Quatre filles et un jean, tome 5 : Pour toujours

Une fin très riche en émotions, autant niveau joie que tristesse. Malheureusement je ne peux pas en dire plus parce que sinon ça gâcherait la surprise. Mais c'est mon préféré et mon coup de coeur parmi les 5 tomes. Je quitte avec beaucoup de regret et de tristesse nos héroïnes.

En conclusion, un livre bien plus sombre que les autres et qui pourtant m'a beaucoup plus touchée et plus que les autres. Un véritable coup de coeur.
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Dernier tome de la série, Quatre filles et un jean pour toujours est également celui qui me semble le plus abouti. On retrouve nos quatre héroïnes à l'aube de leurs trente ans. Place désormais à l'entrée dans l'âge adulte. Les filles ont grandi, et leur amitié semble avoir difficilement résisté à leurs vies qui ont prises des directions bien différentes.Carmen est devenue une actrice de série, en quête d'un peu de gloire, fiancé à certain Jones, archétype du golden boy décérébré. Bee vit avec Eric, avec toujours cet incessant bourdonnement en elle qui la pousse à bouger en permanence, Lena vit une vie studieuse, austère et ne cesse de ressasser le passé dont son ancien amour, Kostos faisait parti et Tibby a suivi son compagnon Brian en Australie. La fêlure vient d'ailleurs de là : les filles n'ont plus beaucoup de nouvelles de Tibby, jusqu'à ce que cette dernière propose des retrouvailles en Grèce, dans la maison des grands-parents de Lena, là où c'était achevé le précèdent tome.

Le roman se poursuit alors sur une tragédie qui touchera les filles de plein fouet, remettant en cause les fondements même de leur amitié et qui va les bouleverser. Chacune alors réagira à sa façon...


Ann Brashares nous offre un récit simplement émouvant du début jusqu'à sa fin. Elle explore les failles de ses héroïnes dans ce dernier tome, failles qu'elles vont tenter de dépasser afin de se lancer sur "l'autre rive", afin de devenir des femmes. Pour toutes, ce sera l'heure de la maturité.

Véritable hymne à l'amitié, ce dernier roman est aussi celui de problématiques fortes comme l'amour, la maternité et surtout la quête de soi. le personnage de Lena m'a beaucoup touchée, ce désir d'isolement permanent afin de ne pas risquer son coeur, cette sensibilité extrême murée dans le silence... Jeune femme solitaire qui finalement se révélera.

Bridget également est à l'origine de très beaux passages, notamment sur la découverte du sentiment de maternité, qui est décrit avec délicatesse. La jeune femme se livrera à une véritable errance, poussée par son irrépressible besoin de fuir et trouvera l'apaisement devant une enfant.

Le récit n'est pas sans défaut, certaines scènes frisent l'invraisemblance ou le cliché (je pense notamment à la scène finale entre Lena et Kostos à l'aéroport qui est décidément "too much"). le personnage de Carmen m'a déçue au début, elle semblait inconsistante, si superficielle. Sa rencontre avec Roberto n'en est pas moins touchante. Toutefois, on sent l'affection sincère qu'a l'auteur pour ses quatre femmes.

Un roman plus grave qu'il n'en a l'air, écrit avec la plume toujours légère d'Ann Brashares.
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J'avais adoré les quatre tomes précédents et c'est avec un mélange de joie et de curiosité que je me suis plongée dans ce cinquième et dernier tome.

On y retrouve Lena, Carmen, Bridget et Tibby dix ans plus tard. Elles ont toute une vie bien chargée, Carmen en tant qu'actrice à New York, Bridget qui vit avec Eric à San Francisco, Lena qui habite à Providence et vit de ses oeuvres et de son travail de prof dans une école d'art et Tibby qui est partie s'installer en Australie et dont les trois autres filles n'ont presque plus de nouvelles.

C'est cependant elle qui va faire en sorte de toutes les réunir en Grèce, là où tout a commencé si on peut dire ça comme ça. Mais les trois autres filles ne s'attendent pas à se qui va se passer car, comme on peut le lire dans le résumé, leur vie va être bouleversée et c'est ensuite avec difficulté de chacune d'entre elles, chacune à sa manière, va réussir à se relever et à repartir de l'avant.

Au début, comme les filles, on a du mal à comprendre et à se dire que c'est vraiment arrivé... Mais peu à peu, les pièces du puzzle se mettent en place et on comprend pourquoi c'est arrivé. Ça peut paraitre abstrait mais je veux pas faire de spoilers^^

Comme dans les tomes précédents, on suit les filles tour à tour dans leur quotidien mais elles ont maintenant la trentaine et leurs priorités ne sont plus les mêmes que dans les tomes précédents. Elles ont grandi, ont muri, ont fait leur vie ici ou là et un jour un événement auquel rien ne les préparait vient faire tout basculer et remet en cause leurs certitudes, notamment au sujet de leur amitié.

