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Critiques de Åke Edwardson (208)
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Danse avec l'ange

Premier livre d'Äke Edwardson a être publié en France. Coup de foudre immédiat ! Erik Winter est le plus jeune commissaire de la police suédoise. Dandy un peu désabusé, il est très rigoureux dans ses enquêtes qu'on accompagne avec plaisir. Edwardson décrit les maux de la société contemporaine aussi bien en Suède qu'en Angleterre.
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Danse avec l'ange

Erik Winter, plus jeune commissaire de police de Suède, est en charge d'une enquête difficile entre Londres et Göteborg où de jeunes gens (suédois en Grande-Bretagne et anglais en Suède) sont sauvagement assassinés. Je n'en dis pas plus. Un polar rondement mené dans ce best-seller de la littérature scandinave qui est aussi une critique en creux du miracle économique et social suédois.
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Ombre et soleil

j arrêté les frais. Ce n est pas pour moi. J aime bien les scandinaves mais là ça va pas le aire, je m ennuie et je me lasse quand je comprends quelque chose d ailleurs parce que ce n est pas tjs le cas. J en suis à la centième page environ et rien ne s est produit à mon sens mais le meurtre et sa description me semblent fades. Je sais c est dur mais la pfiou ....

je n ai pas lu les deux enquêtes précédentes d Erik Winter mais c est sans regret que je ne les lirai pas et que je ne terminerai pas la troisième. Pour vous expliquer en un mot, ce livre est trop « aware » pour moi.... merci jean Claude 😂
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Marconi Park

Göteborg, à la sortie de l'hiver. Avec la fonte des neiges et l'arrivée du printemps se réveillent les acouphènes, les vieux souvenirs, la dépression et les désirs de vengeance. Quelques cadavres, les mains liées, un sac plastique sur la tête, pantalon aux genoux, quelques cartons de gâteau ornés d'une lettre rageusement tracée d'une peinture noire. Et dire que le commissaire Erik Winter pourrait se la couler douce en Espagne avec sa femme et leurs filles...



Douzième sur la liste, cette enquête du commissaire Winter n'est peut-être pas celle par laquelle il aurait fallu commencer.



On se fait rapidement une première version des événements à l'origine du meurtre et - ô surprise ! - on a visé dans le mille. Encore un peu et on finirait par croire que le café du début de lecture est tout aussi efficace que les litres de whisky ingurgités par notre flic désabusé. Pas de retournement inattendu en vue, on attend donc que cela passe. Et c'est tout aussi éprouvant que cette fameuse course poursuite à vélo qui s'étale sur tout Stockholm et quarante bonnes pages. Les muscles nous en tiraillent encore !



Parlons style d'écriture, si on peut appeler des bouts de phrases, entassées pêle-mêle entre deux virgules dans un paragraphe, un style. En fait, non, n'en parlons pas. Heureusement que la touche d'humour noir telle qu'on l'aime est là car il s'agit bien de la seule chose qui rattrape le tout, distillée qu'elle est ça et là dans les dialogues vifs et piquants.



Sans avoir lu les aventures précédentes, on imagine la série telle qu'elle pouvait être dans les épisodes précédents, aussi pimpante que son héros dans sa jeunesse. Mais le temps passe et l'ensemble de ce roman semble être à l'image du commissaire : fatigué, lassé par la noirceur et le train-train de son boulot. Et tout comme lui, on ne souhaite que s'échapper vers d'autres cieux.
Lien : http://chezmayyubo.blogspot...
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La maison au bout du monde

Avec cette maison quelque peu isolée des autres, cette ville enneigée, cette aire de jeux givrée, j’avais bien envie d’un chocolat chaud ! J’ai totalement été immergée au sein de cette ville suédoise décrite par l’auteur avec divers détails.Et si l’intrigue se déroule autour d’une enquête criminelle, l’histoire s’articule réellement autour des personnages qui prennent une place essentielle, qu’ils soient enquêteurs, témoins ou présumés coupables. Après deux ans de repos en Espagne, Erik Winter est prêt à reprendre du service en tant que commissaire. Laissant alors sa femme et ses deux filles au soleil, il retourne dans le froid suédois afin de prendre part à la nouvelle affaire que prennent en main ses collègues. La Maison au bout du chemin est le onzième roman mettant en scène Erik Winter et ses collègues, donc ne vous étonnez pas si vous peinez à comprendre parfois les liens entre les personnages si, comme moi, vous n’avez jamais lu de livres d’Åke Edwardson. Appelés tantôt par leur prénom, tantôt par le nom de famille, j’ai parfois eu du mal à ne pas mélanger les identités au sein de l’équipe de police dirigée par Fedrik Halders et à comprendre les diverses relations. Mais même si certaines références des romans précédents sont disséminés au fil du récit, il n’est finalement pas très difficile de s’y retrouver.



