Elle cherchait à faire de son corps un instrument. Mièvre et sardonique, elle espérait être ravie, ne fût-ce qu’une seconde, par un homme qui s’acharnerait sur elle pour qu’une à une, dans un effeuillement quasi didactique, se révélassent les parties du tout, dans un élan paroxystique appelé passion.
Et elle alla d’un chaudron à l’autre, méthodiquement, comme pour trouver dans la mathématique secrète des proportions et des mesures, la réponse au manque d’amour.