AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Sylvie Granotier (131)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Faits divers

Six nouvelles de six autrices, un petit aperçu du polar au féminin. Je me souviens avoir passé un bon moment avec ces textes, l’ensemble a fait l’objet d’une adaptation en feuilleton de six épisodes sur France Culture.



Je me rappelle bien de certaines histoires, La Grosse de Sandrine Collette est sans doute la plus marquante avec son personnage féminin, de femme recluse, naïve (en apparence) qui offre aux lecteurs, une fin terrible et succulente ?!

J’ai aimé suivre le parcours d’autres protagonistes comme les passagers du Train d'enfer de Ingrid Desjours, ou la petite journaliste sympathique de Gloria post mortem de Danielle Thiery. Les intrigues sont aussi bien menées et plaisantes à suivre dans La mariée rouge de Elsa Marpeau et Le beau parleur de Dominique Sylvain. En revanche, il me reste une impression plus floue sur la nouvelle Une mère de Sylvie Granotier, j’avais moins accroché à cette histoire.



En conclusion, j’ai apprécié cette découverte et je trouve le format de la nouvelle plaisant, surtout quand l’exercice est bien maîtrisé.
Commenter  J’apprécie          22
Cette fille est dangereuse

Un recueil de nouvelles aussi diabiliques les unes que les autres, nouvelles où les femmes tiennent le premier role plus pour le pire que pour le meilleur.



Des histoires bien menées, orginales, assez variées et toutes de belles qualités, contrairement à certains recueils.



Seule la dernière nouvelle qui donne le titre au livre ne m'a pas convaincue. Pour le reste j'ai vraiment passé un bon moment de lecture, contente d'avoir sorti ce livre de ma PAL où il attendait depuis fort longtemps.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
Commenter  J’apprécie          00
Double Je

Le résumé m'intriguait beaucoup, mais une fois commencé le livre, impossible de rentrer dedans .

Il y a quelque chose dans l'écriture qui m'empêche d'être à l'aise, qui fait que je n'arrive pas du tout à suivre.

Dommage, je trouvais le résumé prometteur....

Commenter  J’apprécie          00
Tuer n'est pas jouer

Bonjour,



Voici un roman policier que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Tuer n'est pas jouer" de Sylvie Granotier aux éditions livre de poche.



Un acteur non moins célèbre, Michel Leman, vient au commissariat annoncer la mort de sa femme. Mais étant acteur, personne ne le croit car il tourne en ce moment même un film avec sa femme inspiré de leur vie commune. Il va alors raconter sous forme de confession, sa rencontre avec l'énigmatique Juliette et ses turpitudes qui l'amèneront jusqu'au meurtre.



J'ai bien aimé ce roman policier. On en apprends suffisamment sur les comportements des acteurs, sur tout ce qui touche au cinéma. Y'en a pas assez à mon goût mais c'est suffisant pour se faire une idée simple des personnages. Etre acteur, c'est faire semblant, au point parfois de se mélanger entre cinéma et réalité.



Michel trouvera en Juliette une vraie groupie, qui va le suivre et l'aimer à la folie, devenant sa secrétaire parfaite et jusqu'à épouser son héros à elle. Michel se consacrera à sa carrière au point de lui délaisser le quotidien et de se laisser entraîner dans des situations qu'il aura du mal à maîtriser, seuls son jeu d'acteur et ses rôles lui importent.



Le texte est écrit du point de vue de Michel qui sent la manipulation mentale de sa femme s'opérer en lui. Mais étant dans un thriller psychologique, est-il réellement manipulé ou s'imagine-t-il des choses jusqu'à en perdre la tête ? Cette partie du livre est très bien amenée, à aucun moment on n'imagine pareille situation. Jusqu'à la fin, il s'agit de notre couple et de leur désir façon "je t'aime, je te hais". L'ambivalence de leur relation est mise en avant et rythme leur histoire de coeur.



Un bon petit roman que j'ai aimé lire, mais sans me provoquer plus de plaisir que cela. Le sujet sur la machination d'une femme pour manipuler son homme ne m'a pas particulièrement embrasé. Je regrette que les parties traitant du théâtre ne soient pas plus développées. Le rôle de Juliette en femme mystérieuse est absolument parfait. Ce roman a un petit coté suspense qui ne me déplait pas.



