Maman a tort

Merci à Babelio pour ces échanges de bons procédés (ouvrage offert contre critique) et aux Editions "Les Presses de la Cité" pour l'exemplaire gracieux.

Cela faisait un moment que je ne lisais plus de polar. Cette occasion m'a permis d'accepter de m'y re-pencher (notamment en raison de la bonne presse de l'auteur). Quelle ne fut pas ma déception ! Malgré une intrigue "pelote de laine triturée par un chat très joueur", quelle lenteur, quel manque de rythme !

Il m'a fallu m'accrocher au bastingage pour ne point sombrer dans les profondeurs grisâtres de l'Estuaire... Après lecture, j'en conclus que ce pavé de 500 pages a un style bien trop languissant et soporifique à souhait (à mon goût)... Et dire qu'il me faut lire "N'oublier jamais" dans la foulée !...

Ce livre a failli me faire perdre le gout de lire...et d'ailleurs, je l'ai lu sur 1 trimestre, c'est dire!!!
C'est un thriller ultra classique aux ficelles énormes. Disons que l'auteur utilise tous les trucs et astuces pour garder le lecteur en haleine, c'est prévisible, travaillé dans les règles de l'art du best seller.
Pourquoi je n'ai pas abandonné? parce qu'après un Ken Follet, un Bernard Werber, je croyais que j'avais perdu le gout de lire! Que le problème venait de moi et que je ne trouvais plus mon plaisir...c'est juste que je ne sais plus choisir....

Malone, un enfant de trois ans affirme que sa maman n'est pas sa maman. Il raconte sa vie d'avant cette maman peuplée de pirates, de château et soutient que son doudou lui parle tous les soirs. le psychologue scolaire, lui seul, le croit et commence à mener son enquête et en parle à la police. La commandante Marianne Augresse accepte finalement de se renseigner un peu sur la famille de ce petit Malone. Au fil du livre, on découvrira que cet enfant a un lien avec les auteurs de ce braquage. Et la commandante Augresse se retrouvera malgré elle mêlée personnellement à cette histoire.
J'ai apprécié ce livre même si la fin me parait un peu tirée par les cheveux et peu plausible. Un petit livre de vacances à lire sur la plage mais pas forcément à garder dans sa bibliothèque

La 4ème de couverture me donnait envie de lire ce livre. L'idée de ce petit enfant de trois ans et demi qui se confie à un psy en lui révélant que sa maman n'est pas sa vraie maman est très bonne, pourtant j'ai été terriblement déçue par ce livre.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans, il m'a fallu lire la moitié du livre avant de me prendre au jeu du suspens. Je n'ai pas accroché à l'histoire en trame de fond parfois un peu confuse. Les personnages sont peu crédibles car trop clichés, la commandante célibataire boulotte qui cherche désespérément un homme pour lui faire un enfant à la veille de ses 40 ans, le psy slave sexy et mystérieux, le flic bon père de famille et infidèle, la jolie coiffeuse qui cache son drame derrière sa beauté et sa bonne humeur... et la vision de l'homme à travers les yeux des protagonistes féminines est parfois pathétique.
C'est le premier livre de cet auteur que je lisais, j'ai trouvé qu'il était trop dans la démonstration "Vous allez voir ce que vous allez voir", " Vous n'allez rien comprendre, car je vais vous tenir jusqu'à la fin".
Pour autant ça fonctionne, Michel Bussi maîtrise son suspens, on a envie d'aller jusqu'au bout et de connaître le dénouement. Je comprends que ce livre puisse plaire, mais je ne le conseillerais pas, ou éventuellement en lecture divertissante de plage. Ce n'est pas le polar de l'année...

Un enfant clame haut et fort que sa maman n'est pas sa maman. Un psychologue scolaire s'intéresse de près à cette histoire et il croit l'enfant. Il se tourne vers la police, qui peine à trouver cela intéressant alors qu'elle est débordée avec une grosse enquête. Pourquoi un enfant de 3 ans et demi aurait cette idée en tête ? Que se passe-t-il dans cette famille ?
Le début d'une énigme qui rend un peu fou…

Je ne sais pas si j'avais le cerveau embrouillé en ces temps caniculaires mais j'ai trouvé le roman difficile et lourd à lire. J'ai eu du mal à rentrer dans le récit, je le trouvais tiré par les cheveux.
J'ai même failli abandonner.
Je ne recommande pas ce roman alors que Bussi reste un de mes auteurs préférés.

