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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Bonjour ,
Voici « La Reine du noir » de Julia BARTZ. Belle découverte avec ce thriller psychologique original et haletant à la superbe couverture. Imaginez cinq jeunes femmes, sélectionnées pour participer à un séminaire d'écriture. Jusque-là rien de particulier. Ajoutez que ce séminaire est dirigé par une célèbre écrivaine spécialisée dans le roman d'horreur féministe. Pour corser le tout, les participantes se retrouvent dans un manoir isolé. L'enjeu est important. La compétition s'installe. L'intrigue sous tension est bien maîtrisée, le huis clos captivant et perturbant tient ses promesses. Les personnages principaux sont peu attachants, prisonniers d'un passé tourmenté et douloureux. L'ambiance lourde, oppressante et anxiogène s'installe crescendo et se nourrit de manipulations et de secrets. Un excellent moment de lecture !
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La couverture très sombre qui me rappelait un peu celles de Blackwater dans la construction m'avait tout de suite attiré. le résumé ensuite avait ce petit quelque chose d'intriguant et aussi cette pointe dérangeante qui avait titillé ma curiosité. de quoi faire une bonne coupure avec mes lectures en court. Et j'avoue que La reine du noir m'a surprise, dans le sens où je n'aurais pas cru autant l'aimer. Il sort tellement du cadre de ce que j'apprécie habituellement que c'était déroutant.

Le huis clos auquel nous faisons face a tout de suite quelque chose de dérangeant. On sent vite que rien ne va se passer comme prévu et que tout va partir en cacahuètes. Mais c'est clairement ça qui a su me captiver. Et même si la première partie est très introspective, il était difficile de lâcher le roman. Il y a cet effet voyeur à scruter ces jeunes femmes. Chacune à des secrets, et pas forcément des plus sympathiques. Et avec leur hôtesse qui se conduit rapidement comme la pire des salopes, le ton était donné.

C'est addictif, comme un voyeur incapable de lâcher sa proie du regard. On a envie d'en savoir plus, de gratter encore et encore pour découvrir ce qui se cache derrière cette retraite des plus sinistres. L'aspect psychologique est perturbant et en même temps très prenant. Jusqu'où est-on capable d'aller et cela dans différentes situations ? Jusqu'où un être humain peut-il avancer sans se briser ?

Ce qui est étrange en plus pour moi, c'est que je n'ai réussi à m'attacher à aucun des personnages. Ce qui est pourtant très important pour moi d'habitude. Mais ici, cela ne m'a pas posé problème. Vraiment c'est le dénouement de tout qui me plaisait et me poussait à poursuivre.

Je ne nie pas, par contre, que lorsque que tout se révèle, j'ai trouvé que l'auteur partait un peu trop dans les extrêmes. le côté too much apporte tout sauf de la crédibilité, mais pourquoi pas. J'ai par contre aimé la touche de fantastique qui s'installe doucement rendant le tout plus sombre et à la limite de la folie.

La fin de la reine en noir est des plus satisfaisantes par contre. Avec un épilogue qui nous place six mois après, nous avons le loisir de reprendre pied après route cette folie. Et j'ai trouvé encore une fois l'aspect psychologique très bien ficelé.

La reine en noir est un ovni du genre, captivant et dérangeant à la fois. Il ne plaira pas à tout le monde, mais il a su me convaincre avec plaisir.
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Repéré sur le catalogue des éditions Sonatine avant même sa sortie, La Reine du noir a été à la hauteur de ma curiosité. Il faut dire le risque d'attendre un roman. Car l'imagination, elle, n'a pas de bouton pause. Elle continue de galoper, fantasmant sur une intrigue qui selon toute vraisemblance a le potentiel d'emporter mon p'tit coeur de lectrice. Et ô combien il fut emporté !

Le roman de Julia Bartz a tout pour ravir des amateurs.ices de huis clos. Tout d'abord le décor avec le manoir de Blackbriar, lieu isolé en pleine nature. Puis, les personnages des cinq jeunes autrices invitées par une célèbre romancière entretenant savamment son aura de mystère. Et enfin l'action définit par le motif de leur venue, traduit par un séminaire d'écriture. Et c'est bien là que le thriller psychologique de l'autrice prend toute sa saveur. le motif de l'écriture, source de travail et de plaisir, mais surtout ici, de danger...

Que va-t-il se passer dans ce manoir ? Jusqu'où l'écriture peut mener ? Alex, la protagoniste, va non seulement devoir dépasser son syndrome de la page blanche, mais aussi se confronter au passé incarné ici par Wren, son ancienne meilleure amie également invitée. Et si, finalement, cette retraite littéraire était la meilleure introspection intérieure ?

