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EAN : 9782375790816
450 pages
Critic (06/09/2018)
4.18/5   60 notes
Résumé :
À Olangar, le combat des nains a laissé des traces dans le quartier portuaire. D’âpres négociations s’ensuivent tandis que les candidats à la Chancellerie multiplient les manœuvres politiques pour l’emporter. Afin de mener à bien la lutte des ouvriers et de contrer les agissements du clan de Malberg, le nain Baldek est obligé d’avancer masqué.
Pendant ce temps, loin de la capitale, Evyna et Torgend débarquent à Frontenac pour y trouver Stej Lombor, un ancien ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Il n'aura fallu attendre qu'un mois entre la parution du premier tome de « Bans et Barricades » et celle du second volet du diptyque de Clément Bouhélier. Inutile donc de s'armer de patience avant de connaître le fin mot de l'histoire et de retrouver les trois personnages phares de cet univers : le nain Baldek, leader de la grève générale lancée par les travailleurs des docks qui paralyse depuis maintenant plusieurs semaines la cité d'Olangar ; la jeune Evyna, noble venue du sud bien décidée à percer le mystère de la mort de son frère ; et enfin l'elfe Torgend, ancien héros de guerre renié par son peuple qui s'est engagé à soutenir la jeune fille dans sa quête de vengeance. Si on retrouve effectivement ici les principaux éléments qui faisaient le charme du premier tome, ce second volet se situe malgré tout un peu en dessous du précédent. La principale raison tient, à mon sens, du fait que Baldek et son combat pour plus de justice sociale et pour percer à jour les manigances de certains grands patrons (aidés en secret par la pègre et plusieurs membres du gouvernement) sont désormais relégués à l'arrière-plan. Contrairement au tome précédent, ce sont en effet Evyna et Torgend qui occupent le devant de la scène et, il faut bien l'avouer, leurs aventures sont bien moins palpitantes que celles de leurs alliés ouvriers. Pourtant le récit ne manque pas d'action ! Entre les courses poursuites, les attaques surprises et les combats acharnés, ce second volume ne connaît que peu de temps-morts. le problème, c'est qu'on attache bien moins d'importance aux personnages de l'elfe et de la jeune fille qu'à ceux de Baldek et sa troupe. D'abord parce que leurs intentions sont, dans l'ensemble, plus nobles et moins égoïstes que celles du duo, et puis surtout parce qu'il était plus aisé de s'identifier à ces travailleurs harassés luttant pour offrir à leurs familles de meilleures conditions de vie qu'à cette toute jeune fille aveuglée par sa vengeance ou à cet elfe ayant une fâcheuse tendance à s'apitoyer un peu trop souvent sur son sort.

Les nains et leur combat ne sont d'ailleurs pas les seuls à être moins présents dans ce second tome, puisque c'est aussi le cas de la cité d'Olangar que l'auteur exploite ici beaucoup moins au profit d'autres lieux de son univers. C'est le cas notamment de Frontenac, une ville située à l'ouest de la capitale et qui s'est spécialisée depuis des années dans la production de fer. Là aussi, l'industrialisation a profondément transformé le paysage et les conditions de vie des habitants qui sont encore plus précaires qu'à Olangar. le problème, c'est que même si le décor et les nouvelles problématiques qu'il pose sont intéressants, on se prend rapidement à regretter l'agitation et l'ambiance explosive de la capitale. Les passages les plus captivants de ce second tome restent ainsi à mon sens ceux traitant de la grève en cours ainsi que des manigances mises en place par les partisans des deux camps afin de faire élire leur candidat au poste de chancelier. Sans être intéressantes, les pérégrinations de Torgend et Evyna ne sont pas pour autant franchement trépidantes, même si elles nous permettent de découvrir le fin mot des machinations mises en branle dans le premier tome. Elles ont également l'avantage de nous faire découvrir sous un autre aspect une race dont il a jusqu'à présent été beaucoup question, sans qu'aucun de ses représentants soient pour autant jamais mis en avant : les orques. Les scènes de combat sont quant à elles toujours aussi maîtrisées, ni trop descriptives ni trop brouillonnes, et renforcent l'aspect cinématographique des scènes d'action. On peut également saluer le traitement toujours aussi fin et nuancé des problématiques sociales proposé par l'auteur, que ce soit en ce qui concerne le clivage entre les classes populaires et les grandes fortunes, mais aussi l'intérêt de la lutte collective et le rôle des syndicats. On remarque aussi dans ce second tome la présence d'une petite note écologique qui permet de mettre en avant une autre facette de l'industrialisation intensive menée à Olangar et dans les territoires alentours.

