Critiques de Ryanne Kelyn (72)
En attendant la suite des Dieux du Campus, je me suis lancé à la recherche d'une romance MM se déroulant dans le milieu universitaire. C'est alors que j'ai découvert "Love and Hate in Los Angeles", qui s'est révélée être une lecture parfaite pour ce que je recherchais
Ce livre allie humour et légèreté, malgré les expériences pas toujours sympathiques vécues par Shane et Theo dans le passé, l'histoire parvient à conserver un ton léger. Au début, on pourrait penser que l'histoire et les personnages sont un peu clichés, entre Shane le "mec un peu dark" et Théo "le beau gosse de la fac", les personnages se détachent de ces etiquettes pour devenir des personnages plus complexes et nuancés.
J'aurais juste apprécié un peu plus d'approfondissement des personnages pour mieux comprendre leurs passées.
Malgré ca, "Love and Hate in Los Angeles" est indéniablement une bonne romance qui se lit très facilement. Je l'ai dévoré d'une traite.
Ce livre allie humour et légèreté, malgré les expériences pas toujours sympathiques vécues par Shane et Theo dans le passé, l'histoire parvient à conserver un ton léger. Au début, on pourrait penser que l'histoire et les personnages sont un peu clichés, entre Shane le "mec un peu dark" et Théo "le beau gosse de la fac", les personnages se détachent de ces etiquettes pour devenir des personnages plus complexes et nuancés.
J'aurais juste apprécié un peu plus d'approfondissement des personnages pour mieux comprendre leurs passées.
Malgré ca, "Love and Hate in Los Angeles" est indéniablement une bonne romance qui se lit très facilement. Je l'ai dévoré d'une traite.
Spin-off de la série Love me, cet opus peut se lire de façon indépendante sans problème, il se concentre sur Quinn, le frère de David (tomes 1 et 2) et un jeune homme qui fait irruption dans sa vie suite à un geste maladroit, Simon.
A 28 ans, Quinn est le patron du The Cock's, la boîte gay prisée de Philadelphie, où la bande a l'habitude de traîner et où Lex (tome 4) a travaillé un moment en tant que gogo danseur. Ayant fui Chicago pour des raisons un peu mystérieuses (qui le deviennent un peu moins au fil du roman), le jeune homme est conscient du poids de ses responsabilités et gère sa boîte avec sérieux, en veillant toutefois à la sécurité des employés. Sa vie, c'est son job, pas d'attaches, pas de relations, juste des nanas sexy qu'il voit pour un coup vite fait, la seule personne qui semble assez proche de lui est son frère David, et encore, pas trop souvent et pas trop longtemps. Il a d'ailleurs un peu de mal avec la vie un peu "pépère" de son frère, mariage, enfants, c'est vraiment pas pour lui.
Quand ce mec maladroit pète une bouteille de 9000 dollars, assez opportuniste, il saute sur l'occasion de l'embaucher (après tout, il lui manquait un serveur) en lui proposant de rembourser sa dette avec ses pourboires.
Simon a la poisse : il s'est fait larguer par le mec dont il était amoureux, il vient de perdre son énième job (il les enchaîne depuis qu'il a quitté la fac), c'est pas sa faute, il a juste du mal avec l'autorité et quand il sort en boîte pour se changer les idées, il pète une bouteille qui coute une blinde... Mauvais karma. Mais bon, il a des principes, il assume ses actes, et puis après tout, même s'il s’assoit sur ses pourboires, le patron lui fait quand même un vrai contrat de travail, légal, c'est pas si grave que ça.
Son job se passe plutôt pas mal, ses "collègues" sont sympas et sexys, il faut juste s'habituer à vivre la nuit, et puis il y a Quinn, son patron, imperturbable, intouchable, sexy comme le diable, qui semble ne jamais le quitter des yeux, forcément, il surveille le remboursement de sa dette...
Mais quand par un concours de circonstances Simon se retrouve sans domicile, c'est Quinn qui va l'héberger (et oui, il aime bien héberger ses employés, il avait déjà fait le coup à Lex) et ça pourrait bien changer les choses entre eux.
Même si j'ai trouvé toute l'affaire Brianna un peu too much, dans le sens ou il y a une esquisse de quelque chose qui aurait pu être intéressant mais qui retombe comme un soufflé raté, j'ai vraiment aimé l'évolution de la relation entre les deux hommes, particulièrement du côté de Quinn, dont nous avons le point de vue quasiment un chapitre sur deux : pas de longs questionnements - c'est un mec, je n'ai jamais été attiré par un mec, suis-je gay ? toussa toussa - le gars se prend juste la tête sur la notion d'engagement avec LA personne, et ça fait du bien que ça se passe comme ça. Simon lui, succombe assez vite, mais poursuit toujours son rêve, être, pour une fois dans sa vie, la priorité de quelqu'un.
J'ai aussi beaucoup aimé les échanges entre les deux hommes, entre humour caustique, vacheries et tendresse un peu brute, un talent que les deux auteurs maitrisent plutôt bien.
Bref, une vraie lecture plaisir, que ce spin-off qui m'a fait, de plus, apercevoir de loin la bande de Philadelphie que j'ai un peu de mal à quitter.
A 28 ans, Quinn est le patron du The Cock's, la boîte gay prisée de Philadelphie, où la bande a l'habitude de traîner et où Lex (tome 4) a travaillé un moment en tant que gogo danseur. Ayant fui Chicago pour des raisons un peu mystérieuses (qui le deviennent un peu moins au fil du roman), le jeune homme est conscient du poids de ses responsabilités et gère sa boîte avec sérieux, en veillant toutefois à la sécurité des employés. Sa vie, c'est son job, pas d'attaches, pas de relations, juste des nanas sexy qu'il voit pour un coup vite fait, la seule personne qui semble assez proche de lui est son frère David, et encore, pas trop souvent et pas trop longtemps. Il a d'ailleurs un peu de mal avec la vie un peu "pépère" de son frère, mariage, enfants, c'est vraiment pas pour lui.
Quand ce mec maladroit pète une bouteille de 9000 dollars, assez opportuniste, il saute sur l'occasion de l'embaucher (après tout, il lui manquait un serveur) en lui proposant de rembourser sa dette avec ses pourboires.
Simon a la poisse : il s'est fait larguer par le mec dont il était amoureux, il vient de perdre son énième job (il les enchaîne depuis qu'il a quitté la fac), c'est pas sa faute, il a juste du mal avec l'autorité et quand il sort en boîte pour se changer les idées, il pète une bouteille qui coute une blinde... Mauvais karma. Mais bon, il a des principes, il assume ses actes, et puis après tout, même s'il s’assoit sur ses pourboires, le patron lui fait quand même un vrai contrat de travail, légal, c'est pas si grave que ça.
Son job se passe plutôt pas mal, ses "collègues" sont sympas et sexys, il faut juste s'habituer à vivre la nuit, et puis il y a Quinn, son patron, imperturbable, intouchable, sexy comme le diable, qui semble ne jamais le quitter des yeux, forcément, il surveille le remboursement de sa dette...
Mais quand par un concours de circonstances Simon se retrouve sans domicile, c'est Quinn qui va l'héberger (et oui, il aime bien héberger ses employés, il avait déjà fait le coup à Lex) et ça pourrait bien changer les choses entre eux.
Même si j'ai trouvé toute l'affaire Brianna un peu too much, dans le sens ou il y a une esquisse de quelque chose qui aurait pu être intéressant mais qui retombe comme un soufflé raté, j'ai vraiment aimé l'évolution de la relation entre les deux hommes, particulièrement du côté de Quinn, dont nous avons le point de vue quasiment un chapitre sur deux : pas de longs questionnements - c'est un mec, je n'ai jamais été attiré par un mec, suis-je gay ? toussa toussa - le gars se prend juste la tête sur la notion d'engagement avec LA personne, et ça fait du bien que ça se passe comme ça. Simon lui, succombe assez vite, mais poursuit toujours son rêve, être, pour une fois dans sa vie, la priorité de quelqu'un.
J'ai aussi beaucoup aimé les échanges entre les deux hommes, entre humour caustique, vacheries et tendresse un peu brute, un talent que les deux auteurs maitrisent plutôt bien.
Bref, une vraie lecture plaisir, que ce spin-off qui m'a fait, de plus, apercevoir de loin la bande de Philadelphie que j'ai un peu de mal à quitter.
Une histoire qui ne m'a pas emballée et un roman qui passera sans laisser d'empreintes. Je suis restée parfaitement indifférente, mes yeux se sont fermés plus d'une fois, ma bouche a baillé aux corneilles, aucun enthousiasme à connaître la suite, l'épilogue.
Je n'ai rien à dire sur la plume, le style. Peut-être que tout simplement cette histoire n'était pas pour moi. J'ignore ce qui m'a manqué. De l'action oui il y en a, mais pareil, c'est linéaire comme les sauts de temps (2 semaines + tard, 2 mois plus tard...) Impossible de m'attacher aux personnages, ils sont lisses, ils ne pétillent pas, ils sont ordinaires.
Conclusion, lecture soporifique.
Je n'ai rien à dire sur la plume, le style. Peut-être que tout simplement cette histoire n'était pas pour moi. J'ignore ce qui m'a manqué. De l'action oui il y en a, mais pareil, c'est linéaire comme les sauts de temps (2 semaines + tard, 2 mois plus tard...) Impossible de m'attacher aux personnages, ils sont lisses, ils ne pétillent pas, ils sont ordinaires.
Conclusion, lecture soporifique.
Ce tome en forme d'épilogue nous permet de mettre en lumière Falcon Fox, la fouine (selon Liosha) de Rockbury, personnage que j'ai trouvé détestable et horripilant dans les trois premiers tomes.
Et j'avoue que si je le trouve moins détestable (quoique...) je n'ai pas changé d'avis pour le côté horripilant.
Le retour pour quelques jours d'un vieux pote est l'occasion d'organiser un week-end dans un grand chalet au bord du lac et de revoir un peu tous les protagonistes des tomes précédents, amis d'enfance.
Bien sûr, Raphaël n'est pas là (mais après tout, il n'a jamais fait partie de la bande), mais nous retrouvons Phoenix venu sans Benji, Liosha et Terence toujours aussi proches (mes chouchous) et Falcon et Kaio, son caméraman et petit-ami.
Mais ce week-end, l'alcool, l'apparition d'ex plutôt collants, la jalousie, les non-dits, va faire éclater en morceaux la relation fragile des deux hommes... définitivement... ou pas.
Kaio est un jeune homme un peu perdu, dépassé par ce qu'il ressent pour Falcon, sa famille n'a pas vraiment bien pris son homosexualité et il n'ose pas leur imposer le journaliste, n'assumant du coup pas leur relation devant eux. Quand à Falcon, je l'ai trouvé égocentrique, manipulateur, son attitude pas franchement claire avec son ex m'a fait grincer des dents et même son mea culpa sur l'affaire "Savage" ne m'a pas convaincue. A mon sens, la seule bonne action a mettre à son crédit est d'avoir envoyé Lyosha sur les traces de Terence (mais suis-je impartiale ?) et encore, je ne suis pas certaine de la pureté de ses intentions.
Ceci dit, c'est un ressenti tout à fait personnel, qui n'enlève rien aux qualités de cette saga Rockbury, écrite par deux auteurs très sympathiques de talent. Et je quitte malgré tout le Vermont avec le sourire, en laissant derrière moi de vieux amis qui continueront leur route, heureux.
Et j'avoue que si je le trouve moins détestable (quoique...) je n'ai pas changé d'avis pour le côté horripilant.
