AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9791030705027
256 pages
Au Diable Vauvert (06/01/2022)
3.82/5   11 notes
Résumé :
À Sainte-Blandine-sur-Fleury, un homme inconnu entre en gare à la recherche d’un train de marchandise, qui d’après l’agent SNCF, n’a aucune chance d’arriver.

Qui est cet homme que tous prennent pour une menace à leur sécurité et leur bien-être commun ? Quelle est cette mystérieuse marchandise ?
Un homme peut-il, par sa seule fragilité, ébranler les structures psychiques du monde liberticide dans lequel il évolue à contre cœur ?

P... >Voir plus
Que lire après L'homme-canonVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Selon la description disponible sur le site de l'éditeur, ce livre est « une vision dystopique de la société de surveillance et de contrôle pleine d'intelligence, brillant et pénétrant ». C'est clair que parfois les accroches disponibles sur les bouquins vendent du rêve afin d'attirer le manant à l'achat et on se trouve alors déçu. Ici, je vous rassure tout de suite : elle est totalement vraie.

Christophe Carpentier a une interprétation totalement crédible du futur potentiel de notre société et nous la conte sous la forme d'une pièce de théâtre en trois actes.

Alors je me doute que beaucoup de potentiels lecteurs pourraient être effrayés par la forme du texte, sous cette configuration d'une pièce de théâtre. Je suis la première à avoir été décontenancée quand le livre m'est arrivé entre les mains car je ne suis pas une grande lectrice de pièces de théâtre. Pourtant, vu sa quatrième de couverture, j'ai voulu lui laisser une chance en parcourant les premières pages et je me suis vite retrouvée happée par l'histoire et la façon originale dont l'auteur avait choisi de mettre en oeuvre pour la raconter. Cela n'alourdît pas la prose, au contraire devrais-je même dire.

Quand on regarde les journaux télévisés ou les magazines d'informations, on ne peut qu'être parfois ébahi par la tournure que prennent les choses et le monde en général. L'épidémie du COVID a laissé des traces et l'auteur les imagine de façon pas si irréaliste que ça, je pense. Une seconde épidémie s'est déroulée en 2052 (tiens, à noter peut-être à l'agenda) et le nouveau Gouvernement d'Urgence Nationale (G.U.N., hum hum) a mis en place des dispositions où toutes formes de distractions seraient proscrites, avec notamment, le recul de l'âge de la pension à 74 ans (oh, misère) menant à une société sans conflit mais également sans plus aucune fantaisie.

C'est souvent drôle, parfois loufoque mais tellement ingénieux cette façon d'imaginer le monde et en particulier, la France en 2069. Toutefois, à maintes égards, j'espère que Christophe Carpentier s'est tout de même trompé car cette société serait bien loin d'être idéale selon moi.

Franchement, cette vision de 2069 est parfois effrayante notamment quant à la configuration liberticide de la société qui serait mise en place. Un exemple : la disparition de tous les livres, hormis les manuels scolaires. Pour moi qui suis une lectrice acharnée, je ne vous fais pas l'affront de vous qualifier l'horreur que cela serait pour moi mais aussi pour vous pauvres lecteurs.

Bref, tout cela pour vous dire que ce livre passionnant a vraiment été une belle surprise. Il sera drôle de reprendre ce livre en 2069 et d'observer les ressemblances et différences entre la réalité et la fiction. Espérons toutefois que cette vie aseptisée ne trouve pas à s'installer dans notre quotidien.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
Commenter  J’apprécie          511
Non, l'homme-canon n'est pas l'histoire d'un super-héros doté de pouvoirs explosifs.
Ce n'est pas non plus le titre de mon autobiographie (ça aurait pu, mais non ☺)
En fait, l'homme-canon, c'est ma dernière "bonne pioche" à la masse-critique de janvier, une fable philopohico-futuriste décapante et un brin loufoque aux allures de pièce de théâtre (un drame en trois actes, tout en dialogues et en courtes didascalies).
En clair : un texte un peu barré et redoutablement subversif auquel je souhaite un très bel avenir !