Bonne lecture amis Lecteurs
Lien : https://lecture-chronique.bl..
Commenter  J’apprécie          30
La rigole du diable

La rigole du diable /Sylvie Granotier

Ce roman est assez bien écrit, mais sans véritable style : ce n’est pas de la littérature ; comme l’on dit d’autres testeurs, c’est un scénario, un script en vue d’un film qui pourrait ne pas être mal du tout.

L’écriture est alerte, toujours neutre, simple, parfois peu travaillée. C’est un peu la mode actuelle.

Au début il est un peu difficile de s’y retrouver : l’histoire est confuse et embrouillée et le lien entre les différents chapitres se fait mal. La construction est délicate et pèche un peu dans l’espace et le temps. Par moments, on ne sait plus très bien où l’on va : le récit se perd dans les détails et les digressions et s’essouffle. Disons qu’il est frappé d’arythmie avec des hauts et des bas.

Le dernier tiers du livre est plus soutenu et plus passionnant et l’intrigue résiste bien à la question de savoir qui est le coupable. L’héroïne, Catherine, est une jeune avocate branchée, libérée qui nous fait découvrir un monde que le profane connaît mal. Avec quelques passages assez cinglants : « La technique de l’avocat : toujours exiger mieux d’emblée, faire chier par principe, imposer un rapport de force, se situer comme dominant et obtenir le respect. C’est aussi une manière de s’aguerrir car l’avocat ne doit jamais craindre de déclencher l’hostilité. »

Catherine est le seul personnage avec peut-être Myriam (et encore !) a posséder un peu de charisme. Par contre, on ne voit pas du tout qui peut vraiment être Cédric. Et pourtant, il occupe une place importante dans l’histoire.

Quelques bonnes phrases : « Le sarcasme, c’est la mauvaise humeur qui cherche à faire de l’esprit. »

« Les femmes ont l’art des échanges insignifiants où les paroles importent peu mais marquent le lien, l’échange, la communauté. »

« Dans la vie, il n’y a pas de hasard mais des panneaux fléchés à intervalles. Notre seule liberté consiste à choisir de les suivre ou de passer outre. »

En conclusion, un roman qui se laisse lire, avec de bons passages, sans être inoubliable.

Commenter  J’apprécie          10
Les petits polars du Monde

Retrouvé dans un improbable arrière rayon de ma bibliothèque, un exemplaire de cette collection dont jai dû un moment posséder l'intégralité. Mais comme le dit si bien Michele Mari, nous sommes des "dilapideurs". J'essaye de me remémorer la façon dont les autres opuscules ont disparus. Un déménageur peu scrupuleux ? Des emprunteurs indélicats ? La poubelle jaune ? Que sais-je encore ?

Je me plonge dans la lecture des Négatifs de la Canebière de Didier Daeninckx avec d'autant plus de plaisir.

Une lecture complète jusqu'aux indications relatives à l'impression , en Italie, chez Grafica Veneta en juillet 2012.

"Ce livre est imprimé grâce au soleil, par la première société au monde à zéro émission carbone."

On ne plaisante pas avec ces choses dans mon quotidien favori du soir.



L'histoire se lit comme on mange une truffe en chocolat de mère-grand. On retrouve tous les ingrédients au fur et à mesure de la mastication.

Un exercice de style réalisé sans difficulté et avec plaisir.

La période trouble de l'occupation dans le sud de la France. Des collabos passant leur temps à dépouiller des familles juives. Une milice qui en fait plus que la Gestapo. Des personnages sur mesure à peine plus caricaturaux que la réalité des exécutants de l'époque.

Emile Galande un critique littéraire au journal l'Emancipation, un intellectuel (?) matiné cochon d'Inde. Sa Bugatti Atlantic équipée de pneus à flancs blancs. Chloé Valmiérini, sa maîtresse, la soeur de Charles alias Rossignol pour ses talents de siffleur.

Bagaluti, le garde du corps analphabète. Bilhartz, l'Allemand aux paluches de catcheur qui joue du piano. Les frères Scoumoune, des Corses versés dans l'exploitation d'hôtels haut de gamme de la station de ski de Chamonix -putes et came à discrétion-

Accident ou un crime crapuleux ? La mort de Chloé, mobilise le commissaire Plisnar qui n'hésite pas à se mettre à dos, Rossignol chef du Groupe Action du parti Populaire Français, qui traite les suspects dans la prison privée de sa villa Conchita boulevard Carnot.

