a pris.
Les derniers parfait est un récit de Fantasy assez classique avec une pointe de steampunk qui est vraiment agréable à lire avec beaucoup de rythme .
Pendant l'assaut d'une forteresse 4 esclaves utilisé pour pousser les engins de siège arrive à prendre la fuite enchaînées l'un à l'autre.
J'ai déjà bien apprécié le postulat de départ, ces personnages fuyant les combats, forcé de collaborer est vraiment une très bonne idée de début, cela m'a fait penser au puits des mémoires de Gabriel Katz.
En sujet des références, l'auteur, il me semble c'est inspiré de Gabriel Katz mais aussi de l'arcane dès épées, Georges Martin et des cités d'or.
Le récit est véloce, les péripéties s'enchaînent avec logique et de manière fluide.
Les interactions entre nos 4 enchaînées sont parfois drôles, parfois touchantes, toujours savoureuses
Peut-être qu'un développement un poil plus profond des personnages, une caractérisation plus poussée aurait fait du bien au récit qui aurait gagné en profondeur.
Après , les thématiques développées sont intéressantes, la place de la femme dans une société patriarcale, le fanatisme religieux ainsi que le libre arbitre et la maternité sont bien exploité par l'auteur.
A noter que l'histoire est violente, sa découpe de manière généreuse et que les personnages sont vraiment en danger, Paul Beorn n'hésite pas à en faire mourir même ceux envers qui, il a construit un certain attachement.
Il y a aussi un peu de romance mais qui ne prend pas tout le récit est donc et même plutôt agréable dans ce contexte, nous ne sommes pas dans une sortie récente de Bragelonne (Dieu merci).
Pour conclure (mais pas sur un malentendu 😰), voilà une lecture chouette, très divertissante, lu rapidement qui m'a procuré un réel plaisir.
Précision, il ne s'agit pas d'une saga, donc pour découvrir la fantasy sa peut être une bonne porte d'entrée....
Je lirai avec plaisir les autres ouvrages de cet auteur, de la bonne fantasy Française à découvrir si c'est pas déjà fait.
Un très joli petit roman destiné à un public jeune (8-12 ans) mais qui se laisse également lire par des adultes.
L’écriture est évidemment un peu légère, mais l’histoire est sympathique et les deux personnages principaux sont très attachants.
C’est mignon comme tout, plutôt original et ça se lit avec plaisir. À découvrir!
L’écriture est évidemment un peu légère, mais l’histoire est sympathique et les deux personnages principaux sont très attachants.
C’est mignon comme tout, plutôt original et ça se lit avec plaisir. À découvrir!
Parfois, on n'attend pas d'un roman de fantasy qu'il révolutionne notre quotidien et le genre-même, simplement qu'il nous immerge pendant une volée de pages, et Le Septième Guerrier Mage, roman du trop rare Paul Beorn, résume très bien cette sensation.
Lien : https://syfantasy.fr/critiqu..
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La promesse d’une histoire de fantômes a suffi à me donner envie de découvrir ce roman jeunesse que j’ai lu d’une traite, complètement happée par l’histoire. L’auteur vient de La Rochelle et cela se ressent dans la manière dont il nous immerge au sein de cette ville qu’il donne très envie de visiter. Et ceci même si elle accueille des fantômes, pas tous très sympathiques au demeurant…
Les jeunes amateurs de fantômes devraient être séduits par l’ambiance qui se dévoile page après page. Même si je ne fais pas partie du public visé, j‘ai adoré cette douce atmosphère frissonnante, d’autant que l’auteur la mêle à une petite dimension historique des plus sympathiques. Je reconnais d’ailleurs avoir appris des choses sur la riche et mouvementée histoire de La Rochelle, que Nicolas connaît sur le bout des doigts ou presque. Ses connaissances sur sa ville adorée feront de lui, comme vous le verrez, un précieux atout dont son cousin, Sacha, et leur nouvelle amie, Camille, auront rudement besoin.