Derrière ce thriller, une mise en abyme intéressante excite le.a lecteur.ice. Des romans écrits dans le roman. Et plus particulièrement, un roman. Vertigineux donc. Si ce séminaire permet aux cinq novices d'entamer un manuscrit, il débute surtout avec le ton employé par Roza Vallo, gardienne des lieux et instigatrice de cette échappée littéraire. Personnage complexe la romancière, à l'aura de gourou, incarne la rigueur et la discipline qu'implique l'écriture. Les aspirantes autrices, elles, représentent les doutes et les difficultés d'accoucher une idée sur papier. Julia Bartz utilise ces codes pour écrire elle-même un roman, y ajoutant au centre une intrigue psychologique et sanglante puisque, évidemment, rien ne va se passer comme prévu. Ingénieux.

Au-delà de la construction, les personnages donnent tout autant de relief au roman. Non seulement Alex est en proie à ses démons littéraires, mais elle est également soumise à ses propres interrogations existentielles. À savoir son orientation sexuelle. Julia Bartz développe alors en filigrane la question queer, permettant de rendre ces personnages modernes et son roman actuel. Et que dire de Roza Vallo, la romancière manipulatrice qui dès le début nous semble louche ? Que j'ai aimé la détester ! Aussi fascinante que venimeuse, l'autrice en fait un personnage fort, représentatif d'un milieu littéraire redoutable. Et puis, figure incontournable du roman, le décor, suivi d'une atmosphère dérangeante qui met en perspective un malaise latent. C'est peut-être cela qui m'a séduite en premier lieu. L'ambiance à travers laquelle un rythme graduel s'installe pour révéler un potentiel gothique.

Avec tant d'aspects positifs, La Reine du noir aurait dû être un coup de coeur, mais il n'en est rien. Je n'en étais pas loin figurez-vous, mais une scène en particulier m'a fait tiquer, remisant mon enthousiasme. Une scène dans laquelle les personnages, dans une situation dramatique, font preuve d'une légèreté déconcertante jusqu'à me faire douter de leur crédibilité. Dommage, mais pas si grave.

Gothique et féministe, ce thriller psychologique diablement addictif valide une fois de plus le flair des éditions Sonatine. Et ça, c'est une bonne nouvelle !
Lien : https://bookncook.fr/2024/02..
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Une trentenaire, Alex, est invitée à participer à une retraite d'écriture animée par Roza Vallo, la reine du polar érotico-noir, dont elle est une très grande fan. Alex, à la personnalité complexe, se retrouve bientôt avec quatre autres autrices sélectionnées comme elle, dans le manoir maudit de la star des thrillers. Ce qui va lui donner l'occasion d'affronter ses démons et d'autres encore plus sombres.
Babelio et les éditions Sonatine m'ont offert l'occasion (et super merci) de découvrir cette nouvelle autrice New Yorkaise, qui s'inscrit dans le monde des femmes qui ne s'en laissent pas compter. Bien que le style soit quelques fois maladroit et un peu naïf, l'histoire prend rapidement le pas sur ces défauts mineurs et on est rapidement porté par les personnages très attachants (quoique…) et des péripéties qui s'enchainent vite. le roman s'installe rapidement et on sent bien l'atmosphère qui se tend sournoisement, d'abord entre les invitées, mises volontairement en compétition, puis entre deux protagonistes qui se sont connues avant de se séparer brutalement, et petit à petit avec le manoir lui-même qui est là comme un personnage à part entière, soumis aux désirs de sa machiavélique propriétaire…. Je n'en dis pas plus, à vous de découvrir la suite (tendue).
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La Reine du Noir "The writing retreat" aux Editions Sonatine, est un emprunt à un proche, qui savait que ce thriller allait m'attirer, un manoir isolé au milieu de nulle part, sans wi-fi, sans réseau, bloqué par la neige, théâtre d'un huis-clos entre 5 candidates à une retraite d'écriture – avec à la clé, un contrat à un million d'à-valoir - sous la coupe d'une romancière charismatique admirée, controversée et manipulatrice : un roman gothique et féministe, une mise en abyme angoissante des affres du travail d'écriture..... dans un manoir potentiellement hanté, comment résister ?

Elles étaient cinq... Cinq élues, choisies par la grande prêtresse du roman noir et féministe pour effectuer une retraite d'écriture. Ecrire le meilleur roman en un mois – celui qui sera publié - sacré challenge et l'occasion d'approcher une véritable idole.

