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Critiques de Régine Pernoud (120)
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Villa Paradis

Retour sur les pas d'une enfance de soleil et de douceurs bercés par les moments de vie des uns et des autres dans une province encore pleine d'une humanité chaleureuse et familiale.



Dans un style rappelant les décors d'une région pleine de ses parfums et de cette intimité qui fait sa richesse, le lecteur s'en va à la rencontre de tout un chacun au rythme des chapitres s'égrenant.

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La Femme au temps des cathédrales

le moyen âge vu autrement que par les poncifs erronés de certains cours d'histoire.

le féminisme où comment trouver sa place dans des temps parfois voués aux seuls vertus masculines
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Pour en finir avec le Moyen Age

Un livre qui n'apprend pas grand choses sur le moyen âges, puisqu'il parle surtout de la mauvaise manière dont il est enseigné et comment il devrait l'êtres. Sachant que ce livre date des années 1970 cela rend l'intéret de la lecture très faible. Mon conseil passez votre chemin.
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Aliénor d'Aquitaine

Bonjour,



Aliénor d'Aquitaine, un bon ouvrage de vulgarisation sur la France du XIIème siècle et le destin exceptionnel de la duchesse d'Aquitaine.



De qui est-elle la fille, comment son père la marie au fils de Charles VI le gros, Louis VII le pieux. Les circonstances et les motifs de l'annulation de son mariage, à l'origine de l'hostilité entre l'Angleterre et la France.



J'ai lu cet ouvrage avant l'âge de 20 ans et cela faisait écho à la série des Rois Maudits écrite par Maurice Druon. Ce fut pour moi à l'origine d'une vraie passion pour le moyen-âge d'avant la peste et la seconde guerre de 100 ans, la France des cathédrales et de Saint-Louis.
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La Femme au temps des cathédrales

Pour tout vous dire, il ne m'a pas emballé...Bien que très documenté et bien écrit ,pas dans un style académique mais compréhensible par tous, il n'y a pas eu ce petit plus qui m'a conquis...
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Lumière du Moyen Age

Je sais que Régine Pernoud est une grande spécialiste de ces siècles obscurs qui ont précédé la Renaissance et découvrir son approche dans son essai : "Lumière du Moyen Age" a été un véritable plaisir et un enrichissement personnel.

J'ai apprécié tout particulièrement son chapitre destiné aux Lettres où elle dit elle-même que "malgré le grand nombre de travaux modernes consacrés à la littérature médiévale, nous ne sommes pas encore parvenus à nous en faire une idée juste, et à l'apprécier comme elle le mériterait. Elle reste une curiosité d'érudit, ou, ce qui est plus dangereux, sert de prétexte à des évocations assez artificielles".

Heureusement Régine Pernoud est là qui, avec beaucoup de citations et de références historiques, nous fait aimer "ces temps qu'on appelle obscurs" (une citation de Miguel de Unamuno).

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Les hommes de la Croisade

Dans Les Hommes de la Croisade, Régine Pernoud revient sur ces hommes qui vécurent aux XIe, XIIe et XIIIe siècles les aventures des croisades en Palestine. Elle analyse la dynamique mentale extraordinaire qui conduisit des rois, des pauvres, des barons, des chevaliers, des clercs, des marchands à se rendre ensemble en Palestine. Le but déclaré est de reprendre Jérusalem aux hérétiques Sarrazins, pour une faire une véritable base chrétienne au Proche-Orient. Habités par une ferveur religieuse authentique, incarnée par la figure charismatique de Pierre l’Ermite, chevaliers et hommes de l’occident, que l’on appelle alors les Francs, débarquent ainsi à l’autre bout de la Méditerranée et fondent le royaume de Jérusalem et autres comté de Tripoli, principauté d’Antioche, comté d’Édesse ou royaume de Petite Arménie, autant de territoires qui étendent le champ d’influence de la chrétienté à l’est d’un empire byzantin en complète déliquescence. Pendant deux siècles les croisés tentent de coloniser ces territoires hostiles tout en organisant sa défense au moyen d’un réseau étendu de forteresses, dont la plus fameuse est sans doute le Krak des Chevaliers, construit à l’ouest de la Syrie et inscrit depuis 2006 sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO. En face d’eux se dresse le monde arabo-musulman, avec ses logiques idéologiques et géostratégiques souvent - bien que non systématiquement - opposées. Utilisée aujourd’hui à tort et à travers, la notion de « choc des civilisations » prend à cette époque tout son sens. La découverte de l’inconnu et de l’étranger, éprouvée aussi bien par les croisés que les Sarrazins, s’écrit malheureusement à la couleur du sang versé au cours d’affrontements aussi meurtriers que récurrents. Les conditions climatiques sont souvent extrêmes, et ne font qu’ajouter à [...]
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Lumière du Moyen Age

