Des arômes enivrants embaument les jardins Firouzi tandis que des prières élèvent à la gloire du Très-Haut leur lamentation lancinante. Dans la pénombre du palais la reine mère attire Ayyâz sur sa couche, prélude à la sodomisation du jeune esclave par le roi, son fils. Plus tard, sous les yeux d'une foule en transe, le souverain Mahmoud et Ayyâz découpent à la scie le corps vivant d'un homme - prophète ? martyr ? - avec une remarquable minutie. La victime rappelle u... >Voir plus
"Adieu veaux, vaches, cochons, couvée"
Quelle figure ici utilisée par La Fontaine et marquée par la juxtaposition de mots vise généralement à donner du rythme à la phrase ou à mettre en valeur l'abondance.