C'est toujours le même scénario : on se rencontre, on se plaît, on se découvre, on se cherche, on se désire, on s'aime, on se chope, on s'habitue, on s'agace, on s'insupporte, on se sépare. Non, allez, je suis trop fatiguée pour refaire un tour de ce manège-là.
C'est toujours le même scénario : on se rencontre, on se plaît, on se découvre, on se cherche, on se désire, on s'aime, on se chope, on s'habitue, on s'agace, on s'insupporte, on se sépare. Non, allez, je suis trop fatiguée pour refaire un tour de ce manège-là.
A moi la retraite (des sentiments) anticipée !
Il n'y a pas que notre appartement, que j'ai eu besoin de relooker. Mon moi profond a également nécessité de grands travaux de ravalement. Dont je ne vois pas la fin.
L'ennui avec les interviews, c'est qu'il faut répondre du tac au tac à un journaliste tout ce qu'on n'a pas su se répondre à soi-même toute sa vie.
Quino
Il y en a qui collectionnent les timbres, les pin's, les jetons de Caddie ou les distributeurs de bonbons Pez, moi il a fallu que j'entame en dépit du bon goût une collection des crapauds ( vous savez, ces princes charmants privés de baisers).
N'oublie pas que les mecs ,tu peux t'en séparer , mais que tu devras supporter toute ta vie le père de tes enfants. Alors choisis bien tes exs.
ça me scotche, cette façon irresponsable qu'ont les ados de s'exhiber sur le net. De confier à des milliers d'inconnus ce qu'ils s'acharnent à cacher à leurs parents. De mettre en ligne, et ainsi d'offrir à la terre entière, les photos qu'autrefois nous compulsions religieusement dans de beaux albums aussi lourds qu'un annuaire. De communiquer en se débarrassant volontairement de toutes ces structures grammaticales qu'on a mis des années à leur enseigner, en inventant leur propre sémiotique analphabète. De cumuler des flopées d'amis virtuels qu'ils ne rencontreront jamais, au détriment du temps passé avec leurs copains réels.
Le seul Plaute dont j’avais entendu parlé avant aujourd’hui, c’est celui qu’un homme fait avec ses mains sur mes seins.
Ce n'est pas parce que j'ai l'air stoïque, imperturbable et forte, que je ne suis pas toute cassée à l'intérieur.
Rubis (conclut en soupirant) : - N'empêche, c'est vrai que les hommes que l'on rencontre ont souvent un grain.
Moi (en soupirant aussi) : - Oui ben pour certains, c'est carrément un couscous.