Une autre vision du Moyen-Age.
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La Reine Blanche

Très intéressant ; mais la lecture est assez ardue. En effet, il ne s'agit pas vraiment d'un roman, même si Régine Pernoud tente d'intégrer toutes les sources historiques et littéraires dans une forme légèrement similaire. La vie de la Reine Blanche est passionnante - peut-être un peu moins que celle d'Alienor d'Aquitaine - mais tout de même,... La vie des femmes de l'époque, et surtout celle des femmes de pouvoir, n'était pas de tout repos. Il ne faut pas croire qu'elles passaient leur temps à la fenêtre d'une tour, à filer et bavarder, non. Elles devaient conseiller leur Roi et mari, s'occuper de la régence de leur fils, s'occuper de l'éducation des enfants, de leurs futurs mariages, des crises, des barons traîtres,... une vie bien remplie !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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La Femme au temps des cathédrales

Etude systématique menée à travers une multitude d'exemples concrets, elle ne laisse échapper aucun aspect des activités féminines au cours de la période féodale et médiévale : administration des biens, métiers et commerce ; domaine de la pensée, de la littérature, de la politique même ; femmes écrivains, éducatrices, suzeraines, celles qui animèrent les cours d'amour et celles qui ont inspiré les romans de chevalerie.



Quatrième de couverture

Régine Pernoud a écrit La Femme au temps des Cathédrales comme une protestation contre le sort fait aux femmes depuis des siècles. En fine médiéviste, elle a su repérer dans l'histoire les personnages de premier plan : reines, saintes, savantes, qui illuminèrent leur époque.



Avant Jeanne d'Arc et Catherine de Sienne, des personnalités comme Aliénor d'Aquitaine, Héloïse, Dhuoda, Bathilde ou encore Clotilde ont laissé leur empreinte dans la légende des siècles. Ce livre pionnier a rouvert leurs dossiers et provoqué les historiens.



À travers une multitude d'exemples, Régine Pernoud raconte aussi le quotidien des femmes de toutes conditions au Moyen Âge : les métiers, le commerce, les arts, la politique, la vie amoureuse et conjugale. Elle rend hommage à celles qui inspirèrent nombre de romans de chevalerie et d'amour.
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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Aliénor d'Aquitaine

Si le style un peu daté m'a pesé au début, j'ai fini par me laisser emporter par la vie incroyable d'Aliénor d'Aquitaine. Entre croisades en terre sainte, mariage et re-mariage, alliances et couronnements, sa (longue) vie fascine. On reste décontenancé également par ce que vivre au XIIème siècle voulait dire même pour les puissants de l'époque, vulnérables au moindre accident, belliqueux, rancuniers, avides de pouvoir, religieux voire superstitieux... Une bonne lecture !
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Richard Coeur de Lion

A une époque où je ne lisais pas plus qu’un livre tous les cinq ans, j’avais dévoré cette biographie du Roi d’Angleterre le plus connu, du moins le plus intrépide.

Je me faisais donc une joie de rouvrir ce recueil d’épopées moyenâgeuses, de complots et manigances pour conquérir le pouvoir et le garder par une suite de mariages arrangés, de traités où les comtés changeaient de seigneur, les châteaux passant de main en main.

Effectivement, j’ai retrouvé ces combines qui m’avaient grandement surpris à l’époque. Peu féru d’Histoire, je pensais que le moyen âge était une période barbare où chaque différent se réglait l’épée à la main dans un bain de sang. En réalité, la chose politique était largement aussi répandue que maintenant. A chaque traité de paix s’accompagnait un mariage princier.