En effet, la petite sœur de Sacha, Louisa, a disparu et toutes les bonnes volontés seront mises à contribution pour la retrouver avant qu’il ne soit trop tard. L’auteur introduit par cette impression de compte à rebours une certaine tension qui fera comprendre aux jeunes lecteurs l’urgence de la situation. En plus de la petite fille, le groupe doit également retrouver le père de Camille, un chasseur de fantômes qui s’est évaporé au même endroit que Louisa. Reconnaissez que l’affaire est louche ! Nous suivons donc les trois héros dans leur enquête qui les conduira à faire des rencontres plus ou moins agréables.
Avec un sens du rythme indéniable et suivant un tempo sans pitié, Paul Beorn nous emporte dans une aventure auréolée de dangers, qui nous pousse à tourner les pages en se demandant ce qui va encore tomber sur le museau de nos personnages. En moins de 150 pages, le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer, mais il a celui de trembler pour le devenir des deux disparus, d’autant qu’à travers les souvenirs de nos protagonistes, on a presque l’impression de les connaître. On désire donc ardemment les sauver de la périlleuse situation dans laquelle leur curiosité semble les avoir malencontreusement placés.
Au-delà de l’aventure, l’auteur évoque des sujets sensibles comme le deuil passé et celui en devenir, la douleur devant l’absence... Mais il veille aussi à marquer son histoire de l’empreinte de l’amour familial et de l’amitié. J’ai ainsi beaucoup aimé voir les liens d’amitié se former entre les deux cousins et Camille, une jeune fille courageuse dont la détermination force le respect, si ce n’est l’admiration. Elle est vraiment prête à tout pour retrouver son père, seul parent qui lui reste depuis le décès prématuré de sa mère. Quand elle évoque cette dernière, l’émotion s’empare des lecteurs et ceci quel que soit leur âge. Même chose quand Sacha évoque cette petite sœur qu’il adore ou sa grand-mère sur le point de faire le grand saut… Une scène m’a d’ailleurs beaucoup émue par sa force et l’amour dont elle témoigne.
Nicolas se révèle peut-être un peu moins touchant que ses deux acolytes, mais il saura aussi lever le voile de ses émotions, en même temps que nous surprendre agréablement à plusieurs reprises. Il se révèle finalement bien plus débrouillard et courageux qu’on pourrait le penser de prime abord. Une prise de conscience qui vient contrebalancer mon sentiment premier quant au traitement de ce personnage par l’auteur qui, en début de roman, joue un peu trop à mon goût sur certains clichés. Son évolution et la manière dont Nicolas trouve sa juste place dans le groupe m’ont donc pleinement convaincue.
Quant à la plume de l’auteur, elle se révèle très accessible mais aussi précise, rythmée et terriblement immersive. J’ai ainsi adoré la manière dont il nous donne l’impression de courir dans les rues de La Rochelle aux côtés de nos protagonistes. J’ai également apprécié de découvrir les règles entourant le contact avec les fantômes : des règles à connaître et à respecter sous peine de terribles conséquences ! Mais je vous laisserai le plaisir de les découvrir par vous-mêmes…
En conclusion, Le navire des disparus fut une chouette lecture jeunesse mêlant habilement fantastique avec la présence de fantômes, et historique à travers les informations distillées par-ci, par-là sur La Rochelle et sa tumultueuse histoire. Un mélange qui fonctionne d’autant plus qu’il est porté par la plume vive et immersive de Paul Beorn, parfaite pour nous faire ressentir l’urgence de la situation, nos protagonistes devant sauver leurs proches avant qu’il ne soit trop tard. Fantômes, aventure, et amitié au programme d’un premier tome riche en péripéties et en rencontres !