Un récit mené à la hussarde sur fond de débarquement allié, l'opération Dragoon entre Toulon et Cannes le 15 août 1944.

Malgré le nombre réduit de pages, Daeninckx nous livre une somme considérable d'informations sur la période de la fin de la guerre. Il joue à merveille des volte faces des résistants de la dernière heure, des libérations de prison par la résistance où la confusion entre droits communs et politiques est une aubaine pour certains.

Le suspect du meurtre est-il coupable ? le procés en appel se tient malgré la pression des événements.

Un retournement de situation intervient dans les dernières lignes, qui fait de ce récit court et concentré l'équivalent d'un roman qui n'aurait pas été à son terme.

Du pur Daeninckx, avec tous les ingrédients, justement salé et poivré, épicé comme il se doit pour notre plus grand bonheur.





Commenter  J’apprécie          182
Un monde idéal



Un thriller dans lequel une jeune parisienne convertie à l'islam se radicalise. Le scénario est intéressant mais donne à certains moments l'impression de patiner, et il reste beaucoup de zones d'ombres à la fin, tant sur l'histoire principale que sur ses "à coté" (comment et pourquoi cette jeune femme a t elle été happée par ce complot ? pourquoi et par qui l'avocate est elle piégée par une sex tape ? pourquoi ces meurtres qui paraissent gratuits ?) Une première impression d'écriture riche en second degré et en complicité avec le lecteur, qui s'amenuise ensuite : peut être l'effet de l'accoutumance, ou d'un style effectivement plus pesant ? Au total, un roman sympathique, sans plus.
Commenter  J’apprécie          00
Personne n'en saura rien

Gagnant, en 2015, du prix Mauvais genres instauré par France Culture et Le Nouvel Observateur, le roman Personne n’en saura rien échappe à tout classement de type polar ou suspense, en dépit du bandeau ornant sa couverture. Ces indications peuvent parfois causer des déceptions, mais ce ne fut pas le cas pour ma part. J’ai apprécié ma lecture, agréablement surprise par l’originalité du traitement d’un thème maintes fois exploité dans la littérature, mais aussi par sa construction et son écriture dépouillée qui sert très bien le propos. Je l’ai lu assez rapidement, emportée dans ce face à face entre une victime et son agresseur, chacun s’exprimant à tour de rôle, la première tissant sa toile vengeresse autour du second, celui-ci presque repentant mais taisant l’essentiel.

Une découverte intéressante d’une autrice prolifique dont il reste beaucoup à lire.

Commenter  J’apprécie          120
Belle à tuer

Pierre, commissaire à Paris, part chez des amis dans la Creuse et rencontre Ariane, une mystérieuse bibliothécaire.

Je n'ai pas de difficulté à résumer ma lecture : ennuyeuse. Il n'y a pas vraiment d'intrigue, les personnages sont mous et n'apportent rien à l'histoire.

Pierre ne voit pas les évidences, ne réfléchit pas plus que ça. Il n'est pas vraiment crédible vu sa profession.

La fin m'a un peu surprise mais je l'ai trouvé nulle.

A fuir.







Commenter  J’apprécie          10
Dodo

Une SDF désabusée, un groupe d’amis de la rue, une histoire qu’elle commence à leur raconter et qui la replonge dans un passé surprenant.

L’histoire n’est pas forcément originale et le style n’est pas terrible. Quelques pages, à certains moments, semblent bénéficier d’un petit état de grâce et sont touchantes mais elles sont rares.

Les rebondissements sont là parce qu’il en faut et l’histoire dans son ensemble ne tient pas la route.
Commenter  J’apprécie          20
Le passé n'oublie jamais

Peu d'éléments biographiques sur l'héroïne, pas même son nom. Son mari et son fils sont morts et elle décortique des faits divers. Etablir la culpabilité ou l'innocence d'un suspect n'est pas son but, le sensationnalisme non plus. Elle s'intéresse à des individus ordinaires devenus acteurs d'événements extraordinaires trop grands pour eux. Elle veut comprendre le rôle et la responsabilité de l'individu dans l'histoire humaine, comment placé en situation-limite, il peut basculer. Elle ne prétend pas traquer la vérité, mais seulement les faits car seule la justice ose affirmer qu'établir les faits, c'est établir la vérité, en réalité bien plus complexe. Son thème favori : la mémoire est-elle une source de désinformation ?





