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Critiques de Éric Bohème (39)
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Le café du centre

J'ai passé un bon moment de lecture dans la province du Berry (département du Cher) et plus précisément à Mehun-sur-Yèvre !

La trame policière de cette enquête régionale est bien tissée et on tourne rapidement les pages pour découvrir ce que l'Inconnu cherche à savoir.



Nous sommes dans les années 70, c.-à-d. les années Pompidou (juste avant Giscard). La France rurale est plutôt bien décrite, peut-être un peu "vintage" pour les plus jeunes qui n'ont pas connu les voitures Ami-8, les fêtes de la Rosière, l'arrivée du 1er supermarché, le bistrot (fréquenté principalement par les hommes), les jeunes filles amoureuses, la sortie de messe du dimanche matin (plutôt féminine), les tracteurs Vierzon et l'usine de porcelaine et son four haute température.

Et aussi le canal DE Berry (comme le comte) et non pas DU Berry comme le territoire !

Une confusion à éviter si vous ne voulez pas être considéré comme ignorant !



Voilà, le décor est planté. L'inconnu mène son enquête sur une tout autre période : celle de l'occupation allemande. Bizarrement, certains se sont enrichis pendant ces années de rationnement.

Alors "Qui a tué Gustave ?", l'ancien cafetier, dont Henri a repris le fonds de commerce ?

L'inconnu questionne et le lecteur découvre tous les protagonistes du village, soit une bonne trentaine de personnages (dont la liste se trouve à la fin de l'ouvrage). C'est une vraie mosaïque de portraits qui parfois peut lasser. D'autres, hélas, ne sont plus de ce monde, déportation, dénonciation, fuite ...



Le passé enfoui depuis 30 ans remonte à la surface… car rien n'est blanc comme neige, ici dans le Berry comme ailleurs sur le territoire français, pendant cette période difficile. Mon village en région Centre-Val de Loire n'a pas dérogé à cette règle et j'y ai retrouvé des histoires similaires qui se racontaient à voix basses !



Une belle découverte que je dois à Babelio et Éditions De Borée.
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Le café du centre

Je l'avoue, j'ai vraiment, vraiment du mal à résister à ce genre de résumé... Je l'ai lu une fois, deux fois, et puis l'envie a été la plus forte : je voulais savoir !!

Et je n'ai pas été déçue... Le mystère est soigneusement entretenu, et si peu à peu les raisons de la présence de l'Inconnu se dévoilent, ce n'est qu'à la toute fin que le voile est complètement levé.

J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur, qui sait à la fois nous replonger dans la France de l'Occupation et dans celle des années 1970, durant laquelle se déroule cette histoire. On retrouve parfaitement l'atmosphère de ces années (j'en sais quelque chose ; je les ai vécues !!), et lorsque l'auteur évoque l'Occupation, il le fait sans angélisme ni manichéisme, en retraçant avec les mots d'Henri le cafetier ce qu'était la réalité de la vie sous la botte du Reich et les choix faits par les uns et les autres pour survivre. Il est facile de juger tranquillement assis dans son fauteuil, quand on n'a pas vécu une époque. En revanche, quand on est plongé dans le chaos et qu'on ne sait pas de quoi sera fait le lendemain, c'est moins facile... (on en reparle, du printemps 2020 ? Comment sera-t-il jugé dans 50 ans, quand des gens qui ne l'auront pas vécu en parleront ?).

Comme dirait un célèbre chanteur que vous reconnaîtrez tous :

"Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt

Sur les ruines d'un champ de bataille

Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens

Si j'avais été allemand ?"
Lien : https://lagriffeduloup.club/
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Le Monico

