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Critiques de Robin Cook (II) (94)
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J'étais Dora Suarez

Dora Suarez est une jeune prostituée littéralement massacrée. L'amie qui l'héberge est elle aussi victime du tueur, lequel abat enfin, la même nuit, le propriétaire d'un club sulfureux. Le policier, qui reste anonyme tout le long du roman, mène l'enquête et fait rapidement le lien entre les trois assassinats. Et c'est grâce à ses contacts avec la presse, ainsi que la pègre, qu'il retrouve la trace du meurtrier pour rendre la justice à sa façon.



Ainsi présentée l'intrigue de J'étais Dora Suarez peut paraître simpliste. Mais ce serait oublier que son propos principal est ailleurs, plus précisément dans l'humanisme de son personnage principal. Car le policier est doté d'une véritable empathie pour Dora Suarez, parvenant presque à la faire revivre dans ses pensées intimes torturées. A contrario, la quête du meurtrier se transforme en une véritable descente dans les enfers de l'âme humaine, vivant littéralement le mal qu'il incarne de l'intérieur.



Rarement roman n'a été aussi noir. Mais rarement aussi la sensibilité d'un personnage n'a été aussi exacerbée et rendue comme telle par un écrivain. Cela explique bien sûr le sous-titre du roman (Un roman en deuil), mais aussi le fait que le lecteur le referme marqué à jamais par cette lecture.
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Il est mort les yeux ouverts

Ce vieux raté, assassiné comme un clochard dans les faubourg de londres,et qui avait raconté sa vie triste et passionnée sur des cassettes,pourqoui me fascinait-il ?nous compagnons de misére dans notre mal d'amour;dans notre mal de vivre.
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J'étais Dora Suarez

Un des romans les plus sombres qu'il m'ait été donné de lire!



Cela commence par un meurtre à la hache suivi de cannibalisme, et cela ne retombe pas jusqu'à la fin. Robin Cook réussit très bien à évoquer les démons de son enquêteur à nous faire entrer dans la tête de son tueur en série. Son style sec accroît encore la brutalité du récit.



Âmes sensibles s'abstenir.
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Les mois d'avril sont meurtriers

Tout commence par un crime...gratiné n'est pas le mot, puisque le cadavre a été cuit. Bouilli. Découpé de façon professionnelle. Puis réparti en 4 sacs plastiques bien refermés par des agrafes.

Sur les traces du psychopathe capable d'un tel crime, le narrateur : un flic atypique, sergent, refusant mordicus de monter en grade pour ne pas quitter la section des morts non élucidées. Passé lourd puisqu'une mort, élucidée celle-là, le hante : celle de sa fille victime de la folie de son ex-épouse.

Peu de tueurs sont capables de mettre en scène un tel tableau macabre et notre flic repère rapidement un profil compatible. Reste à élucider les tenants et aboutissants de l'affaire, qui risque fort de remonter très haut et de bousculer certains intouchables au passé peu glorieux



Livre de fond de PAL, acheté par erreur du fait d'une homonymie : je croyais avoir affaire à Robin Cook, l'auteur de thrillers médicaux et si le titre m'avait paru bien long par rapport à ceux que cet auteur utilise habituellement, la lecture des premières pages m'a vite fait prendre conscience de ma bévue.



Ma déception fut de courte durée car on se plonge dans un bon roman noir, avec des méchants bien trop méchants pour que leur passé les excuse et des gentils qui n'ont pas toujours vécu dans l'allégresse non plus. L'intrigue se tient même si l'on a pas à deviner qui, mais plutôt pourquoi et comment. Le personnage du flic atypique est toujours un plus dans ce type de roman. Pourquoi pas explorer les autres publications de cet auteur


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J'étais Dora Suarez

Noir, c'est noir... La narration est originale, alternant la troisième personne (surtout au début et à la fin) quand il s'agit du point de vue du tueur, et la première personne pour le point de vue du policier, qui reste sans nom tout au long du récit. Ce policier est un vrai écorché, sa femme avait sombré dans la folie et assassiné leur fille de neuf ans. Il mène l'enquête à sa façon, presque seul, il n'accepte l'aide que de l'enquêteur chargé du meurtre de Roanna. Où l'on touche de près la corruption de la police, mais notre enquêteur ne se laisse pas acheter, et la contamination criminelle de filles pour satisfaire de riches atteints (et le sachant) du SIDA.
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Le soleil qui s'éteint

En réalité, il n'y a quasiment aucune action directe, seulement des faits passés dont on se souvient amèrement et/ou des souvenirs relatés par les différents personnages.



