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3,94

sur 1655 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'aimais beaucoup les romans de Michel Bussi, mais dernièrement, je suis souvent déçue. J'étais curieuse de découvrir Trois vies par semaine, petit clin d'oeil a la chanson d'Indochine, et j'ai beau avoir fini ma lecture depuis plusieurs heures, je ne suis pas capable de dire si j'ai aimé ou pas.

Tout n'est pas négatif, il y a énormément de suspense, et une fois le livre commencé, on veut aller jusqu'à la fin et connaitre le dénouement. L'auteur nous entraine sur de nombreuses fausses pistes, et en tant que lecteur, on se pose énormément de questions. Renaud, Hans et Pierre sont intrigants, fascinants et leurs vies vraiment atypiques. Tant de points communs mais aussi tant de différences….

La fin est réussie, le retournement de situation est à la hauteur de nos attentes et l'on ne voit rien venir. La construction du récit est prenante avec des chapitres courts qui se succèdent d'autres personnages qui interviennent.

Cependant, il y a des choses qui m'ont fait rouler des yeux comme les personnages extrêmement caricaturaux notamment Katel qui est tellement agaçante, qui essaie de faire de l'humour mais qui ne fait rire personne ou Elea, qui m'a tapé sur les nerfs avec sa précieuse.

J'aime les connaissances de Michel Bussi a propos de la France, de ses regions et de son terroir mais parfois c'est trop, digne d'un guide de voyage ou encore la description des plats comme la Cacasse a cul nu…

Enfin certaines descriptions sont vraiment ridicules. Katel, une gendarme demande a Agnès de décrire son mari qui vient d'être retrouvé mort et voilà un exemple de réponse : « Renaud n'était pas vraiment beau, mais il possédait un charme bien à lui. Ses yeux étaient d'un gris particulier, on ne le distingue pas bien sur les photos. Gris crayon-à-papier. Très clair. Une mine entre le 4 H et le 3 H, pour être précise, souvent on en plaisantait. Des cheveux châtain clair, ou blond foncé, comme vous voulez. Et puis il avait cette façon de marcher, soit trop voûtée, soit trop raide, comme s'il ne pouvait régler sa colonne vertébrale que sur deux ou trois positions ». Sérieusement ? Ce n'est absolument pas crédible et sonne complètement faux.

Bref, par son suspense et son intrigue, Trois vies par semaine m'a conquise mais je ne conseillerais pas ce roman. J'ai failli abandonner ma lecture plusieurs fois tant c'etait laborieux mais j'ai reussi malgré tout a aller jusqu'au bout.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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Un homme est retrouvé mort, mais en réalité c'est trois hommes qui disparaissent. Trois femmes qui cherchent à savoir pourquoi leur homme n'est plus là. En outre, un fait troublant : ils se ressemblent comme trois gouttes d'eau... Triplés ? Triple identité ? Espionnage ? Notre auteur, comme d'habitude, nous montre qu'il est bon conteur. Néanmoins je finirai déçu, pour une fois. Pour au moins deux raisons. D'abord, trop de patos et de répétitions. le livre aurait gagné à être plus succinct et moins larmoyant. Ensuite et surtout, et ça n'engage que moi, tout ceci est assez peu crédible. du coup, ça fait long plus de 400 pages quand ça fait pffff.
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C'est cet « auteur » qui a déclaré récemment avoir failli jeter Soumissions de Houellebecq à la poubelle ! D'abord c'est Soumission et quoiqu'il en soit à supposer un mauvais Houellebecq, il vaut mille fois un best de cet écrivaillon qui fait de l'industriel avec ses « negres ». Plus ça touche le fond, plus ça ose !..