Comme on l’aime Le Monico ! Voici des échappées pétillantes qui enlacent le même rythme. Sans erreurs d’aiguillage, l’envolée prétend aux sourires, aux clins d’œil. Aux jeux savoureux d’une subtilité hors pair. Arlette est une jeune femme, narratrice de cette trame et l’on peut dire aussi : rame, voie de gare, humoristique et tendre comme du bon pain. Mais, attention ! ici règne l’atmosphère relevée, agréable d’une teneur cartographique aérienne. Arlette est en voyage, pas n’importe lequel. Elle est partie en quête de Juju, l’homme de sa vie, son amoureux, en direction de Saincaize. Telles des poupées gigognes, ces morceaux d’architecture s’emboîtent frénétiquement. Cette délicieuse constance est une torpeur en attitude souveraine. A l’aise, bien en assise dans ce train des plus paraboliques la lecture est une ode de tendresse et d’attention envers les images de la vie d’antan et de ce jour. « Assise à l’avant du premier wagon je suis accompagnée par des colombes qui font les malines en montrant qu’elles vont plus vite que le train ne roule. » Juju n’est pas seulement l’amoureux. Mais un otage de guerre qui n’a jamais pu atteindre Khartoum la capitale du Soudan. On a parfois la gorge serrée dans cette lecture où l’émotion est vive et fusionne d’emblée avec les paysages traversés aux couleurs sentimentales et existentialistes. Arlette n’est pas seule dans le train. Elle est en périple avec Robert qu’on imagine un adulte riche de savoirs et de réponses subites et justes. C’est le dictionnaire parabolique, le plan des routes et des destins. Ce trésor littéraire est salvateur. Les gares traversées en haute contemporanéité s’imprègnent d’un habitus révolu, celui d’avant. La nostalgie n’est pas triste, seulement consolante. Va-t-elle retrouver Juju ? « Dans le désert j’ai été seul avec mes geôliers durant neuf cent trente-six jours. » Dans Le Monico emblématique règne le summum qui ne fait pas vibrer les trains et n’incitent jamais à un arrêt sur image. Au contraire, s’élève ce que Eric Bohème modèle de plus majestueux, de plus durable, de plus sincère. Retrouver Juju, aller au bout de ses ressources, et s’accorder cette part de chance, de fusion avec un voyage des plus initiatiques et paysagés riches d’intériorité révélée. « Le Monico » est un lieu de retrouvailles, je ne dirai pas les gares visitées avant de trouver ce port d’attache. Lisez ce rayonnant, ce baume au cœur. Un récit qui fait du bien. Publié par Les majeures Editions Antidata .
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Le Monico

Une écriture enjouée et libre. Un livre bien écrit qui est une véritable invitation au voyage, à la redécouverte des territoires, loin de la course au béton, aux buildings et à la frénésie urbaine. C'est aussi une ode de la rencontre au gré des hasards; car la poésie d'Eric Bohème suinte à travers les pages de "Le Monico". Arlette nous entraîne sur un chemin de liberté loin des calculs et des anticipations que nécessite un monde qui n'a plus de centre. Se retrouver, être soi et si l'amour est peut être bout du chemin tant mieux - Bravo !
Lien : https://www.babelio.com/monp..
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Réalités métissées : Nouvelles et chroniques

merci à Babélio pour la découverte de ce livre (dans le cadre de masse critique). J'avoue que j'ai eu du mal avec certains des textes. mais l'auteur fait un constat assez juste, caustique souvent, d'événements qui pourraient se passer de façon équivalente en France ou en Côte d'Ivoire. On trouve aussi des textes assez poétiques, d'autres qui me laissent encore perplexe. Pour en comprendre certains, il faudrait sûrement être africain ou mieux comprendre la culture. Ce livre se lit rapidement, ce sont des textes très courts, on peut le prendre, le poser, le relire. Un livre sympathique en règle générale.
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Zone 4

J'ai lu ce livre dans le cadre de Masse Critique, donc je remercie Babelio et les Editions de la Lagune. Je ne regrette pas du tout cette lecture car j'y ai trouvé certains aspects qui auraient pu constituer la matière d'un roman réussi.

Alors, une étoile cela peut paraître très dur au regard des autres analyses très positives de ce roman. J'ai hésité pour une deuxième que j'aurais pu accorder au titre des 50 dernières pages qui, réflexion faite, ne parviennent pas à sauver ce roman dont la lecture m'a vraiment irrité, puis lassé à de nombreuses reprises.

Pourquoi? D'abord, le style, d'une fadeur lamentable, les pléonasmes, les fautes de français (je ne parle pas des tournures africaines). C'est plat, les péripéties diverses n'émettent aucun vibrato. Donc, je me suis très vite ennuyé, même si, de temps à autre l'une des anecdotes (car ce texte n'en est qu'une succession) vient brièvement relever le niveau.

Ensuite, l'histoire ou son absence. Les héros sont vraiment très fatigués, particulièrement le principal, défini très finement comme un hypocrite par l'un de ses partenaires rats. Peut-être l'auteur a-t-il voulu mettre en évidence l'inanité de ses personnages, mais alors à quoi bon?

Deux exemples:

- ils sont confrontés au décès du paludisme de l'une de leurs

filles de quelques nuits et affirment que c'est le manque d'argent pour se soigner qui a entraîné sa mort. Ils paraissent indifférents à celle-ci, une normalité sans doute admise pour eux en Afrique. Alors qu'ils avaient les moyens financiers de l'aider.