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
Les jeunes amateurs de fantômes devraient être séduits par l’ambiance qui se dévoile page après page. Même si je ne fais pas partie du public visé, j‘ai adoré cette douce atmosphère frissonnante, d’autant que l’auteur la mêle à une petite dimension historique des plus sympathiques. Je reconnais d’ailleurs avoir appris des choses sur la riche et mouvementée histoire de La Rochelle, que Nicolas connaît sur le bout des doigts ou presque. Ses connaissances sur sa ville adorée feront de lui, comme vous le verrez, un précieux atout dont son cousin, Sacha, et leur nouvelle amie, Camille, auront rudement besoin.
En effet, la petite sœur de Sacha, Louisa, a disparu et toutes les bonnes volontés seront mises à contribution pour la retrouver avant qu’il ne soit trop tard. L’auteur introduit par cette impression de compte à rebours une certaine tension qui fera comprendre aux jeunes lecteurs l’urgence de la situation. En plus de la petite fille, le groupe doit également retrouver le père de Camille, un chasseur de fantômes qui s’est évaporé au même endroit que Louisa. Reconnaissez que l’affaire est louche ! Nous suivons donc les trois héros dans leur enquête qui les conduira à faire des rencontres plus ou moins agréables.
Avec un sens du rythme indéniable et suivant un tempo sans pitié, Paul Beorn nous emporte dans une aventure auréolée de dangers, qui nous pousse à tourner les pages en se demandant ce qui va encore tomber sur le museau de nos personnages. En moins de 150 pages, le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer, mais il a celui de trembler pour le devenir des deux disparus, d’autant qu’à travers les souvenirs de nos protagonistes, on a presque l’impression de les connaître. On désire donc ardemment les sauver de la périlleuse situation dans laquelle leur curiosité semble les avoir malencontreusement placés.
Au-delà de l’aventure, l’auteur évoque des sujets sensibles comme le deuil passé et celui en devenir, la douleur devant l’absence... Mais il veille aussi à marquer son histoire de l’empreinte de l’amour familial et de l’amitié. J’ai ainsi beaucoup aimé voir les liens d’amitié se former entre les deux cousins et Camille, une jeune fille courageuse dont la détermination force le respect, si ce n’est l’admiration. Elle est vraiment prête à tout pour retrouver son père, seul parent qui lui reste depuis le décès prématuré de sa mère. Quand elle évoque cette dernière, l’émotion s’empare des lecteurs et ceci quel que soit leur âge. Même chose quand Sacha évoque cette petite sœur qu’il adore ou sa grand-mère sur le point de faire le grand saut… Une scène m’a d’ailleurs beaucoup émue par sa force et l’amour dont elle témoigne.
Nicolas se révèle peut-être un peu moins touchant que ses deux acolytes, mais il saura aussi lever le voile de ses émotions, en même temps que nous surprendre agréablement à plusieurs reprises. Il se révèle finalement bien plus débrouillard et courageux qu’on pourrait le penser de prime abord. Une prise de conscience qui vient contrebalancer mon sentiment premier quant au traitement de ce personnage par l’auteur qui, en début de roman, joue un peu trop à mon goût sur certains clichés. Son évolution et la manière dont Nicolas trouve sa juste place dans le groupe m’ont donc pleinement convaincue.
Quant à la plume de l’auteur, elle se révèle très accessible mais aussi précise, rythmée et terriblement immersive. J’ai ainsi adoré la manière dont il nous donne l’impression de courir dans les rues de La Rochelle aux côtés de nos protagonistes. J’ai également apprécié de découvrir les règles entourant le contact avec les fantômes : des règles à connaître et à respecter sous peine de terribles conséquences ! Mais je vous laisserai le plaisir de les découvrir par vous-mêmes…
En conclusion, Le navire des disparus fut une chouette lecture jeunesse mêlant habilement fantastique avec la présence de fantômes, et historique à travers les informations distillées par-ci, par-là sur La Rochelle et sa tumultueuse histoire. Un mélange qui fonctionne d’autant plus qu’il est porté par la plume vive et immersive de Paul Beorn, parfaite pour nous faire ressentir l’urgence de la situation, nos protagonistes devant sauver leurs proches avant qu’il ne soit trop tard. Fantômes, aventure, et amitié au programme d’un premier tome riche en péripéties et en rencontres !