Malone est un petit garçon de 3 ans qui a pour doudou Gouti, une espèce de rat. Malone a raconté au psychologue scolaire que sa mère n'est pas sa mère et que c'est Gouti qui le lui a dit. Aussi invraisemblable que soit cette histoire, Vasile Dragonman, le psy, croit le petit garçon et pressent l'urgence de la situation.
Il fait donc appelle à Marianne Augresse, commandante d'un commissariat de police.

Seulement, en parallère, la commandante Augresse est prise par l'affaire d'un braquage à Deauville qui a mal tourné mais aussi dans sa vie personnelle par l'urgence de trouver un géniteur pour l'enfant qu'elle désire ardemment et dont l'horloge biologique lui rappelle chaque jour qu'elle n'a plus beaucoup de temps.

Faut-il prendre en compte les dires du petit garçon ?
Même si Marianne a d'autres chats à fouetter, elle décide de se pencher un peu sur la vie du petit garçon.


J'avais lu Un avion sans elle de Michel Bussi et j'avais aimé même si j'ai vraiment du mal avec la plume de l'auteur, je n'arrive pas à rentrer dans ses histoires...
Deux intrigues s'entrecroisent dans Maman a tort et pourtant c'est long, ça manque cruellement d'action, on voudrait que tout se passe plus vite, on n'arrive à s'identifier à aucun des personnages et moi j'ai besoin de ça pour plonger complètement dans un livre.
Lien : http://nunuchenomore.blogspo..

Mon deuxième Michel Bussi, fidèle à lui même.
Ayant lu N'oublie jamais il y a peu et le refermant avec un sentiment plus que mitigé, j'appréhendais cette nouvelle lecture.

Dans ce roman nous suivons à la fois, un psy très impliqué dans son rôle, une commandante à l'aube de la quarantaine qui, faute de mieux, se donne corps et âme à sa carrière, des truands en cavales et un petit garçon de 3 ans qui indique que sa mère n'est pas la vraie grâce aux dires de son doudou.

Cette lecture a été plus intéressante que la précédente mais n'est pas parvenue à m'emporter, me laissant un peu plus indifférente et dubitative au fil des pages.

Vous trouverez tous les codes de Michel Bussi à savoir, les doubles intrigues, les retournements de situations, les indices cachés, les personnages fourbes, les mélis-mélos.

La mise en place de l'histoire dure une bonne moitié quant à la seconde, on accède enfin à la vraie enquête avec, dans les 100 dernières pages, un peu d'action pure qui donne du souffle (le dernier) à cette histoire.
Ceci étant dit, hormis le travail sur le personnage du psychologue, j'ai trouvé un manque de profondeur à la faveur d'intrigues dans l'intrigue qui m'ont rapidement fatiguée.

En conclusion, je pense avec conviction que les livres de Michel Bussi ne sont pas fait pour moi et je vais m'en tenir là avec cet auteur qui a pourtant de bonnes idées de bases, mais les polluent en voulant toujours surenchérir dans le rebondissement.

Livre ni transcendant, ni désagréable. Une histoire alambiquée qui, à mon goût, présente de nombreuses redondances, comme si l'auteur cherchait comment retomber sur ses pieds.

L'intrigue : Malone, un enfant de 3 ans qui affirme que sa maman n'est pas sa maman.
Avec un tel discours, le petit Malone attire l'attention du psychologue scolaire qui cherche à démêler son histoire et comprendre pourquoi il tient de tels propos.
Il en vient à alerter le commandant Marianne Augresse. Celle-ci concentrée sur une autre affaire ne prête pas grand intérêt à ce signalement au départ… Mais forcément plusieurs éléments la poussent à revoir son jugement.

Le fil conducteur de l'histoire est plutôt intéressant toutefois j'ai été déçue par ce roman de Michel Bussi. On se perd facilement avec des passages qui tirent en longueur et où on ne voit pas à quoi ils vont mener.
En bref, déception pour « Maman à tort » alors que j'avais beaucoup accroché sur d'autres titres de l'auteur.
Je n'ai pas réussi à être embarquée. Je suis allée au bout du livre pour en connaître le grand dénouement mais sans grande conviction.

Ce livre m'avait été recommandé par une grande lectrice de ma bibliothèque qui l'avait trouvé génial. C'est le premier livre de Michel Bussi que je lis et je dois dire que j'ai été déçue : par l'intrigue d'une part qui ne m'a pas tenue en haleine et par le style ensuite, correct mais sans plus.