Et l'avenir justement, parlons-en, puisqu'il en est largement question dans ce curieux petit livre.
L'auteur nous projette en effet en 2069, soit dix-sept ans après la seconde grande pandémie de Covid (prévue pour 2052, c'est bon à savoir !), et quelques années après les émeutes sociales ayant conduit à la promulgation de la Loi sur le Remboursement de la Dette Sanitaire et à la mise en place de mille autres mesures drastiques (Protocole Participatif Consensuel, recul de l'âge de départ à la retaite à 74 ans, j'en passe et des meilleures...) prises par le nouveau Gouvernement d'Urgence Nationale (c'est ça, le G.U.N !)
Bien sûr toute ressemblance avec des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite...

Inutile donc de vous dire qu'avec Christophe Carpentier, il ne faut pas vraiment s'attendre pas à des prédictions radieuses ni à des lendemains qui chantent.
Tablez plutôt sur un futur morose, certes pacifié mais complètement aseptisé, un monde soumis à une pression fiscale démesurée, un monde expurgé de toute fantaisie où les rêves, l'excès de distraction ou d'insouciance, l'ensemble des créations artistiques et l'usage de tout ce que les autorités nomment "Support Fictionnel" (livres, films, vestiges culturels d'antan, etc...) sont strictement prohibés.
Surtout ne plus songer au passé, ne pas anticiper l'avenir, ne pas céder au péril de l'imaginaire, ne jamais s'évader ailleurs. Seule compte l'immédiateté, plus rien n'existe hors la réalité de l'instant présent.
Unique divertissement autorisé, et même clairement encouragé : le visionnage en continu des sacro-saints Directs Télévisisuels (mais si, vous savez bien, ces merveilleux reportages "en immersion" auprès des Forces de l'Ordre, des Soldats du Feu, des Ugentistes, des Constructeurs du Coeur et autres Camioneurs de l'Extrême). Quel meilleur outil de propagande pour distraire et lobotomiser les foules, en faire des "moutons avides d'exemplarité citoyenne et vide de tout sursaut romanesque" ?

C'est dans ce contexte que Bastien Lebaye fait son apparition, sur le quai d'une petite gare de province. L'homme est venu pour assister au déchargement d'un matériel dont il vient de faire l'acquisition, à savoir un canon de cirque utilisé pour projeter un cascadeur dans les airs.
Problème : la petite gare en question ne voit passer que des TER, et aucun train de fret n'y livrera jamais le moindre canon. Pourtant Bastien n'en démord pas, il ne partira qu'après réception de son spectaculaire engin, et bien vite tout le voisinage s'interroge.
Qu'est-ce c'est que ce gugus, avec ses délires de saltimbanque ? Est-ce un doux rêveur ou un perfide agitateur menaçant la quiétude du village, et plus largement l'équilibre de la société enfin assagie (ou plutôt cadenassée par un arsenal législatif dementiel, biberonnée H-24 par les fameux Directs et soumise au couvre-feu planétaire) ? Comment faire pour se débarasser de ce marginal, lui qui semble prendre un malin plaisir à ignorer les mises en garde des Miliciens ? ("Il est manifeste qu'à ne rien faire comme vous le faites, vous êtes hors du moment présent, donc hors-la-loi.")

Le lecteur aussi se pose quelques questions, puis peu à peu se laisse emporter dans cette histoire subtilement absurde et néanmoins propice à la réflexion.
Si j'ai été dans un premier temps un peu désarçonné par le caractère très militant de l'ouvrage (j'avoue avoir parfois tendance à "me méfier" des oeuvres de fiction trop ouvertement engagées...), j'ai fini par y trouver un véritable intérêt et par me satisfaire complètement du style (que je trouvais d'abord assez convenu) et des dialogues parfois un peu répétitifs.
Le message de Bastien, notre fervent défenseur du droit à l'imaginaire qui a su "inventer un personnage et l'inséminer dans un cadre naturel pour qu'il s'y développe", n'en est que plus clair. Par amour de feu la littérature et par goût de la désobéissance civile, il incarne avec force un modèle de résistance original face aux dérives d'une société sous contrôle. Espérons donc qu'il soit entendu ("Il faudrait cent mille Hommes-canon dans chaque pays, alors le bloc de réalité encadrée pourrait commencer à se fissurer".)