Mais pas d'inquiétude, ce n'est pas un roman déprimant où les héroïnes passent leur temps à se morfondre sur elles-mêmes :P

Ce livre m'a vraiment touchée et, c'est rare que ça m'arrive mais il m'a émue aux larmes et heureusement qu'on m'avait prévenu que je risquais d'avoir besoin de mouchoir parce qu'ils m'ont été bien utiles !! Je crois que je n'avais jamais autant pleuré en lisant un livre^^

Ce livre est un véritable hymne à la vie et à l'amitié. On en ressort en se rendant compte que, peu importe les galères que l'on rencontre dans la vie et leur importance, il y a toujours un moyen de les surmonter pour peu que l'on s'en donne les moyens et qu'on laisse nos proches être présents pour nous aider, nous soutenir.

Je suis triste que l'histoire des quatre filles de septembre comme elles se surnomment elles-mêmes soit terminée mais j'ai adoré les retrouver pendant plus de 400 pages, me retrouver à nouveau emportée dans leur quotidien, vivant avec elles leurs joies, leurs peines, leurs retrouvailles, leurs séparations, bref, tout ce qu'elles traversent pour finalement arriver là où on les laisse à la fin du livre. Ce que je viens de dire peut paraitre très abstrait pour ceux qui n'ont pas lu les livres mais je pense que les autres comprendront ce que je veux dire :)

Une livre à la fois surprenant et et vraiment bien écrit, c'est une lecture addictive et une fois que vous l'avez commencé, vous avez du mal à vous en détacher avant de savoir le fin mot de l'histoire.!

Donc si vous avez lu les tomes précédents, je vous conseille de tout coeur de lire celui-ci car il est vraiment génial !! Bonne lecture :)
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Les filles de septembre m'ont accompagné pendant mes années collège. C'est donc avec joie que j'ai accueilli la sortie du cinquième et dernier tome des aventures de Tibby, Lena, Bridget et Carmen.
Nous retrouvons nos quatre amis de nombreuses années après les avoir quitté. En effet, elles approchent de la trentaine pour autant elles n'ont pas forcément beaucoup gagné en maturité. Attention, je ne dis pas qu'elles sont restées adolescentes mais je m'attendais à autre chose. La vie de Tibby a bien changé, Lena est toujours passionnée par sa peinture et Kostos, Bridget à la bougeotte et Carment est devenue actrice... Les aléas de la vie les ont éloigné les unes des autres mais elles continuent de penser à leur amitié.
J'ai été assez surprise par les choix que l'auteure a fait pour ces quatre femmes au point que par moment je me demandais pour est-ce qu'il y avait ce cinquième tome. Les précédents tomes étaient certes en lien avec l'amitié des quatre filles mais surtout en lien avec le jean mais ici il est absent (souvenez-vous, nous l'avons perdu dans le précédent tome). A d'autres moments, j'étais contente du tour que prenait leur vie notamment celle de Lena.
La fin du livre est bien plus joyeuse que ce que laissé pendant les péripéties au cours de l'histoire ce qui m'a bien plu. Je pense que cette fois, la saga est vraiment terminée.
J'ai été parfois un peu perdue par les changements de personnage au milieu d'un chapitre. J'aurais préféré que l'auteure continue de réserver chaque chapitre à une des filles. Par contre, j'ai aimé retrouver les citations en début de chapitre.
Pour conclure, je garde un sentiment mitigé sur ce dernier tome. Je suis partagée entre la joie d'avoir retrouvé « mes copines » et la déception des choix effectuées.
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Ce livre est un coup de coeur. Bouleversant, triste et émouvant. Dur de ne pas verser quelques larmes en le lisant.
J'ai beau l'avoir terminé il y a à peine quelques jours, j'aimerais pouvoir le relire pour la première fois.
Ce cinquième tome de la saga Quatre filles et un jean est différent des précédents. Certes ce sont les mêmes personnages, mais elles ont grandi de dix ans et sont à présent des adultes, non plus des adolescentes. Et puis même les émotions du livre diffèrent : dans les autres volumes tous les sentiments sont mélangés, il y a de l'humour, de la tristesse, de la colère, de la joie… Autant dans ce tome-ci le chagrin est omniprésent. Tout le roman, pour chacune des filles, ne tourne qu'autour d'une et même tragédie, et non divers tracas de l'adolescence.
C'est celui que j'ai préféré, le plus mature, celui qui fait le plus réfléchir sur la vie, le plus touchant.
Malgré leur malheur qui ne s'effacera jamais complètement, la fin est superbe. Ce tome clos à merveille cette excellente saga.
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Pour toujours 👖

📚 Cinquième et dernier tome de la saga Quatre filles et un jean. Beaucoup avaient tenté.e.s de me prévenir du petit choc lors de cette lecture sous ma chronique du tome 4..