Le retour pour quelques jours d'un vieux pote est l'occasion d'organiser un week-end dans un grand chalet au bord du lac et de revoir un peu tous les protagonistes des tomes précédents, amis d'enfance.
Bien sûr, Raphaël n'est pas là (mais après tout, il n'a jamais fait partie de la bande), mais nous retrouvons Phoenix venu sans Benji, Liosha et Terence toujours aussi proches (mes chouchous) et Falcon et Kaio, son caméraman et petit-ami.
Mais ce week-end, l'alcool, l'apparition d'ex plutôt collants, la jalousie, les non-dits, va faire éclater en morceaux la relation fragile des deux hommes... définitivement... ou pas.
Kaio est un jeune homme un peu perdu, dépassé par ce qu'il ressent pour Falcon, sa famille n'a pas vraiment bien pris son homosexualité et il n'ose pas leur imposer le journaliste, n'assumant du coup pas leur relation devant eux. Quand à Falcon, je l'ai trouvé égocentrique, manipulateur, son attitude pas franchement claire avec son ex m'a fait grincer des dents et même son mea culpa sur l'affaire "Savage" ne m'a pas convaincue. A mon sens, la seule bonne action a mettre à son crédit est d'avoir envoyé Lyosha sur les traces de Terence (mais suis-je impartiale ?) et encore, je ne suis pas certaine de la pureté de ses intentions.
Ceci dit, c'est un ressenti tout à fait personnel, qui n'enlève rien aux qualités de cette saga Rockbury, écrite par deux auteurs très sympathiques de talent. Et je quitte malgré tout le Vermont avec le sourire, en laissant derrière moi de vieux amis qui continueront leur route, heureux.
Rockbury, peu après le tome 1 de la saga. Chaque tome peut être lu séparément, mais lire la saga dans l'ordre permet de mieux appréhender l'atmosphère de la ville et les personnages qui font des apparitions dans chaque tome.
Liosha Yuri vient de passer 8 mois en prison, suite à une condamnation pour trafic de drogue. Ça n'a en fait surpris personne dans la ville : pas de père, sa mère a la réputation d'avoir la cuisse légère, une scolarité pourrie, ouvertement gay, un look de bad boy avec ses tatouages et ses cheveux peroxydés, prompt à la bagarre, bref, forcément, il ne pouvait que mal finir. Personne ne s'est d'ailleurs posé la question de savoir pourquoi il avait autant besoin d'argent. Et forcément, son séjour en prison n'a pas arrangé son caractère bagarreur et colérique, bien au contraire. Quand Falcon Fox, le journaliste commère de la ville, le sollicite pour une interview et lui balance la piste de la personne qui a témoigné en sa faveur, lui permettant d'obtenir une remise de peine, il veut des réponses, des explications.
Terence Tucker est le fils de l'ancien shérif. Conseiller d'orientation au lycée de la ville, effacé, timide, influençable, il est sous la coupe de son père, qu'il souhaite désespérément rendre fier, et de son ami d'enfance Jethro, le fils du magnat de la ville, qui le fait réagir à la baguette sous le prétexte de le rendre fort. Il ne se doute pas que le retour de Liosha, son gros crush du lycée, va chambouler son monde.
Ce qui commence entre eux comme une aventure sexuelle plutôt intense laisse peu à peu la place à autre chose... Liosha porte une colère en lui, une violence qui ne demande qu'à exploser : contre Jethro, contre les trafiquants pour qui ils bossaient, contre la vie, contre tout... mais pas contre Terence, qui s'infiltre sous ses défenses et ses murs, qui le touche, qui réveille des instincts protecteurs et des sentiments qu'il ne pensait pas pouvoir ressentir. Quant à Terence, sa relation avec Liosha lui donne de la force, de l'assurance, pour une fois dans sa vie, il se sent apprécié pour lui et pas pour ce qu'il pourrait ou devrait être.
Mais le passé de Liosha le rattrape et il va devoir faire un choix. Tout comme Terence, qui doit aussi décider qui il veut être et auprès de qui il veut l'être.
J'avais bien aimé le premier tome et j'ai trouvé agréable les quelques apparitions de Phoenix, installé dans son rôle de shérif (et oui, c'est lui qui a remplacé le père de Terence). La relation de Liosha et Terence est belle et douce, tout se fait finalement assez naturellement, même si on voit arriver d'assez loin la source de la colère de Liosha et les raisons du tempérament effacé de Terence. Tout est résolu assez facilement et c'est tant mieux pour eux, ils en ont assez bavé.
La plume des deux auteurs est toujours aussi agréable et j'ai hâte maintenant d'en savoir plus sur Raphaël, ce jeune homme croisé au cours des deux premiers tomes.
Liosha Yuri vient de passer 8 mois en prison, suite à une condamnation pour trafic de drogue. Ça n'a en fait surpris personne dans la ville : pas de père, sa mère a la réputation d'avoir la cuisse légère, une scolarité pourrie, ouvertement gay, un look de bad boy avec ses tatouages et ses cheveux peroxydés, prompt à la bagarre, bref, forcément, il ne pouvait que mal finir. Personne ne s'est d'ailleurs posé la question de savoir pourquoi il avait autant besoin d'argent. Et forcément, son séjour en prison n'a pas arrangé son caractère bagarreur et colérique, bien au contraire. Quand Falcon Fox, le journaliste commère de la ville, le sollicite pour une interview et lui balance la piste de la personne qui a témoigné en sa faveur, lui permettant d'obtenir une remise de peine, il veut des réponses, des explications.
Terence Tucker est le fils de l'ancien shérif. Conseiller d'orientation au lycée de la ville, effacé, timide, influençable, il est sous la coupe de son père, qu'il souhaite désespérément rendre fier, et de son ami d'enfance Jethro, le fils du magnat de la ville, qui le fait réagir à la baguette sous le prétexte de le rendre fort. Il ne se doute pas que le retour de Liosha, son gros crush du lycée, va chambouler son monde.
Ce qui commence entre eux comme une aventure sexuelle plutôt intense laisse peu à peu la place à autre chose... Liosha porte une colère en lui, une violence qui ne demande qu'à exploser : contre Jethro, contre les trafiquants pour qui ils bossaient, contre la vie, contre tout... mais pas contre Terence, qui s'infiltre sous ses défenses et ses murs, qui le touche, qui réveille des instincts protecteurs et des sentiments qu'il ne pensait pas pouvoir ressentir. Quant à Terence, sa relation avec Liosha lui donne de la force, de l'assurance, pour une fois dans sa vie, il se sent apprécié pour lui et pas pour ce qu'il pourrait ou devrait être.
Mais le passé de Liosha le rattrape et il va devoir faire un choix. Tout comme Terence, qui doit aussi décider qui il veut être et auprès de qui il veut l'être.
J'avais bien aimé le premier tome et j'ai trouvé agréable les quelques apparitions de Phoenix, installé dans son rôle de shérif (et oui, c'est lui qui a remplacé le père de Terence). La relation de Liosha et Terence est belle et douce, tout se fait finalement assez naturellement, même si on voit arriver d'assez loin la source de la colère de Liosha et les raisons du tempérament effacé de Terence. Tout est résolu assez facilement et c'est tant mieux pour eux, ils en ont assez bavé.
La plume des deux auteurs est toujours aussi agréable et j'ai hâte maintenant d'en savoir plus sur Raphaël, ce jeune homme croisé au cours des deux premiers tomes.
Quand Aleksi Williams, 18 ans, arrive à Moscou pour participer aux championnats de Russie, il sait qu’il prend un risque. Six ans plus tôt, Aleksi Adamovitch a fui le pays avec sa mère pour s’installer aux Etats-Unis, fuyant son père, parrain de la mafia locale et les dangers liés à ce milieu. Mais le jeune homme, patineur à la renommée internationale, veut ajouter ce titre à son palmarès et il prend le risque, se disant que le risque en vaut la chandelle.
Mais le passé finit toujours par vous rattraper. Piégé, kidnappé, il se retrouve sous la coupe du bras droit de son père, Ivane Zyrianov, en charge de l’organisation après l’arrestation du père d’Aleksi. Plongé dans un monde violent, sans pitié, brutal, forcé de commettre des actes ignobles, Aleksi va devoir naviguer en eaux plus que troubles pour tenter de s’en sortir et trouver à qui faire confiance.
Ou est passé son frère aîné Sasha, disparu mystérieusement quelques années plus tôt ? Qui est Youri, ce jeune homme diablement attirant rencontré dans ce camp d’entrainement ? Dans quel camp joue Dorofei Tsekhov, le bras droit d’Ivane ? Qui a trahi son père et provoqué son arrestation ? Surtout, en obéissant aux ordres, ne risque-t’il pas de perdre son âme ?
Ce roman nous plonge dans la mafia russe, un milieu brutal, ou la torture et l’assassinat sont le quotidien, où la loi du plus fort règne, ou il faut survivre, jour après jour. Le roman est du point de vue d’Aleksi, même si quelques chapitres du point de vue d’autres personnages essentiels nous permettent de mieux appréhender les tenants et les aboutissants de l’histoire. Certains passages sont plutôt difficiles, nous sommes loin de la romance bisounours, les méchants sont vraiment méchants et les gentils ne sont pas forcément si gentils que ça.
J’ai trouvé Aleksi très mûr finalement pour un gamin de 18 ans plongé dans ce monde de malfrats, mais c’est quelque part le milieu où il a évolué jusqu’à ses douze ans. L’histoire d’amour qu’il vit avec Youri dans ce milieu brutal et homophobe le fait avancer, porté par le besoin de le protéger. Ils sont jeunes, amoureux, et parfois inconscients, touchants et attachants.
L’auteur, dont je connais et apprécie la plume lorsqu’elle officie avec sa complice Effy Holly, nous offre un roman où elle manie avec talent amour, haine, trahison, suspens, tortures, trahison et mafia russe. C’est plutôt réussi, malgré quelques coquilles, et s’il m’a manqué un petit quelque chose pour avoir un coup de cœur, j’ai néanmoins passé un super moment et j’ai eu du mal à lâcher ma liseuse avant la fin du roman.
Un grand merci à Ryanne Kellyn pour sa confiance et ce service presse, que je recommande aux amateurs de suspens, d’histoires à multiples rebondissements et de belle histoire d’amour. Et je ne serais pas contre un petit spin off sur un autre couple de russe, plutôt intrigants.
Mais le passé finit toujours par vous rattraper. Piégé, kidnappé, il se retrouve sous la coupe du bras droit de son père, Ivane Zyrianov, en charge de l’organisation après l’arrestation du père d’Aleksi. Plongé dans un monde violent, sans pitié, brutal, forcé de commettre des actes ignobles, Aleksi va devoir naviguer en eaux plus que troubles pour tenter de s’en sortir et trouver à qui faire confiance.
Ou est passé son frère aîné Sasha, disparu mystérieusement quelques années plus tôt ? Qui est Youri, ce jeune homme diablement attirant rencontré dans ce camp d’entrainement ? Dans quel camp joue Dorofei Tsekhov, le bras droit d’Ivane ? Qui a trahi son père et provoqué son arrestation ? Surtout, en obéissant aux ordres, ne risque-t’il pas de perdre son âme ?
Ce roman nous plonge dans la mafia russe, un milieu brutal, ou la torture et l’assassinat sont le quotidien, où la loi du plus fort règne, ou il faut survivre, jour après jour. Le roman est du point de vue d’Aleksi, même si quelques chapitres du point de vue d’autres personnages essentiels nous permettent de mieux appréhender les tenants et les aboutissants de l’histoire. Certains passages sont plutôt difficiles, nous sommes loin de la romance bisounours, les méchants sont vraiment méchants et les gentils ne sont pas forcément si gentils que ça.