Merci à Babelio et aux éditions du Diable Vauvert pour cette découverte, que je vais m'empresser de diffuser autour de moi avant que les miliciens du futur ne m'arrêtent pour "recel de données mémorielles différées" !
Commenter  J’apprécie          248
Après Cela aussi sera réinventé en 2020, Christophe Carpentier publie un deuxième roman chez Au Diable Vauvert (après trois chez P.O.L. et un chez Denoël), encore une fois il questionne l'apport des littératures de l'imaginaire dans L'Homme-canon.

En attendant le canon
Bastien patiente en gare de Sainte-Blandine-sur-Fleury (ville fictive), il a rendez-vous avec un train de marchandises qui doit lui livrer son canon qu'est allé chercher son associé Kolya. Armé de sa détermination et d'un simple SMS affirmant que la livraison arrive bientôt, Bastien s'échine à convaincre les quelques personnes qu'il rencontre que le métier d'homme-canon dont il a fait son but, qu'il veut expérimenter, qu'il débute à peine, vaut vraiment le coup (et le coût d'ailleurs). Tout du moins, il tente d'être un minimum toléré dans une France de la fin du XXIe siècle qui a dû subir plusieurs pandémies et surtout un recadrage des libertés publiques et des manières d'aborder toute sorte de connaissances collectives. Ainsi, chaque journée est rythmée par les Directs publiés en continu par les chaînes de télévision, émissions censées mettre constamment en valeur les bienfaits de certaines catégories de la population, qui un pompier en intervention, qui une experte en plein débat, qui un péquin standard qui a réussi à attirer les caméras de télévision. Seul le direct fait foi, désormais. Or, avec son attitude étrange, Bastien fait tâche dans le paysage. Certains le brocardent, d'autres l'accueillent comme un lapin naïf perdu dans les phares d'une voiture : mais où s'arrête l'assistanat si jamais vous voyez Bastien comme un simple profiteur ? et où débute la subversion si vous le considérez comme un agitateur utile ?

Pièce de théâtre en trois actes
Dès le départ, Christophe Carpentier a fait dans l'originalité sur la forme : L'Homme-canon est une pièce de théâtre avec tout ce qu'il faut d'actes, de scènes, de didascalies très précises et de mise en page des dialogues personnage par personnage. de mémoire, en SF ou fantasy, la seule pièce de théâtre que j'ai lue est celle de Fabien Cerutti dans son recueil Secrets du premier coffre, qui était très réussie aussi. Dans cette perspective, l'auteur joue de l'astuce de dénommer chaque personnage par son rôle tout d'abord et ensuite, si jamais une ligne de dialogue nous en informe, par son prénom. Ce choix de forme fonctionne très bien, puisqu'il y a une vraie unité de lieu, de temps et d'action dans chacun des actes ; l'omniprésence des dialogues n'est pas gênante : on sent parfois que l'auteur aurait envie (notamment dans l'acte II) de développer davantage son propos, mais il se tient heureusement à ce qui tourne au plus près du personnage principal, qui passe de scène en scène (le seul d'ailleurs) comme si le plateau tournait, changeait de décor en permettant à Bastien de le traverser, évoluant à chaque étape. L'intrigue aurait pu être plus aboutie, mais cela aurait peut-être mis en danger l'unité de cette pièce de théâtre.