- pire encore, une autre contracte le SIDA et sa mort programmée est également ressentie comme une normalité pour eux

Reste le témoignage de l'épouse en fin du roman. Il démarre très fort mais donne trop vite la parole à l'un des rats qui va tenter de justifier le système économique du sexe à tarif et géométrie variable pratiqué par les personnages. Restent les entretiens téléphoniques entre l'épouse et la très jeune ancienne maîtresse de son mari, ainsi qu'avec sa tante, pour donner un peu de dimension à l'ensemble mais bien trop tard à mon avis.

Le texte a été remanié par l'auteur dans cette nouvelle édition! Il s'agirait même d'une réécriture complète... No comment!





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Le café du centre

L'histoire est belle, mais j'ai été très perturbée dans ma lecture par les descriptions poussives de l'environnement dans lequel évolue les personnages de ce roman. Me balader dans les rues de ce village pourquoi pas, mais j'ai été perdue dans les détails de l'auteur. Notamment le nom des rues, ruelles, places,... cela étant cet inconnu qui débarque dans un village où tout le monde se connaît et qui vient perturber, intriguer, interroger ... les villageois sur des événements du passé ne vous laisse pas indifférent. J'ai bien évidemment eu envie de comprendre les raisons de sa présence. Je n'ai pas été déçue par l'histoire. Quelques longueurs mais une belle histoire. Venez donc prendre place au café du centre...
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Le Monico

Le Monico, tout un mystère.



Le Monico, écrit par Éric Bohème raconte l'histoire d'Arlette, et notamment ses nombreuses aventures dans les différentes gares de France, pleine de folie et de nouvelles rencontres. Nous remarquons directement l'amour que l'autre porte aux gares, "Si cela ne dépendait que de moi, je passerai toute ma vie dans les gares." nous dit-il dans la préface de son livre. En effet cet amour en devient même une obsession car elle envahi chaque chapitre du récit, en commençant par les noms des chapitres qui sont tous dans noms de gares " Bois-d ‘Oingt-Légny", "Lamure-sur-Azergues », "La clayette-Beaudemont" ou encore "Albigny-Neuville". Et les nombreux moments que notre personnage principal passe dedans.

Ce texte n’a que très riche de dialogue, nous n’avons en générale que la vision d’Arlette qui est la narratrice. Le texte est écrit d’un langage actuel mais soutenu mais est décalé par l’emploi de mots famillé « vachement chouette » , « truman pédé » ou encore « gros zob ».

La vie d’Arlette est assez complexe, en effet son petit ami, juju est interné en un centre psychiatrique. Leur passé reste assez flou, étant mentionné que quelque fois dans le livre et jamais expliqué, chose qui m’assez troublée.

J’ai trouvé tout de même ce livre très intéressant et abordant des thèmes originaux, l’aventure de gare en gare et les rencontre qu’elle y fait, une en particulier, via un graffiti dans les toilettes du train mais je vous laisse le découvrir de vous-même…

Enfant comme adulte je pense que ce livre vous plaira..

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Zone 4

J'ai lu "Zone 4" avec la curiosité empressée d'une adolescente qui aurait poussé la porte d'un monde d'autant plus attirant qu'il serait "interdit"

J'en garde au cœur un sentiment de délicieuse permissive liberté mais aussi celui de n'avoir pas "vécu".

Cette peinture sociale d'un milieu quelque peu en marge laisse néanmoins l'amère saveur d'une quête éperdue d'amour.

J'ai aimé l'écriture de Eric Bohème, une écriture au regard aiguisé sur ses semblables, parfois acide, parfois drôle, parfois touchant et toujours juste.

Un regard sur la complexité de l'humain dans ses fragilités et ses attentes...



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Le Monico

« C’est une micheline, autorail, qui tire, qui fume, qui travaille » : avec l’incroyable Arlette, en finesse et en crudité, un voyage ferroviaire et mémoriel sur les chemins de traverse du Berry et du Morvan, en quête peut-être de l’amour fou.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2019/12/08/note-de-lecture-le-monico-eric-boheme/
Lien : https://charybde2.wordpress...
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Réalités métissées : Nouvelles et chroniques

Très sceptique sur cette lecture. J'ai sauté beaucoup (trop) de passages, des chapitres entiers même car pas spécialement intéressants . L'auteur nous dépeint une culture africaine avec beaucoup d'humour et compare beaucoup la France et la cote d'ivoire. De manière sarcastique mais plutôt juste. Je suis relativement déçue car ce livre est pour moi assez plat, il ne m'a procuré aucune joie. Vite lu, vite oublié. Et je trouve que certains passages sont difficiles à comprendre quand on ne connait pas la culture africaine. Bref, je ne m'attendais pas à ceci avec ce livre, la déception en est donc plus grande. Je ne le recommande pas spécialement...
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Zone 4