J’ai trouvé Aleksi très mûr finalement pour un gamin de 18 ans plongé dans ce monde de malfrats, mais c’est quelque part le milieu où il a évolué jusqu’à ses douze ans. L’histoire d’amour qu’il vit avec Youri dans ce milieu brutal et homophobe le fait avancer, porté par le besoin de le protéger. Ils sont jeunes, amoureux, et parfois inconscients, touchants et attachants.
L’auteur, dont je connais et apprécie la plume lorsqu’elle officie avec sa complice Effy Holly, nous offre un roman où elle manie avec talent amour, haine, trahison, suspens, tortures, trahison et mafia russe. C’est plutôt réussi, malgré quelques coquilles, et s’il m’a manqué un petit quelque chose pour avoir un coup de cœur, j’ai néanmoins passé un super moment et j’ai eu du mal à lâcher ma liseuse avant la fin du roman.
Un grand merci à Ryanne Kellyn pour sa confiance et ce service presse, que je recommande aux amateurs de suspens, d’histoires à multiples rebondissements et de belle histoire d’amour. Et je ne serais pas contre un petit spin off sur un autre couple de russe, plutôt intrigants.
Etats-Unis, Vermont, Rockbury.
2002 - A la mort de ses parents dans un accident de voiture, Phoenix, 8 ans, vient vivre chez les Blackmon, ses parrain et marraine et surtout, parents de son meilleur ami, Benjamin. Les deux enfants, très proches, quasi fusionnels, vont grandir ensemble comme deux frères.
Seize ans plus tard, Benjamin travaille comme vendeur chez le pépiniériste local, ayant trouvé là un boulot alimentaire et sans responsabilités, partageant son temps libre entre ses conquêtes féminines et son meilleur ami Phoenix.
Phoenix, adjoint du shérif local, ambitionne de se faire élire shérif aux prochaines élections, faisant déjà le boulot de façon officieuse. Gay, il n'a fait son coming-out qu'auprès de Benji, craignant que ses préférences sexuelles lui nuisent dans son travail, Rockbury étant une petite ville où les commérages vont bon train.
Appelé sur un accident de la route, Phoenix, bouleversé par le souvenir de ses parents, trouve tout naturellement réconfort dans les bras de Benjamin. Mais le baiser qu'ils échangent ce soir là risque de chambouler leur relation, en faisant remonter à la surface certains secrets soigneusement enfouis dans cette petite ville de Rockbury.
On plonge dès le premier chapitre dans le feu de l'action, ce fameux premier baiser est pour moi très (trop ?) rapide, mais après tout, pourquoi perdre du temps et on comprend mieux par la suite, l'histoire racontée en alternance des points de vue de Benji et Phoenix nous éclaire sur leurs cheminements.
Si j'ai bien accroché avec Phoenix, j'ai eu plus de mal avec Benji, dont je ne comprenais pas vraiment l'attitude. Et petit à petit, à l'aide de quelques flashbacks, son comportement s'explique et devient sinon cohérent, du moins humain.
J'apprécie l'écriture de ces deux auteures, fluide, contemporaine, qui nous embarque dans leur histoire en distillant quelques indices par ci par là, qui fait qu'on tourne les pages jusqu'au dénouement. J'ai hâte de lire la suite, les personnages secondaires côtoyés dans ce premier tome m'ont donné envie d'en savoir plus.
Un grand merci aux auteures pour leur confiance et ce Service Presse.
2002 - A la mort de ses parents dans un accident de voiture, Phoenix, 8 ans, vient vivre chez les Blackmon, ses parrain et marraine et surtout, parents de son meilleur ami, Benjamin. Les deux enfants, très proches, quasi fusionnels, vont grandir ensemble comme deux frères.
Seize ans plus tard, Benjamin travaille comme vendeur chez le pépiniériste local, ayant trouvé là un boulot alimentaire et sans responsabilités, partageant son temps libre entre ses conquêtes féminines et son meilleur ami Phoenix.
Phoenix, adjoint du shérif local, ambitionne de se faire élire shérif aux prochaines élections, faisant déjà le boulot de façon officieuse. Gay, il n'a fait son coming-out qu'auprès de Benji, craignant que ses préférences sexuelles lui nuisent dans son travail, Rockbury étant une petite ville où les commérages vont bon train.
Appelé sur un accident de la route, Phoenix, bouleversé par le souvenir de ses parents, trouve tout naturellement réconfort dans les bras de Benjamin. Mais le baiser qu'ils échangent ce soir là risque de chambouler leur relation, en faisant remonter à la surface certains secrets soigneusement enfouis dans cette petite ville de Rockbury.
On plonge dès le premier chapitre dans le feu de l'action, ce fameux premier baiser est pour moi très (trop ?) rapide, mais après tout, pourquoi perdre du temps et on comprend mieux par la suite, l'histoire racontée en alternance des points de vue de Benji et Phoenix nous éclaire sur leurs cheminements.
Si j'ai bien accroché avec Phoenix, j'ai eu plus de mal avec Benji, dont je ne comprenais pas vraiment l'attitude. Et petit à petit, à l'aide de quelques flashbacks, son comportement s'explique et devient sinon cohérent, du moins humain.
J'apprécie l'écriture de ces deux auteures, fluide, contemporaine, qui nous embarque dans leur histoire en distillant quelques indices par ci par là, qui fait qu'on tourne les pages jusqu'au dénouement. J'ai hâte de lire la suite, les personnages secondaires côtoyés dans ce premier tome m'ont donné envie d'en savoir plus.
Un grand merci aux auteures pour leur confiance et ce Service Presse.
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[SERVICE PRESSE]
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This Summer or never de Effie & Ryanne H O L L Y N
•
Je remercie les auteures pour ce service presse
•
•
Mon résumé :
•
Ados, Hector et Adam se tournent autour sans vraiment se déclarer. Au lendemain d’une soirée, Hector part pour faire ses études au Texas, en plantant Adam sans explication. Douze ans après, Hector bosse comme véto dans le ranch du frère d’Adam. Quand ce dernier débarque au ranch, les vieilles rancœurs remontent à la surface.
•
•
Hector Walker est un homme que la vie n’a pas épargnée. Ado, il plante celui qui l’attire, sans se retourner ni fournir d’explication. Après ses études, il ouvre son cabinet de vétérinaire et est embauché par le frère de son amour refoulé.
•
Adam Holloway a toujours été un beau gosse qui s’assumait. Lorsqu’il craque pour Hector, à 17 ans, il ne s’imagine pas vivre sa plus douloureuse histoire. Et même douze ans après, la douleur est toujours présente.
•
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Mon ressenti final :
•
Ok. Alors, vous n’êtes pas prêts pour ce que je vais dire mais… 𝒸’𝑒𝓈𝓉 𝓊𝓃 𝒸𝑜𝓊𝓅 𝒹𝑒 𝒸𝑜𝑒𝓊𝓇 !
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Ce roman est in-croy-able !
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Déjà, la forme. Un ranch dans le Montana et un trope homo-hetero. 80% de mon cœur était conquis. Le fond a fait le reste. Ma jauge est montée à 150%.
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Le roman démarre quand les protagonistes sont à peine majeurs. Adam est l’homo assumé, le petit branleur qui bouffe la vie comme James Dean. Hector est plus mesuré, hetero mais attiré par Adam. Sauf que vie d’un Walker n’est pas des plus simples. Immédiatement, je note une attirance électrique entre ces deux là. Adam joue les petits cons mais en vérité, son cœur est en guimauve. Lorsqu’Hector se barre faire ses études au Texas, sans en parler à personne, la tension monte d’un cran. Et j’avais déjà hâte aux retrouvailles.
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Chapitre 2. Adam revient dans la région et sur qu’il tombe-t-il dans la cuisine du frangin ? Bingo. Hector. La pièce perd 10 degrés et moi je jubile devant ma liseuse.
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Le trope colloc forcée, c’est pas du tout ma came. Mais vraiment pas. Un coup de baguette magique et les deux auteures m’ont embarquée dans cette romance incroyable, écrite avec une justesse que j’ai rarement vue. Et les auteures ont le souci du détail. Je peux vous dire que ma lecture a sentie la sueur, la paille, la barbe à papa, le crottin, l’écurie, l’amour, le sexe, la fraternité, le cow-boy, le rhum, les pâtes carbo et la rancœur.
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Tout est tellement bien ficelé, je me suis cru dans Yellowstone.
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Si tu veux jouer les arbitres entre Adam et Hector, c’est ici : https://amzn.to/3PLfAzF
Lien : https://www.facebook.com/Hel..
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[SERVICE PRESSE]
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This Summer or never de Effie & Ryanne H O L L Y N
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Je remercie les auteures pour ce service presse
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Mon résumé :
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Ados, Hector et Adam se tournent autour sans vraiment se déclarer. Au lendemain d’une soirée, Hector part pour faire ses études au Texas, en plantant Adam sans explication. Douze ans après, Hector bosse comme véto dans le ranch du frère d’Adam. Quand ce dernier débarque au ranch, les vieilles rancœurs remontent à la surface.
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Hector Walker est un homme que la vie n’a pas épargnée. Ado, il plante celui qui l’attire, sans se retourner ni fournir d’explication. Après ses études, il ouvre son cabinet de vétérinaire et est embauché par le frère de son amour refoulé.
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Adam Holloway a toujours été un beau gosse qui s’assumait. Lorsqu’il craque pour Hector, à 17 ans, il ne s’imagine pas vivre sa plus douloureuse histoire. Et même douze ans après, la douleur est toujours présente.
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Mon ressenti final :
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Ok. Alors, vous n’êtes pas prêts pour ce que je vais dire mais… 𝒸’𝑒𝓈𝓉 𝓊𝓃 𝒸𝑜𝓊𝓅 𝒹𝑒 𝒸𝑜𝑒𝓊𝓇 !
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Ce roman est in-croy-able !
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Déjà, la forme. Un ranch dans le Montana et un trope homo-hetero. 80% de mon cœur était conquis. Le fond a fait le reste. Ma jauge est montée à 150%.
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Le roman démarre quand les protagonistes sont à peine majeurs. Adam est l’homo assumé, le petit branleur qui bouffe la vie comme James Dean. Hector est plus mesuré, hetero mais attiré par Adam. Sauf que vie d’un Walker n’est pas des plus simples. Immédiatement, je note une attirance électrique entre ces deux là. Adam joue les petits cons mais en vérité, son cœur est en guimauve. Lorsqu’Hector se barre faire ses études au Texas, sans en parler à personne, la tension monte d’un cran. Et j’avais déjà hâte aux retrouvailles.
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Chapitre 2. Adam revient dans la région et sur qu’il tombe-t-il dans la cuisine du frangin ? Bingo. Hector. La pièce perd 10 degrés et moi je jubile devant ma liseuse.
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Le trope colloc forcée, c’est pas du tout ma came. Mais vraiment pas. Un coup de baguette magique et les deux auteures m’ont embarquée dans cette romance incroyable, écrite avec une justesse que j’ai rarement vue. Et les auteures ont le souci du détail. Je peux vous dire que ma lecture a sentie la sueur, la paille, la barbe à papa, le crottin, l’écurie, l’amour, le sexe, la fraternité, le cow-boy, le rhum, les pâtes carbo et la rancœur.
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Tout est tellement bien ficelé, je me suis cru dans Yellowstone.
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Si tu veux jouer les arbitres entre Adam et Hector, c’est ici : https://amzn.to/3PLfAzF
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Raphaël Savage, le sauvage, le paria, le violeur, l'assassin, j'en passe et des meilleures... Il vit seul avec Raven, son chien, dans la maison du drame, la maison de son enfance et son seul ami est son ancien prof, avec qui il correspond par mail. Harcelé, menacé, épié, surveillé, il tient bon, la tête droite, il encaisse, jour après jour. Et puis un jour, la maison voisine, inoccupée depuis des années suite à la mort des Walker (voir le premier tome...) accueille un nouveau propriétaire.