À quoi sert l'imaginaire ?
Même si cela ne semble pas le premier but de l'intrigue, L'Homme-canon est un roman qui se donne pour but de souligner l'intérêt de faire fonctionner constamment notre imaginaire, dans une logique de survie tout simplement. Comme Cela aussi sera réinventé, L'Homme-canon propose une vision des choses très réfléchie, mais d'une manière bien plus subtile, ou en tout cas plus subtilement intégrée à une intrigue qui est plaisante à découvrir. Ici, il s'agit de se mettre dans la position du citoyen lambda noyé dans une société française anémiée par les pandémies et les politiques sécuritaires : que ferait-on ? se laisserait-on bercer par ces Directs incessants ? ou chercherait-on à subvertir ses contemporains ? L'auteur propose avec Bastien une vision de l'imaginaire comme échappatoire de réflexion sur notre monde, car ce sont aujourd'hui les littératures de l'imaginaire les plus à même de révolutionner notre société par l'écrit.

L'Homme-canon est donc original, bien écrit, inventif et réflexif. C'est déjà un beau cocktail !

Commenter  J’apprécie          180
A la gare de Sainte-Blandine sur Fleury un homme attend. Il doit recevoir un canon pour son numéro d'homme-canon qu'il compte monter prochainement et inaugurer dans la ville. Mais il semblerait qu'aucun train de marchandises n'arrive dans cette gare contrairement aux informations que son partenaire lui a données. L'homme se met en tête d'attendre malgré tout et de retenter sa chance le lendemain. Son séjour dans la ville de Sainte-Blandine sur Fleury va causer quelques remous dans la population, éveiller la méfiance mais aussi quelques actes de sympathie.

Un livre fort étrange, mais très intéressant, que cet homme-canon. Par sa construction dans un premier temps qui va chercher du côté du texte de théâtre. L'ensemble est construit quasiment exclusivement en dialogues entre les différents personnages. Par son sujet ensuite. Nous sommes clairement dans un récit futuro-philosophique, si ce terme existe ! Christophe Carpentier place son récit en 2069, dans un monde où les “supports fictionnels” tels que les livres, les films et la musique sont interdits et où les Directs télévisés ont pris le pas sur tout autre divertissement. Ces directs ce sont des immersions auprès de pompiers sur des accidents, auprès de policiers sur des intervention, dans des hôpitaux pour assister à des accouchements ou sur des chantiers de construction.

Les personnages évoluent dans un monde totalement sous-contrôle, où les sentiments sont aseptisés, où il est interdit de s'appesantir, même en pensée, sur le monde d'avant ou sur des souvenirs. Un monde où chaque habitant se doit de contribuer au remboursement de la Dette Sanitaire mise en place après la nouvelle grande pandémie de Covid apparue en 2052. Bref un monde loin d'être idyllique que notre homme-canon, Batien Lebaye pour l'état civil, cherche à secouer et à sortir de sa léthargie avec son histoire d'homme-canon et les péripéties qui y sont liées. Par son action, Bastien revendique subtilement un droit à faire appel à l'imaginaire qui a été prohibé. Il insuffle dans les villes où il passe un léger vent de révolte et de résistance. On ne saura pas vraiment si son action militante est unique ou s'il fait partie d'un réseau plus vaste (quelques dialogues avec sa compagne nous le font supposer) mais on salue cette volonté de faire changer les choses par un moyen très inventif.