« Voilà, j’ai emporté Zone 4 ce week-end, et n’en ai fait qu’une bouchée : ce qui est déjà un compliment. Il se lit très facilement, grâce à un style agréable, sobre et fluide. Bravo ! On découvre tout un monde : la Zone 4, Abidjan, un morceau d’Afrique… C’est vivant, c’est coloré, c’est sensoriel, parfois sensuel, voire émouvant. Et puis on découvre le narrateur, mi looser mi winner, mi Woody Allen mi Casanova, mi candide, mi cynique… On s’amuse, on est complice de cette bande de joyeux lurons. Enfin, ce roman fait réfléchir sur les grandes duperies du jeu hommes/femmes, tant dans le sentiment amoureux que dans la sexualité .
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Zone 4

Bars, boîtes et restaurants de la Zone 4 pour questionner Abidjan, le lien Europe-Afrique, et bien d’autres choses.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2018/10/23/note-de-lecture-zone-4-eric-boheme/
Lien : https://charybde2.wordpress...
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Réalités métissées : Nouvelles et chroniques

Avec ce recueil d'un trentaine de nouvelles, à la fois drôles et sarcastiques, nous entrons dans des réalités interprétées avec un humour parfois piquant mais néanmoins juste .L'auteur nous dévoile avec brio, différentes facettes de la vie africaine , n'hésitant pas à nous offrir un regard croisé très coloré.
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Réalités métissées : Nouvelles et chroniques

Un livre sur les différentes approches conceptuelles et manières de penser entre l'Afrique et le Continent européen, empreinte un peu parfois nostalgie mais avec beaucoup de vie .
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Le café du centre

"Le passé se venge toujours quand on s'efforce de l'oublier"

Dans un petit village au fin fond du Berry il ne se passe pas grand chose. Peut- être encore quelques rares histoires de sorciers. Chacun se retrouve au café du Centre afin de commenter les dernières nouvelles, le concours de boules, les lotos, les fêtes de la rosière, bref rien de palpitant... Et bien détrompez vous ! Dans Les années 70 de curieux événements perturbent les habitants de cette petite bourgade du Cher qui se dérègle.

Un jour, un inconnu s'installe à l'hôtel durant plusieurs semaines. Chaque matin il vient lire son journal au café du centre. Il arrive de Paris ou de Lyon, c'est un homme jeune, distingué et aisé. "Il farfouille en tapinois" dans le passé des habitants. Il connaît l'histoire de chacun durant l'occupation allemande. Qui, grâce au marché noir a réalisé des profits illicites durant la guerre ? Qui a collaboré, qui a résisté ? Qui était du côté des tortionnaires et qui était martyrisé ? Pourquoi ce passé l'intéresse tant lui qui était trop jeune pour avoir vécu la guerre​ !​

Tout remonte à la surface et saute au visage des habitants. Henri le patron du café du Centre est très inquiet. Il s'est enrichi grâce au trafic de vin. Simple serveur, il a pu racheter l'entrepôt de Gustave, riche négociant en vins qui a été assassiné. Et d'ailleurs qui a tué Gustave? Cette question revient sans cesse.

Faites connaissance avec les nombreux personnages haut en couleurs du café. Chacun a son petit secret.

Surtout vous serez stupéfait par les conséquences de ces événements qui sont liés à des scandales bien plus importants qu'on ne l'aurait imaginé au début, et c'est là tout le talent de l'auteur. C'est vivant, parfois drôle, c'est prenant.. N'hésitez pas à pousser la porte du café du Centre.
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Le Monico

Je me suis lancée dans cette lecture en ne sachant qu'une chose: le voyage en train serait présent. Je ne savais pas trop quoi attendre de ce roman et j'ai été agréablement surprise. Eric Bohème a une jolie plume. L'idée de ce voyage dont on ne sait pas trop où il va nous mener en début de roman prend peu à peu forme pour nous offrir une belle fin. L'auteur fait beaucoup de référence à des trains anciens en les nommant précisément, ce qui ajoute du charme à l'histoire. Je recommande ce voyage à tous ceux qui ont besoin de s'évader un peu.
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Zone 4

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Réalités métissées : Nouvelles et chroniques

33 textes courts, de toute nature, insérés en coin adroit entre France et Côte d’Ivoire.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2018/08/15/note-de-lecture-realites-metissees-eric-boheme/
Lien : https://charybde2.wordpress...
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