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Critiques de Victor del Arbol (602)
La veille de presque tout

Pages 250 , je n’arrive toujours pas à rentrer dans ce livre ; je persévère , il ne se passe rien . A voir ....
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Par-delà la pluie

Toujours sans surprise : excellent !
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La maison des chagrins

J'adore mais il faut avoir le cœur bien accroché. C'est du polar bien noir mais riche et très prenant.
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Toutes les vagues de l'océan

Noir c'est noir,

mais c'est de l'histoi...aare.

Si j'ai pu lire ce roman jusqu'au bout,c'est parce que je me suis laissé captiver.

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La tristesse du samouraï

Il s'agit de mon premier roman de l'auteur, j'ai été captivé par l'écriture à la fois rugueuse et douce. La consturction du récit est vraiment superbe avec une maîtrise parfaite. Par ailleurs, l'époque franquiste est décrite dans toute son horreur et l'on constate une nouvelle fois que la fin d'une dictature n'est pas la fin de ses partisans. Il s'agit d'une oeuvre avec une tristesse absolue et d'une fatalité glaçante Mon sentiement avec cette histoire forte et vibrante, c'est qu'elle va m'accompagner encore longtemps...
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Par-delà la pluie

bon livre, pas le meilleur de cet auteur mais la lecture reste agréable
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Par-delà la pluie

Le Catalan livre une intrigue méticuleusement tissée, où il donne libre cours à son talent de conteur [...]. Une complexité qui confirme que del Arbol est l’un des meilleurs auteurs de noir de langue espagnole...
Lien : https://www.lemonde.fr/cultu..
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La maison des chagrins

007...2019.

Victor Del Arbol...La maison des chagrins

On pourrait se perdre dans cette toile tissée par Victor...les destins se croisent dans de sombres histoires de vengeances...Les victimes deviennent bourreaux et les bourreaux victimes...L'auteur nous conduit au fil des pages vers un denouement implacable...Un livre qu' on ne peut quitter...j'adore...
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La veille de presque tout

Quelle belle écriture ! Quelle maîtrise du récit . Un grand roman !

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Toutes les vagues de l'océan

catalogne et guerre civile et 2nd guerre mondiale diablement bien construit et documente haletant un chef d'oeuvre pour se distraire et se cultiver
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La veille de presque tout

J'ai découvert Victor del Arbol avec "LA maison des chagrins" en 2016.



Quand j'ai vu que son dernier ouvrage figurait sur la liste des meilleurs polars 2017 du Monde, je l'ai réservé aussitôt à la médiathèque, et j'ai bien fait ! 



Un roman aux multiples fils épars qui contribuent à tisser une trame passionnante avant de se nouer et de montrer leurs liens étroits dans les dernières pages du dénouement.



Une enquête policière à l'issue tragique trois ans avant le début de ce roman sert de point de départ à la dérive d'Eva-Paola et à l'exil en Galice de l'inspecteur Ibarra.



Une rencontre avec un enfant trouble, avec de vieux messieurs au passé argentin rendra ce roman envoûtant et unique  ...  



A suivre avec les autres opus de l'auteur 
Lien : http://les.lectures.de.bill...
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La tristesse du samouraï

Espagne, de 1941 aux années 80. Une histoire de haine et de vengeance sur fond de franquisme et de complots politiques. Un excellent thriller psychologique.
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La veille de presque tout

Un début ultra violent peut presque dissuader de prolonger la lecture, ce qui serait dommage.

Dommage car le lecteur va s'attacher peu à peu à tous ces personnages que relient d'invisibles liens.

Écorchés vifs, porteurs d'un lourd passé ou éprouvés par le sort, leurs destins vont se croiser pour le meilleur mais surtout pour le pire.



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La tristesse du samouraï

1941, la guerre vient de se terminer en Espagne, les franquistes sont au pouvoir, Isabel Mola, femme d’un phalangiste, homme proche du pouvoir s’apprête à quitter l’Espagne pour le Portugal avec son jeune fils Andres, âgé de dix ans. Mérida sur le quai de la guerre, alors que le train est proche du départ, l’homme de main de l’époux les interpelle. Isabel ne prendra jamais ce train…



Un excellent polar que j’ai dévoré. L’histoire se passe en mai 1981 du côté de Barcelone, quelques mois après le coup d’État avorté du 23 février 1981 où un groupe de gardes civils nostalgiques du franquisme tentèrent de prendre d’assaut le Congrès des députés. Victor del Arbol nous conte une affaire de meurtre, celui d’une bourgeoise mère de deux enfants et mariée à un homme avide de pouvoir, prêt à sacrifier les siens pour gravir les marches du pouvoir. Trois familles, deux femmes, trois générations, tous liés les uns aux autres que l’on suit sur quarante ans.