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Un livre dont vous êtes le héros ! Très bien !
Bien sûr, certains chapitres sont très courts puisqu'il y a des choix mais il y a aussi quelques jolies descriptions du monde magique dans lequel est plongée notre héroïne, qui découvre (en une seule journée) une demi-soeur, un père enlevé, un monde magique et ses pouvoirs !
L'intérêt du roman est vraiment le jeu : aller d'un lieu à l'autre, gagner des objets, des aides, des sorts : un vrai plaisir !
L'histoire est légère mais quelques rebondissements nous tiennent en haleine et comme on ne passe pas par toutes les aventures, on peut recommencer autrement ! Je trouve vraiment cela amusant et cela peut beaucoup plaire aux ados !
Bien sûr, certains chapitres sont très courts puisqu'il y a des choix mais il y a aussi quelques jolies descriptions du monde magique dans lequel est plongée notre héroïne, qui découvre (en une seule journée) une demi-soeur, un père enlevé, un monde magique et ses pouvoirs !
L'intérêt du roman est vraiment le jeu : aller d'un lieu à l'autre, gagner des objets, des aides, des sorts : un vrai plaisir !
L'histoire est légère mais quelques rebondissements nous tiennent en haleine et comme on ne passe pas par toutes les aventures, on peut recommencer autrement ! Je trouve vraiment cela amusant et cela peut beaucoup plaire aux ados !
Cent ans séparent ces deux enfants de 13 ans et pourtant, grâce à une boîte aux lettres magique, Adrien et Hadrien vont réussir à établir une correspondance.
Chacun décrit son quotidien, l’un en ville en 2014, l’autre à la campagne en 1914 avec les problématiques inhérentes à leurs époques. Une vraie histoire d’amitié va se créer entre eux, se conseillant sur leurs amitiés et leurs amours, allant même jusqu’à vouloir se sauver la vie.
Un roman jeunesse bien écrit, qui se lit vite et avec des détails historiques qui permettent d’enrichir l’intrigue.
Chacun décrit son quotidien, l’un en ville en 2014, l’autre à la campagne en 1914 avec les problématiques inhérentes à leurs époques. Une vraie histoire d’amitié va se créer entre eux, se conseillant sur leurs amitiés et leurs amours, allant même jusqu’à vouloir se sauver la vie.
Un roman jeunesse bien écrit, qui se lit vite et avec des détails historiques qui permettent d’enrichir l’intrigue.
Super surprise que ce petit roman qui m'a enchantée et me donne déjà envie de lire la suite. Un univers Fantasy adapté aux 7-9 ans, un héros imparfait mais courageux auquel le jeune lecteur peut s'identifier, une histoire simple mais efficace et qui évite plein de clichés. L'idée de l'épée qui parle et qui donne ses pouvoirs à son porteur, mais à condition que celui-ci la traite bien amène des situations imprévues et souvent drôles. Bref, un bon petit roman !
En général, ce fut une belle lecture que celle du septième guerrier-mage, même s'il n'a pas réellement répondu à mes attentes. Ce fut un rafraichissement de lire un roman solo, ce qui est rare en Fantasy de nos jours et malgré certains détails, le roman se tenait assez bien en lui-même. J'ai bien apprécié l'histoire également qui m'avait accroché dès le synopsis, mais je m'attendais peut-être à quelque chose d'un peu plus grandiose ? Ensuite, j'ai trouvé le concept de cercles de magie bien intéressant et j'aurais bien aimé le voir plus développé car les règles en restent très floues (surtout sur l'aspect guérison, prise de douleur, qui reste très confus et qui se rapproche un peu par moments de "plot armor"). Finalement, c'est surtout sur le plan des personnages que j'ai été déçue, car si chacun a un grand potentiel, ils n'étaient clairement pas assez développés à mon goût. Malgré tout, ce fut une belle lecture et je suis bien contente d'avoir découvert un autre récit de fantasy francophone :)
J'ai acheté ce livre il n'y a pas mal de temps mais il m'a fallut un moment pour me lancer. J'ai commencé ma lecture le soir puis j'ai fini quand je devais aller en cours. J'ai bien était pris dedans et j'ai énormément aimé Hadrian. Il m'a pris trois heures à lire seulement. Je le recommande c'est un bon livre.
