Citations de Rachel Hausfater (229)
Ne remets pas à demain ce que tu peux faire le jour même
Le contraire du désespoir, ce n’est pas l’espoir. C’est la lutte.
Pour ça il faut des armes, et il n’y en a pas. Il faut aller en chercher hors du ghetto, en acheter aux Polonais qui ne veulent pas nous aider. Alors on envoie des combattants de l’autre côté, chercher, supplier, exhorter, négocier. Et puis des messagers qui font l’aller-retour, pour passer les courriers, les provisions, les pistolets.
Pour les Allemands nous ne mourons pas assez ni assez vite, ils veulent plus de morts, ils nous veulent tous morts.
Ils ont fermé nos rues, arrêté tout le monde, nous ont forcés à marcher vers l’Umschlagplatz, nous ont embarqués, entassés dans des wagons à bestiaux. Ils avaient tant d’armes, et nous que nos mains nues ! Comment leur résister ? Et les petits enfants ? Et puis peut-être qu’au bout il y avait, qui sait, encore un peu de jours, encore un peu de vie…
Mais ils nous ont déportés dans des camps de mort, noirs, où ils nous ont gazés, brûlés, assassinés. Où ils nous ont par millions massacrés.
ce livre est juste magnifique
j'ai pleurer
il est tellement émouvant
je l'adore et le recommande fortement
il est petit serte mais magique
- Je dois les attendre seul.
- Tu crois ? Tu ne veux pas que j'attende avec toi ?
- Tu as assez attendu. Il faut partir, maintenant.
- Mais Gramps, je ne veux pas t'abandonner !
Il me regarde alors, avec une telle tendresse dans ses yeux mouillés que j'en ai le cœur qui se brise, et s'écrie :
- Va - t'en, Madeleine, sauve - toi !
Et, doucement, il me repousse loin de lui.
- Je dois les attendre seul.
- Tu crois ? Tu ne veux pas que j'attende avec toi ?
- Tu as assez attendu. Il faut partir, maintenant.
- Mais Gramps, je ne veux pas t'abandonner !
Il me regarde alors, avec une telle tendresse dans ses yeux mouillés que j'en ai le cœur qui se brise, et s'écrie :
- Va - t'en, Madeleine, sauve - toi !
Et, doucement, il me repousse loin de lui.
Je demande s'il y a quelqu'un parce que souvent il n'y a personne. En fait, il n'y a jamais personne
"Mais là il y a toi.
Que toi.
Mon Aimé.
Mon bébé."
Chapitre 9
Moi, le vieil enfant, je ne sais plus pleurer. Et je n'ai que onze ans...
Mais en vrai j'ai cents ans.
Ou bien je suis mort-vivant.
Car j'ai tout oublié, des larmes et des rires, des jeux et de la vie.
ça commence maintenant. Parce que avant, ce qu'il y avait avant, ce qu'on etait avant et ce que l'on faisait, ça n'existe pas....
ça commence maintenant. Parce que avant, ce qu'il y avait avant, ce qu'on etait avant et ce que l'on faisait, ça n'existe pas....
p123 Mais, merde, Sacha! Ça veut dire quoi ça ? Je pensais pourtant qu'au point où nous en sommes tu pouvais tout me dire ! Qu'on se disait tout ! Je te sers à quoi alors ? Juste à recueillir tes larmes ? J'en ai marre, Sacha!
Non ! C'est horrible ! Ce n'est plus moi ! J'avais tant de projets, tant de rêves... Je voulais passer mon bac, devenir avocate, vivre en Amérique ! Pas être grosse, p. 31
Je ne suis pas Y moi ! Je suis son père !
j'ai aimé ce livre car il y a de l'humour et du suspense mais je n'ai pas aimé quand il y a une de la peur et de tristesse .
j ai aime dans l ensemble mais j aurai aime savoir si Sacha va retrouver sa mère ou pas et comment va t il réagir et elle et son père???????
Elle dort mais moi je guette p.23
L'aimer était si simple
c'était une évidence.
Il était dans ma vie et ça me suffisait.
Courir si vite que je sèmerais mes peurs.
Vivre si fort que se taira la douleur.
Aimer à pleines mains et oublier le seul.
Bonjour qui peut m'inventer en 10 lignes la rencontre de sacha et sa mere svp. a m'envoyer a cette adresse mail andy.deste@laposte.net
Sacha, un jeune collégien, envoie des mails à des inconnus (Destinataire imaginaires), au bout de 3 tentatives, il reçoit un message d'une personne se prénommant Macha disant qu'il y avait bien quelqu'un.
Sacha, surpris, répondit à son tour le jour suivant. Ils échangèrent pendant pratiquement 4 mois et demi, en faisant petit à petit connaissance de ce qu'il font habituellement malgré qu'ils ne se soient jamais vu. Sachant à peu près à quoi ils ressemblaient, sans le vouloir ils se sont aperçus à une gare en se reconnaissant sans plus. On a apprécier ce livre, il est facile à lire et les fais sont tiré d'un fais réelle.
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