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Truman Capote, journaliste, présentant "De sang-froid" comme le résultat d'une longue enquête du meurtre des membres de la famille Clutter. De nouveaux éléments tendent à prouver que Truman Capote aurait pris quelques libertés dans le récit, notamment en ce qui concerne l'enquête policière. Source : http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20130213.OBS8726/capote-nous-aurait-menti.html

Une histoire incroyable, plus tard adaptée au cinéma : une jeune fille de 8 ans part retrouver sa famille déportée dans les camps par la Gestapo. Elle traverse toute l'Europe aidée par des loups... Révélation qui n'étonnera pas tout le monde quelques années plus tard : ce récit est un simple mensonge.

Présenté comme le témoignage d'un jeune français d'origine marocaine à propos des problèmes d'intégration en France, ce livre est en réalité un roman né de la plume -toujours impeccable- de Jack-Alain Léger.

Récit d'un clandestin ayant quitté l'Afrique pour la France ? Le nombreuses incohérences du récit pousseront le journal Le Monde a enquêter et à révéler la supercherie. Ce témoignage a été inventé de toute pièce par son auteur.

Le journal intime et anonyme d'une jeune fille tombée dans l'enfer de la drogue ? Ou bien une fiction publiée par une psychologue ? La psy Beatrice Sparks a avoué être l'auteur de ce livre.

Le 18 décembre 1912, à Londres, deux savants présentent les vestiges très anciens d’une mâchoire et d’un crâne humains. Nul au sein de la brillante assemblée qui réunissait de nombreuses sommités scientifiques autour des deux hommes ne soupçonna l’incroyable supercherie qui allait transformer cette « découverte » en une affaire digne d’une enquête de Sherlok Holmes. L’« homme de Piltdown » retint l’attention des meilleurs experts, jusqu’au jour, où, quarante ans plus tard, le British Museum dut reconnaître que le « premier Anglais» était un faux. Les plus fins limiers tenteront tour à tour de démasquer l’auteur et les éventuels complices de ce « crime » scientifique, extraordinairement sophistiqué et sans précédent. Les suspects ne manquent pas, certains des plus inattendus, tels Sir Arthur Conan Doyle, le créateur de Sherlock Holmes, et le père Teilhard de Chardin. Dans cet ouvrage écrit comme un roman policier, le paléontologue Herbert Thomas mène à son tour l’enquête. Après presque un siècle riche en rebondissements, livre-t-il enfin la clef de l’énigme?

L'avocat italien Scalzi Corrado est convoqué sur le navire du Commendatore Carrubba, un de ses riches clients qui s'occupe de fret maritime. L'homme est très préoccupé. Depuis qu'il a manifesté l'intention d'acheter trois statues découvertes chez un casseur de voitures de Livourne, un individu le harcèle de menaces de mort par fax, par lettres et au téléphone. Récemment, alors qu'il roulait dans sa Mercedes, il a même été victime d'un accident. Carrubba souhaite pourtant acheter ces statues, attribuées à Modigliani (un expert américain les aurait identifiées), pour les revendre à un musée des États-Unis avec un coquet bénéfice. Mais par quel miracle de telles ?uvres d'art se trouveraient chez un casseur de voitures ? C'est la question que se pose l'avocat Scalzi. Il commence à avoir un début de réponse lorsque son assistante et compagne Olimpia l'informe d'une autre affaire : un Américain, enseignant en histoire de l'art, venu en Italie avec sa fiancée, a été retrouvé noyé dans le port de Livourne. N'y aurait-il pas un lien entre ces deux affaires ? Lui-même avocat pénaliste à Florence, Nino Filastò utilise le personnage de Scalzi pour explorer les réalités de l'Italie et de sa justice. Cet amateur d'art, qui en connaît long sur les faussaires, mène une nouvelle enquête captivante et mouvementée, inspirée à l'auteur par un canular d'étudiants des Beaux-Arts. --Claude Mesplède

« J'écris ces lignes à un moment où le monde, tel qu'il tourne en ce dernier quart de siècle, pose à un écrivain, avec de plus en plus d'évidence, une question mortelle pour toutes les formes d'expression artistique : celle de la futilité. De ce que la littérature se crut et se voulut être pendant si longtemps - une contribution à l'épanouissement de l'homme et à son progrès - il ne reste même plus l'illusion lyrique. J'ai donc pleinement conscience que ces pages paraîtront sans doute dérisoires au moment de leur publication, car, que je le veuille ou non, puisque je m'explique ici devant la postérité, je présume forcément que celle-ci accordera encore quelque importance à mes œuvres et, parmi celles-ci, aux quatre romans que j'ai écrits sous le pseudonyme d'Émile Ajar. »

L'écrivain et journaliste Clifford Irving publia, en 1971 une fausse autobiographie du célèbre milliardaire Howard Hughes. Ce livre raconte la genèse de cette supercherie pour laquelle il fut condamné à 17 mois de prison.

Joseph Lubsky n'est qu'autre que Patrick Sebastien. Parce qu'il pensait que son nom ne lui attirerait que des mauvaises critiques, l'animateur écrivit ce livre sous pseudonyme et vint le défendre à la télé déguisé. Tout le monde n'a cependant pas été dupe...

Suggéré par HT : L'auteur livre le récit de son évasion du Goulag. En fait de récit, il s'agit d'un imposture. Le récit aurait possiblement été emprunté à un autre évadé : à Witold Glinski même.

Suggéré par svecs qui précise : "Sarah, de JT Leroy. L'auteur prétendait être, à l'instar du personnage principal de son roman, un jeune homme à l'identité sexuelle troublée, fils de prostituée pour camionneurs et toxicomane. L'imposture est allée jusqu'à engager une amie comédienne pour jouer le rôle de JT Leroy pour la promotion JT Leroy fut une icône trash avant que l'importure soit révélée: il s'agissait d'une femme de 40 ans, à l'histoire personnelle beaucoup moins agitée."