Livre pour enfant, lu sous l'insistance de ma fille qui l'a trouvé formidable (lu la première fois en CM2) et qui revient dessus régulièrement, elle l'a même téléchargé en cachette sur mon kindle, pour dire! Et je comprends, c'est une histoire très originale, le voyage dans le temps, c'est un sujet qui fait rêver. Mais pas de mièvrerie ici, l'amour, l'amitié, le voyage dans le temps sont bien des thèmes que ce roman traite mais aussi la guerre, la mort, la pauvreté, certains enfants peuvent être choqués. Pas ma fille. Elle est devenue incollable sur la Première guerre mondiale grâce à ce livre. Elle l'a fait lire à son papy aussi, et nous sommes donc trois générations à être tombés sous son charme, que dire de plus ?!
Nous trouvons ici deux héros, épiques et ciselés à la perfection. Ils sont déchirés par la vie, un vieux héros blasé et une jeune pousse, mal dans sa peau mais pleine d'espoirs et de volonté
- L'une, Héroïne, actrice et narratrice, c'est elle qui tient le rôle !
- L'autre, quasiment spectateur, impénétrable, que l'on voit raconter par les autres personnages
- Et, encore un beau travail sur le caractère de chacun et sur son évolution au fil de leur histoire
Et puis ces personnages secondaires riches, également tourmentés et maltraités, tels
- Le conteur
- Le légendier
- Le roi
- La princesse
Mais également d'autres bandits, rebelles ou esclavagistes.
Tout cela étant enrobé,
- D'un méli-mélo de manigances, d'intrigues et de rebondissements
- De la question permanente quant à notre le héros, perdu, preux, égoïste (sauver son village, sauver Mara, seul but et à tout prix ?), défenseur du bien resurgissant de sa retraite pour une dernière valse fusse au péril de sa propre tête ?
- D'un système de magie basé sur le CALAME et la croyance qui l'entretien
Tout cela dessinant également des thèmes tels que
- Le pouvoir qui ne perçoit plus depuis longtemps ce qu'est la vie du peuple
- La condition de la femme, esclave chez les riches, victime de cet esclavagisme institutionnel
- La domination des riches (rien de neuf ni d'exagéré ici)
Encore une fois nous retrouvons une très belle écriture, un scénario léché construit,
- Autour d'une histoire qui commence par la fin et fait des sauts dans le temps, cette marque de fabrique de l'auteur, mêlant présent et passé en deux histoires qui s'entremêlent et enrichissent la compréhension des personnages
- Très dense, mais fluide, avec globalement plus d'Action, mais suffisamment de Description
- Rythmé, bien que parfois un peu coupé par l'alternance de personnages vivants à d'autres périodes, d'autres vitesses
- Scénario dans lequel plus nous nous immergeons, plus la suite nous tend les bras, plus nous sommes impatients de découvrir la suite
- L'une, Héroïne, actrice et narratrice, c'est elle qui tient le rôle !
- L'autre, quasiment spectateur, impénétrable, que l'on voit raconter par les autres personnages
- Et, encore un beau travail sur le caractère de chacun et sur son évolution au fil de leur histoire
Et puis ces personnages secondaires riches, également tourmentés et maltraités, tels
- Le conteur
- Le légendier
- Le roi
- La princesse
Mais également d'autres bandits, rebelles ou esclavagistes.