Le dernier chapitre est le seul, à mes yeux, à être interessant car déroutant : l'auteur relie les personnages entre eux et tisse une toile sur fond de fraude à l'héritage du protégé et vengeance personnelle... Les dernières pages sont également à retenir, où le héros refuse l'argent sale qu'on lui propose contre son silence et qu'une bombe explose non loin de lui dans la rue, le renvoyant auprès de son Helen qui lui manquait tant.



En bref, un roman qui traîne en longueur pour un dénouement réussi mais qui se fait largement attendre !



A noter : la touche de poésie de la dernière phrase.
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J'étais Dora Suarez

Roman policier écrit dans un style très direct, on a un peu l'impression de prendre des coups tout du long de l'enquête qui va nous conduire sur les traces de l'assassin de Dora Suarez et de ceux qui ont ruiné sa vie. Une histoire à la fois cruelle et poignante qu'il est difficile de lâcher avant la fin.
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Les mois d'avril sont meurtriers

Un régal !!
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Comment vivent les morts

L’enquêteur anonyme du A14, quitte son bureau de l’Usine, la voix lui a donné l’ordre d’élucider la disparition d’une femme, disparition que personne n’a signalée, mais qui est remontée jusqu’au Chief Constable. Il part sans attendre, seul, et remonte avec patience, avec acharnement, le fil nauséabond de la corruption, du chantage, et du malheur.

Grinçant dans ses premières pages, le grincement de Comment vivent les morts s’accentue jusqu’à devenir une dissonance insupportable. Le sergent, personnage de Robin Cook, est en dehors de tout circuit, ne répond de ses actes qu’à lui seul, agresse chacun, plus désespéré que jamais, autodestructeur.

Si le ton, les situations, les personnages et leurs attributs peuvent sembler être le résultat d’une distance ironique, cette impression se dissipe avec la rencontre de l’enquêteur et de Dick Sanders.



« J’empoignai Sanders et le retournai. Je regrettai à présent d’avoir fait ça et de l’avoir frappé avec le râteau. Je sentis que tous, sans exception, nous commettons un tas d’erreurs, que nous le savons, et que pourtant nous devons vivre malgré tout. Il serait préférable d’être stupide, ou peut-être fou. C’est la faculté de savoir qui cause le vrai martyre de l’existence : nous serions tous plus honnêtes sans la connaissance, et certaines personnes le sont encore. Oui, à présent, je regrettais vraiment beaucoup ce que j’avais fait à Sanders, et je savais que le coup que je lui avais porté était l’expression de mon propre désespoir. Cependant, j’étais comme dans une galerie de miroirs : j’avais un travail à faire, et à faire vite dans le temps qui m’était imparti, et j’étais perturbé par les Mardy, aussi perturbé que je pouvais l’être, vu que je suis moi-même éternellement perturbé. Je m’aperçus que j’avais sur moi trois Kleenex et je m’en servis pour essuyer le sang que j’avais fait couler sur le visage de Sanders. Je trouvai de l’eau dans un seau pour nettoyer l’énorme ecchymose que je lui avais faite au visage ».



A partir de là, aucune confusion possible, il s’agit bien du désespoir qui réside en l’auteur, au travers de son personnage et de situations dont le potentiel comique, ironique, satirique est perçu sous son aspect le plus sombre.



Le personnage principal est perturbé, le roman est perturbant. Il laisse l’écho d’un grincement de craie sur un tableau noir.
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Quelque chose de pourri au royaume d'Anglet..

Quand Robin Cook (LE Robin Cook) aborde le thème de la dictature, personne n'en ressort indemne. Dans ce roman des années septante, il pose le décor d'une Angleterre plongée dans le chaos par un dictateur contre lequelle l'Ecosse et le Pays de Galle se sont révoltés en devenant indépendants. Le personnage principal est un ancien journaliste politique qui s'est acharné contre le gouvernement en place et s'est exilé en Italie où il mène une existence de paysan jusqu'au jour où il est déporté avec sa compagne en Angleterre.

Un roman absolument incroyable qui pousse à la réflexion tout en nous emmenant dans les tréfonds de l'horreur et de la détresse humaine.

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Cauchemar dans la rue

Kléber est flic au commissariat du boulevard Sébastopol, à Paris.

Un excellent flic mais qui ne supporte pas les bassesses et le manque de savoir faire de ses collègues. Un flic qui a pour meilleur ami, depuis son enfance, un truand notoire. Et qui vit, comble de tout, un amour sans bornes avec Elenya, une ancienne prostituée d’origine polonaise qu’il a sortie de la rue.

Mais un beau jour, Kléber va tabasser un de ses collègues qui l’avait provoqué. Il sera mis alors « à pied » et commencera pour lui le début d’un véritable cauchemar.