Avec ce premier diptyque consacré à la cité d'Olangar, Clément Bouhélier donne naissance à un univers et des personnages qui sortent de l'ordinaire et qui lui permettent de traiter des problématiques sociales et politiques très actuelles. J'attends avec impatience de nouvelles enquêtes et aventures dans ce même univers qui possède décidément un énorme potentiel.
Lien : https://lebibliocosme.fr/201..
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Pendant que Baldek poursuit ses manoeuvres pour obtenir de meilleures conditions de vie pour les ouvriers (les nains, essentiellement), Evyna et Torgend se dirigent vers la cité du fer, Frontenac, afin de comprendre réellement ce qui est arrivé au frère de la jeune femme en rencontrant un de ses anciens compagnons. Mais leurs ennemis ne vont pas les laisser en paix.

Le roman est long, puisqu'il est composé de deux tomes denses (je sais, je sais, on a vu pire, mais on atteint presque les 900 pages, ce qui n'est pas mal). Mais, à aucun moment, on ne le ressent. Et ce n'est pas uniquement dû au fait qu'il est coupé en deux livres : d'ailleurs, cette coupure pourrait être une gêne, car il n'est pas toujours facile de démarrer un ouvrage. Ici, le problème ne se pose pas : avec talent, l'auteur sait nous mener du début à la fin de l'intrigue sans fausse note, avec de multiples fausses pistes ou mystères dont on attend avec impatience la résolution. Et tout cela, sans facilités ou autres trucs qui remplissent des pages de façon artificielle. Les évènements ont de bonnes raisons d'être : on les trouve dans les motivations des personnages.

Comme je l'avais écrit dans la chronique traitant de la première partie de ce roman, les personnages ont une épaisseur certaine, une densité qui nous pousse à les croire vivants et à ne pas se poser de questions quant à la puissance de leurs choix. Ils ont des sentiments, ils ont des faiblesses, ils ont des peurs. Ils paraissent tellement humains qu'il est facile d'entrer dans leur peau, de vivre avec eux. Et donc, il est naturel de suivre leurs périples, y compris dans des endroits aussi dangereux que Fronterac ou que le désert. Ce deuxième volume, au lieu de montrer un essoufflement possible, renouvelle certaines quêtes et voit des changements logiques dans les rapports entre les différents protagonistes. Celle ou celui qui flanchait a repris du poil de la bête au détriment d'un autre, affaibli par une épreuve morale ou physique particulièrement dure.

Et toutes ces actions se déroulent dans un décor digne des meilleures parties de jeu de rôle : tout y semble pensé pour tenir son rôle de façon logique et naturelle. Depuis le début, Clément Bouhélier tient son sujet, ses intrigues, son monde. C'est cette maitrise qui m'a agréablement impressionné, car on sent qu'il ne va aps se laisser aller à des digressions gratuites et sans réel intérêt. Les pistes proposées serviront, les personnages auront un rôle, les lieux décrits tiendront leur place. Et, comme déjà dit également, Bans et barricades n'est pas qu'un simple roman d'aventures. Il propose aussi une vision du monde, des rapports entre les différents groupes, les différentes classes sociales, les races. Il s'interroge sur les choix que des individus peuvent être amenés à faire devant des circonstances spéciales : mettre sa propre vie en danger ; mettre en danger celle d'autres personnes, qui n'ont pas forcément pu donner leur avis, voire qui sont complètement étrangères au problème ; décider, seul, d'orientations qui impliqueront des centaines, voire des milliers d'individus. Des questionnements profonds, traités avec une certaine finesse.

La découverte De Bans et barricades a été pour moi une très agréable surprise tant Clément Bouhélier a su m'intégrer, instantanément et pour toute la durée de l'histoire, dans son univers. J'ai immédiatement pris fait et cause pour ses personnages et ai attendu avec inquiétude la résolution des diverses péripéties. Sans hésitation, je vais m'attaquer au volume suivant de cette saga : Une cité en flammes.
Lien : https://lenocherdeslivres.wo..
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Je chronique d'un coup le duo de bouquins. Ils forment un tout, divisé en deux pour d'évidentes raisons pratiques : un volume simple aurait été épais comme un dico. Pour paraphraser le philosophe hobbit Arnaud Unik, une seule histoire pour les gouverner tous et dans la lecture les lier. Donc une seule chronique. CQFD