Tout cela étant enrobé,
- D'un méli-mélo de manigances, d'intrigues et de rebondissements
- De la question permanente quant à notre le héros, perdu, preux, égoïste (sauver son village, sauver Mara, seul but et à tout prix ?), défenseur du bien resurgissant de sa retraite pour une dernière valse fusse au péril de sa propre tête ?
- D'un système de magie basé sur le CALAME et la croyance qui l'entretien
Tout cela dessinant également des thèmes tels que
- Le pouvoir qui ne perçoit plus depuis longtemps ce qu'est la vie du peuple
- La condition de la femme, esclave chez les riches, victime de cet esclavagisme institutionnel
- La domination des riches (rien de neuf ni d'exagéré ici)
Encore une fois nous retrouvons une très belle écriture, un scénario léché construit,
- Autour d'une histoire qui commence par la fin et fait des sauts dans le temps, cette marque de fabrique de l'auteur, mêlant présent et passé en deux histoires qui s'entremêlent et enrichissent la compréhension des personnages
- Très dense, mais fluide, avec globalement plus d'Action, mais suffisamment de Description
- Rythmé, bien que parfois un peu coupé par l'alternance de personnages vivants à d'autres périodes, d'autres vitesses
- Scénario dans lequel plus nous nous immergeons, plus la suite nous tend les bras, plus nous sommes impatients de découvrir la suite
Moi qui adore le jeu du loup-garou je me suis laissée tenter par ce roman qui s'en inspire. On suit deux amies qui sont très proches et qui cherchent à percer la vérité sur le passé du village et de l'une d'elle. J'ai adoré suivre cette histoire avec des personnages que j'ai beaucoup aimé, tous différents bien que pas extrêmement approfondis. Les auteurs ont réussi à détourner le concept du jeu tout en gardant l'ambiance et les personnages/rôles les plus populaires. J'ai adoré découvrir la manière dont les rôles étaient mené et retrouver les correspondance avec les cartes du jeu. Je ne m'attendais pas à une histoire comme celle-ci et je me suis laissée surprendre par le dénouement auquel je ne m'attendais pas. J'ai vraiment retrouvé cette ambiance entre mensonges et demi-vérités, jeu de rôle et chercher à faire tomber les masques. Les loups-garous sont d'ailleurs des personnages originaux qui changent de ce que l'on connaît. Une très bonne lecture qui m'a agréablement surprise et que je recommande à ceux qui apprécient ce jeu mystique
En tant qu'amateur d'Imaginaire et d'Histoire, quoi de plus normal pour moi que d'être attiré par cette uchronie médiévale où la magie a fait dévier la guerre de religion à un tout autre niveau ?
Un cataclysme magique a en effet transformé l'Espagne (appelée ici Hispania) en île et le Royaume franc fait face à des démons invoqués par les Catharis. Un ancien empire, l'Empire Premier (dans lequel on reconnaît assez facilement l'Empire romain), a laissé derrière lui une puissante magie, instillée dans des édifices et des artefacts et chaque personne porte en elle la “petite magie” d'un animal-compagnon, lui prodiguant des pouvoirs.
Dans ce contexte, quatre prisonniers des Catharis vont réussir à s'enfuir. Ainsi débute cette expédition, aux allures d'épopée, à la recherche d'une échappatoire qui semble toujours leur glisser des mains. Mains qui sont entravées par des fers indestructibles...
J'ai vraiment apprécié cette immersion dans ce Moyen-Âge sombre, poisseux, violent. Les éléments fantastiques s'imbriquent très bien dans cette période historique sans pour autant faire voler en éclats la cohérence de l'ensemble. le récit traite, sans prendre de pincettes, des thèmes difficiles tels le fanatisme religieux, l'esclavage ou encore la condition féminine, mais toujours dans des tons de gris, où aucun camp n'est tout blanc ou tout noir. le quatuor de personnages, aux caractères bien trempés, est très attachant et leurs interactions deviennent au fur et à mesure la force motrice narrative du récit. La plume de l'auteur est raffinée et fluide, ce qui est un atout non négligeable car l'action est menée tambour battant, avec tout de même quelques moments de répit tout aussi intéressants.
