Livre pioché dans la PAL de mon fils sur la mythologie nordique.
Il y a 12 histoires (de la création du monde à Ragnarök) qui se lisent en suivant comme des chapitres d'un livre vu qu'elles suivent un ordre chronologique.
Le personnage principal est Odin et j'ai suivi ses aventures avec en tête le visage d'Anthony Hopkins. Parmi les personnages secondaires j'ai trouvé que Loki était le plus intéressant. Thor était pour sa part décrit sans saveur...
L'anneau des serments qui donne le pouvoir sur les neuf mondes fait bien sûr penser à un autre anneau que je ne citerai pas. C'est bien connu que Tolkien s'est inspiré de ces légendes nordiques pour sa trilogie.
En fin de volume il y a un petit glossaire pense-bête que le fiston étudie par coeur afin de bien maîtriser son sujet.
Le seul bémol est que l'écriture manquait un peu de rythme. La 4ème de couverture parle d'une "efficacité dramatique (...) digne des meilleurs récits de fantasy". Rien à voir avec un David Gemmell ou un Michel Robert.
Challenge multi-défis 2017 (68)
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Une bonne entrée en matière pour ceux qui ignorent la mythologie scandinave.
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Il découvre les affreuses filandières qui tissent le destin des dieux et des hommes, penchées sur leur terrible machinerie. Un métier à tisser fait d'ossements, d'entrailles de cadavres tendues par des crânes, sur lesquelles file un fer de lance en guise de navette. Les Nornes sont les maîtresses du Destin et elles montrent à Odin comment les choses meurent et revivent, et comment les mondes se construisent, se détruisent, se transforment, sans que Livskraft, la "force de vie", disparaisse.
Maeva livre la lande des elfes aux dieux de l'Asgard, en se donnant avec toute sa fièvre, dans une union sauvage et sacrée. Ils font l'amour comme deux bêtes des bois, haletantes, et avec la légèreté des courants marins portés par des vents chauds.
Nous avons rencontré Jean-Paul Bourre pour évoquer son essai sur la malédiction du Palais Dario de Venise, dans lequel la jeune Marietta Barbaro, emmurée, s'est consumée de chagrin, l'historien Rawdon Brown s'est donné la mort face à ses tableaux, Kit Lambert, le manager des Who, s'est perdu dans les fêtes et les drogues... la liste est longue, et sanglante, des propriétaires morts de façon tragique dans ce petit palais penché sur le Grand Canal. Elle faillit s'achever par Woody Allen, si celui-ci, prudent, n'avait au dernier moment renoncé à son achat... Propos recueillis par Marie-Pierre Ciric le 30 mai 2011. le livre : https://www.lesbelleslettres.com/livre/203-ca-dario
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