Mais au fait en quoi ça intéresse les français ces aigreurs d'engeance vulgaire ? Il ne peut pas garder sa morve pour lui ?
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Bon on va encore dire "ouais, alors elle, elle aime jamais rien".
Abandon, une fois de plus. Et le plus curieux dans l'histoire, qui, ELLE, n'est pas mauvaise, c'est que ce sont les prénoms ou surnoms donnés aux personnages qui m'ont fait détester ce livre et c'est la première fois de ma vie que cela m'arrive. Impossible de tisser quoique ce soit entre les pages et moi. Et puis alors, cet objet, ainsi nommé "ma précieuse" et que je vous laisse le soin de découvrir, ça, c'est rédhibitoire. Les clichés aussi, sur la police, sur les femmes de tête, sur les subalternes qu'on assigne à des tâches ingrates. Enfin, je vais me calmer parce que je vois que la note de ce bouquin est de 3.99 c'est donc que j'ai forcément et indéniablement loupé un truc.
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Un homme tombe des falaises dans les Ardennes, on trouve sur lui 3 permis de conduire à 3 nom différents et les permis ne sont pas des faux diable s'écrie la capitaine Katel Marelle chargée de l'enquête.
Il va falloir expliquer la triple vie de ce mort.
Un enquête qui nous mène des Ardennes à Paris et dans l'Aveyron.
Une histoire totalement Bussisienne à laquelle je n'ai pas encore accroché comme les derniers livres de l'auteur.
C'est poussif une histoire un peu rocambolesque qui avance à petit pas .
avec quelques bizarrerie dans le déroulé.
mon dieu oùu est passé l'auteur des nymphéas, d'un avion sans elle ou de T'en souviens-tu, mon Anaïs ?
mais ça se vend bien alors ...;
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Que peut-on dire d'un roman écrit par un auteur encensé par un public fidèle mais qui reste néanmoins modeste et chaleureux, d'une gentillesse à toute épreuve et d'une érudition géographique liée à sa qualité d'enseignant ?
Tout simplement qu'il n'est pas fait pour moi et qu'il faut que je renonce à le lire sous peine d'une irritation grandissante me conduisant à des commentaires désobligeants.
Restons positifs et mettons l'accent sur ce que j'ai aimé : bien sûr la mise en avant de régions françaises méconnues qu'il s'agisse de la Margeride ou de la région de Charleville Mezières décrites avec une précision amoureuse qui donne envie d'en explorer les sentiers mais aussi la mise en avant du festival de marionnettes de Charleville qui réunit les spécialistes de cet art du monde entier et donne lieu à des superbes représentations pour petits et grands. Je me suis renseignée sur internet et grâce à Michel Bussi j'en ai beaucoup appris sur les marionnettes et voilà au moins un point positif.
Second point positif, le rappel des liens du poète Rimbaud avec la région et la mise en exergue de passages de son oeuvre qui reste toujours évocatrice de son destin fulgurant et tronqué .
Troisième point positif le rappel dans le titre du grand succès musical du groupe Indochine et cette phrase de la mélodie qui résonne dans la tête.
Et puis c'est tout ...
Sur l'histoire en elle-même, qu'en dire sinon qu'elle est invraisemblable portée par des personnages qui frisent la caricature avec des rebondissements et des coups de théâtre qui ne feraient même pas pâlir d'envie les feuilletonnistes du XIXème. Certes j'ai quand même achevé la lecture pour voir où l'auteur avait voulu en venir mais vraiment je n'ai absolument pas adhéré à une intrigue qui m'a paru davantage tirée par les cheveux que par les fils des marionnettes.
Tant d'autres lecteurs ont apprécié cet ouvrage que je n'ai aucun scrupule à dire que pour moi c'en est terminé définitivement avec ce type de roman.
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J'ai beaucoup aimé le premier livre que de Michel Bussi que j'ai lu, Nymphéas noirs. le suivant, Gravé dans le sable, ne m'avait pas particulièrement emballée mais j'ai persévéré en choisissant de lire Trois vie par semaine. Celui-ci non plus ne m'a pas fait une grande impression.

Il faut mieux aborder ce récit comme un conte plutôt que comme un roman exposant des faits vraisemblables. Même comme cela, j'ai eu du mal à admettre certains rebondissements. de plus, les personnages sont dans l'ensemble très stéréotypés, je ne les ai pas trouvés intéressants à part peut-être Renaud Duval.

Pour moi c'est un roman d'été, qui se lit sans trop de concentration à la plage ou dans le train mais qui ne laisse pas d'impression durable. Je pense que je vais laisser Bussi de côté au profit de d'autres auteurs.
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Bon. Je crois que Michel Bussi, ce n'est définitivement pas pour moi. A chaque fois, je suis embarquée par l'histoire, et à chaque fois, à la fin, c'est la déception. Il y a du suspense tout le long du récit. le roman est un vrai page-turner....MAIS...ça retombe comme un soufflé! Je n'avais vraiment pas vu venie l'explication finale...Et pour cause: elle me semble complètement invraisemblable! En conclusion, j'ai eu l'impression d'avoir perdu mon temps. Dommage, car le pitch de départ était prometteur.
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J'attendais beaucoup de ce livre et cette intrigue qui dès la quatrième de couverture m'avait emballée. Et finalement : on s'attend au dénouement, on voit arriver pas mal de choses et j'ai très peu accroché à l'écriture, on ne s'attache pas aux personnages (peut-être un peu Nanesse) qui sont parfois mièvres, des caricatures (Katel et Éléa sont très borderline à mon goût, a la limite du cliché. Et je ne parle pas de Kristof et Amos, les "grands" méchants de l'histoire... ). Très honnêtement je suis déçue. Les points positifs : il se lit rapidement et très facilement.
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Franchement, je pense que Bussi m'a baladé pendant 400 pages sans que je sois sûr qu'il se moquait de moi. Mais dans les 50 dernières, là je ne sais pas s'il n'arrivait pas à boucler son livre, toujours est-il qu'il a dérapé.
Cette histoire de 3 cartes d'identité dans 3 endroits éloignés n'est pas très plausible, et le reste...
J'ai été très déçu que cet auteur encensé se disqualifie si facilement.
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