👀 Mais je n'avais pas pleinement mesure de ça. Et effectivement ce tome est spécial. On change de registre du tout au tout. Il n'y a plus cette innocence... Ce n'est même plus vraiment de la littérature jeunesse en réalité.

🤧 Des années séparent les deux derniers tomes. Les situations des filles sont plus ou moins complexes dans ce roman. Plus ou moins tragiques aussi. J'ai versé ma petite larme (bon d'accord... Mes petites larmes je l'avoue.)

🧵 Encore une fois les filles tentent de rester soudées malgré la distance. Mais les choses ont changé. Pour le meilleur et pour le pire : pour toujours.

💙 Je ne peux pas développer davantage cette chronique, je risquerai trop de vous spoiler. Mais pour terminer avec cette saga : c'est une très belle découverte. Je suis contente de mettre lancée dans ces romans, un peu naïfs parfois certes, mais pleins de belles leçons de vie.

�'est le genre de roman que l'on rêve de lire ado, afin de récupérer une grande dose de chaleur livresque.

💬 Alors la fin de cette saga, vous en avez pensé quoi ?

Ce roman clôture une saga, ma saga favorite ever

Je ne m'attendais pas du tout à ça ! J'ai lu les quatre premiers tomes il y a une dizaine d'années et j'en garde un lointain souvenir ensoleillé et charmant. Je m'attendais à un cinquième tome feel-good et futile : et bien pas du tout. Un événement vient tout perturber : au revoir la futilité, bienvenue à la détresse. Un seul regret pour Carmen, l'intrigue laissait entendre une fin différente.

Ambiance vraiment différente des quatre premiers tomes. L'ambiance est lourde et triste et un genre de mystère plane tout au long du livre. J'ai eu beaucoup de difficulté à rester accrocher à ça.

La maturité des filles me dérange encore et d'autant plus puisqu'elles ont maintenant 29 ans.

Outre la morale et la finalité de ce dernier tome, je n'ai pas trouvé ça vraiment bon.
Lien : https://youtu.be/EIq-6MB4tME

J'avais lu les deux premiers tomes de 4 Filles et un Jean, et même si j'ai lu des oeuvres de bien meilleure qualité, je garde à cette saga une place spéciale dans mon coeur, parce qu'elle réussit à capter l'importance cruciale de l'amitié adolescente. Bon par contre, j'ignorais totalement qu'il y avait cinq tomes, je m'étais arrêtée au second. Tu te douteras que je ne te dirai rien du drame dont le résumé parle, parce qu'il est l'élément perturbateur du récit. Sauf que, forte de mes souvenirs de la saga, j'imaginais un truc un peu futile, qui a l'air d'une montagne, mais qui après des efforts et une séquence émouvante sur l'amitié qui triomphe de tout, redevient un petit événement ponctuel dans la vie. Autant dire que ce n'était rien d'aussi bénin. Tu te retrouves au contraire à lire un roman qui rappelle que tout peut changer du jour au lendemain et que certains événements marquent la fin d'une version de nous-même. Pour autant, tout n'est pas réussi : de nombreuses choses auront éveillé mon irritation. Carmen en particulier me laisse perplexe : on dirait qu'en dehors d'être latina, elle n'a d'autre trait de personnalité que l'égocentrisme. Même si la fin du livre est sensée tout expliquer et pardonner le comportement de Tibby, je trouve sa manière de procéder vraiment tordue. Et si on parlait du fait que trois des quatre filles sont toujours en couple ou amoureuses du même mec qu'au début de la saga ? Tu en connais combien, de tes potes de lycée qui sont toujours avec la même personne à l'âge adulte ? Sans parler du sujet qui fâche, et que j'étais sûre de retrouver dans ce livre : la parentalité. Car Ann Brashares est gentille, mais elle reste américaine. Alors forcément, quand tes héroïnes sont quatre filles de presque trente ans, ça finit par parler bébé. Et trois d'entre elles finissent par avoir des bébés dans leur vie, d'une manière ou d'une autre. le concept d'avortement est bien évoqué, mais très rapidement écarté par un choix de qualificatifs plutôt pro-vie. C'est dommage de ne pas proposer des parcours vraiment différents.