Bien sûr, il y a ces batailles épiques, des rapprochements, des trahisons. Mais on s’y perd vite dans les personnages comme lorsqu’on se retrouve invité dans une soirée où l’on ne connait quasiment personne. Régine Pernoud prend un malin plaisir à énumérer ducs, comtes, barons, seigneurs de tout poil sans parler de la description trop lourde du couronnement du Roi. Quel ennui!

Peut-être aurait-il fallu se recentrer sur quelques épisodes significatifs de la vie de Richard, quitte à passer sous ombre chaque pas de sa Majesté. Après tout, personne n’ira vérifier l’exhaustivité des chapitres.

Car justement, le récit de la croisade est tout bonnement un régal. Les péripéties du retour ne le sont pas moins et on aurait aimé que l’auteur prenne davantage de libertés avec l’Histoire pour se focaliser sur cette expédition qui vaut parfois quelques pages d’Homère. Tout concourt à faire de la vie de Richard un vrai roman d’épopée. Jusqu’à sa mort, d’une bêtise affligeante, qui lui garanti la renommée de ceux qui ne permettent pas au temps de les flétrir.

Régine Pernoud n’hésite pas à citer les commentateurs de l’époque, troubadours et poètes, qui émaillent de leur verve moyenâgeuse les faits et gestes du Lion.

Mais, bien vite, le naturel revient au triple galop et on se perd à nouveau dans trop de personnages, une chronologie indigeste qui noie tout se qui se doit d’être épique en ces temps de chevaliers et l’importance de la parole donnée. Dommage.

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Hildegarde de Bingen

Copie 4ème de couv : Née en 1098 à Bermersheim, morte en 1179 à Rupertsberg, Hildegarde de Bingen, religieuse allemande du XIIe siècle, fut à la fois musicienne, auteure de soixante-dix sept symphonies, et surtout écrivain, dont ses trois grands livres de visions qui fascinèrent son époque. Son œuvre nous parle de la place de l’homme dans le cosmos, de respect de l'environnement, de diététique,de guérison.

Elle reste inconnue jusqu'à l'âge de quarante ans, cloîtrée dans son couvent des bords du Rhin. Puiselle transcrit ses visions qui l'habitent depuis l'enfance. Très vite, le livre soulève passions et controverses dans l'Europe entière, avant d'obtenir l'approbation du souverain pontife, des évêques et de Bernard de Clairvaux. Dès lors, pour Hildegarde, se profile un destin extraordinaire. Ses prêches résonnent dans les cathédrales de Trèves, Cologne, Mayence. Par milliers, les gens la sollicitent, les plus hautes autorités la consultent, du comte de Flandre à l'empereur Frédéric Barberousse. C'est l'époque où les papes eux-mêmes savent demander conseil à une simple moniale.

Mystique, illuminée, possédée par la croyance en Dieu. L’illustration de ses visions est bien sûr totalement irrationnelle pour moi ! Par ailleurs, le livre est assez rébarbatif à lire, pourtant j'ai lutté, mais abandonné au dernier chapitre !


Lien : https://www.babelio.com/conf..
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Saint-Louis et le crépuscule de la féodalité

Excellent ouvrage comme sait les écrire Régine Pernoud, qui sait mettre en perspective les événements pour montrer l’évolution du monde. On retrouve sa conviction que le moye-age n’était pas un âge sombre et que la femme y avait toute sa place. On peut regretter l’impasse faite sur la part d’ombre du roi au profit du saint adulé par le peuple sans allusion à l’objet politique de sa canonisation .

Mais cela reste passionnant.
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Les Templiers

Un "Que sais-je" qu'il faut aborder avec un minimum de connaissance sur l'ordre du temple et son époque. La prose typique de Régine Pernoud est formidable.
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Aliénor d'Aquitaine

Passionnant...

Ecrit comme un roman d'aventure, le livre nous fait découvrir une époque historique et une femme hors du commun.