Bienvenue dans le royaume d'Olangar… On y croise des humains, des nains, des elfes et des orcs. Éléments de fantasy assez classiques pour m'épargner un long développement sur les petits barbus, les grandes oreilles et les peaux-vertes.
Pas de magie, ce qui est assez rare en fantasy pour être souligné. Ouvriers, charbon (le mildur), usines, train et télégraphe prennent la place des sorciers en robe. le décor correspond grosso modo à notre deuxième moitié du XIXe siècle : les débuts de l'ère industrielle, aussi bien en Europe qu'outre-Atlantique.
Pour le versant européen, je te renvoie à tes cours d'histoire sur la période : exode rural, essor du capitalisme, exploitation ouvrière, lutte des classes, émergence du syndicalisme, pseudo-démocratie via un suffrage universel qui n'a jamais fait que remplacer une oligarchie par une autre… Autant de thèmes qui forment le coeur intelligent du roman et donnent matière à réflexion pour le lecteur. Vu qu'on vit toujours sous le même modèle économique et social, Bouhélier ne parle pas que du passé mais aussi du présent, en témoignent des allusions aux “sans-dents” et aux “yeux dans les yeux”.
Côté américain, on pense grands espaces, attaque de train et poudre qui parle plus souvent qu'à son tour. Et on pense bien. Olangar intègre des éléments de western qui permettent de s'aérer des fumées d'usine.
À l'arrivée, c'est comme si Warcraft rencontrait Germinal et Il était une fois dans l'Ouest. Une fantasy industrielle et sociale, avec des accents steampunk et western.
Ce mélange aussi improbable que détonnant fonctionne à merveille. Bouhélier bâtit par-dessus un monde complet. Deux gros morceaux urbains avec Olangar, la capitale, et Frontenac, coeur métallurgique du royaume, plus une tripotée d'infos sur les régions périphériques (provinces du sud, territoires elfiques, désert de l'ouest). Un continent avec une histoire, une économie, une société, un système politique… et toutes les tensions qui vont avec.
Bouhélier nous en apprend un peu plus à chaque page en jouant sur les procédés (exposé par un narrateur omniscient, explications données par un personnage à un autre…). Il ne manque rien au tableau : on referme le second tome en sachant tout d'Olangar sans avoir l'impression de s'être enfilé une encyclopédie barbante. J'ai visité beaucoup de mondes au cours de ma vie de lecteur et de rôliste, celui-ci fait partie des plus riches et des mieux construits que j'ai pu lire.


Olangar n'étant pas un supplément de jeu de rôle, suffit pas d'avoir un univers, encore faut-il qu'il s'y passe quelques chose.
Côté intrigue, grosse densité aussi. le contexte électoral et les magouilles afférentes tiennent du thriller politique, genre qui sous-tend l'ensemble du roman. L'enquête d'Evyna autour de la mort de son frère apporte une orientation polar. S'ajoutent des péripéties héritées du western, du roman d'aventure et même du roman d'espionnage (le dernier segment a des airs jamesbondien).
Olangar est un roman qu'on qualifiera de choral, non pas parce que les personnages s'expriment en chantant – ça, c'est dans les comédies musicales – mais parce qu'il multiplie les points de vue. Un bon plan autant pour bâtir tel ou tel point d'univers ou d'intrigue autour de personnages concernés au premier chef. Donc pas mal de monde, pas mal de noms, mais bon, ce n'est pas un botin non plus à apprendre par coeur… et vu le taux de mortalité, le lecteur ne sera pas encombré de protaganistes à se rappeler par paquets de cinquante. (Et sinon, il y a toujours la possibilité de se rabattre sur Oui-Oui si on aime les lectures hyper faciles d'accès…)
Choix d'écriture intéressant autour de ces personnages, le jeu sur la temporalité. Bouhélier jongle entre le passé du narrateur externe et le présent qui place le lecteur dans les pompes des protagonistes. Faut s'y faire au début, il y a des passages où le procédé fonctionne un peu moins, mais dans l'ensemble bien vu pour l'implication du lecteur et le dynamisme apporté aux scènes d'action.


