Rouge. Rivière. Du sang bien sûr. Malaises. Récit dans un espace farouche, lyrisme déjanté, sous le signe des corps, relation périphérique avec une faucheuse instantanée, la mort. La lecture avance à tâtons, déplie sa forme, sa partition, aux variations ouatées d'angoisse. Le poète porte en lui l'ivresse, non pas des paysages, mais des mots. Leur silence. Leur amnésie. Leur syntaxe mouvante. Le livre saisit. Geste familier. Neuf. Amoureusement intime. Laurent Poliqu... >Voir plus