Christophe Carpentier nous décrit ici un monde qu'on imagine sans peine advenir pour les plus pessimistes d'entre nous. Ne vivons-nous déjà pas avec ces images en boucle des chaines d'information non-stop et sous l'influence de ces reportages qui, sous couvert de nous faire vivre des vies autres que les nôtres, inhibent notre pensée critique ? Serions-nous à un cheveu du monde de 2069 évoqué par l'auteur ? Souhaitons-nous que non !
Commenter  J’apprécie          20
J'ai plongé avec un mélange de curiosité et d'effroi dans ce roman atypique, entre pièce de théâtre et conte des temps modernes. Nous sommes en 2069 et le pays est dirigé par des Miliciens qui ont établi des règles étranges et non moins totalitaires. Alors que des écrans de télé diffusent partout des Directs non-stop, qu'il s'agisse d'urgences médicales ou talk-shows absurdes, nous sommes ici bien après la seconde pandémie de COVID de 2052.
J'ai beaucoup ri, tant les dialogues sont succulents, rappelant en cela le génie du théâtre de l'absurde. En modernisant le propos, Christophe Carpentier décrit notre société régie par l'image et les références aux chaînes d'info en continu où ici il s'agit d'endormir les consciences jusqu'à les abrutir. Les protagonistes représentent à eux tous les institutions et le pouvoir, qu'il s'agisse du Maire, du chef de gare, des Brigadiers et des Miliciens.
Un coup de coeur pour cette charmante balade dans un monde effrayant raconté avec beaucoup d'humour.

Commenter  J’apprécie          40

Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Oh Fiction, Bastien et moi célébrons en ce jour ton culte millénaire. Toi qui fus la déesse de l'Imaginaire, toi qui servis de socle aux religions antiques et actuelles, toi qui inspiras les plus grands poètes et les romanciers les plus innovants, tu es aujourd'hui pestiférée et laissée pour compte. Protège tes deux humbles serviteurs qui prennent des risques insensés pour contrer la tyrannie des faits avérés et des témoignages autobiographiques saisis sur le vif, toute cette immédiateté journalistique sans style, ni profondeur, ni panache, qui est devenue la seule source d'enrichissement personnel. Oh, déesse Fiction, continue de prendre sous ton aile l'Homme-canon, ce déclencheur de Fictions In Vitro, qui tente de briser à sa petite échelle l'apathie romanesque des anonymes [...]. Fais qu'il puisse aider les rêveurs et les délirants à rompre les amarres de leur citoyenneté modèle, ces menottes aussi fragiles que des veines de vieillard.
Commenter  J’apprécie          10
C’est un talk-show d’experts sur les Événements qui ont précédé le vote des Lois de 2057. Ça fait du bien ce genre de piqûre de rappel, parce qu’on oublie toujours la merde que ça a été avant aujourd’hui.
Commenter  J’apprécie          50
Tu parlais à l’instant de sacrifice. Est-ce parce que tu penses encore à ton métier de bibliothécaire que tu n’as pas démonté ta bibliothèque ?
Commenter  J’apprécie          70
C'est ça que j'aime dans les talk shows, les experts font descendre l'Histoire au niveau des humeurs et des jugements, or c'est comme ça qu'elle se fait sur le moment, à coups de jugements hâtifs et d'humeurs épidermiques.
Commenter  J’apprécie          46
Prendre les choses comme elles sont, bien se caler dans le moment présent sans se poser de questions, là est la recette du bonheur.
Commenter  J’apprécie          70

Videos de Christophe Carpentier (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christophe Carpentier
Festival des Utopiales à Nantes
Dans le film Soleil Vert tiré du roman de Harry Harrison, on voit l'humanité, ayant tout consumé autour d'elle, condamnée à se dévorer elle-même. La consommation de viande des pays développés serait, entre autres, l'un des facteurs cruciaux qui contribuent au réchauffement climatique, mais également nuirait à la santé des citoyens. Et ce non seulement à cause de la viande elle-même mais également du fait de sa contamination par les polluants. Serons-nous simplement consommables demain ?
Avec : Christophe Carpentier, Morgane Caussarieu, Charlotte Sinding, Olivier Gechter Modération : Benoît Tonson, The Conversation
+ Lire la suite
autres livres classés : censureVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (22) Voir plus



Quiz Voir plus

Cendrillon (pièce de théâtre de Joël Pommerat)

Dans quel type de maison habitent la belle-mère de Sandra et ses deux filles ?

Une maison en acier
Une maison en bois
Une maison en paille
Une maison en verre

12 questions
100 lecteurs ont répondu
Thème : Cendrillon de Joël PommeratCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..