Elle rencontre Franck Anger à la Santé. Il y attend son extradition vers les Etats-Unis où il est soupçonné du meurtre de sa première épouse. Ecrivain de polars ultra-violents, né Francis Towne, il a fui en France, adopté un nouveau nom, continue à écrire mollement. Mais voilà, sa seconde femme, Sigrid, a elle aussi disparu... Franck/Francis accepte de collaborer avec l'enquêtrice-journaliste, et de lui raconter sa vie.





Vérité ? Manipulation ? Les trous noirs dans la vie de Franck sont vertigineux, l'enquêtrice file à San Francisco, Los Angeles pour rencontrer ceux qui l'ont connu et se trouve rapidement convaincue que la part d'ombre de Franck repose sur un drame vécu dans son enfance. De révélation en révélation, l'ordre et la cohérence de l'histoire, longtemps invisibles, apparaissent.





Sylvie Granotier propose une belle évocation des années 70, du mouvement hippie peace and love et flowers dans les cheveux, des communautés, de la contre-culture, qui promettaient une vie en forme d'hymne à la joie à de jeunes gens souhaitant faire sauter le couvercle d'une société contrainte et répressive et faire souffler un grand vent de liberté sur un monde nouveau. Elle évoque aussi la libération sexuelle qui a surtout profité aux hommes ou la guerre du Vietnam où de jeunes pacifistes se sont embourbés puis sont morts dans un conflit insensé. Une génération grandement bousillée d'où est issu Franck/Francis.





Style asséché et clinique, imperméable aux affects, proche d'un document journalistique, le passé n'oublie jamais est une très agréable et intéressante découverte.
Commenter  J’apprécie          10
Un monde idéal

Sylvie Granotier nous plonge, avec brio de mon point de vue, dans l’univers de la radicalisation. Émilie, issue d’un milieu bourgeois, est étudiante en khâgne. Jusque-là, tout est classique. Ce qui l’est moins, c’est le fait qu’elle soit voilée et déjà fiancée à un jeune Algérien incarcéré car accusé d’une agression sans mobile évident. Elle met tout en œuvre pour le défendre. Ses moyens financiers, ou plus exactement ceux de ses parents, sont illimités. Elle fait appel à Catherine Monsigny, pénaliste aguerrie, pour le défendre. Ce roman noir porte bien son nom. Au fil des pages, nous suivons avec stupéfaction l’embrigadement d’Émilie. Comment une jeune femme intelligente peut-elle perdre à ce point et aussi vite son esprit critique ? Ses fragilités sont exploitées par deux personnes très habiles pour lui retourner le cerveau. Le piège se referme autour d’elle. Jusqu’où ira-t-elle ? Si vous voulez le savoir, une solution, lire Un monde idéal.
Commenter  J’apprécie          50
Double Je

Tout en étant parfois déroutée par le récit qui saute d'un point de vue à un autre, j'ai apprécié cette histoire de vraie – fausse amitié qui était peut-être plus ou moins manipulée par l'une des JE.

Les personnalités sombres, les méandres des rebondissements font une ambiance un peu glauque. Le dénouement, peu conforme à mes valeurs m'a un peu chiffonnée.
Commenter  J’apprécie          10
Tuer n'est pas jouer

Sylvie Granotier est une auteure que je découvre avec Tuer n'est pas jouer.



J'ai trouvé ce thriller très sympathique entre Michel Lemann qui perd petit à petit ses moyens face à une situation pas banale.

Ancrée dans l'histoire et avide de vérité, je suis entré dans la tête de Michel et vivait ses déboires avec lui tout en étant choquée de la fin où l'on découvre qu'il s'était fait tout un film, que Juliette voulait simplement vivre une autre vie qu'était la sienne.



J'ai passé un bon moment, je recommande.