Robin Cook nous plonge une fois encore dans la noirceur de l’humanité, mettant en place une histoire simple, dans les rues parisiennes, et nous dévoilant les tourments d’un personnage qui n’a que peu de foi en l’homme. Rien de très réjouissant dans cette descente aux enfers sinon un amour immense qui ronge Kléber et qu’il aimerait vivre en paix.

Le héros ne cesse de réfléchir à ce monde qui l’entoure, un monde qui le dégoûte la plupart du temps, et contre lequel il ne peut s’empêcher de frotter son extrême sensibilité.

Et que l’on se rassure, c’est bel et bien ce monde pourri qui aura le dernier mot.
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J'étais Dora Suarez

Comme le laisse présager la 4ème de couverture, on descend au plus profond de la noirceur. L’écrivain vous plonge dès les premières lignes dans une atmosphère qui vous met mal à l’aise. La découverte du cadavre par le policier est difficilement supportable. Ce dernier est avec infecte ses collègues, seule son enquête compte. Son attachement à la victime Dora Suarez est ambigüe et malsaine. Cela renforce le côté sordide du roman. Tout est vraiment pourri au royaume d’Angleterre. Un roman coup de poing qui vous laisse k.o. un bon bout de temps.
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J'étais Dora Suarez

I was Dora Suarez


Traduction : Jean-Paul Gratias





Le sous-titre de "J'étais Dora Suarez" est "Un roman en deuil." De fait, c'est un roman épouvantable qui distille à chaque page la tristesse et le désespoir.


Certes, ce n'est pas le premier roman, noir ou pas, qui fonde son intrigue sur les abîmes que peut atteindre l'instinct sexuel lorsqu'il ne trouve pas à se satisfaire. Ce n'est pas non plus la première fois que le lecteur se trouve confronté à un personnage de flic franc-tireur, qui hait sa hiérarchie mais que celle-ci garde sous le coude parce qu'elle a besoin de lui pour certains "coups durs."


Mais en parallèle, c'est un roman noir complètement fantasmatique puisqu'on peut l'interpréter comme un cauchemar poisseux de sang et de sperme, mais un cauchemar qui ne pouvait naître que dans un cerveau masculin. Ecrit à la première personne - ce qui, selon Maurice-Edgar Endrèbe, n'est pas toujours la solution idéale pour éviter toutes les invraisemblances - le livre conte en principe l'enquête menée par un officier de police britannique qui, question caractère, mêle celui de Rick Hunter à celui d'un Hiéronymus Bosch - une sorte de "Dirty Harry" en fait. Il traîne après lui un passé familial assez lourd puisque sa femme, prise de folie, a assassiné jadis leur petite fille de 8 ans.


Profileur avant la mode, notre sergent se place alternativement dans la peau du Tueur et dans la peau de l'une des victimes, Dora Suarez, chanteuse en boîte de nuit et prostituée occasionnelle. (Comme il a découvert l'espèce de journal intime de Dora, il en livre au lecteur de larges extraits qui révèlent d'ailleurs une femme beaucoup plus fine et beaucoup plus instruite que la prostituée traditionnelle.)


Le flic tombe amoureux de sa victime - ce qui, là non plus, n'est pas très nouveau. Et son désir de mettre le grappin sur l'assassin devient obsessionnel.


Bien entendu, il finira par l'abattre dans une sorte de "duel" - là encore eastwoodien.


]Mais l'une des choses les plus dérangeantes dans ce livre, c'est que le lecteur aura hésité pendant toute sa durée entre l'horreur légitime que lui inspire le meurtrier et une pitié qui fulgure çà et là avec une confondante intensité. Car l'"entraînement" auquel se soumet le Tueur après chaque crime a quelque chose de dantesque - et ne pourra que faire grincer des dents masculines.


Dans cet univers de rackett, de drogue et de prostitution, ce sont les hommes qui mènent le jeu. Pour s'enrichir encore et encore ou alors pour assouvir leurs besoins sexuels envers et contre tout, ils ne reculent devant rien. Et Cook dépeint là-dedans une Dora Suarez qui symbolise toutes les femmes obligées de subir ces violences. C'est dans le portrait qu'il nous brosse du milieu interlope fréquenté par Dora qu'il est le plus juste : si répugnantes que soient de telles pratiques, elles existent et n'ont qu'une fin : le profit, la jouissance à tous prix.