Winter, Halders, Öberg, Hoffner et les autres vont alors tenter d’élucider un nouveau meurtre affreux. Alertés par un voisin, les policiers sont prévenus de la mort suspecte d’une femme et de ses deux enfants. Le nourrisson est le seul survivant de cette tuerie. Le mari en déplacement possède-t-il réellement un alibi ? La victime entretenait-elle une liaison ? Une histoire de vengeance ou de hasard ? Winter et ses collègues vont tout entreprendre pour faire toute la lumière sur cette affaire. Et pour cela, ils commencent un travail minutieux où ils vont tenter d’aller au plus près de la psychologie du tueur en se posant les bonnes questions. Les méthodes de déduction et de travail de l’enquête sont très peu tournées vers les techniques scientifiques mais davantage vers l’imagination et la déduction des différents enquêteurs et surtout d’Erik Winter. Ils s’imprègnent du meurtre, des circonstances, des indices et potentiels mobiles.



Minutieusement, ils retournent plusieurs fois dans la maison, interrogent de nouveau les mêmes suspects jusqu’à découvrir tous les détails, les mystères. Ce roman policier ne repose donc pas sur l’action et un dynamisme fou à coups de retournements de situation et de révélations chocs mais plutôt sur un modèle de répétition jusqu’à récupérer les bonnes informations et des témoignages utiles pour l’avancement de l’enquête. Les policiers grattent jusqu’à la moelle les différents alibis et mobiles en jouant sur les mots, en rentrant frontalement dans leurs interlocuteurs qu’il faut pousser dans leurs retranchements afin qu’ils délivrent des réponses utiles. Les dialogues comme la narration suivent également ce schéma avec des répétitions, des phrases courtes, beaucoup de questions. Le style est bien particulier, spécifique à l’auteur. On a l’impression d’entrer réellement dans la tête des personnages, de naviguer entre leurs différentes réflexions qui peuvent partir dans tous les sens. En s’accrochant bien, il est facile de se laisser porter par ce flot de questions, d’observations, de souvenirs,… même si je me suis parfois sentie perdue face aux références faites sur les précédents livres que je n’ai pas lu.



Erik Winter est réellement au centre du récit avec des épisodes de son passé racontés et une histoire familiale actuelle bien développée. En parallèle de l’enquête principale, un personnage fait rapidement une entrée remarquée par son caractère peu appréciable. Raciste, homophobe, fermé d’esprit et prêt à en découdre par la violence, il semble être le suspect parfait. J’ai apprécié suivre ce protagoniste ambigu sur lequel on s’interroge à propos de ses agissements face à la police et à face à sa vie personnelle. Je ressors donc contente de cette lecture et de son atmosphère particulière qui, j’espère, ressemble à celles des autres romans de l’écrivain. J’ai maintenant envie de découvrir davantage la bibliographie de cet auteur suédois même si La Maison au bout du chemin ne fait pas partie de mes meilleurs romans policiers lus. Mais peut-être aurais-je un coup de cœur avec l’un des dix précédents livres mettant en scène le commissaire Erik Winter.



Et si l’intrigue se déroule autour d’une enquête criminelle, l’histoire s’articule réellement autour des personnages qui prennent une place essentielle, qu’ils soient enquêteurs, témoins ou présumés coupables. Après deux ans de repos en Espagne, Erik Winter est prêt à reprendre du service en tant que commissaire. Laissant alors sa femme et ses deux filles au soleil, il retourne dans le froid suédois afin de prendre part à la nouvelle affaire que prennent en main ses collègues. La Maison au bout du chemin est le onzième roman mettant en scène Erik Winter et ses collègues, donc ne vous étonnez pas si vous peinez à comprendre parfois les liens entre les personnages si, comme moi, vous n’avez jamais lu de livres d’Åke Edwardson. Appelés tantôt par leur prénom, tantôt par le nom de famille, j’ai parfois eu du mal à ne pas mélanger les identités au sein de l’équipe de police dirigée par Fedrik Halders et à comprendre les diverses relations. Mais même si certaines références des romans précédents sont disséminés au fil du récit, il n’est finalement pas très difficile de s’y retrouver.
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Le ciel se trouve sur terre

