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Critiques de Posy Simmonds (253)
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Cassandra Darke

La « grande dame de la BD britannique », Posy Simmonds, lauréate du prix « Grand Boum Ville de Blois 2020 », était l’invitée d’honneur de l’édition 2021 et une exposition lui a été consacrée



Après des études de français à la Sorbonne et de dessin à la Central School of Art de Londres, elle devient dessinatrice de presse à partir de 1968 et débute quatre ans plus tard une collaboration avec le célèbre quotidien The Guardian. Elle y crée en 1977 la bande dessinée The Silent Three, satire malicieuse des « intellectuels de gauche », cœur du lectorat du journal, non pas la gauche cachemire, mais plutôt la gauche shetland aime-telle préciser. Elle est également illustratrice de livres pour enfants avant de se lancer dans le roman graphique. Cassandra Darke est le 3ème à son actif après « Gemma Bovery » très librement inspiré du roman de Flaubert et Tamara Drew dans lequel une jeune femme vient semer le trouble dans une communauté d’écrivains librement inspiré de « Far from the madding crowd » de Thomas Hardy tous deux servis à la sauce contemporaine. Si j’ai choisi de vous parler de Cassandra Darke, c’est que ce roman sorti en 2019 prend lui sa source d’inspiration dans le chant de Noël de Dickens. Son héroïne, double féminin de l’affreux Scrooge est à des années lumière des voluptueuses Gemma et Tamara ses deux héroïnes précédentes.

Ce serait plutôt la version british de Tatie Danièle. Cassandra est une riche galeriste et appelons un chat un chat est elle est vieille, moche, grosse et méchante, enfin au début du moins...



L'histoire commence avec une coupure de journal : novembre 2017, le squelette d'une jeune femme a été retrouvé dans un bois.

C’est à Londres, en pleine période de Noël, que débute ce récit, le 21 décembre 2016 pour être plus précise. Et l’on découvre que suite à la découverte des escroqueries commises par Cassandra. Celle-ci se retrouve aux bans de la société. Saut d’un an dans le temps nous voici en décembre 2017 à la veille de Noël. Cassandra découvre dans la salle de bain un revolver ainsi qu’un gant rose, une trousse de maquillage laissés là par Nikki, fille de sa sœur et de son ex-mari qu'elle a hébergé quelque temps un an plus tôt dans son sous-sol. Retour sur les évènements de 2016 et nous voilà embarqués dans un polar noir doté de l’humour décalé et corrosif qu’on connaît à l’autrice jouant sur le contraste entre les 2 personnages féminins mais pas que où il est aussi question de relations amoureuses, de mauvaises rencontres, d’étranges textos menaçants. Posy Simmonds pose ici son regard aiguisé sur le Londres terriblement inégalitaire d’aujourd’hui, le déclassement social, le repli sur soi, le rejet de l’autre ainsi que deux visions totalement antagonistes du féminisme.

Comme à l’accoutumée, elle conjugue avec vituosité, cbande dessinée, pavés de textes reflétant les pensées des personnages ou faisant avance l’action, et illustrations parfois muettes en couleur directe d’une extrême précision et élégance. La désignation de roman graphique prend ici tout son sens.

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Gemma Bovery

Posy Simmonds revisite, en quelque sorte, un grand classique de la littérature française avec brio. Lorsque Gemma, qui nous rappelle Emma, quitte la capitale britannique pour un petit village de Normandie, le destin de ces deux personnages connait quelques similitudes…



Ce roman graphique est un délice. Sa forme est particulière : d’un côté les pensées du narrateur, de l’autre les paroles des personnages. Les textes, nombreux, les dessins légers et doux permettent de se glisser dans une ambiance des plus agréables. Que ce soit d’un côté ou de l’autre de la Manche, l’autrice parvient à créer une atmosphère réaliste des plus saisissantes. De l’appartement londonien à la maison de campagne normande, le lecteur voyage.



Au delà de la forme non conventionnelle et totalement addictive -pour ma part- de cette œuvre, les personnages et leur création, pas tout à fait nouvelle ni totalement inspirée de Flaubert non plus, sont extrêmement bien menés. Posy Simmonds parvient à faire d’un classique une œuvre contemporaine dans laquelle le suspense règne et ce, non sans humour. Entrainé par le narrateur, le lecteur est tenu en haleine par celui-ci ; les deux tournant simultanément les pages des journaux de la jeune femme, antipathique, souvent odieuse.



Une réussite que je conseille aux amateurs de BD, aux curieux et…à tous les autres !
Lien : https://labibliothequedeceli..
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Cassandra Darke

n voilà un beau cadeau d’anniversaire! C’est une BD qui m’a beaucoup plu et intéressée. Déjà parce qu’elle est un peu hybride: oui, c’est une bande dessinée, avec de très beaux dessins mais aussi plus de texte que ce que l’on trouve habituellement. En somme, c’est une BD très littéraire. C’est vraiment une réussite.