Fabian a quitté New York sur un coup de tête : sa famille, son métier de top model, son mec manager, sa vie trépidante, les contrats, les shootings, les voyages... il a tout envoyé valser pour s'acheter cette maison dans le Vermont perdue au milieu de nulle part. Il veut souffler, respirer, enfin prendre le temps.
Quand Fabian tombe en panne un soir, dans le brouillard, c'est Raphaël qui s'arrête et qui l'aide. A partir de ce moment là, Fabian va commencer à prêter attention à son voisin, ce jeune homme aussi mystérieux que magnifique, dont toute la ville lui dit de se méfier. Mais il s'en fout des ragots, il sait que les apparences sont trompeuses, lui qui vient d'un monde d'apparences et de paillettes. Et il découvre un jeune homme féru de littérature, artiste, sensible. Et peu à peu, les deux hommes sympathisent, se rapprochent, de plus en plus... jusqu'au baiser qui va tout changer.
Et Raphaël découvre qu'il est doux d'avoir quelqu'un à ses côtés, de ne plus être seul pour tout affronter. Mais les commérages commencent à atteindre Fabian, par ricochet, et ça, il a du mal à l'encaisser et les murs qu'il a érigés commencent à se fissurer.
Jusqu'à la provocation de trop...
Ce tome 3 me laisse un sentiment étrange : cette romance basée sur les ragots et les rumeurs et tout le mal qu'elles peuvent faire ("il n'y a pas de fumée sans feu..") m'intriguait énormément. Et j'avais hâte de connaître l'histoire de Raphaël, bouc émissaire parfait aperçu dans les deux premiers tomes. Je me doutais qu'il y avait bien plus (surtout avec Effie et Ryanne à la plume) et j'en attendais beaucoup, sans doute trop. J'ai été touchée par l'histoire du jeune homme, par son courage, par sa fierté, mais il ne m'a pas embarquée et je ne sais pas trop à quoi c'est du. Mais l'histoire du couple est jolie et douce et la fin du roman, somme toute logique, fait chaud au cœur.
Fabian a quitté New York sur un coup de tête : sa famille, son métier de top model, son mec manager, sa vie trépidante, les contrats, les shootings, les voyages... il a tout envoyé valser pour s'acheter cette maison dans le Vermont perdue au milieu de nulle part. Il veut souffler, respirer, enfin prendre le temps.
Quand Fabian tombe en panne un soir, dans le brouillard, c'est Raphaël qui s'arrête et qui l'aide. A partir de ce moment là, Fabian va commencer à prêter attention à son voisin, ce jeune homme aussi mystérieux que magnifique, dont toute la ville lui dit de se méfier. Mais il s'en fout des ragots, il sait que les apparences sont trompeuses, lui qui vient d'un monde d'apparences et de paillettes. Et il découvre un jeune homme féru de littérature, artiste, sensible. Et peu à peu, les deux hommes sympathisent, se rapprochent, de plus en plus... jusqu'au baiser qui va tout changer.
Et Raphaël découvre qu'il est doux d'avoir quelqu'un à ses côtés, de ne plus être seul pour tout affronter. Mais les commérages commencent à atteindre Fabian, par ricochet, et ça, il a du mal à l'encaisser et les murs qu'il a érigés commencent à se fissurer.
Jusqu'à la provocation de trop...
Ce tome 3 me laisse un sentiment étrange : cette romance basée sur les ragots et les rumeurs et tout le mal qu'elles peuvent faire ("il n'y a pas de fumée sans feu..") m'intriguait énormément. Et j'avais hâte de connaître l'histoire de Raphaël, bouc émissaire parfait aperçu dans les deux premiers tomes. Je me doutais qu'il y avait bien plus (surtout avec Effie et Ryanne à la plume) et j'en attendais beaucoup, sans doute trop. J'ai été touchée par l'histoire du jeune homme, par son courage, par sa fierté, mais il ne m'a pas embarquée et je ne sais pas trop à quoi c'est du. Mais l'histoire du couple est jolie et douce et la fin du roman, somme toute logique, fait chaud au cœur.
Etats-Unis, Philadelphie.
David, fraichement débarqué du trouple qu'il avait voulu former avec Harry et Noam, se retrouve dans une situation professionnelle difficile. Renversé par un chauffard qui a pris la fuite, il a parfaitement récupéré l'usage de sa jambe droite mais sa main, elle, ne répond plus comme avant, malgré plusieurs mois de kiné. Compliqué quand on est chirurgien cardiaque... Reste la possibilité d'une greffe nerveuse faite par une chirurgienne de Cleveland, l'opération de la dernière chance...
Virgil, la trentaine, un grand barbu aux cheveux longs, s'éreinte à travailler comme barman au Michel-Ange le soir et comme ouvrier dans le bâtiment la journée pour gagner sa vie. Depuis la mort de sa soeur, la seule personne qui compte vraiment pour lui est son neveu, Miky, dont le père traficote dans des affaires plutôt louches.
Un soir, David croise Virgil alors qu'il est venu se changer les idées au Michel-Ange et l'étincelle est là. Plus qu'une étincelle d'ailleurs, une explosion qui ravage tout sur son passage.
Mais les deux hommes sont des mâles Alphas, dominants, directifs, ne concevant l'idée de se soumettre à un autre homme que comme une forme de faiblesse.
Mais l'attraction physique est là, intense, mais pas que. Une alchimie intellectuelle, une complicité, une amitié, une compréhension mutuelle instinctive... bref, ce qui ressemble très fortement à de l'amour.
Mais la confiance est sans doute la chose la plus difficile à accorder pour les deux hommes, car cela signifie abandonner le contrôle à l'autre, et les deux hommes ont des passifs compliqués et une relation difficile avec la gestion de la colère et de la jalousie. Et leurs ex respectifs n'arrangent pas les choses.
J'ai aimé retrouver la petite bande d'amis de Philly et leurs interactions toujours drôles, parfois intrusives, quelques fois finement percutantes. J'étais curieuse de retrouver David, qui m'avait fortement intriguée au premier tome, et je suis satisfaite de ce qu'ont en fait les auteures, le rendant humain dans ses failles et ses défauts, par moments attachants et à d'autres à baffer. La force de ce duo est finalement leurs faiblesses, ils sont loin d'être parfaits, ça dérape quelques fois et sans cautionner ou accepter, on peut malgré tout comprendre.
L'écriture des deux auteures, toujours aussi fluide et agréable, permet de suivre leur histoire de leurs deux points de vue et de s'attacher à eux. Ce deuxième tome est pour moi aussi réussi que le premier et j'attends la suite des aventures de la petite bande avec impatience.
Merci à Effie et Ryanne pour leur confiance et ce Service Presse.
David, fraichement débarqué du trouple qu'il avait voulu former avec Harry et Noam, se retrouve dans une situation professionnelle difficile. Renversé par un chauffard qui a pris la fuite, il a parfaitement récupéré l'usage de sa jambe droite mais sa main, elle, ne répond plus comme avant, malgré plusieurs mois de kiné. Compliqué quand on est chirurgien cardiaque... Reste la possibilité d'une greffe nerveuse faite par une chirurgienne de Cleveland, l'opération de la dernière chance...
Virgil, la trentaine, un grand barbu aux cheveux longs, s'éreinte à travailler comme barman au Michel-Ange le soir et comme ouvrier dans le bâtiment la journée pour gagner sa vie. Depuis la mort de sa soeur, la seule personne qui compte vraiment pour lui est son neveu, Miky, dont le père traficote dans des affaires plutôt louches.
Un soir, David croise Virgil alors qu'il est venu se changer les idées au Michel-Ange et l'étincelle est là. Plus qu'une étincelle d'ailleurs, une explosion qui ravage tout sur son passage.
Mais les deux hommes sont des mâles Alphas, dominants, directifs, ne concevant l'idée de se soumettre à un autre homme que comme une forme de faiblesse.
Mais l'attraction physique est là, intense, mais pas que. Une alchimie intellectuelle, une complicité, une amitié, une compréhension mutuelle instinctive... bref, ce qui ressemble très fortement à de l'amour.
Mais la confiance est sans doute la chose la plus difficile à accorder pour les deux hommes, car cela signifie abandonner le contrôle à l'autre, et les deux hommes ont des passifs compliqués et une relation difficile avec la gestion de la colère et de la jalousie. Et leurs ex respectifs n'arrangent pas les choses.
J'ai aimé retrouver la petite bande d'amis de Philly et leurs interactions toujours drôles, parfois intrusives, quelques fois finement percutantes. J'étais curieuse de retrouver David, qui m'avait fortement intriguée au premier tome, et je suis satisfaite de ce qu'ont en fait les auteures, le rendant humain dans ses failles et ses défauts, par moments attachants et à d'autres à baffer. La force de ce duo est finalement leurs faiblesses, ils sont loin d'être parfaits, ça dérape quelques fois et sans cautionner ou accepter, on peut malgré tout comprendre.
L'écriture des deux auteures, toujours aussi fluide et agréable, permet de suivre leur histoire de leurs deux points de vue et de s'attacher à eux. Ce deuxième tome est pour moi aussi réussi que le premier et j'attends la suite des aventures de la petite bande avec impatience.
Merci à Effie et Ryanne pour leur confiance et ce Service Presse.
Erick. Détestable. Queutard. Moqueur. Insensible. Magnifique. Provocateur. Égoïste. Sensuel. Camé. Accroc. Blessant. Hautain. Secret. Possède un abonnement VIP sur toutes les applis de rencontres, vu sa consommation.
Il fallait quelqu'un d'exceptionnel pour relever le défi et se confronter au personnage. Et quelle bonne idée d'avoir été chercher le premier amour d'Erick au lycée, celui qui a en quelque sorte contribué à façonner sa perception actuelle des relations.
Et quand Abel demande à Erick d'être l'un de ses modèles pour sa future expo photo, il sait bien, au fond de lui, que ce n'est qu'un prétexte ... malgré le fait qu'il soit en couple. Quant à Erick, c'est un uppercut qu'il se prend quand il revoit ce visage sorti du passé, ce visage qu'il n'a jamais pu oublier et qui fait remonter tant de rancœur, tant de désillusions, tant de déceptions... mais aussi peut-être, un peu d'espoir, au moment où il se trouve un peu à la croisée des chemins sans vouloir vraiment se l'avouer, au moment ou tous ses potes se maquent, même R2D2 s'y met, c'est dire...
Je l'attendais cette histoire, je voulais savoir si j'allais réussir à apprécier Erick après l'avoir trouvé infect durant les premiers tomes. Et si je n'ai pas réussi à m'y attacher, j'ai trouvé son cheminement plutôt intéressant, son évolution cohérente, ses retrouvailles avec Abel coïncidant avec ce début de remise en question qui commençait à s'opérer chez lui. Les auteurs ont su sinon le rendre attachant, mais au moins le faire évoluer pour le rendre un peu plus supportable, et c'est du bon boulot, parce que c'est souvent plus difficile de faire évoluer une personnalité telle que lui.
Bref, j'ai passé malgré tout un super moment avec cet opus, toujours agréable de retrouver la petite bande de Philadelphie, et qui confirme une fois de plus le talent des auteurs.
Il fallait quelqu'un d'exceptionnel pour relever le défi et se confronter au personnage. Et quelle bonne idée d'avoir été chercher le premier amour d'Erick au lycée, celui qui a en quelque sorte contribué à façonner sa perception actuelle des relations.
