Longtemps le rugby a été la maison–mère de Guilhem Arbanats. Tout en lui l’indique, de sa démarche pachydermique à la façon qu’il a de ne pas se sortir de devant quand on le contrarie, en passant par le féroce appétit qui à chaque instant le rattrape. Et puis il y a cette sale cicatrice qui segmente son visage. Guilhem a aimé le rugby et le rugby l’a sans doute aimé. Il a eu en son temps ses admirateurs, des spectateurs assidus qui venaient garnir chaque dimanche le... >Voir plus