L’histoire colle parfaitement à mes goûts. On est presque dans un polar. L’intrigue est simple mais efficace, et tourne autour de la personnalité de Cassandra Darke. C’est le portrait d’une femme dont je ne saurais dire si elle m’a inspiré plus d’antipathie ou de pitié. Cette ambivalence en fait un personnage particulièrement intrigant, complexe et réussi. Son manque d’empathie, sa solitude, ses égarements moraux, tout lui donne une épaisseur que j’ai apprécié découvrir petit à petit au fur et à mesure que l’histoire se déroulait.



Le fait que cela se passe à Noël est un gros plus pour moi. J’adore cette période et ce contexte m’a donné envie d’y être. Il m’a provoqué une certaine mélancolie qui pour moi va de paire avec cette période. Les couleurs des dessins sont atténuées, pâles, pas du tout vives, ce qui nous plonge réellement dans l’ambiance hivernale et son côté sombre. Cela m’a d’autant plus frappée que je venais de lire juste avant une autre BD aux couleurs chatoyantes et lumineuses. Changement de décor complet.



En ce qui concerne le texte, je me suis régalée. C’est bien écrit, sans fioritures mais avec des touches d’humour à l’anglaise (que j’adore) qui donnent à Cassandra Darke un certain charme, puisque c’est elle qui raconte la majeure partie du récit, et qui la rendent un peu plus sympathique, ou du moins un rien plus humaine à certains moments.



Posy Simmonds nous offre le portrait d’une femme singulière, souvent antipathique, mais dont le sort m’a parfois touchée. Sa personnalité est en tout cas suffisamment forte pour que l’on suive avec attention son histoire.
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Literary Life : Scènes de la vie littéraire

Ces chroniques ont paru chaque samedi entre 2002 et 2005 dans The Gardian Review, supplément littéraire du célèbre quotidien britannique.

Une satire sur les écrivains et du milieu littéraire.Des planches aussi justes que drôles qui dressent le portrait de personnages plus vrais que nature avec un humour dévastateur et une franchise déconcertante. Libraires, éditeurs, auteurs, critiques : tout le monde en prend pour son grade

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Cassandra Darke

Cette Bande dessinée est un peu spéciale. Elle alterne des planches découpées et des textes illustrés. Le titre est sans équivoque, le personnage principal est Cassandra Darke, qui est-elle ? Cassandra Drake a 71 ans, elle est marchande d’art à Londres. En 2017, ses escroqueries sont révélées au grand jour : elle vendait des copies de sculptures. De remords, de scrupules, elle n’en a pas parce qu’elle a tendance à se montrer coriace, mauvaise, aigrie et malpolie. Cassandra est plutôt odieuse, elle se fiche de ce qu’on pense d’elle.

Son mari l’a quittée pour sa sœur.

Elle héberge sa nièce sous son appartement, dans sa cave en échange de services .. L’histoire se construit autour d’un fait divers, une rencontre, l’installation de sa nièce et une dispute. Un révolver et un gant retrouvés, une enquête policière , la confrontation des classes sociales, le rythme va s’accélérer pour parvenir à un retournement de situation final.
Lien : https://livresdunjourblog.wo..
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Tamara Drewe

Après « Gemma Bovery », transposition du chef-d’œuvre de Flaubert, Posy Simmonds, cartooniste au quotidien The Guardian, propose « Tamara Drewe », adaptation libre d’un roman de Thomas Hardy (“Loin de la foule déchaînée”).



L’histoire se situe dans la campagne anglaise, au sein d’une retraite pour écrivains. Le lecteur se retrouve donc dans une ambiance champêtre typiquement anglaise, au milieu de personnages initialement liés par la plume, mais qui, au fil des pages, vont mettre à jour des liens beaucoup plus intimes.



Le travail effectué par Posy Simmonds sur les personnages est remarquable. De Beth Hardiman qui soignent ses pensionnaires aux petits oignons à Tamara Drewe, sexy chroniqueuse d’un magasine populaire, en passant par Andy, l’homme à tout faire, et le Dr Glen Larson, un inconditionnel des lieux : les personnages sont admirablement bien développés. Le fil rouge du récit est basé sur les relations intimes et l’infidélité des protagonistes, ainsi que sur l’ennui profond qui rythme le quotidien des jeunes habitants de ce trou perdu de l’Angleterre.



Graphiquement, l’ouvrage se situe entre la bande dessinée et le roman et alterne donc avec maestria des passages de lecture à des séquences dessinées qui renvoient habilement aux textes. Les séquences illustrées reposent sur un trait fin et agréable, ainsi que sur des flashbacks qui se distinguent par une colorisation en bichromie.