Et quand Abel demande à Erick d'être l'un de ses modèles pour sa future expo photo, il sait bien, au fond de lui, que ce n'est qu'un prétexte ... malgré le fait qu'il soit en couple. Quant à Erick, c'est un uppercut qu'il se prend quand il revoit ce visage sorti du passé, ce visage qu'il n'a jamais pu oublier et qui fait remonter tant de rancœur, tant de désillusions, tant de déceptions... mais aussi peut-être, un peu d'espoir, au moment où il se trouve un peu à la croisée des chemins sans vouloir vraiment se l'avouer, au moment ou tous ses potes se maquent, même R2D2 s'y met, c'est dire...
Je l'attendais cette histoire, je voulais savoir si j'allais réussir à apprécier Erick après l'avoir trouvé infect durant les premiers tomes. Et si je n'ai pas réussi à m'y attacher, j'ai trouvé son cheminement plutôt intéressant, son évolution cohérente, ses retrouvailles avec Abel coïncidant avec ce début de remise en question qui commençait à s'opérer chez lui. Les auteurs ont su sinon le rendre attachant, mais au moins le faire évoluer pour le rendre un peu plus supportable, et c'est du bon boulot, parce que c'est souvent plus difficile de faire évoluer une personnalité telle que lui.
Bref, j'ai passé malgré tout un super moment avec cet opus, toujours agréable de retrouver la petite bande de Philadelphie, et qui confirme une fois de plus le talent des auteurs.
Quatrième tome de la série Love me, cet opus s'intéresse à Micah, le mystérieux designer d'origine coréenne toujours un peu en marge de la bande de Deshone.
Un regard croisé dans le métro, une tentative de vol, un sauvetage, et voilà que Micah va croiser un regard pers qui va bouleverser son monde et répondre, peut-être, à ses questionnements. D'autant plus lorsqu'il revoit son sauveteur là où il n'aurait jamais pu imaginer le croiser. Et ce mec l'intrigue, lui donne envie de choses qu'il n'a jamais ressenties, de choses qu'il ne comprenait pas quand il les voyait faire par la bande de mecs en chaleurs avec qui il traine.
Lex a eu un gros crush pour ce bel asiatique qu'il croise dans le métro et quand l'occasion d'entrer en contact se présente, autant dire qu'il ne va pas la laisser passer. Même s'il s'aperçoit par la suite que l'objet de ses attentions ne va pas se laisser séduire aussi facilement. Et peu à peu, les deux garçons se rapprochent, mais Lex a des secrets, et comme tous les secrets, un jour, ça explose et ça fait du dégât...
Sans doute dû à la personnalité de Micah, qui me touchait depuis le premier tome, j'ai été vraiment embarquée par son histoire, son passé, sa façon d'être droit dans ses bottes, la façon dont Lex l'apprivoise peu à peu, tel un animal sauvage qu'il arrive à caresser, à force de patience et de douceur, de compréhension et de tolérance.
J'ai juste un petit bémol pour la révélation sur le père de Lex, que je trouve un poil too much mais bon, après tout, pourquoi pas, ça rajoute un peu de piment, une notion d'interdit.
Bref, encore un super moment passé avec cette bande attachante... maintenant, je vais me plonger dans l'histoire d'Erick, que j'ai envie de claquer depuis le début...
Un regard croisé dans le métro, une tentative de vol, un sauvetage, et voilà que Micah va croiser un regard pers qui va bouleverser son monde et répondre, peut-être, à ses questionnements. D'autant plus lorsqu'il revoit son sauveteur là où il n'aurait jamais pu imaginer le croiser. Et ce mec l'intrigue, lui donne envie de choses qu'il n'a jamais ressenties, de choses qu'il ne comprenait pas quand il les voyait faire par la bande de mecs en chaleurs avec qui il traine.
Lex a eu un gros crush pour ce bel asiatique qu'il croise dans le métro et quand l'occasion d'entrer en contact se présente, autant dire qu'il ne va pas la laisser passer. Même s'il s'aperçoit par la suite que l'objet de ses attentions ne va pas se laisser séduire aussi facilement. Et peu à peu, les deux garçons se rapprochent, mais Lex a des secrets, et comme tous les secrets, un jour, ça explose et ça fait du dégât...
Sans doute dû à la personnalité de Micah, qui me touchait depuis le premier tome, j'ai été vraiment embarquée par son histoire, son passé, sa façon d'être droit dans ses bottes, la façon dont Lex l'apprivoise peu à peu, tel un animal sauvage qu'il arrive à caresser, à force de patience et de douceur, de compréhension et de tolérance.
J'ai juste un petit bémol pour la révélation sur le père de Lex, que je trouve un poil too much mais bon, après tout, pourquoi pas, ça rajoute un peu de piment, une notion d'interdit.
Bref, encore un super moment passé avec cette bande attachante... maintenant, je vais me plonger dans l'histoire d'Erick, que j'ai envie de claquer depuis le début...
Pour Shane, c’est bel et bien le présent. Avec sa meilleure pote Bella, ils ont pris une chambre d’étudiants à deux pour leur première année sur le campus de l’UCLA. A eux l’indépendance et pour Shane, faire table rase de ses mauvais souvenirs de lycée. Maintenant, il peut se consacrer à ses études d’art et se forcer à socialiser. Avec sa tignasse brune, ses tatouages et ses fringues noires, va falloir faire un bel effort et forcer sa nature profonde.
Quoi de mieux qu’une fête sur le campus pour s’y mettre ? Quelle idée pourrie, oui ! Tout avait pourtant bien commencé, belle ambiance, bonne musique, les règles déposées sur le palier de la villa et ce beau blond au regard hypnotique qui le mate sans vergogne.
C’est sûr que Théo a tout du beau gosse urticant : de l’argent, un appart au 5ème (dans le même immeuble, tant qu’à faire !), de la réussite dans ses études de sciences et des filles à la pelle. Bella n’était qu’un amuse-bouche, mais quand il croise son meilleur pote, Shane, il ne peut s’empêcher de le provoquer, le pousser à bout. Ça l’amuse de l'énerver, ça lui fait ressentir des émotions, ce qui n’était plus arrivé depuis bien longtemps. Sa mère le prend d’ailleurs pour un dingue !
Vous connaissez l’expression : fuis-moi je te suis, suis-moi, je te fuis ? Bein on en est là. Et de l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas ? On va la prendre dans l’autre sens : de la haine à l’amour.
Un vrai bon ennemies to lovers, comme je les aime avec des sentiments new adult tous neufs pour l’un comme pour l’autre. Théo, le sentiment amoureux, connait pas. A quoi bon ? Quant à Shane, bah, il découvre. Il s’est bien fait dragouiller de-ci de-là, ça n’est jamais allé bien loin. On suit ce jeu du chat et de la souris et on a qu’une hâte, c’est de voir quand et comment ils vont craquer. Des prises de tête à n’en plus finir où la tension se transforme en attirance. Ah, les hormones en feu.
Les auteures ont su ciseler deux personnages bien plus complexes qu’il n’y parait dans ce décor de campus si bien décrit qu’on s’y croirait. Les interactions avec leurs amis donnent encore plus de relief et de profondeur à l’histoire. La plume entraînante, fluide et addictive d’Effie et Ryanne HOLLYN a réussi à me faire lire ce roman d’une traite en plein milieu de semaine, finissant en pleine nuit, les yeux picotant le lendemain matin. Un one-shot que j’ai dévoré !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Quoi de mieux qu’une fête sur le campus pour s’y mettre ? Quelle idée pourrie, oui ! Tout avait pourtant bien commencé, belle ambiance, bonne musique, les règles déposées sur le palier de la villa et ce beau blond au regard hypnotique qui le mate sans vergogne.
C’est sûr que Théo a tout du beau gosse urticant : de l’argent, un appart au 5ème (dans le même immeuble, tant qu’à faire !), de la réussite dans ses études de sciences et des filles à la pelle. Bella n’était qu’un amuse-bouche, mais quand il croise son meilleur pote, Shane, il ne peut s’empêcher de le provoquer, le pousser à bout. Ça l’amuse de l'énerver, ça lui fait ressentir des émotions, ce qui n’était plus arrivé depuis bien longtemps. Sa mère le prend d’ailleurs pour un dingue !
Vous connaissez l’expression : fuis-moi je te suis, suis-moi, je te fuis ? Bein on en est là. Et de l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas ? On va la prendre dans l’autre sens : de la haine à l’amour.
Un vrai bon ennemies to lovers, comme je les aime avec des sentiments new adult tous neufs pour l’un comme pour l’autre. Théo, le sentiment amoureux, connait pas. A quoi bon ? Quant à Shane, bah, il découvre. Il s’est bien fait dragouiller de-ci de-là, ça n’est jamais allé bien loin. On suit ce jeu du chat et de la souris et on a qu’une hâte, c’est de voir quand et comment ils vont craquer. Des prises de tête à n’en plus finir où la tension se transforme en attirance. Ah, les hormones en feu.
Les auteures ont su ciseler deux personnages bien plus complexes qu’il n’y parait dans ce décor de campus si bien décrit qu’on s’y croirait. Les interactions avec leurs amis donnent encore plus de relief et de profondeur à l’histoire. La plume entraînante, fluide et addictive d’Effie et Ryanne HOLLYN a réussi à me faire lire ce roman d’une traite en plein milieu de semaine, finissant en pleine nuit, les yeux picotant le lendemain matin. Un one-shot que j’ai dévoré !
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Comment se mettre dans une belle galère ? Tout simplement en partant dans une boîte gay branchée de Philadelphie et en pétant par maladresse un Mathusalem à 9000 dollars sans avoir une thune pour rembourser le patron.
Voilà, c’est comme ça que Simon, étudiant en pause prolongée, est devenu serveur au Cock’s pour payer sa dette à Quinn Taylor, le susdit patron. Sa belle gueule n’est pas trop le genre de la maison, mais pourrait bien attirer la clientèle et faire monter les consos et les pourboires.
Quinn a, par ailleurs, d’autres préoccupations que de se préoccuper de ce semeur de trouble. Il a fui Chicago, laissant derrière lui une vie peu recommandable et une histoire qu’il cherche à oublier dans des plans cul, enchainant les conquêtes féminines.
Mais ce Simon aka « Joli cœur » a tendance à le déstabiliser. Il a de la répartie et le don pour ébranler son flegme légendaire, un peu trop d’ailleurs. Bon, il est sympa, en fait … un peu trop d’ailleurs.
Une complicité va peu à peu s’établir entre les deux hommes et, bien sûr, déraper sur un autre plan. Mais Simon doit préserver son cœur d’artichaut, salement amoché par des expériences désastreuses, face à un Quinn qui n’a jamais voulu s’engager. Les tendres sentiments, ça peut être dangereux, alors pourquoi s’en encombrer.
J’attaque la série « Love Me » par le spin-off, pourquoi pas ? En effet, il peut se lire séparément sans souci. Les personnages des tomes précédents y font des apparitions sans pour autant déstabiliser le nouveau lecteur tel que moi.
On a affaire à des personnalités diamétralement opposées.
Quinn, charismatique et complexe, qui, derrière cette façade dure, cache une âme en souffrance. Se montrer faible n’est pas une option. Il dévoile cependant une facette protectrice vis-à-vis de ses employés, dont son « Joli Cœur », qui le rend plus humain et attachant.
Simon, au cœur tendre, qui veut se faire aimer, être important aux yeux de quelqu’un … enfin. On peut dire qu’il est à fleur de peau, gérant difficilement ses émotions, surtout face à son patron à la Poker Face.