J'ai passé quelques heures très agréables complètement hors du temps car Julia Bartz a un talent certain pour l'écriture de page-turner. Un style fluide, de courts chapitres, on ne voit pas le temps s'écouler. Elle utilise tous les ressorts du roman gothique et du thriller en vase clos. Dès le début de l'aventure, deux des cinq protagonistes sont mises en garde par un mystérieux chauffeur, leur hôte n'est pas présente lors de leur arrivée, le manoir recèle des pièces secrètes, a été habité par une adepte des séances de spiritisme, de mystérieux bruits de pas vous réveillent dans la nuit... Puis les invitées comprennent qu'elles sont totalement coupées du monde, les moyens de communication – téléphone, radio – ne fonctionnant pas alors qu'une tempête de neige fait rage. Les alliances se créent, compétition, rivalité, méfiance s'installent et la tension monte crescendo. Une retraite d'écriture teintée d'érotisme, de manipulation, et qui vire au roman survivaliste, Julia Bartz sait captiver ses lecteurs. Un avis mitigé pour moi, cependant. J'ai eu de la peine à éprouver de l'empathie pour les personnages et trouvé les rebondissements parfois un peu "too much". Une lecture qui ne restera pas inoubliable malgré le bon moment passé.


Ce choix pour l'item 43 "Un roman emprunté – boîte à livres, bibliothèque, emprunté à un proche"
# Challenge Plumes Féminines 2024
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4- Alex est une jeune écrivaine qui lutte contre le syndrome de la page blanche depuis que sa meilleure amie l'a éjectée de sa vie un an auparavant. Quand l'opportunité de participer à une retraite d'écriture avec son idole la grande écrivaine Roza Vallo se présente elle espère que tout s'arrangera. Mais la retraite d'écriture ne sera pas aussi paisible qu'elle l'espérait.

Avis : Cela faisait très longtemps que je n'avais pas lu un "vrai" thriller, étant plutôt abonnée aux cosy mystery ces derniers temps et j'avoue que ça me manquait beaucoup et j'étais ravie de voir que les éditions Sonatine ont gentiment accepté de me faire parvenir cette toute récente sortie. Et ça m'a fait franchement du bien de lire un vrai thriller.

Ce roman est parti vraiment pas du tout dans les directions auxquelles je m'attendais et bien que j'avais comme le résumé l'indique, compris que tout n'était pas net, je m'attendais vraiment pas à ces tournures d'évènements et en ça j'ai été vraiment très surprise.

Ce roman jongle avec des émotions contradictoires, flirte avec l'interdit et est un peu border parfois mais il va chercher les tréfonds de la soumission de l'humain et en ça je l'ai trouvé très intéressant. Ce n'a pas été un coup de coeur mais j'ai été happée par l'histoire, la frontière entre le réel et le fantasme.

Le seul truc qui m'a un peu dérangé c'est les scènes explicites qui pour moi n'avaient pas de réel apport et que du suggéré aurait eu le même effet sur la narration et du coup je préfère vous prévenir si cela vous gène il y a des scènes crues (perso je m'en serais passée) ! Mais j'ai aimé quand même le roman!

En résumé: Un thriller qui se dévore et qui amène énormément de suspense!
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J'attendais beaucoup de cette lecture, tout s'est très bien passé les 50 premiers %, ensuite je n'ai pas complètement adhéré aux choix de l'autrice. L'intrigue est partie dans une direction qui ne m'a pas enthousiasmée 😅

Oui, dès les premières pages, j'ai été embarquée, un style fluide, une histoire intrigante, peut-être un petit côté "déjà vu" mais si bien remanié que ça ne m'a pas empêchée d'apprécier. Des personnages très bien travaillés, j'ai beaucoup aimé.

À noté, un thriller écrit par une femme avec des héroïnes, top ! C'était très appréciable ❤

J'aime ce genre de roman dans lequel chaque soir, tu as hâte de te replonger.

Tout était bon, jusqu'à la fameuse scène qui fait basculer tout ce petit monde dans l'horreur. Je l'ai senti venir, mais jusqu'au bout j'ai cru/espéré un retournement de situation.

C'était une super lecture, il m'a juste manquée un peu d'originalité.
Par contre, j'ai beaucoup aimé l'épilogue.

