Sur la question si préoccupante de la guerre, Brasillach écrivit à José : " Blum était surement un homme très bien mais il affirma en novembre 32 : " Hitler est désormais exclu du pouvoir. Il est même exclu de l'espérance du pouvoir." Or Brasillach est convaincu du contraire. L'Allemagne semblera à Blum tellement peu inquiétante qu'il autorise les athlètes à participer aux Jeux olympiques de Berlin. Ces athlètes feront d'ailleurs le salut nazi à Hitler, en défilant sur le stade comme les équipes autrichiennes et italiennes.