Dans le style "double intrigue" celui-ci est réussi, avec juste ce qu'il faut de psychologie...
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Le ciel se trouve sur terre

Des enfants accostés dans un parc; des violentes agressions touchant des étudiants : c'est au commissaire Erik Winter de démêler ces histoires et de voir si elles sont liées ou pas. Encore un grand roman de ce "Simenon venu du froid" !
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La maison au bout du monde

Je ne connaissais absolument pas l'auteur, ni a fortiori le héros de ce bouquin, mais j'ai été conquise par la construction de cette histoire, cette façon de juxtaposer les angles narratifs. C'est assez déstabilisant au début de la lecture, mais cela fait finalement le principal intérêt du bouquin, au final. Même si l'intrigue reste très bien menée, c'est le style qui m'a conquise.
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Marconi Park

Le Suédois Edwardson livre une oeuvre au noir aussi électrisante que grave.
Lien : http://www.lexpress.fr/cultu..
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La maison au bout du monde

Erik Winter a failli se noyer au fond d'une piscine de la Costa del Sol et, après deux ans de repos Il vient de laisser sa famille en Espagne pour reprendre son travail en Suède. Göteborg est paralysée par le froid, ce qui n'empêche pas les crimes : une femme et deux enfants assassinés dans une villa de banlieue. Un nourrisson est également retrouvé dans la maison, en vie, mais mal en point. Personne ne semble avoir vu ou entendu quoi que ce soit. Winter retrouve ses vieilles habitudes (entre autre l'alcool) mais saura mener à bien cette enquête.

Par contre il a (ou son auteur) certaines obsessions : le jazz notamment. Quand j'avais 15 ans dans ces années 60 moi c'était le MJQ, Ray Charles, les grands orchestres, Duke, le Count, les jazz messengers Horace Silver, Hancock, Peterson ...Miles mais j'avais du mal avec certains et notamment Coltrane. Or Winter est obsédé par John et notamment son album "a love supreme" édité en 1964 alors que Winter avait 4 ans . (Coltrane est décédé en 1967).

Et pourtant dans cette enquête Winter va en parler ... au moins 22 fois ! J'ai voulu réécouter l'album; je suis donc allé sur "vous"tube mais bon je n'ai pas changé tant que ça car au bout de quelques minutes j'avais atteint les limites de ma résistance. C'est peut-être pour cela que Winter a des accouphènes :-)
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La maison au bout du monde

On le sait, Edwarson n'est pas un gai luron...



Erik Winter, son héros, que l'on avait laissé au fond d'une piscine espagnole en 2008 a mis quelques années pour remonter à la surface et nous le retrouvons traînant son spleen dans sa Suède natale et enquêtant sur un massacre à l'arme blanche.



Edwarson et Winter aiment le jazz : tout le roman est un hommage à Coltrane et son "A love supreme". L'arc narratif de "La maison au bout du monde" suit les 4 mouvements de l'album-concept de Coltrane : Reconnaissance, Résolution, Poursuite et Psaume.



Le style elliptique, poétique et syncopé d'Edwarson apporte beaucoup à son récit. Mais je dois avouer que j'ai trouvé l'ensemble particulièrement sinistre et parasité par de trop nombreuses incidentes inutilement encombrantes.



Si Winter a tendance à picoler, tout au long de ma lecture, j'ai eu l'impression de sortir d'une cuite.



Un peu d'humour pour le prochain ?
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La maison au bout du monde

Quel plaisir de retrouver le commissaire Winter et l’écriture si particulière d’Ake Edwardson .

Après deux ans de pause en Espagne , Winter reprend du service et revient à Göteborg pour tenter d’élucider un affreux crime , où une mère et deux de ses enfants ont été assassinés ; seul un bébé a survécu miraculeusement . L’équipe de la brigade criminelle va recoller patiemment chaque morceau du puzzle et tenter de comprendre qui a pu commettre un tel carnage .