Donc, quand deux mondes se percutent, ça ne peut faire que des étincelles. L’intensité monte crescendo, ce qui donne lieu à des discussions percutantes et à des scènes spicy qui le sont tout autant.
Enfin, que dire des rebondissements. On croit que la messe est dite et bim …, de quoi ajouter du suspens à l’histoire que l’on aurait pu croire toute tracée.
J’ai beaucoup aimé cette romance pleine de testostérone, mais pas que. Un gay for you addictif avec des personnages attachants.
J’y ai découvert les personnages des tomes précédents et vais donc reprendre avec plaisir la série depuis le début. Le T1 était déjà dans ma PAL, donc, aucune excuse !
Bonne lecture
Love Me, Kali
Voilà, c’est comme ça que Simon, étudiant en pause prolongée, est devenu serveur au Cock’s pour payer sa dette à Quinn Taylor, le susdit patron. Sa belle gueule n’est pas trop le genre de la maison, mais pourrait bien attirer la clientèle et faire monter les consos et les pourboires.
Quinn a, par ailleurs, d’autres préoccupations que de se préoccuper de ce semeur de trouble. Il a fui Chicago, laissant derrière lui une vie peu recommandable et une histoire qu’il cherche à oublier dans des plans cul, enchainant les conquêtes féminines.
Mais ce Simon aka « Joli cœur » a tendance à le déstabiliser. Il a de la répartie et le don pour ébranler son flegme légendaire, un peu trop d’ailleurs. Bon, il est sympa, en fait … un peu trop d’ailleurs.
Une complicité va peu à peu s’établir entre les deux hommes et, bien sûr, déraper sur un autre plan. Mais Simon doit préserver son cœur d’artichaut, salement amoché par des expériences désastreuses, face à un Quinn qui n’a jamais voulu s’engager. Les tendres sentiments, ça peut être dangereux, alors pourquoi s’en encombrer.
J’attaque la série « Love Me » par le spin-off, pourquoi pas ? En effet, il peut se lire séparément sans souci. Les personnages des tomes précédents y font des apparitions sans pour autant déstabiliser le nouveau lecteur tel que moi.
On a affaire à des personnalités diamétralement opposées.
Quinn, charismatique et complexe, qui, derrière cette façade dure, cache une âme en souffrance. Se montrer faible n’est pas une option. Il dévoile cependant une facette protectrice vis-à-vis de ses employés, dont son « Joli Cœur », qui le rend plus humain et attachant.
Simon, au cœur tendre, qui veut se faire aimer, être important aux yeux de quelqu’un … enfin. On peut dire qu’il est à fleur de peau, gérant difficilement ses émotions, surtout face à son patron à la Poker Face.
Donc, quand deux mondes se percutent, ça ne peut faire que des étincelles. L’intensité monte crescendo, ce qui donne lieu à des discussions percutantes et à des scènes spicy qui le sont tout autant.
Enfin, que dire des rebondissements. On croit que la messe est dite et bim …, de quoi ajouter du suspens à l’histoire que l’on aurait pu croire toute tracée.
J’ai beaucoup aimé cette romance pleine de testostérone, mais pas que. Un gay for you addictif avec des personnages attachants.
J’y ai découvert les personnages des tomes précédents et vais donc reprendre avec plaisir la série depuis le début. Le T1 était déjà dans ma PAL, donc, aucune excuse !
Bonne lecture
Love Me, Kali
Gros COUP DE CŒUR !! Je m’attendais à aimer ma lecture. Après tout, le duo d’auteur ne m’a jamais déçue. Mais j’ai l’impression qu’à chaque nouvelle lecture elles mettent la barre plus haut !! Ce qui m’a frappé en premier lieu ici, c’est le niveau d’érotisme du roman. Si j’avais trouvé « Love me only », et plus récemment « Havana », très chaud… Je n’étais pas prête pour celui-là !! Et attention, on n’a pas de cul pour avoir du cul. Ici, le sexe à un réel rôle dans la relation entre nos deux personnages.
On rentre tout de suite dans l’histoire. On sent immédiatement la tension et la pression de la scène. En même temps on sent que le sexe débridé expose tout autant qu’il cache les personnages. Entre eux, l’attirance est aussi immédiate qu’elle semble problématique. Pour Daniel surtout. Alors que Jonathan cherche très vite à le revoir, Daniel malgré le pied monumental qu’il a pris ne veut pas. Le fait qu’ils soient un peu plus âgés que ce que l’on voit d’habitude est agréable. Ce sont des personnages mûrs, pas mâture XD, mais mûr. On voit qu’ils ont deux styles de vie, qu’ils viennent de deux mondes différents. Les parties de jambes en l’air sont vraiment super HOT. Que ce soit la première fois dans la chambre. Ou la seconde dans un lieu moins commun… (no spoil).
On a de nouveau les deux points de vue en narration. Ce qui nous permet de nous plonger un peu plus dans l’histoire et de mieux comprendre les personnages. On sent la tension et la passion fougueuse entre eux. Le désir impérieux et furieusement urgent qui les saisit à la moindre étincelle. Ils sont sarcastiques et j’aime les pics qu’ils se lancent en discutant. Ils ont du répondant et du mordant. On voit très vite une alchimie entre eux.Daniel, lui, a un côté très égocentré. On sent que ce n’est pas « juste » méchant, qu’il y a quelque chose derrière. Il est presque à l’opposé de Jonathan qui lui ne ferme aucune porte. Il tient à Daniel, il a envie d’être tendre, d’être proche. Mais il voit que ce n’est pas du tout le cas de Daniel. Il devient jaloux, brutal, aigrit. L’écart se creuse alors que leurs corps sont toujours plus proches.
Daniel a vraiment un sale caractère. On dirait ces chats qui présentent leur ventre pour des câlins, et dès qu’ils ont eu leurs caresses Nyark! Ils vous sautent dessus toute griffe dehors sans prévenir.
Je l’ai lu en deux jours. Encore une claque. J’y ai trouvé une passion folle et une tension exacerbée. Jonathan m’a sans doute plus touché que Daniel parce que peut-être j’ai l’impression d’en savoir plus sur lui vis-à-vis de ce qu’il a pu traverser. C’était totalement fou. J’ai enchaîné les pages à toute vitesse. Ce roman est avant tout une folle histoire de sexe. De passion. Qui va engendrer bien davantage que ne l’aurait dû. Une heure de débauche avec un inconnu et tout change. Que ce soit Jonathan ou Daniel j’ai aimé l’évolution des deux personnages et celui de leur histoire. On se demande si ça va aller. Comment ça va aller… il y avait tellement de choses qui pouvaient mal tourner ou au contraire bien aller ! J’ai été surprise plusieurs fois. S’il y a une chose qui ne m’a pas étonnée, c’est de retrouver une plume que j’adore ! Celle des deux auteurs . Dans ce gay for you torride et enflammé, j’ai eu le plaisir de trouver des personnages adultes ( pas toujours matures), mais plus âgés que ce que j’ai l’habitude de voir. Du coup ils ont eu une vie avant. Ils ont vécu leurs propres histoires et on voit que ça joue.
Je ne spoileria pas la fin mais j’ai adoré l’épilogue. Je reprendrais volontiers une dose torride de Jonathan et Daniel ! L’histoire se suffit totalement à elle-même, mais si le livre avait fait 200 pages de plus j’en aurai sans doute demandé davantage XD!! Merci encore aux auteurs pour cette pépite, avec une histoire qui fait vraie, des personnages entiers, nous livre un récit aussi hot que puissant et émouvant. Ça fait un bien fou. Alors, n’hésitez pas. Enregistrez-vous sur crusher et ouvrez cette porte d’entrée avec le C fluo sur la devanture.
On rentre tout de suite dans l’histoire. On sent immédiatement la tension et la pression de la scène. En même temps on sent que le sexe débridé expose tout autant qu’il cache les personnages. Entre eux, l’attirance est aussi immédiate qu’elle semble problématique. Pour Daniel surtout. Alors que Jonathan cherche très vite à le revoir, Daniel malgré le pied monumental qu’il a pris ne veut pas. Le fait qu’ils soient un peu plus âgés que ce que l’on voit d’habitude est agréable. Ce sont des personnages mûrs, pas mâture XD, mais mûr. On voit qu’ils ont deux styles de vie, qu’ils viennent de deux mondes différents. Les parties de jambes en l’air sont vraiment super HOT. Que ce soit la première fois dans la chambre. Ou la seconde dans un lieu moins commun… (no spoil).
On a de nouveau les deux points de vue en narration. Ce qui nous permet de nous plonger un peu plus dans l’histoire et de mieux comprendre les personnages. On sent la tension et la passion fougueuse entre eux. Le désir impérieux et furieusement urgent qui les saisit à la moindre étincelle. Ils sont sarcastiques et j’aime les pics qu’ils se lancent en discutant. Ils ont du répondant et du mordant. On voit très vite une alchimie entre eux.Daniel, lui, a un côté très égocentré. On sent que ce n’est pas « juste » méchant, qu’il y a quelque chose derrière. Il est presque à l’opposé de Jonathan qui lui ne ferme aucune porte. Il tient à Daniel, il a envie d’être tendre, d’être proche. Mais il voit que ce n’est pas du tout le cas de Daniel. Il devient jaloux, brutal, aigrit. L’écart se creuse alors que leurs corps sont toujours plus proches.
Daniel a vraiment un sale caractère. On dirait ces chats qui présentent leur ventre pour des câlins, et dès qu’ils ont eu leurs caresses Nyark! Ils vous sautent dessus toute griffe dehors sans prévenir.
Je l’ai lu en deux jours. Encore une claque. J’y ai trouvé une passion folle et une tension exacerbée. Jonathan m’a sans doute plus touché que Daniel parce que peut-être j’ai l’impression d’en savoir plus sur lui vis-à-vis de ce qu’il a pu traverser. C’était totalement fou. J’ai enchaîné les pages à toute vitesse. Ce roman est avant tout une folle histoire de sexe. De passion. Qui va engendrer bien davantage que ne l’aurait dû. Une heure de débauche avec un inconnu et tout change. Que ce soit Jonathan ou Daniel j’ai aimé l’évolution des deux personnages et celui de leur histoire. On se demande si ça va aller. Comment ça va aller… il y avait tellement de choses qui pouvaient mal tourner ou au contraire bien aller ! J’ai été surprise plusieurs fois. S’il y a une chose qui ne m’a pas étonnée, c’est de retrouver une plume que j’adore ! Celle des deux auteurs . Dans ce gay for you torride et enflammé, j’ai eu le plaisir de trouver des personnages adultes ( pas toujours matures), mais plus âgés que ce que j’ai l’habitude de voir. Du coup ils ont eu une vie avant. Ils ont vécu leurs propres histoires et on voit que ça joue.
Je ne spoileria pas la fin mais j’ai adoré l’épilogue. Je reprendrais volontiers une dose torride de Jonathan et Daniel ! L’histoire se suffit totalement à elle-même, mais si le livre avait fait 200 pages de plus j’en aurai sans doute demandé davantage XD!! Merci encore aux auteurs pour cette pépite, avec une histoire qui fait vraie, des personnages entiers, nous livre un récit aussi hot que puissant et émouvant. Ça fait un bien fou. Alors, n’hésitez pas. Enregistrez-vous sur crusher et ouvrez cette porte d’entrée avec le C fluo sur la devanture.
Gros COUP DE CŒUR !! Je m’attendais à aimer ma lecture. Après tout, le duo d’auteur ne m’a jamais déçue. Mais j’ai l’impression qu’à chaque nouvelle lecture elles mettent la barre plus haut !!