Déjà nominé à Angoulême, ce magnifique ouvrage édité chez Denoël Graphic a également reçu le « Grand Prix 2009 de la Critique Bande Dessinée », délivré par l’Association des critiques et journalistes de bande dessinée (ACBD).
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Cassandra Darke

💷 DARKE DE TRIOMPHE 🍵

Cassandra Darke est une vieille bique qui n'aime personne à part son chien !

Misanthrope, râleuse, égoïste, elle a tous les défauts, y compris l'escroquerie. Ok, elle a des circonstances atténuantes, son mari l'a quittée pour sa demi-sœur, il n'empêche ... Elle a tout contre elle pourtant Posy Simmonds finit par nous la rendre attendrissante car lorsque Cassandra découvre un pistolet caché dans son sous-sol par la jeune Nicki , son enquête va l'amener à réviser sa vision du monde et à s'humaniser.

Après Gemma Bovery et Tamara Drewe , 2 formidables romans graphiques, l'auteure porte de nouveau son regard caustique sur la société anglaise et elle n'épargne personne. Des riches indifférents à la misère ambiante, des vieux radins, des jeunes oisifs et incultes en quête de buzz facile sur les réseaux sociaux, tout le monde en prend pour son grade! On ne saurait trop vous conseiller de découvrir cette auteure précieuse et unique ! God save Posy !
Lien : http://dans-la-tete-des-peop..
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Literary Life : Scènes de la vie littéraire

Une bande dessinée cocasse qui aborde tous les métiers des professionnels de la littérature. A savourer sans modération.
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Gemma Bovery

Amoureux de la littérature, vous aurez sûrement reconnu dans ce titre un petit rappel d'un grand classique de la littérature française, Emma Bovary de Gustave Flaubert. Mon amour pour ce roman est tout simplement immense et c'est avec beaucoup de curiosité, que je me suis plongée dans la lecture de cette réécriture.



Alors...Je ne sais pas vraiment ce que j'attendais avec cette BD mais...la désillusion fut rude. Je ne vais pas tourner trente ans autour du pot et créer un suspens inutile, j'ai tout simplement détesté!



En ce qui concerne l'histoire, nous retrouvons Gemma une pauvre Donzelle qui se fait lourder par Patrick et se console dans les bras de Charlie. Ce dernier bonne pâte, est un divorcé dont l'ex femme lui mène la vie dure. D'emblée, rien que de vous résumer l'intrigue, mes poils se hérissent d'horreur. Je n'ai pas du tout accroché à l'histoire que j'ai trouvé ennuyeuse. Les personnages sont antipathiques. Charlie est un benêt qui se laisse manipuler par n'importe qui et Gemma est un véritable monstre d'égoïsme.



Je comprends bien que cette BD est une réécriture et que par conséquent, tout ne peut pas coller parfaitement (sinon ce n'est plus une réécriture). Ce qui m'a le plus dérangé dans tout cela je pense que c'est la forme plus que le fond. Les pages sont remplies d'écriture! La typographie est petite et serrée donnant un effet de densité à la page. Les dessins sont peu présents et ne font qu'agrémenter les pages. Rares sont les planches entières. Pourtant, l'esthétique que j'ai pu entrapercevoir me plaît bien. Les traits plutôt fins, les visages simples et les dégradés de gris auraient pu me séduire si ils n'étaient pas noyés parmi tout ce récit. Et si encore le récit était bien écrit! J'ai trouvé le style fade, brouillon et sans réel attrait.
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Cassandra Darke

Superbe roman graphique, (très) libre adaptation de "Un chant de Noël" de Dickens.
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Cassandra Darke

Cassandra Darke brosse un subtil portrait de femme au soir de sa vie, à l'aube de sa sensibilité.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..
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Cassandra Darke

Un album délicieux, à mi-chemin entre la BD et le roman illustré, porté par des dessins d'une grande élégance. Un succès immense au Royaume-Uni. On comprend pourquoi.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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Cassandra Darke

Un personnage drôle et attachant. L’histoire file, le rythme est soutenu. Dessins classiques dans le trait rappelle certaines bd franco-belge : souci du détail, réalisme du decor.
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Cassandra Darke

Posy Simmonds revisite Dickens avec une louche d’ironie et un zeste de féminisme [...] l’Anglaise pose son regard aiguisé sur le Londres terriblement inégalitaire d’aujourd’hui.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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Literary Life : Scènes de la vie littéraire

Cette BD c'est à la fois super drôle et très flippant pour moi, parce que Posy Simmonds sait croquer à merveilles les problèmes et travers des écrivains et le milieu de l'édition :) Ma page préférée restera celle sur Jane Austen !
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Literary Life : Scènes de la vie littéraire