Une belle découverte que je ne peux que vous enjoindre à expérimenter à votre tour !
Un cataclysme magique a en effet transformé l'Espagne (appelée ici Hispania) en île et le Royaume franc fait face à des démons invoqués par les Catharis. Un ancien empire, l'Empire Premier (dans lequel on reconnaît assez facilement l'Empire romain), a laissé derrière lui une puissante magie, instillée dans des édifices et des artefacts et chaque personne porte en elle la “petite magie” d'un animal-compagnon, lui prodiguant des pouvoirs.
Dans ce contexte, quatre prisonniers des Catharis vont réussir à s'enfuir. Ainsi débute cette expédition, aux allures d'épopée, à la recherche d'une échappatoire qui semble toujours leur glisser des mains. Mains qui sont entravées par des fers indestructibles...
J'ai vraiment apprécié cette immersion dans ce Moyen-Âge sombre, poisseux, violent. Les éléments fantastiques s'imbriquent très bien dans cette période historique sans pour autant faire voler en éclats la cohérence de l'ensemble. le récit traite, sans prendre de pincettes, des thèmes difficiles tels le fanatisme religieux, l'esclavage ou encore la condition féminine, mais toujours dans des tons de gris, où aucun camp n'est tout blanc ou tout noir. le quatuor de personnages, aux caractères bien trempés, est très attachant et leurs interactions deviennent au fur et à mesure la force motrice narrative du récit. La plume de l'auteur est raffinée et fluide, ce qui est un atout non négligeable car l'action est menée tambour battant, avec tout de même quelques moments de répit tout aussi intéressants.
Une belle découverte que je ne peux que vous enjoindre à expérimenter à votre tour !
C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Maura et ses compagnons avec ce second et dernier tome de Calame.
Le conteur D'Arterac poursuit sa quête de vérité, en interrogeant Maura, mais également d’autres témoins, ce qui permet au lecteur d’avoir une vue d’ensemble plus contrastée des évènements et forces en présence. Ce second tome accentue encore la richesse apportée par les personnages tantôt nuancés (Darran), tantôt avec de fortes personnalités (La Beste), et suivant une évolution (Maura...).
Le premier tome avait déjà exploité – entre autres - les thématiques du droit des femmes et de l’égalité. Ce second volet poursuit cette lancée. Il va même plus loin, un des concepts prédominant le roman étant la liberté sous toutes ses formes.
Il évoque d’ailleurs, de manière détournée, une dimension discrète mais ravageuse de la violence psychologique et de la manipulation.
L'auteur a su manier, avec toujours autant de fluidité, les alternances entre passé et présent. Ce choix d’écriture, sur la forme, permet de créer du rythme et de ménager l’effet des rebondissements et des révélations.
Ce tome Les Deux Royaumes offre un dénouement à la hauteur des attentes créées. J'ai apprécié notamment les choix de l'auteur concernant la fin de certains personnages qui revêt une symbolique particulière et connote le thème du voyage introspectif et/ou de la liberté .
En conclusion, Calame est une lecture agréable, fluide, avec des personnages hauts en couleur. Si la lecture est légère, les thèmes abordés sont profonds, invitant le lecteur à des réflexions sur la vérité et le mythe, sur l’égalité et la liberté, mais également sur l’introspection, ou encore – évidemment – sur le pouvoir généré par les croyances.
Le conteur D'Arterac poursuit sa quête de vérité, en interrogeant Maura, mais également d’autres témoins, ce qui permet au lecteur d’avoir une vue d’ensemble plus contrastée des évènements et forces en présence. Ce second tome accentue encore la richesse apportée par les personnages tantôt nuancés (Darran), tantôt avec de fortes personnalités (La Beste), et suivant une évolution (Maura...).