Ce qui m’a frappé en premier lieu ici, c’est le niveau d’érotisme du roman. Si j’avais trouvé « Love me only », et plus récemment « Havana », très chaud… Je n’étais pas prête pour celui-là !! Et attention, on n’a pas de cul pour avoir du cul. Ici, le sexe à un réel rôle dans la relation entre nos deux personnages.
On rentre tout de suite dans l’histoire. On sent immédiatement la tension et la pression de la scène. En même temps on sent que le sexe débridé expose tout autant qu’il cache les personnages. Entre eux, l’attirance est aussi immédiate qu’elle semble problématique. Pour Daniel surtout. Alors que Jonathan cherche très vite à le revoir, Daniel malgré le pied monumental qu’il a pris ne veut pas. Le fait qu’ils soient un peu plus âgés que ce que l’on voit d’habitude est agréable. Ce sont des personnages mûrs, pas mâture XD, mais mûr. On voit qu’ils ont deux styles de vie, qu’ils viennent de deux mondes différents. Les parties de jambes en l’air sont vraiment super HOT. Que ce soit la première fois dans la chambre. Ou la seconde dans un lieu moins commun… (no spoil). On a de nouveau les deux points de vue en narration. Ce qui nous permet de nous plonger un peu plus dans l’histoire et de mieux comprendre les personnages.
On sent la tension et la passion fougueuse entre eux. Le désir impérieux et furieusement urgent qui les saisit à la moindre étincelle. Ils sont sarcastiques et j’aime les pics qu’ils se lancent en discutant. Ils ont du répondant et du mordant. On voit très vite une alchimie entre eux.Daniel, lui, a un côté très égocentré. On sent que ce n’est pas « juste » méchant, qu’il y a quelque chose derrière. Il est presque à l’opposé de Jonathan qui lui ne ferme aucune porte. Il tient à Daniel, il a envie d’être tendre, d’être proche. Mais il voit que ce n’est pas du tout le cas de Daniel. Il devient jaloux, brutal, aigrit. L’écart se creuse alors que leurs corps sont toujours plus proches. Daniel a vraiment un sale caractère. On dirait ces chats qui présentent leur ventre pour des câlins, et dès qu’ils ont eu leurs caresses Nyark! Ils vous sautent dessus toute griffe dehors sans prévenir.
Je l’ai lu en deux jours. Encore une claque. J’y ai trouvé une passion folle et une tension exacerbée. Jonathan m’a sans doute plus touché que Daniel parce que peut-être j’ai l’impression d’en savoir plus sur lui vis-à-vis de ce qu’il a pu traverser. C’était totalement fou. J’ai enchaîné les pages à toute vitesse. Ce roman est avant tout une folle histoire de sexe. De passion. Qui va engendrer bien davantage que ne l’aurait dû. Une heure de débauche avec un inconnu et tout change. Que ce soit Jonathan ou Daniel j’ai aimé l’évolution des deux personnages et celui de leur histoire. On se demande si ça va aller. Comment ça va aller… il y avait tellement de choses qui pouvaient mal tourner ou au contraire bien aller ! J’ai été surprise plusieurs fois. S’il y a une chose qui ne m’a pas étonnée, c’est de retrouver une plume que j’adore ! Celle des deux auteurs . Dans ce gay for you torride et enflammé, j’ai eu le plaisir de trouver des personnages adultes ( pas toujours matures), mais plus âgés que ce que j’ai l’habitude de voir. Du coup ils ont eu une vie avant. Ils ont vécu leurs propres histoires et on voit que ça joue.
Je ne spoileria pas la fin mais j’ai adoré l’épilogue. Je reprendrais volontiers une dose torride de Jonathan et Daniel ! L’histoire se suffit totalement à elle-même, mais si le livre avait fait 200 pages de plus j’en aurai sans doute demandé davantage XD!! Merci encore aux auteurs pour cette pépite, avec une histoire qui fait vraie, des personnages entiers, nous livre un récit aussi hot que puissant et émouvant. Ça fait un bien fou. Alors, n’hésitez pas. Enregistrez-vous sur crusher et ouvrez cette porte d’entrée avec le C fluo sur la devanture.
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Ce qui m’a frappé en premier lieu ici, c’est le niveau d’érotisme du roman. Si j’avais trouvé « Love me only », et plus récemment « Havana », très chaud… Je n’étais pas prête pour celui-là !! Et attention, on n’a pas de cul pour avoir du cul. Ici, le sexe à un réel rôle dans la relation entre nos deux personnages.
On rentre tout de suite dans l’histoire. On sent immédiatement la tension et la pression de la scène. En même temps on sent que le sexe débridé expose tout autant qu’il cache les personnages. Entre eux, l’attirance est aussi immédiate qu’elle semble problématique. Pour Daniel surtout. Alors que Jonathan cherche très vite à le revoir, Daniel malgré le pied monumental qu’il a pris ne veut pas. Le fait qu’ils soient un peu plus âgés que ce que l’on voit d’habitude est agréable. Ce sont des personnages mûrs, pas mâture XD, mais mûr. On voit qu’ils ont deux styles de vie, qu’ils viennent de deux mondes différents. Les parties de jambes en l’air sont vraiment super HOT. Que ce soit la première fois dans la chambre. Ou la seconde dans un lieu moins commun… (no spoil). On a de nouveau les deux points de vue en narration. Ce qui nous permet de nous plonger un peu plus dans l’histoire et de mieux comprendre les personnages.
On sent la tension et la passion fougueuse entre eux. Le désir impérieux et furieusement urgent qui les saisit à la moindre étincelle. Ils sont sarcastiques et j’aime les pics qu’ils se lancent en discutant. Ils ont du répondant et du mordant. On voit très vite une alchimie entre eux.Daniel, lui, a un côté très égocentré. On sent que ce n’est pas « juste » méchant, qu’il y a quelque chose derrière. Il est presque à l’opposé de Jonathan qui lui ne ferme aucune porte. Il tient à Daniel, il a envie d’être tendre, d’être proche. Mais il voit que ce n’est pas du tout le cas de Daniel. Il devient jaloux, brutal, aigrit. L’écart se creuse alors que leurs corps sont toujours plus proches. Daniel a vraiment un sale caractère. On dirait ces chats qui présentent leur ventre pour des câlins, et dès qu’ils ont eu leurs caresses Nyark! Ils vous sautent dessus toute griffe dehors sans prévenir.
Je l’ai lu en deux jours. Encore une claque. J’y ai trouvé une passion folle et une tension exacerbée. Jonathan m’a sans doute plus touché que Daniel parce que peut-être j’ai l’impression d’en savoir plus sur lui vis-à-vis de ce qu’il a pu traverser. C’était totalement fou. J’ai enchaîné les pages à toute vitesse. Ce roman est avant tout une folle histoire de sexe. De passion. Qui va engendrer bien davantage que ne l’aurait dû. Une heure de débauche avec un inconnu et tout change. Que ce soit Jonathan ou Daniel j’ai aimé l’évolution des deux personnages et celui de leur histoire. On se demande si ça va aller. Comment ça va aller… il y avait tellement de choses qui pouvaient mal tourner ou au contraire bien aller ! J’ai été surprise plusieurs fois. S’il y a une chose qui ne m’a pas étonnée, c’est de retrouver une plume que j’adore ! Celle des deux auteurs . Dans ce gay for you torride et enflammé, j’ai eu le plaisir de trouver des personnages adultes ( pas toujours matures), mais plus âgés que ce que j’ai l’habitude de voir. Du coup ils ont eu une vie avant. Ils ont vécu leurs propres histoires et on voit que ça joue.
Je ne spoileria pas la fin mais j’ai adoré l’épilogue. Je reprendrais volontiers une dose torride de Jonathan et Daniel ! L’histoire se suffit totalement à elle-même, mais si le livre avait fait 200 pages de plus j’en aurai sans doute demandé davantage XD!! Merci encore aux auteurs pour cette pépite, avec une histoire qui fait vraie, des personnages entiers, nous livre un récit aussi hot que puissant et émouvant. Ça fait un bien fou. Alors, n’hésitez pas. Enregistrez-vous sur crusher et ouvrez cette porte d’entrée avec le C fluo sur la devanture.
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Une lecture agréable mais qui reste trop en surface. Les personnages manquent de consistance et ne sont pas assez creusés, quelques trop grosses ficelles scénaristiques (notamment la coïncidence énorme de les voir se retrouver à une réunion d’ancien élève), et la scène du jeu de rôle qui m’a semblé sortir de nulle part et n’être là que pour rajouter une scène de sexe supplémentaire et qui sorte un peu de l’ordinaire. A vouloir mettre trop de scènes de sexe, on en perd un peu l’essentiel : voir la relation se construire. C’est dommage.
Et si le temps d'un été, votre vie prenait un tournant immédiat vers une rencontre qui boulverserait à jamais votre existence. Vous Laisseriez-vous tenter ? À vous de faire votre choix. Mais sachez que sous la chaleur écrasante de Cuba Amyas et Kael ont fait leurs choix.
Nous faisons ici la rencontre d'Amyas, 35 ans, artiste sculpteur qui a perdu la superbe de son art. Il revient donc à La Havane, dans la maison de son enfance pour se changer l'esprit et tenter de retrouver sa créativité perdu. Mais il n'est pas seul dans cette maison. En effet, Camilla, sa sœur, et sa famille ont décidés eux aussi de profiter de la maison familiale.
C'est à ce moment qu'arrive Kael, 20 ans, un jeune homme plein de vie qui ne demande qu'à découvrir le monde par lui même mais qui est emprisonné comme un oiseau en cage par la sur protection de son père, Emmett, qui est le compagnon de Camilla
Entre la relation père fils déplorable et la haine commune qu'éprouve Amyas et Emmett l'un envers l'autre, la maison familiale est sous tension et promet des disputes intenses et une atmosphère opressente. Pourtant, de cette situation fleuri une attirance immédiate qui va faire renaître l'inspiration chez l'un et ouvrir la porte de la cage doré de l'autre.
C’est une romance très sensuelle qui intervient tout de suite entre Amyas et Kael, ce qui nous offrent des scènes muy Caliente. En plus de ça, nous avons une vraie description de l'environnement qui nous entoure on a l'impression de voyager avec eux et de découvrir les belles rues de Cuba.
C'est une histoire qui nous dicte de se donner sa chance, où l’amour entre deux hommes avec une grande différence d'âge devient envisageable. Ou entre en conflit de multiples thèmes différents, conflits, maladie, art, famille, amour etc... C'est une belle histoire pour l'été qui peut largement plaire à beaucoup de monde.
Cependant, malgré la fluidité de la plume, la description de l'environnement, mon amour pour les titres qui parlent de différence d'âge et l'évolution des thématiques et de la romance, j'ai eu du mal à totalement m'immerger et être à l'aise pendant ma lecture. Mon malaise c'est instauré pendant la première scène de rapprochement physique entre Amyas et Kael.
Pendant cette scène, pour la toute première fois je me suis mise à la place d'Emmett, alors que ce dernier ne savais rien et ne s'imaginait rien j'ai entrevue les réactions qu'il pourrait avoir et je me suis sentie gênée, freinée dans cette relation qui n'était à première vue, uniquement physique pour l'un. Ce point, évolue énormément mais je n'ai jamais pu oublier le sentiment qui m'a animé à ce moment là.
Et je pense que ça c'est aussi accentué du fait que Amyas était toujours avec sa femme à se moment là, certe en froid, mais logiquement toujours avec elle. J'aurais pu mettre sa sur le dos d'une amourette d'été mais ça a eu du mal à passer. Mais j'ai quand même aimé mon voyage, l'évolution apporté et le fait qu'on aborde tout un tas de thématiques en profondeur malgré mon resentiment du début. Et sa les auteurs n'y sont pour rien c'est uniquement un point de vue et un ressenti très personnel qui ne concerne que moi.