Je pensais bien m'amuser à lire ces planches dessinées sur la vie littéraire et j'ai été profondément déçue : je n'ai pas ri du tout, même pas pouffé ou ricané ! Si ce n'est pas drôle alors je ne comprends pas l'intérêt de ces chroniques dessinées. Si c'est censé être drôle alors c'est un humour propre à l'auteur ou au moins au monde de l'édition britannique que fréquente cette autrice. Les situations m'ont paru toutes très prévisibles et l'ironie pas vraiment mordante. Une dérision ou/et autodérision au goût de bonbon anglais avec un humour ultra-léger auquel je n' ai pas été sensible du tout.
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Tamara Drewe

Un portrait de micro-société passionnant et acide
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Gemma Bovery

Une bande dessinée qui se lit avec plaisir.
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Literary Life : Scènes de la vie littéraire

Literary Life reprend les chroniques en bande dessinée de Posy Simmonds, publiées entre 2002 et 2005 dans le Guardian Rewiew. L'auteur y met en scène, et égratigne volontiers, le monde de l'édition dans l'ensemble du circuit : de la création littéraire à l'ouvrage dans les mains du lecteur. De l'auteur tiraillé entre sa création et sa vie réelle, au libraire confronté à l'arrivée de colossaux concurrents en passant par les choix difficiles de l'éditeur... Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d'autres mais tous ont un dénominateur commun : chacun y prend pour son grade.



Parmi les angles de vue proposés par l'auteur, certains personnages sont présents de manière récurrente, créant ainsi de mini-séries, comme le Docteur Derek et son infirmière, très plaisantes à retrouver. Dans un autre registre, le quotidien de la petite librairie indépendante a beaucoup plu à la lectrice que je suis, mettant en avant une existence parfois bien compliquée. J'ai également apprécié la présence de quelques figures bien connues en guest star, comme Pierre Lapin de Beatrix Potter ou l'univers d'Harry Potter.



Un seul bémol : j'aime beaucoup le format choisi, plus grand qu'une édition de poche mais dans le cas présent, il ne donne pas à cette bande dessinée toute l'ampleur qu'elle mériterait et implique par là-même de tout petits caractères parfois difficiles à déchiffrer.





Le propos est drôle, cynique; le trait est vif et nerveux. La lecture n'en est que plus savoureuse. J'ai trouvé certains passages très drôles, d'autres sont tombés un peu à plat et n'ont pas trouvé d'écho en moi. Un trop grand décalage entre ma réalité et celle évoquée par l'auteur sans doute : il est évident que l'auteur connaît bien son sujet et par conséquent, son décryptage est quelquefois trop pointu. C'est un peu dommage mais dans l'ensemble, je garderai de cette lecture une bonne impression : celle d'une plongée dans l'univers du livre intéressante et drôle.
Lien : http://nahe-lit.blogspot.be/..
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Literary Life : Scènes de la vie littéraire

Avec ces planches écrites au départ pour le supplément littéraire du Guardian entre 2002 et 2005, Posy Simmonds, célèbre pour ses romans graphiques Gemma Bovery et Tamara Drewe tous deux adaptés au cinéma, signe ici une centaine de scénettes ayant pour thème la vie littéraire anglaise.



Des planches douces-amères, tantôt très drôles, tantôt très cyniques sur le monde du livre. Libraires, éditeurs, auteurs, critiques, concept-stores, lecteurs, salons du livre… : tout le monde en prend ici pour son grade.



Et si Posy Simmonds nous donne à lire ce qui se passe de l’autre côté du Channel, toutes ces tranches de vie ressemblent pourtant trait pour trait au monde littéraire français, tout du moins de ce que j’ai pu en lire dans Sous les couvertures, le très bon roman de Bertrand Guillot qui porte sur le même thème.



Sous le trait de Posy Simmonds reviennent quelques personnages récurrents comme Rick Raker agent spécial flingueur de réputation littéraire, le docteur Derek Troutley et son infirmière Nurse Tozer, pourfendeurs de platitudes, les employés d’une libraire de quartier face à la concurrence de la fnac anglaise qui vient tout juste de s’installer… ce que je trouve bien vu, c’est agréable dans ce concept de one-page de pouvoir retrouver des visages familiers.



Les dessins sont en noir et blanc, à l’exception de quelques planches en couleur, à l’image de la couverture et ce n’est pas ce qui m’a séduit le plus je dois dire, le trait de Posy Simmonds ne m’emballe pas plus que ça. Les personnages quant à eux sont plutôt bien croqués mais le texte est souvent confus.



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Lien : https://deslivresdeslivres.w..
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