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EAN : 9782290145890
288 pages
J'ai lu (21/06/2017)
3.17/5   9 notes
Résumé :
Gilles Azzopardi, psychosociologue, fait le point sur les éléments qui viennent polluer notre personnalité et nous gâchent la vie. Pas si évident de savoir qui l’on est vraiment. Déjà parce qu’on évolue sans cesse, mais aussi parce que, bien souvent, on se définit par rapport aux autres. Sans compter le poids du passé, de l’éducation, les pressions sociales, de la famille, des amis ou du travail ! Grâce à ce livre, vous apprendrez à comprendre et à gérer vos émotion... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Dans ce livre de développement personnel, l'auteur revient sur les principales choses qui nous empêchent d'être nous même, pour ensuite nous donner les clefs pour se débarrasser , entre autre, de nos croyances limitantes et de nos complexes et ce, dans les différents contextes de la vie quotidienne : amour, travail, amitié...
Ce livre, quoiqu'un peu généraliste sur le sujet, est écrit de façon juste et simple. La découpe des paragraphes facilite la lecture et la mise en application des conseils. Les astuces pour avancer sont pratiques et bien expliquées...bref, cet ouvrage peut être un bon début pour un travail sur soi
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Un livre pour faire le point sur tout ce qui empêche d'être soi-même comme l'importance que l'on accorde à notre passé et le regard des autres. Apprendre ou ré-apprendre à être soi-même passe un nécessaire travail sur soi afin de se débarrasser de ses croyances limitantes et de ses complexes. Cela permet d'avancer vers une meilleure acceptation de soi et une meilleure gestion des émotions au quotidien dans différents contextes: le travail, le couple, les relations amicales.
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Certes, la beauté offre de nombreux avantages, par exemple, certaines personnes sont jugées plus intelligentes ou plus compétentes que d’autres uniquement sur la base de leur seul attrait physique. Et les gens beaux sont toujours mieux payés que les autres pour le même travail (en moyenne 5 % de plus), alors qu’ils ne sont pas spécialement plus performants.
Mais elle n’est pas non plus sans inconvénient. Par exemple, les femmes les plus séduisantes sont en général jugées à tort par les hommes, et aussi par les autres femmes, moins compétentes, moins talentueuses et moins loyales. Victimes de « l’effet bimbo » et considérées d’office comme superficielles, elles ont plus de difficultés pour obtenir certains emplois à responsabilités et des postes hiérarchiques jugés « masculins ».
Être moche, ce n’est pas une cata, c’est souvent un atout, même quand on veut faire du cinéma. Vous imaginez un film où tout le monde serait canon ?
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Nous avons beau nous sentir parfois très seuls, nous sommes néanmoins des êtres sociaux, dépendants du regard, de l’approbation (ou de la désapprobation) des autres.
Nous avons aussi grandi avec des principes communs à toutes les sociétés : obéissance, respect de l’autorité, des normes, des usages…
Cela tient aussi au type d’éducation que l’on a reçue de ses parents : nous avons été élevés d’une certaine manière et en quelque sorte « préprogrammés ».
Tout cela fait que nous sommes tous, les plus forts comme les plus faibles (en matière d’autonomie, d’indépendance), vulnérables aux influences des autres et qu’il est parfois difficile d’être soi-même ou de le rester.
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La peur du ridicule et des moqueries se niche dans le petit détail « qui tue », mais parfois elle devient une obsession. L’infériorité, réelle ou supposée, se généralise à toute la personnalité.
On commence à douter de son intelligence, de sa séduction, de ses compétences. On finit par douter de ses chances de réussite, on grossit les problèmes, les difficultés, et même de ses succès, qu’on attribue au hasard ou à l’indulgence des autres.
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Quand on se regarde dans une glace, on se reconnaît. Les humains de plus de 18 mois en sont capables, comme un certain nombre d’animaux, par exemple nos cousins chimpanzés et bonobos, mais aussi les éléphants d’Asie, certains dauphins, les orques, les corbeaux, les pies bavardes…
Là où cela se complique, c’est que soi-même, que l’on appelle aujourd’hui le moi, ne tombe pas du ciel, il est intimement lié au regard de l’autre. On est « moi » qu’en rapport à l’autre, que ce soit avec, contre ou loin de lui.
On a besoin de l’autre pour se reconnaître, c’est par lui aussi que nous nous définissons.
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Notre image de soi n’est pas non plus nécessairement conforme au jugement des autres. On peut se trouver très bien physiquement, les hommes encore, et ne pas plaire pour autant. Ou, au contraire, se trouver moche, les femmes plus souvent, alors que les autres nous trouvent physiquement attirant.
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