Sous l'ossature du roman noir, Cook tente de placer l'une de ces critiques sociales qui lui étaient chères. On peut juger différemment du résultat obtenu mais je ne crois pas que la générosité de l'auteur puisse être mise en doute. Tout comme il sait, en posant son point final, qu'une société qui n'exploitera plus les faibles (à commencer par les femmes) relève de l'utopie pure et simple. Ce qui le désespère, et son lecteur avec.


A tort ou à raison, je crois qu'un homme et une femme ne peuvent qu'avoir des visions différentes de ce roman. La femme sera peut-être choquée et souffrira pour Dora mais elle ne sera guère étonnée - à moins qu'elle ne soit très, très naïve. L'homme au contraire sera choqué non par le sort imposé à Dora mais par le fait que ce sort est l'accomplissement logique de l'instinct de puissance masculine poussé jusqu'à son paroxysme. Que ce soit un homme qui raconte l'histoire et qu'il prête sa voix aussi bien au Tueur qu'à sa victime ajoute encore à l'effet de déstabilisation recherché par l'auteur.


Je suppose que Cook a dû avoir beaucoup de mal à aller jusqu'au bout. Sa dédicace le laisse d'ailleurs entendre. ;o)
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Vices privés, vertus publiques

Public parts, private places


Traduction : Jean-Paul Gratias





Ce patronyme semblant assez répandu dans le monde anglo-saxon, sachez d'ores et déjà que l'auteur de "Vices Privés, Vertus Publiques" n'avait rien de commun avec son homonyme américain, auteur de thrillers médicaux comme "Virus" ou "Toxines" pas plus qu'avec un troisième Robin Cook, lui aussi décédé, et qui fut, celui-là, adversaire acharné de Tony Blair au sein même du Labour.


Sur le Robin Cook qui nous intéresse, voyez ici :


http://romainb.club.fr/Lire/cook/Robincook.html


"Vices Privés, Vertus Publiques" est un roman qui, comme "La Rue Obscène", s'en prend violemment aux tenants de l'establishment britannique.


Ce n'est pourtant pas sans une nostalgie secrète que Cook le démocrate se remémore l'ancienne gentry anglaise, celle de l'Empire colonisateur certes mais celle qui, malgré tout, possédait encore une dignité que les nouveaux riches de l'après-guerre n'ont jamais pu - ni ne pourront jamais - s'acheter.


C'est à cette société en voie d'extinction qu'appartiennent lord Michael Mendip et son cousin, l'Honorable Viper. D'une sensibilité d'écorché vif, éperdument altruiste, Mendip survit à la disparition des revenus familiaux grâce au travail que son cousin lui fournit dans les librairies spécialisées qu'il possède à Soho.


Comme de juste, Viper est l'opposé de Mendip. Ce n'est pas qu'il soit incapable de compassion ou de bonté. Simplement, il a compris depuis longtemps que, dans le monde des affaires, cela n'est pas de mise. Plus ou moins rejeté par sa famille à sa majorité, il a mangé de la vache enragée avant de s'engager dans la voie d'un arrivisme cynique. Désormais amant en titre de Germaine Eriksen, femme d'affaires aveugle et fortunée, il s'occupe tranquillement à amasser son deuxième million de livres. (Sauf erreur de ma part, c'est le même Viper que l'on retrouvera dans "La Rue Obscène.")


Débarque un jour, dans la librairie porno gérée par Mendip, un Grec d'un certain âge, à la recherche de "photos d'art" posées par la propre cousine des deux aristocrates plus ou moins déchus, Lydia Quench. Et c'est, pour Cook, le début d'une description minutieuse et désespérée de la décadence d'une caste.


Bien qu'on n'y croise pas, à proprement parler, de meurtrier, "Vices privés ..." est un roman très noir qui se termine très, très mal, dans une espèce de violence paroxystique. Si l'on excepte Mendip, Viper et sans doute le majordome Forlock, une folie sourde accable les protagonistes. Folie amoureuse en la personne de sir John Odion, amoureux malheureux de Lydia. Folie auto-destructrice chez cette dernière. Folie de meurtre alimentée par l'impuissance sexuelle et sociale chez celui qui la bat à mort. Folie haineuse et rampante chez Béatrice, la soeur de Lydia, qui s'est inscrite au PC et qui, lorsqu'elle réside en la demeure familiale, se fait une obligation de prendre son repas avec les domestiques - au grand scandale de ceux-ci, d'ailleurs. Et folie froide enfin de l'égoïsme chez lady Quench, leur mère.


A l'arrière-plan, leur père, désormais paraplégique, se souvient de sa propre folie d'ignorance et n'aspire plus qu'à mourir puisque la connaissance qu'il possède désormais du besoin d'amour des autres en général et de ses filles en particulier, il lui est désormais impossible de l'exprimer. ;o)
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