La particularité de ce roman policier , comme la plupart de ceux écrits par l’auteur suédois , est de s’intéresser autant à l’histoire qu’aux caractères complexes de ses personnages . Parmi ceux – là , Eric Winter , dont la vie est écartelée entre la Suède et l’Espagne et qui constate avec étonnement les changements qui s’opèrent peu à peu autour de lui comme ces paysages et ces visages modelés par le temps mais aussi dans son propre corps avec ces migraines et ces acouphénes persistants . Heureusement l’inspiration et la sérennité viennnent toujours à l’écoute d’un vieux disque de jazz et devant un bon single malt écossais .

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Ombre et soleil

C'est la 3ème enquête de Winter, le héros, et donc, n'ayant pas lu les précédentes, j'ai été un peu "à la ramasse" pour comprendre tous les personnages autour, un peu perdue ;-)

Bien écrit, bon suspense... Mais du coup, j'aurai du me faire un genre d'"arbre" à personnages au fil de ma lecture parce que là, je suis sûre que j'ai laissé échapper plein de trucs!
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Danse avec l'ange

Déception avec ce roman policier ! Je n'ai pas aimé ce commissaire dandy aux pensées confuses et décousues, sans charme et difficile à cerner.
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Presque mort

C'est pour le moment l'épisode le plus sombre de la série des enquêtes de "Erik Winter".

Il va mal, son couple va mal, ses collègues vont mal. Rien ne va.

Comme à son habitude, l'auteur prend son temps pour raconter son histoire. Le fond reste classique mais l'auteur nous raconte encore une fois une histoire forte.

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Le ciel se trouve sur terre

C'est un polar. Oui mais, bon ...
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Presque mort

Presque mort est le neuvième et avant dernier titre de la série du commissaire Eric Winter. Dans le genre polar suédois, comme avec son maître (spirituel ?) Mankell, on a un peu l'impression de s'enfoncer dans la noirceur en avançant en âge, avec le commissaire.



Ce roman est réussi, comme les autres, qu'on lit avec attention. Pour ce qui me concerne, la noirceur nuit un peu au plaisir de la lecture, mais j'avoue l'avoir lue jusqu'au bout.
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Ombre et soleil

Présentation de l'éditeur:

"Les enquêtes d'Erik Winter

Appelé au chevet de son père mourant, qu'il a refusé de voir pendant des années, le commissaire Erik Winter se retrouve sous le soleil d'Espagne alors que l'hiver s'installe en Suède. Mais un double meurtre particulièrement atroce l'attend à son retour à Göteborg. À mesure que l'image du meurtrier se précise, Winter, le chasseur, découvre avec horreur qu'il est peut-être la cible d'un autre chasseur à la détermination sans faille. Un prédateur tout proche qui ne cesse de lui échapper. La troisième enquête d'Erik Winter met en scène une société délabrée, un monde à la fois sauvage et usé, traité à demi-mot, avec toute l'ambiguïté corrosive qui caractérise Edwardson."





Et si le polar nordique commençait à lasser... C'est l'impression que m'a laissée "Ombre et soleil". J'avais aimé pourtant "Danse avec l'ange" mais la surprise ne joue plus. Après avoir pas mal lu Mankell ou Indridason les serial killers scandinaves ont cessé de m'intéresser. Ils me semblent interchangeables, avec flics à la vie privée agitée, gothic rock ou black metal (pardon je ne suis guère expert), nuit précoce sur Goteborg ou toute autre cité nordique. Entendons-nous, rien de désagréable dans cette enquête du commissaire Winter mais il finit pour moi par se fondre dans le Walander suédois ou l'Erlendur islandais.



Nous sommes avec "Ombre et soleil" en présence d'un roman de presque 500 pages, bien découpé en mois et en courts chapitres. On n'est pas loin du format, voire du formatage. J'ai acheté trois Edwardson d'un seul coup. J'ai eu tort,mais peut-être en oublierai-je un dans le train, ce qui ne m'empêchera pas de dormir.
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Chambre numéro 10

Toujours un grand plaisir de retrouver Winter et ses collègues. Le personnage de Winter évolue encore. Le rythme est toujours aussi tranquille, posé, réaliste. Mais j'ai trouvé la fin trop "thrillerienne" pour moi.
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Un cri si lointain

Dans la lignée du premier tome. Sombre, personnages tourmentés, une image noire de la Suède. Le ton est posé, précis.
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