En conclusion, je ressort de cette lecture avec un sentiment mitigé du à mon malaise que je ne saurais parfaitement décrire, je déteste ressentir se genre de chose, d'autant plus que le soucis viens de ma propre perception. Mais c'est avant tout une lecture parfaite pour l'été qui aborde des sujets importants et diversifiés avec une belle immersion au cœur de Cuba.
Nous faisons ici la rencontre d'Amyas, 35 ans, artiste sculpteur qui a perdu la superbe de son art. Il revient donc à La Havane, dans la maison de son enfance pour se changer l'esprit et tenter de retrouver sa créativité perdu. Mais il n'est pas seul dans cette maison. En effet, Camilla, sa sœur, et sa famille ont décidés eux aussi de profiter de la maison familiale.
C'est à ce moment qu'arrive Kael, 20 ans, un jeune homme plein de vie qui ne demande qu'à découvrir le monde par lui même mais qui est emprisonné comme un oiseau en cage par la sur protection de son père, Emmett, qui est le compagnon de Camilla
Entre la relation père fils déplorable et la haine commune qu'éprouve Amyas et Emmett l'un envers l'autre, la maison familiale est sous tension et promet des disputes intenses et une atmosphère opressente. Pourtant, de cette situation fleuri une attirance immédiate qui va faire renaître l'inspiration chez l'un et ouvrir la porte de la cage doré de l'autre.
C’est une romance très sensuelle qui intervient tout de suite entre Amyas et Kael, ce qui nous offrent des scènes muy Caliente. En plus de ça, nous avons une vraie description de l'environnement qui nous entoure on a l'impression de voyager avec eux et de découvrir les belles rues de Cuba.
C'est une histoire qui nous dicte de se donner sa chance, où l’amour entre deux hommes avec une grande différence d'âge devient envisageable. Ou entre en conflit de multiples thèmes différents, conflits, maladie, art, famille, amour etc... C'est une belle histoire pour l'été qui peut largement plaire à beaucoup de monde.
Cependant, malgré la fluidité de la plume, la description de l'environnement, mon amour pour les titres qui parlent de différence d'âge et l'évolution des thématiques et de la romance, j'ai eu du mal à totalement m'immerger et être à l'aise pendant ma lecture. Mon malaise c'est instauré pendant la première scène de rapprochement physique entre Amyas et Kael.
Pendant cette scène, pour la toute première fois je me suis mise à la place d'Emmett, alors que ce dernier ne savais rien et ne s'imaginait rien j'ai entrevue les réactions qu'il pourrait avoir et je me suis sentie gênée, freinée dans cette relation qui n'était à première vue, uniquement physique pour l'un. Ce point, évolue énormément mais je n'ai jamais pu oublier le sentiment qui m'a animé à ce moment là.
Et je pense que ça c'est aussi accentué du fait que Amyas était toujours avec sa femme à se moment là, certe en froid, mais logiquement toujours avec elle. J'aurais pu mettre sa sur le dos d'une amourette d'été mais ça a eu du mal à passer. Mais j'ai quand même aimé mon voyage, l'évolution apporté et le fait qu'on aborde tout un tas de thématiques en profondeur malgré mon resentiment du début. Et sa les auteurs n'y sont pour rien c'est uniquement un point de vue et un ressenti très personnel qui ne concerne que moi.
En conclusion, je ressort de cette lecture avec un sentiment mitigé du à mon malaise que je ne saurais parfaitement décrire, je déteste ressentir se genre de chose, d'autant plus que le soucis viens de ma propre perception. Mais c'est avant tout une lecture parfaite pour l'été qui aborde des sujets importants et diversifiés avec une belle immersion au cœur de Cuba.
Un duo que j’aime beaucoup donc dès l’annonce de ce roman, je savais que j’allais foncer ! J’ai mis le temps, mais je ne suis pas déçu. Un excellent moment !
Amyas s’est envolé pour Cuba pour du repos et trouver une nouvelle inspiration qui va se concrétiser sous la forme d’un beau jeune homme. Kael veut vivre et va découvrir cela avec son oncle par alliance. Entre désirs, Havane et famille, découvrez une histoire artistique et remplie d’érotisme.
Deux hommes qui ont trouvé un écho de leur envie en un regard. Même s’il faudra plusieurs jours, pour qu’ils se lancent, nous le ressentons ainsi dès le départ. C’est fort, intense et chaud. Mais ils sont plus que ça. C’est une résonance entre deux cœurs, une découverte de deux corps et l’épanouissement d’un amour.
Amyas est un adulte, un mari, un père de famille et un artiste. Il vit librement, ne s’intéresse pas au jugement des autres et peut-être catalogué d’égoïste. Mais c’est un héros qu’on aime découvrir, je l’ai trouvé hyper intéressant et voir son évolution était juste parfaite.
Kael est plus jeune et innocent. Mais parce qu’on l’empêche de vivre pour lui. On va assister à l’émancipation d’un garçon et on aime ça ! Il est pur et franc dans ses sentiments et c’est vraiment rafraîchissant.
Une relation qui s’annonçait difficile : une différence d’âge, un lien familial par alliance, un écart géographique. Rien ne sera simple, mais c’est une évidence et ils vont nous le prouver. Je les ai adorés. Je n’ai pas d’autres mots.
Une romance, mais aussi des aspects familiaux avec la relation contraignante entre Kael et son père, une relation qui se termine entre Amyas et sa femme. Un monde d’art, de muse et une ambiance cubaine. Tout est réuni pour vous faire passer un bon moment. Pour ma part ce fut le cas et je ne regrette pas.
Un plaisir de retrouver ces deux plumes que j’aime énormément. Des titres qui ne se ressemblent pas, et qui me transportent à chaque fois. Alors on ne déroge pas à la règle et je vous recommande fortement cette histoire !
Lien : https://www.la-bibliophilie-..
Amyas s’est envolé pour Cuba pour du repos et trouver une nouvelle inspiration qui va se concrétiser sous la forme d’un beau jeune homme. Kael veut vivre et va découvrir cela avec son oncle par alliance. Entre désirs, Havane et famille, découvrez une histoire artistique et remplie d’érotisme.
Deux hommes qui ont trouvé un écho de leur envie en un regard. Même s’il faudra plusieurs jours, pour qu’ils se lancent, nous le ressentons ainsi dès le départ. C’est fort, intense et chaud. Mais ils sont plus que ça. C’est une résonance entre deux cœurs, une découverte de deux corps et l’épanouissement d’un amour.
Amyas est un adulte, un mari, un père de famille et un artiste. Il vit librement, ne s’intéresse pas au jugement des autres et peut-être catalogué d’égoïste. Mais c’est un héros qu’on aime découvrir, je l’ai trouvé hyper intéressant et voir son évolution était juste parfaite.
Kael est plus jeune et innocent. Mais parce qu’on l’empêche de vivre pour lui. On va assister à l’émancipation d’un garçon et on aime ça ! Il est pur et franc dans ses sentiments et c’est vraiment rafraîchissant.
Une relation qui s’annonçait difficile : une différence d’âge, un lien familial par alliance, un écart géographique. Rien ne sera simple, mais c’est une évidence et ils vont nous le prouver. Je les ai adorés. Je n’ai pas d’autres mots.
Une romance, mais aussi des aspects familiaux avec la relation contraignante entre Kael et son père, une relation qui se termine entre Amyas et sa femme. Un monde d’art, de muse et une ambiance cubaine. Tout est réuni pour vous faire passer un bon moment. Pour ma part ce fut le cas et je ne regrette pas.
Un plaisir de retrouver ces deux plumes que j’aime énormément. Des titres qui ne se ressemblent pas, et qui me transportent à chaque fois. Alors on ne déroge pas à la règle et je vous recommande fortement cette histoire !
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Depuis un moment cette trilogie me faisait de l’œil et je me suis finalement laissée tenter. Je ne m’attendais pas à ça.
Fan de romance MxM je me suis dis que l’histoire allait tourner autour d’amis qui se découvrent des sentiments puis voilà. Donc j’ai commencé ma lecture sans attentes particulières et finalement impossible de fermer ce livre avant le mot Fin.
Rockbury c’est la petite bourgade du Vermont qui semble assez paisible. On y découvre Phoenix et Benji des amis/frères qui m’ont charmé dès le début.
Phoenix est le chérif adjoint, il est charismatique, un poil psychorigide mais son métier veut ça. Il m’a beaucoup plu par sa prestance mais également son altruisme. C’est grâce à Benji et sa famille ainsi que certaines épreuves de la vie qu’il a su évoluer et devenir cet homme fidèle et posé. J’ai adoré.
Benji est moins sérieux mais tout aussi sympathique. Il est avenant, dragueur, enjoué, il dégage quelque chose de sympathique. Avec Phoenix ils sont tellement un tout complémentaire et complice que leur amitié est magnifique.
J’aime la sincérité des échanges de cette histoire. J’ai eu l’impression de faire partie de la ville de Rockbury et d’arpenter les rues avec ses habitants. Sous son air de petite ville tranquille, l’histoire nous emmène à la découverte de personnalités singulières et de mystères. J’ai été agréablement surprise par les rebondissements et les sujets abordés m’ont beaucoup émus. Les auteures nous parlent de choses difficile sans rentrer dans le mélodrame ni dans le trash.
L’évolution de la relation Phoenix/ Benji est périlleuse, on passe pas beaucoup d’émotions et en même temps j’ai su que la fin sera à la hauteur de mes attentes.
Au delà des doutes et des peurs, les auteures ont, pour moi, transmis un beau message d’espoir et d’affirmation de soi.
J’ai dévoré cette lecture et comme Rockbury se décompose en 3 tomes (qui peuvent être lu séparément) je fonce lire le suivant.
Lien : https://wordsoflovebooks.jim..
Fan de romance MxM je me suis dis que l’histoire allait tourner autour d’amis qui se découvrent des sentiments puis voilà. Donc j’ai commencé ma lecture sans attentes particulières et finalement impossible de fermer ce livre avant le mot Fin.
Rockbury c’est la petite bourgade du Vermont qui semble assez paisible. On y découvre Phoenix et Benji des amis/frères qui m’ont charmé dès le début.
Phoenix est le chérif adjoint, il est charismatique, un poil psychorigide mais son métier veut ça. Il m’a beaucoup plu par sa prestance mais également son altruisme. C’est grâce à Benji et sa famille ainsi que certaines épreuves de la vie qu’il a su évoluer et devenir cet homme fidèle et posé. J’ai adoré.
Benji est moins sérieux mais tout aussi sympathique. Il est avenant, dragueur, enjoué, il dégage quelque chose de sympathique. Avec Phoenix ils sont tellement un tout complémentaire et complice que leur amitié est magnifique.
J’aime la sincérité des échanges de cette histoire. J’ai eu l’impression de faire partie de la ville de Rockbury et d’arpenter les rues avec ses habitants. Sous son air de petite ville tranquille, l’histoire nous emmène à la découverte de personnalités singulières et de mystères. J’ai été agréablement surprise par les rebondissements et les sujets abordés m’ont beaucoup émus. Les auteures nous parlent de choses difficile sans rentrer dans le mélodrame ni dans le trash.
L’évolution de la relation Phoenix/ Benji est périlleuse, on passe pas beaucoup d’émotions et en même temps j’ai su que la fin sera à la hauteur de mes attentes.
Au delà des doutes et des peurs, les auteures ont, pour moi, transmis un beau message d’espoir et d’affirmation de soi.
J’ai dévoré cette lecture et comme Rockbury se décompose en 3 tomes (qui peuvent être lu séparément) je fonce lire le suivant.
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