Marion Aubert répond à la commande d'une chorégraphe en improvisant cette pièce aux 4 acteurs : la mère truie (qui devient tour à tour loup et Zora la chef de la troupe de danseuses), les 3 petites filles sauvages qui incarneront les 3 petits cochons. La mère truie meurt, meurt, meurt : les 3 petites filles sauvages sont contraintes de construire leur maison ; paille pour la plus petite naïve et joueuse, carton pour l'ado, brique sécuritaire pour l'aînée. le loup arrive, mange, mange et finit dans la marmite de la plus sage. Moralité : vigiles et prudence protègent des loups ! Bon, je ne suis pas sûre que l'objectif de
Marion Aubert était de nous faire la morale, mais plutôt de jouer, jouer, jouer, et danser (plusieurs parties sont chorégraphiées). On se marre bien avec ce loup/mère un peu hystérique, un bon délire plein de vie et de mortes.