Le premier tome avait déjà exploité – entre autres - les thématiques du droit des femmes et de l’égalité. Ce second volet poursuit cette lancée. Il va même plus loin, un des concepts prédominant le roman étant la liberté sous toutes ses formes.
Il évoque d’ailleurs, de manière détournée, une dimension discrète mais ravageuse de la violence psychologique et de la manipulation.
L'auteur a su manier, avec toujours autant de fluidité, les alternances entre passé et présent. Ce choix d’écriture, sur la forme, permet de créer du rythme et de ménager l’effet des rebondissements et des révélations.
Ce tome Les Deux Royaumes offre un dénouement à la hauteur des attentes créées. J'ai apprécié notamment les choix de l'auteur concernant la fin de certains personnages qui revêt une symbolique particulière et connote le thème du voyage introspectif et/ou de la liberté .
En conclusion, Calame est une lecture agréable, fluide, avec des personnages hauts en couleur. Si la lecture est légère, les thèmes abordés sont profonds, invitant le lecteur à des réflexions sur la vérité et le mythe, sur l’égalité et la liberté, mais également sur l’introspection, ou encore – évidemment – sur le pouvoir généré par les croyances.
Quel amateur de fantasy n'a jamais entendu parler de Paul Beorn ? Cela fait un moment que je souhaite découvrir ses univers et en particulier Calame. Avant de me lancer dans cette série j'ai fait le choix de commencer par un roman en un seul tome et j'ai jeté mon dévolu sur "Le septième guerrier mage". Et bien j'ai bien fait ! Une fois le roman commencé, impossible de m'en défaire. On s'attache rapidement aux personnages principaux et secondaires et on s'imagine pleinement dans le monde décrit. J'ai trouvé le récit équilibré entre les conflits, les relations entre les personnages et surtout la "double personnalité" de Jal. L'intrigue est bien amenée et le suspense est à son comble jusqu'à la fin ! Une belle découverte qui me motive à poursuivre mes lectures de cet auteur.
Super adaptation du jeu mythique.
C'était amusant de repérer les personnages du loup-garou et j'ai aussi remarqué certains des extensions. On voit bien la voyante qui révèle les cartes, la sorcière qui utilise une potion pour sauver, le chasseur, les amoureux, le loup noir qui choisit les loups, le voleur, la petite fille pas si petite...Mais l'ancien n'utilise pas son " pouvoir dans le jeu ", ni le vagabond...
Certaines carte n'apparaissent pas dans le livre mais c'est déjà bien !
Je trouve que l'aspect policier n'est pas assez important dans l'histoire. L'amitié entre Lune et Lapsa est touchante et j'aime bien l'alternance des personnages même si ça enlève un peu de mystère. Si au début on ne voyait le point de vue de Lapsa, le mystère sur l'identité des loups-garous serait plus grand .
J'ai beaucoup aimé les petite situations entre les chapitres !
La fin annonce une suite mais j'ai peur que l'histoire soit un peu la même si le tome 2 venait à paraître...
Je recommande ! Un joli petit roman à lire rapidement.
C'était amusant de repérer les personnages du loup-garou et j'ai aussi remarqué certains des extensions. On voit bien la voyante qui révèle les cartes, la sorcière qui utilise une potion pour sauver, le chasseur, les amoureux, le loup noir qui choisit les loups, le voleur, la petite fille pas si petite...Mais l'ancien n'utilise pas son " pouvoir dans le jeu ", ni le vagabond...
Certaines carte n'apparaissent pas dans le livre mais c'est déjà bien !
Je trouve que l'aspect policier n'est pas assez important dans l'histoire. L'amitié entre Lune et Lapsa est touchante et j'aime bien l'alternance des personnages même si ça enlève un peu de mystère. Si au début on ne voyait le point de vue de Lapsa, le mystère sur l'identité des loups-garous serait plus grand .
J'ai beaucoup aimé les petite situations entre les chapitres !
La fin annonce une suite mais j'ai peur que l'histoire soit un peu la même si le tome 2 venait à paraître...
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