Bref, un bon huis clos un tantinet abracadabrant, dommage il a frôlé l'excellence. Une belle découverte à lire !
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Roza Vallo est une romancière très célèbre, surtout auprès des femmes. Son roman "La langue du démon" , roman féministe gore, a été un déclencheur pour beaucoup d'entre elles. Quand cette auteure très discrète propose un séminaire d'écritures à cinq jeunes femmes, les candidatures sont nombreuses. Alex, jeune éditrice, est sélectionnée ainsi que son ancienne meilleure amie avec qui elle est fâchée à mort.
Très vite l'ambiance vire à la compétition, attisée par Roza. La gagnante publiera son premier roman.
Un huis clos avec tous les codes qu'on attend: un groupe de personnes isolé, un manoir, impossibilité de s'échapper à cause du temps, des événements tragiques arrivent sans pouvoir prévenir les autorités.
Ici on a donc tout ça et le plus c'est d'avoir fait des personnes isolées des jeunes femmes plutôt différentes mais qui ont un même rêve, écrire. Elles vont être bousculées, torturées par cette femme qui les pousse dans leurs retranchements, sous prétexte de faire sortir le meilleur d'elles.
Quand les choses basculent vraiment le lecteur est déjà à fond dans l'histoire.
C'est hyper efficace, très rythmé et excessivement bien maîtrisé pour un premier roman. On flirte avec le gothique, un genre que j'ai toujours aimé, avec une ambiance horrifique. Je me suis demandée à un moment donné si ça n'allait pas finir en vrai roman d'épouvante.
La bonne idée du roman est évidemment de mettre en scène des femmes qui tentent de créer une histoire pour un premier roman, la mise en abyme est vertigineuse.
Bref j'ai adoré cette lecture que j'ai lu d'une traite. Parfaite pour les soirées d'hiver au coin du feu.
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Il m'aura fallu attendre presque la moitié du roman pour vraiment l'apprécier.

La reine du noir, c'est l'histoire de 5 aspirantes écrivaines en stage d'un mois avec une célèbre autrice très mystérieuse dans son manoir isolé de tout.
La reine du noir est donc un thriller psychologique en huis clos.

Si j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, ce n'est pas à cause de l'écriture de Julia Bartz, qui est très agréable et fluide, mais plutôt avec la lenteur du début.
Le synopsis nous montre quelque chose qui n'arrive que très tardivement dans le livre.

Malgré tout, une fois passée cette petite première moitié, l'atmosphère se met en place. Une ambiance gothique et mystérieuse avec Roza, l'hôte de ses demoiselles, en maître de cérémonie. Si je n'ai que moyennement apprécié les personnages, celui de Roza est à mon sens le plus abouti et intéressant. Elle en vient même à éclipser le personnage principal, Alex.

L'autrice instille petit à petit une pesanteur sur ce groupe. On sent l'atmosphère changer, devenir peu à peu étouffante. On sent l'angoisse monter, puis les révélations arrivent et le rythme devient plus nerveux, plus addictif.

J'ai également bien aimé l'épilogue qui clôt ce thriller.

Au final donc une première partie trop longue à mon goût mais une seconde bien maîtrisée avec une ambiance lourde qui monte crescendo, le tout servi par une plume très agréable à lire.

Mon conseil donc: ne lisez pas le synopsis et laissez-vous porter par l'ambiance de ce roman. 

Mention spéciale pour la couverture que je trouve sublime !


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Je remercie Babelio et les Éditions Sonatine pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la masse critique.

Ce roman fait 450 pages ce qui laisse à l'auteure la latitude pour installer le décor et ses personnages. Roza Vallo est une auteure à succès sulfureuse, elle organise un concours permettant à 5 jeunes femmes de venir dans son manoir faire une retraite d'écriture d'1 mois. À la clef, 1 contrat d'édition et une avance financière de taille.
L'auteure nous installe donc dans ce manoir éloigné de tout, coupé des réseaux avec nos 5 jeunes femmes choisies. Les dialogues sont très contemporains, comme quel est ton pronom ? Elle/I.el? Cisgenre etc 1ere alerte pour moi qui suis quadra, les dialogues sont très young adultes. Mais bon on avance.

L'intrigue prend une nouvelle tournure à la moitié du roman qd l'une des 5 disparaît alors qu'il neige et qu'aucune communication avec l'extérieur n'est possible... Je ne vais pas plus loin, on rentre dans le scénario machiavélique voulu par l'auteure. Un huit clos plutôt bien mené !

Mon avis: j'ai lu ce livre en restant toujours un peu en lévitation comme si je découvrais un nouveau genre de thriller à l'époque du wokisme. J'ai apprécié que l'auteure s'attarde sur l'ambiance et sur chacun des personnages mais je n'ai pas pu m'ôter de l'esprit que je n'étais pas la cible visée. J'illustre: alors qu'une scène sanglante se déroule devant ses yeux une jeune femme pense "ce rouge est exactement la couleur du vernis que je portais avant..." mouais...

Je recommande ce thriller aux plus de 16 ans qui veulent découvrir le thriller. Les codes sont là, pas de problème, bravo pour ce 1er roman.
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