Dostoïevski venait à peine de passer réellement à l'attaque dans le tome précédent mais depuis le temps qu'on tournait autour de son personnage, il est était urgent d'affronter le problème en face.
Avec leurs chefs respectifs qui sont au bord de la mort, Atsushi et
Akutagawa s'associent momentanément pour neutraliser
Pouchkine, le responsable du virus, et si possible en profiter pour régler le problème
Dostoïevski.
On retrouve un petit peu le même schéma que pour l'affrontement contre Fitzgerald, ce qui est assez redondant, mais celui qui leur pose finalement le plus de problème c'est Gontcharov qui leur offre une solide opposition avec son pouvoir. Ça permet d'avoir un combat très sympathique où le solution ne peut venir que de l'association des deux zouaves qui montrent tout de même qu'ils ont encore tous les deux beaucoup de travail à effectuer sur eux-mêmes pour comprendre pour quelles raisons ils se battent, même si on commence à bien les connaitre.
Pourtant, malgré un petit twist grâce auquel
Dazai montre encore une fois à quel point il est génial, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que c'était un final un peu décevant pour
Dostoïevski qui n'aura même pas dévoilé son pouvoir.
La fin du tome part sur un sujet un peu plus léger, une enquête menée par
Poe et Rampo qui repose sur deux personnages qui fonctionnent très bien ensemble. Et si elle semble innocente au premier abord, elle risque bien d'avoir de lourdes répercussions et réussit à me faire revoir mon jugement sur ce treizième volume.
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