Commenter  J’apprécie          10
Faits divers

Faits Divers est un recueil de nouvelles et je ne suis pas franchement fan de ce format.

Pour autant, j'y ai trouvé des pépites et des déceptions...

C'est pourquoi je ne mets que trois petites étoiles.

Malheureusement, beaucoup de recueils de nouvelles sont du même acabit, surtout quand ils sont écrits par plusieurs auteurs...

A découvrir tout de même.
Commenter  J’apprécie          10
Belle à tuer

La lecture est un peu difficile au départ car il y a des phrases assez longues, de nombreuses informations nous sont données en vrac avec des virgules pour les séparer alors que l’auteur aurait dû construire un peu plus de phrases, je pense. Mais j’ai fini par m’y faire. Par contre, ce que j’ai apprécié c’est que, pour les chapitres avec le point de vue du Commissaire, c’est la première personne qui est utilisée et pour les chapitres avec le point de vue d’Ariane, c’est la troisième personne qui est utilisée. C’est bien, cela nous permet de nous situer par rapport aux protagonistes. Le scénario est agréable, c’est la première fois pour moi que (je n’ai pas encore beaucoup de références en policier/thriller), cela change un peu. Le fait de connaître l’identité de ne m’a pas posé de problème, parce qu’il restait la curiosité de savoir pourquoi

Justement, je n’ai pas trop apprécié la fin… Elle est trop ouverte… Est-elle une Hors là, je n’ai pas réussi à bien comprendre, l’auteur ne définit pas clairement la psychologie de son personnage… Ou l’a t-elle fait exprès ? Cela m’a un peu dérangé tout de même…

Lecture mitigée pour moi, du coup.
Commenter  J’apprécie          30
Personne n'en saura rien

Un bon polar mais qui traîne un peu en longueur.

Les flask-back expliquant la situation, l'histoires, les personnages, les meurtres, la vie du tueur sont mélangés.

Il n'y a pas de continuité dans la chronologie des événement et du coup les faits sont difficiles à remettre dans le bon ordre.

Les victimes sont nombreuses, les noms défillent, les familles sont décritent.

Ils y a beaucoup de noms à retenir



L'histoire est plutôt banale, sans vraiment beaucoup de suspens. Car c'est la description du procès de Jean Chardin : donc on se doute plus ou moins du dénouement final.



Le livre est quand même prenant, on attend de savoir avec impatience quelle sera la tactique d'Isabelle pour se venger.

Le livre est intéressant, mais ne figure pas dans ma liste de préférence.
Lien : https://www.purple-rain.fr/2..
Commenter  J’apprécie          00
Un monde idéal

Un monde idéal est un thriller sur la radicalisation.



Le livre démarre bien, la plume est virevoltante, aiguisée, on se dit que l’on ne va pas s’ennuyer une minute d’autant plus que c’est écrit avec style. Puis cela a tendance à être un peu too much, voir lassant, les phrases se font de plus en plus courtes, le rythme devient épileptique. Quand un personnage veut aller à l’autre bout de la ville, il y sera la ligne suivante par téléportation. C’est la même chose pour les rapports entre les personnes qui peuvent très vite évoluer, c’est un peu déroutant



Cela est d’autant plus dommage que quand l’auteure se pose sur la psychologie des personnages plutôt que sur l’intrigue proprement dite, sa plume est vraiment brillante.

Commenter  J’apprécie          10
Faits divers

Ce recueils de nouvelles est comme la plupart, du bon et du moins bon! Cela dit le fait que ces écrits soient prévus pour une lecture à la radio rend la lecture intéressante et dynamique.
Commenter  J’apprécie          00
Personne n'en saura rien

Je ne vais pas refaire l'histoire ce Jean Chardin nous impose plusieurs réactions, quelquefois, on a envie de le plaindre, et puis, on le trouve odieux La question peut rester posée : est_il aussi immature qu'il veut bien le laisser entendre. C'est bien écrit, il y a du suspense, mais quelques descriptions de scènes donnent "mal au coeur".
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sylvie Granotier (624)Voir plus

Quiz Voir plus

Sylvie Granotier

En quelle année est-elle née ?

1920
1972
1951

10 questions
8 lecteurs ont répondu
Thème : Sylvie GranotierCréer un quiz sur cet auteur

{* *}