Intéressant de voir l’ambiance de l’après guerre, où les vainqueurs règnent en maîtres et la répression qui continue. L’épisode de la « Division Azul » (la Division Bleue), de la même couleur que la chemise des phalangistes, une armée de soldats volontaires envoyés sur le front russe, porter main forte et lutter contre le Bolchévisme, là en l’occurrence, deux jeunes hommes sont envoyés de force au casse pipe, le but étant qu’ils ne reviennent jamais. Et puis l’Espagne des années 80, décennie du changement, l’époque de la transition démocratique, et les vieux démons qui tentent encore de prendre le pouvoir. Et puis le petit Andrès qui ne jure que par les samouraïs.



Un polar noir où l’honneur, la violence, la famille, la vengeance, la loyauté au régime, le courage et le sacrifice sont de mise. Beaucoup de mélancolie aussi. Je conseille!
Lien : https://chroniquesaigues.com..
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Toutes les vagues de l'océan

Extraordinaire saga qui nous emmène dans l'URSS de Staline, les purges de Franco, et l'Espagne de 2002... Une vraie découverte !!!
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La veille de presque tout

Un peu déçue par le premier roman de Victor del Arbol traduit en français « La tristesse du Samouraï », plus emballée par « La maison des chagrins », « La veille de presque tout » me laisse un sentiment mitigé.

Trois ans après avoir résolu l'affaire de la disparition de la petite Amanda de manière expéditive en tuant l'assassin de la fillette, l'inspecteur Germinal Ibarra est de retour dans sa Galice natale. Hanté par cet événement qui lui rappelle le viol qu'il a subi enfant, il retrouve dans des circonstances dramatiques la mère d'Amanda, Eva Mahler.

Transfigurée, elle se fait désormais appeler Paola. Dans son sillage, on fait la connaissance de Mauricio qui vit dans la souvenir de la dictature argentine, Dolores, une exilée portugaise dont la fille a disparu, Daniel, un jeune garçon qui a perdu sa famille dans un incendie et dont la vie est dictée par Martina, son amie d'enfance, sa conscience...

Sur fond de considérations existentielles sur la trahison, la vengeance, la lâcheté, la culpabilité, les racines, la mémoire et le passé, « La veille de presque tout » est un roman sombre. Trop sombre peut-être...


Lien : http://papivore.net/litterat..
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La tristesse du samouraï

Lu il y a plusieurs années, je me souviens d'un livre ambitieux, j'avais eu du mal à tenir la distance, je m'étais un peu perdu dans les époques et nombreux personnages, mais j'avais trouvé l'écriture très belle. Je me suis promis de revenir vers cet auteur très prometteur.
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La veille de presque tout

Encore une merveille cet opus de Victor del Arbol. L'écriture y est travaillée mais fluide. On "attrape" les personnages petit à petit. Et puis l'histoire vraiment originale qui vous laissent pantois au milieu de l'ouvrage. Vous avez peur de comprendre...
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Toutes les vagues de l'océan

Une histoire macabre, remplie d'assassins, de traîtres, de cannibales. Le roman, qui se pretend historique, est un ramassis de préjugés sur la guerre civile espagnole, la Seconde Guerre mondiale, l'URSS. On peut - bien sûr -raconter une histoire d'un point de vue unique, mais ce récit ne sera jamais de l'Histoire puisque il est partiel. Le stratagème littéraire (Epilogue) qui consiste à affirmer que les personnages fictifs sont réels pour donner de la crédibilité à la narrative a été le coup de grâce dans ce roman : l'auteur lui même avoue qu' "il y avait peu d'écrits et encore moins de témoignages" sur ce qui s'était passé dans l'île de Nazino, ce qui ne l’empêche pas de baser son histoire sur une seule conversation tenue avec Tania, seule personage vivant de cette époque et qui n'avait participé qu'a une toute petite partie des événements.
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La tristesse du samouraï

Je n'ai pas pu aller jusqu'au bout de ce livre tellement l'ambiance m'était insupportable.

J'avais l'impression d'être dans un bourbier, je ne pouvais plus supporter ces séances de tortures, ces morts inacceptables...

J'étais révulsée !
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