Régine Pernoud a un véritable don pour nous faire partager simplement cette période de l'histoire de France.
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Aliénor d'Aquitaine

Très bon livre sur cette reine française et anglaise hors du commun!!
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Jeanne et Thérèse

Un étonnant dialogue entre Jeanne d'Arc et Thérèse de Lisieux, au cours d'un procès fictif, au cours duquel la "foi du charbonnier" et la "foi scientifique" se retrouvent dans l'Amour.
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Jeanne d'Arc

J'ai abandonné.

Ce livre est très certainement bien fait, dans le sens où il cherche à relatera avec exactitude la vie de Jeanne d'Arc, sur fond de témoignages divers, mais cela rend l'ouvrage vraiment très répétitif... Dommage.
Lien : http://readviewed.skyrock.co..
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Aliénor d'Aquitaine

Aliénor d’Aquitaine (dite également Éléonore de Guyenne), née en 1122 ou 1124 et morte le 31 mars ou le 1er avril 1204, à Poitiers, est une reine de France, puis d’Angleterre.



Duchesse d’Aquitaine, elle occupe une place centrale dans les relations entre les royaumes de France et d’Angleterre au XIIe siècle : elle épouse successivement le roi de France Louis VII, puis le futur roi d’Angleterre, Henri II, renversant le rapport des forces en apportant ses possessions à l’un puis à l’autre des deux souverains.



En tenant une cour fastueuse sur ses terres d'Aquitaine, elle favorise l'expression poétique des troubadours en langue d'oc. À la fin de sa vie, elle joue un rôle politique important dans l’Occident.



Aliénor d'Aquitaine est la fille aînée de Guillaume X, duc d’Aquitaine, lui-même fils de Guillaume IX le Troubadour, et d’Aénor de Châtellerault, fille de Aymeric Ier de Châtellerault, un des vassaux de Guillaume X.

Aliénor, « l'autre Aénor » en langue d'oc, est ainsi nommée en référence à sa mère Aénor. Le prénom devient Éléanor en langue d'oïl.



Elle reçoit l'éducation soignée d'une femme noble de son époque à la cour d’Aquitaine, l’une des plus raffinées du XIIe siècle, celle qui voit naître l’amour courtois (le fin amor), entre les différentes résidences des ducs d’Aquitaine : Poitiers, Bordeaux, le château de Belin où elle serait née, soit encore dans un monastère féminin[5]. Elle apprend le latin, la musique et la littérature, mais aussi à monter à cheval et à chasser.



Elle devient l’héritière du duché d'Aquitaine à la mort de son frère Guillaume Aigret, en 1130[6]. Lors de son quatorzième anniversaire (1136), les seigneurs d’Aquitaine lui jurent fidélité.



Son père meurt à trente-huit ans (1137), le Vendredi saint lors d’un pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle.



Elle épouse alors l’héritier du roi de France Louis VI, le futur Louis VII.



Deux versions sur la conclusion de ces noces sont possibles :



soit, craignant que sa fille soit enlevée (et épousée) par un de ses vassaux ou de ses voisins, le duc Guillaume avait proposé au roi de France, avant de mourir, d’unir leurs héritiers.



Soit le roi fait jouer la tutelle féodale que le suzerain détient sur l'orpheline héritière d'un de ses vassaux, et la marie à son fils .



Le domaine royal s'accroît de ces terres entre Loire et Pyrénées ; mais le duché d’Aquitaine n’est pas rattaché à la Couronne, Aliénor en reste la duchesse. L'éventuel fils aîné du couple sera titré roi de France et duc d’Aquitaine, la fusion entre les deux domaines ne devant intervenir qu’une génération plus tard.



Les noces ont lieu le 25 juillet 1137 à Bordeaux entre Aliénor et le futur roi de France Louis VII. Comme de coutume, les festivités de mariage durent plusieurs jours, au palais de l’Ombrière à proximité de Bordeaux, et se répètent tout au long du voyage vers Paris. La nuit de noces a lieu au château de Taillebourg, et les époux sont couronnés ducs d’Aquitaine à la cathédrale Saint-Pierre de Poitiers (aujourd’hui remplacée par une cathédrale gothique) le 8 août.



Ils apprennent la mort du roi Louis VI quelques jours plus tard, pendant leur voyage.



source : wikipédia
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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