[Les livres d'Eisenstein parus en français faisaient découvrir] cette personnalité complexe, hésitant entre esthétisme et engagement politique, vouée à l'obéissance à un père (de préférence sévère), mais se comportant comme un tyran envers ses collaborateurs, semblant avoir refoulé si parfaitement sa sexualité que la jouissance lui venait par le travail (donc en permanence).
(p. 9)
Jacques Aumont, L'Absence, l'Oubli.