Olangar, c'est donc du costaud, et pas juste parce que les deux tomes sont assez lourds pour assommer un orc. Une petite préférence pour le premier volume, ce qui doit surtout à mes goûts de lecteur. Je suis toujours plus attiré par les tenants, quand l'auteur pose son bazar sur la table (enfin, on s'entend, hein…). Les aboutissants, s'ils sont logiques, je les vois arriver (et ici, j'avais deviné où on allait entre les deux épisodes), donc ils m'emportent moins. Mais bon, ça, c'est moi. L'ensemble est de très haute volée du début à la fin.
À lire si on aime les univers foisonnants, la fantasy qui sort des sentiers balisés et la réflexion intelligente sur notre société, qui aurait tendance à s'y embourber, dans le sentier.
Lien : https://unkapart.fr/olangar-..
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- Bon alors tu le fais ton ch'ti billet ?
- Franchement j 'hésite
- Pourquoi , mon vieux Papy ?
-Parce que j ai bien aimé le tome 1, même si ce n est pas de la fantasy comme je l ai déjà écrit inclure dans un récit des orcs , des elfes , des nains parfaitement remplaçables par des ethnies humaines et sans une once de magie ne peux s'apparenter à ce genre de littérature .Et quelque soit la sympathie ,ou pas ,que l on peut éprouver pour les idées de l auteur ce bouquin est ce que je nomme un faux nez avancer des idées , politique , écologique sous le masque ( transparent )d un bouquin d 'aventures c est à mes vieux yeux fatigués une sorte d' escroquerie au lecteur , il est plus honnête d 'écrire un pamphlet qui ose son nom . de plus dans le cas d 'espèce cette suite accumule poncifs , banalités , non événements , on a du mal à se passionner pour la découverte d un produit fabuleux qui est .....du mazout .Bref une déception de plus , mais bien sûr ce n est que la mienne
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Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.

Après un tome 1 qui se finissait en lutte finale, voici un tome plus introspectif et plus axé sur le jeu politique, les révélations se feront peu à peu sur Olangar et sa clique au pouvoir.
Moins flamboyant, ce tome permet de prendre plus connaissance avec nos compagnons de route, l'occasion d'en apprendre plus que les semi-hommes et les peaux vertes et de quitter la capitale pour visiter la région. Cap sur la ville de fer, une usine métallurgique géante, une fournaise ou les hommes, nains, elfes et orcs suent sang et eau.
C'est aussi l'occasion d'aller vers l'ouest, vers ce mur (Usa et Mexique ?) fait pour que les orcs ne rentrent pas sur le royaume, quelque-chose semble s'y terrer et éveiller les intérêts des puissants.

Une fin un peu plus crépusculaire, laissant présager une époque plus moderne.

Au final, un roman qui change des standards de la fantasy. Et une seule attente, vivement la suite des aventures de cet univers iconoclastes.
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
15 janvier 2020
Complot mêlant politique au plus haut niveau de l’Etat et trafic mené conjointement par la pègre et l’armée, corruption en tous genre et espionnages se rejoignent dans cet ouvrage. [...] Ce deuxième tome conclut sans concession une intrigue sombre.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Nombre d’artistes à Olangar et dans les provinces avaient peint ou chanté Frontenac, le plus souvent comme une antichambre du royaume de l’Enfant maudit. Mais sur les tableaux qui ornaient les murs des maisons nobles comme dans les ballades encore déclamées dans certaines tavernes des hauts quartiers, il manquait toujours un détail : le bruit des chutes.
De l’avis général des ouvriers de la Ville de Fer, il s’agissait pourtant du pire des maux à affronter, loin devant la chaleur et la poussière de métal. Une série de prouesses techniques avait permis de bâtir la cité de chaque côté de la gigantesque cascade. L’eau bondissait des hauteurs du pic de Khales. Chaque seconde, des milliers de litres s’écrasaient en bas de la montagne et s’ajoutaient au fleuve. Ceux qui revenaient de Frontenac parlaient d’un vacarme assourdissant et continu.
Tu l’entends quand tu te lèves. Tu l’entends quand tu te couches. Tu l’entends même quand tu dors. C’est ça qui provoque des troubles chez les gars. C’est ça qui les pousse à s’accrocher à leur machine en pleurant. C’est ça qui tue à Frontenac, bien plus que tout le reste.
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Les affaires importantes finissaient toujours par se régler dans un bureau minuscule, à l'intérieur duquel ne se tenaient que deux ou trois personnes. Ensuite, et ensuite seulement, on présentait la conclusion au reste de l'entreprise : les administrateurs, les détenteurs du capital, l'intendance. Autant de gens qui croyaient disposer d'un vrai choix, mais qui, en réalité, validaient les arguments des vrais décideurs.
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Je ne te demande pas de cesser de croire en ce en quoi tu crois, jeune fille. Juste de te poser la question.
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- Il est triste que certains ne comprennent pas qu'un bulletin est une arme.
- Les élections..., maugréa Kalin. N'oublie pas que c'est l'action directe qui nous a menés ici et qui a contraint les politiciens à s'aligner sur nos exigences.
- Et toi, n'oublie pas que l'action directe nous a aussi fait du mal. Le vote est peut-être moins efficace, mais il ne fait pas couler le sang.
Commenter  J’apprécie          30
Les grandes décisions se prennent dans les petites pièces.
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